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SON PARDON : page 20


YEDMILA


Moi : (au serveur) je peux avoir une grande bouteille de coca, s’il vous plait ? 


Sophie : (riant) pourquoi en prends tu autant ? 


Moi : bof, je n’ai pas pu prendre ma pilule à temps l’autre fois, donc je rattrape cela ? 


Elle : tu continues ? (surprise) 


Moi : bien sûr que oui, Sophie je ne suis pas prête à être mère tu le sais bien. 


Elle : mais tu t’entends bien avec Kylian, tu le peux. 


Moi : (souriant) hum pas maintenant. Masi toi ça va ? (changeant de sujet) 


Elle : oui, tout va bien. Dis tu as les news de Sandra ? 


Moi : oui je l’ai vu la semaine dernière, elle m’a dit s’apprêter pour un grand défilé ou même la radio Rfi sera conviée (buvant mon coca) 


Elle : a un mannequinat ? Rfi ? (riant) 


Moi : oui, oui c’est bizarre je sais. (Souriant) mais c’est pour dire que c’est un grand évènement


Elle : sinon et ton mari ? 


Moi : ça va il est bien, à part qu’il me pousse à faire les interdits parfois 


Elle : (riant) comme quoi par exemple ? 


Moi : diné ce soir avec sa famille tu imagines ? 


Elle : (venant vers nous) bonsoir Sophie, bonsoir Yedmila


Moi : (la regardant) bonsoir, Sophie on va chez toi ? 


Sophie : salut Angie ça va ? (souriant) 


Elle : par la grâce de Dieu et vous ? (souriant) 


Moi : (me levant) je t’attends à la voiture Sophie


Elle : tu lui manque tu sais ? 


Moi : (partant) remplace-moi alors, tu es la fille rêvée pour lui 


*******


Nous sommes arrivés chez les Tiacoh, et je vous promets que si Marc n’avait pas du tout insisté je ne serai pas venu ici. Rien que penser que sa mère et son impolie de sœur y seront me mets de très mauvaises humeurs. Mais comme on le dit le foyer oblige. 


Son père : oh soyez les bienvenus M. et Mme Tiacoh  (nous embrassant) 


Moi : (souriant) merci beaucoup M. 


Lui : merci papa et les autres (voyant Louis venir) alors comment ça va bro ? 


Louis : bien frangin, et toi ma belle ? (me faisant la bise) 


Moi : (lui souriant) ça va et toi ? 


Louis : bien maintenant que l’on vous voit. (Souriant) 


Papa : allez rentrons les femmes nous attendent. 


Lui : ok papa, (à mon oreille) tu vois tout va bien ? 


Nous rentrons dans la maison et j’avais un mauvais pressentiment. 


Mira : (souriant) oh maman, viens voir Marc est là (me regardant mal) avec son intrus de femme 


Son père : (criant) MIRA 


Moi : (souriant et lui parlant à l’oreille également) tout va bien ainsi 


Louis : désolé ma belle (s’excusant) 


Moi : (souriant) humhum, ne t’excuse pas Louis 


Lui : ne lui prête pas attention bébé (voulant me rassurer) 


Moi : je ferai de mon mieux. 


Sa mère : oh mon fils adoré (l’embrassant) tu es la, comme tu m’as manqué. 


Je me levais pour la saluer et elle me disait juste un ‘’ah toi aussi tu es là, bonsoir’’ puis elle continua à parler comme si je n’existais pas.  Le diner se poursuivit ainsi avec Mira et sa mère qui ne parlait qu’à Marc, quant à  Louis et son père,  ils  nous parlaient à nous deux. Moi je voulais juste rentrer chez moi. 


Son père : alors Yedmila comment tu t’en sors avec la fondation ? 


Moi : bien, les travaux avancent bien. Et très bientôt je pourrai réellement commencer, j’ai déjà assez de sponsors ajouté à la presse l’inauguration se fera sous peu. Merci encore M. Tiacoh pour cette aide. (Souriant) 


Lui : (me souriant) et comment ? Ça m’a plus que tu es voulu faire une fondation pour venir en aide aux pauvres filles qui souffrent alors ne me remercie pas. Garde moi, une bonne place car je serai à l’inauguration, avec toute ma famille même. Moi et ma femme faisons déjà ce genre de choses et tu verras, bien que ce ne soit facile que c’est passionnant. 


Sa mère : pour des gens qui aiment vraiment les autres chéri, pas pour certaines qui ne veulent que laver leurs images. 


Et c’est repartit pour des piques. 


Louis : (souriant) en tout cas moi je viendrai 


Moi : merci beaucoup 


Mira : moi aussi, j’aimerais bien voir quel genre de discours tu tiendras (riant) 


Moi : (sereinement) le genre de discours qui pourrait t’aider à plus t’assagir ma grande (souriant) 


Je sais que mes beaux parents sont là, mais il le fallait cette petite ne fait que me chercher des histoires. 


Son père : en tout cas moi j’ai confiance en toi Yedmi 


Marc : (me souriant) moi aussi, et vous tous aurez l’occasion de mieux connaitre ma femme ce jour-là. 


Louis : nous savons déjà qu’elle est bien Marc


Marc : sinon Mira tu reprends les cours quand ? 


Elle : je retourne normalement demain en Angleterre


Son père : ce n’est plus les USA ? (apparemment surpris) 


Elle : si mais je ferai un tour en Angleterre, j’ai une formation là-bas (souriant) 


Louis : hum ok, prends assez de manteau ma belle, car le froid qui t’accueillera ne sera pas petit. 


Sa mère : oui ton frère a raison. (Lui souriant) 


On continua ce diner dans la paix jusqu’à ce que Marc, son frère et son père se retirent pour aller parler affaire d’après eux. Je restais donc malgré moi avec ma belle-mère et ma belle-sœur. 


Mira : maman je crois que l’on doit préciser aux gens que l’on invite la tenue idéale pour un diner. Puff, (relookant ma tenue) 


Sa mère : hum au moins elle a su se tenir à table, c’est déjà bon. 


Moi : (souriant et me levant) bonne soirée 


Sa mère : et compte tu aller  où ? 


Moi : dans la voiture, y attendre mon mari 


Mira : (ton ironique) surement pour aller dérober nos objets de valeur et ensuite filer les cacher dans la voiture 


Moi : (avançant vers elle) écoutes moi petite insolente, ne me parles pas ainsi tu n’as pas idée de qui je suis et qui je peux devenir quand les emmerdeuses, envieuses comme toi m’énerve. (Avec audace)  Je fais tout pour rester courtoise avec toi alors apprends cela aussi avec moi ou sinon tu m’éviteras le reste de ta vie. 


Sa mère : (se levant)  non mais tu te prends pour qui ? Tu oses parler ainsi à ma file en ma présence ? Parce que quoi on t’appelle aussi dame Tiacoh maintenant ? Non mais tu as perdu la tête ? 


Moi : (sereinement) apprenez donc à votre fille, le respect d’autrui 


Elle : (autoritaire) va l’apprendre plutôt toi-même, et si tu veux tant t’imposer sur quelqu’un penses à faire des enfants. Depuis presqu’un an de mariage toujours rien. Même pas un retard, tu fais quoi avec tout ce qu’il te donne pour lui faire un enfant. (Me regardant mal) 


Mira : peut-être qu’elle en fait des sacrifices, dans son monde c’est possible maman. 


Moi : que dis-tu ? (m’approchant) 


Elle : (me bloquant le passage) on dit que tu es un ventre vide, arrête de gaspiller mon enfant si tu ne désires pas lui donner des enfants. 


Moi : (énerver)  écouter moi bien vieille mégère le fait que je ne vous réponde pas ne veux en rien dire que j’ai peur de vous. C’est juste du respect et rien d’autre, car dans mon monde bien qu’il soit malsain on accorde du respect. (Dévisageant l’autre)  Alors si vous me poussez trop à bout je risque de ne plus vous portez ce même respect là et cela ne me fera vraiment rien. (Haussant les épaules)  C’est moi qui décide quand j’aurais des enfants et ce n’est pas à vous et  (pointant l’autre du doigt) votre insolente de fille de me dire quoi que ce soit à ce  sujet. (M’approchant d’elle)  En plus en voyant l’impolitesse, l’insolence et l’éducation raté de votre fille, je me demande si je dois faire un enfant à cette famille car j’ai peur que les germes ne dédaignent sur mon enfant.  Aussi si vous pensez que je fais des pratiques mystiques avec votre Marc, c’est que vous y vous connaissez. (Les fixant avec une telle rage) 


Elle : et qu’est-ce que ça veut dire ? (me pointant du doigt) 


Moi : que c’est juste un sorcier qui connait son ami sorcier. (La fixant sans même cligner les yeux) 


Elle : tu oses me traiter sorcière. ?  (Frappant sa poitrine) 


A ce moment les hommes arrivèrent. 


Mira : marc fous ta femme dehors, elle a osé manquer de respect à maman (levant le ton) 


A ce moment sa mère se mit à pleurer. 


Moi : (dépassée) soyez de vrai femmes je vous en prie et assumer vos dires. 


Marc : (criant) YEDMILA QUI Y’A-T-IL ? 


Moi : (sortant et essayant de garder mon calme) demande à ta mère et ta sœur qui me traite de ventre vide 


Son père : vous avez dit ça ? (air surpris) 


Mira : mais si c’est la vérité et ça n’excuse pas quelle doit manquer de respect à maman (voix tremblante) 


Son père : (levant le ton)  tais-toi Mira, Yedmila assieds-toi on va régler cela s’il te plait (me montrant la place. 


Moi : (lui parlant avec respect) merci bien M. Tiacoh mais je préfère rentrer chez moi, je n’aime pas tarder sur des histoires qui ne se règleront jamais 


Elle : marc ta femme m’a insulté Marc, et tu ne dis rien (pleurant et le regardant) 


Je quittais cette maison et je partis l’attendre dans la voiture. Sous le regard triste et désolé  de Louis. Marc vient me rejoindre plus tard et on conduit jusqu’à la maison dans le silence. Une fois rentrée, il alla prendre sa douche et viens près de moi. 


Lui : c’était quoi ça Yedmila ? 


Moi : quoi ? 


Lui : injuriez ma mère, Mira je peux comprendre mais ma mère reste ma mère 


Moi : et donc c’est pour cela qu’elle m’accuse de sorcière et de ventre vide ? (le fixant) 


Lui : je suis sure qu’elle ne l’a pas dit ainsi,  tu as mal comprendre. 


Moi : (commençant à m’énerver) Marc je suis certes ta femme, mais moi on ne m’injure pas. Même mon géniteur n’ose pas alors que ta mère en fasse de même. Qu’elle continue à m’ignorer et moi je me multiplierai par zéro devant elle. (Audacieuse) mais m’injuriez et vouloir décider pour moi, non (remuant la tête) non, personne ne le fait. 


Lui : tu recommences avec tes histoires, tes airs de patronne. 


Moi : (riant nerveusement) mais je suis la patronne de ma vie et tous devraient commencer à s’y faire je pense. 


Lui : (se levant) puff, en plus Yedmi elle a raison de s’inquiéter, ça va faire bientôt 1 an et c’est toujours pareil, aucun enfant


Moi : (énerver)  et donc ça donne le droit à ta mère  de me parler ainsi. Ecoutes moi bien (sereinement)  je ferai mes enfants quand je jugerai cela utile et non pour les autres. Je ne me vois pas actuellement mère c’est tout. 


Lui : et au fur et à mesurer que les années passent tu penses que l’on rajeunit ? (répondant aussitôt) 


Moi : attends tu m’as épousé pourquoi ? Pour que je te ponde des gosses ? (ne comprenant pas sa réaction, je ne suis pas prête bon sang) 


Lui : non, mais ça serai aussi bien un enfant. Tu veux que l’on reste sans enfant.  Dis plutôt que tu as peur que l’enfant ne sois informer de ton passé (se rapprochant apparemment énerver) 


Moi : (le regardant vraiment énerver) si tu m’as épousé juste pour cela on peut toujours divorcer. Et aussi sache que mon passé reste mon passé et donc une partie de ma vie. Je n’en suis pas fier, mais j’ai mes raisons et une personne qui sortira vraiment de moi quand je le voudrai m’aimera et l’accepteras car je serai à ce moment-là une mère irréprochable. (Voix tremblante)  Libère mon passage je vais me doucher 


Lui : Yedmi, désolé je n’ai pas voulu dire cela, ne le prends pas ainsi.  (Voulant attraper ma main) 


Je partis donc m’enfermer dans la douche, et là mes larmes coulèrent. Je n’en croyais pas mes oreilles ? Marc a osez me parler ainsi ?  Revenir sur mon passé, pourtant il avait dit que ça lui importait peu, même pas même d’ailleurs, et aujourd’hui à cause d’un bébé, que je ne suis pas encore prête à faire, il me parle de cela. Je supporte sa mère et ces paroles dures et lui aussi en rajoute. J’essuyais rapidement mes larmes, et je me douchais. Je ne devais pas pleurer pour un homme même si c’est mon mari. 


Je finis ma douche et je m’habillais,  puis je partis me coucher.  Il mit sa main sur moi et se rapprocha de moi. Moi qui croyais qu’il dormait déjà. 


Lui : je suis désolé mon amour, vraiment navrée (me parlant avec une petite voix) 


Moi : humhum (voulant lui dire que j’ai compris) 


Il commença à me caresser et me faire des bisous partout. Il enleva même ma robe et commença à sucer avec lenteur et habileté le bout de chacun de mes seins. Il voulut aller plus bas et là je le stoppais 


Moi : désolé mais pas ce soir


Lui : (se recouchant près de mo) je comprends désolé


Je le laissais donc sur sa faim et commença à forcer un sommeil. 


VERS 3H DU MATIN 


Je fus réveillé par la sonnerie de mon téléphone 


Moi : (décrochant ensommeiller) Quoi…..ok calme toi ……j’arrive. 


Je partis donc me brosser et arranger un peu ma tête puis je sortis et changea ma tenue. Je m’apprêtais à sortir lorsque Marc se leva 


Lui : ou vas-tu à cette heure ? 


Moi : régler une affaire urgente. (Prenant mon sac) 


Lui : à cette heure ? Non je t’accompagne (voulant se lever) 


Moi : non, non. Je reviens tout à l’heure. (Autoritaire) 


Je sortis rapidement et je partis prendre mon médecin que j’avais appelé, ma chance il était de garde. On partit donc ensemble à l’hôtel trouver Lydia. 


Moi : (m’adressant au réceptionniste) pourrais-je connaitre la chambre de M.Kouamé ? 


Lui : euh désolé madame mais on ne peut le faire, il y’a un règlement ici 


Moi : (souriant) ok, écoutez-moi bien. Charles (lisant le nom marquer sur son costume) c’est bien cela non Charles. (Il acquiesça)  Une personne apparemment asthmatique a fait un malaise (parlant doucement) sous les jeux de reins de ma copine là-haut. Donc vu que ce genre de choses ne sont ni bonnes pour votre hôtel, et aussi pour vous qui êtes de service, vous allez prendre cet argent (lui donnant une enveloppe) et nous laissons monter moi et mon médecin ici présents. (Lui montrant le médecin du regard)  Ensuite vous nous ferez sortir en douce avec l’asthmatique là-haut et on fera tous comme si on ne sait jamais vu. D’accord ? (avec audace) 


Lui : ok d’accord 


*******


Elle : vraiment merci Yedmi, je ne savais quoi faire ? 


Moi : ce n’est rien mais fais plus gaffe la prochaine fois. Et en plus pourquoi un hôtel, n’a-t-il pas une maison privée ou un autre lieu ? 


Elle : désolé actuellement je suis un peu perturbée (mine triste) 


Moi : je suis là si tu as besoin de moi. Je serai toujours là mais Lydia comprends que je suis maintenant marié, certes mon homme est compréhensif mais je ne peux déserter ma maison comme ça chaque nuit. Ok ? (sérieuse) 


Elle : oui je comprends, merci beaucoup 


Moi : (l’embrassant) prend bien soin de toi. 


MARC


Je l’entendis rentrer vers les 4h du matin. 


Moi : c’est maintenant que tu rentres ? (la regardant) 


Elle : oh tu ne dort pas (déposant son sac) 


Moi : tu veux que je dorme en sachant que ma femme est sortie tard sans me dire ou elle va et en plus toute seule 


Elle : (comme si de rien n’était) hum, j’avais une urgence je te l’ai dit. Mais je suis là maintenant tu peux te rendormir. 


Moi : tu étais ou Yedmila ? (énerver) 


Elle : (me faisant signe de baisser d’un ton) je te l’ai dit, je réglais juste une urgence mais je suis là 


Moi : à 3h du matin, toute seule ? Quel genre d’urgence ? (mon cœur était vraiment chaud) 


Elle : attend c’est un interrogatoire ou quoi ? (se retournant et me fixant) 


Moi : non, mais tu es ma femme


Elle : (s’approchant) certes, mais avant tout je suis, reste et comptes rester une femme libre et indépendante. J’ai des affaires à régler et je ne sais pas parler de tout cela, donc ça fera  bizarre si chaque fois que je fais quelque part pour une urgence (avec audace) tu me questionne. Je ne suis pas habituer aux interrogatoires, encore moins quand toi et ta famille me mettez hors de moi et que je prends sur moi.  


Moi : Yedmila je veux juste savoir, c’est tout ce que je veux. (Ne la comprenant pas) 


Elle : (se retournant) il n’y a rien d’autre a savoir, je suis là et je vais bien. Je viens de régler une urgence pas du tout plaisante alors j’ai besoin d’une bonne douche et de venir me recoucher. Demain est une longue journée pour moi alors c’est possible ? 


Moi : oui (mécontent) 


Elle : merci (partant sans me regarder) 


Je me recouchais le cœur gros, mais décidait de me calmer. J’aurais tout cru sauf cela. Je pris mon téléphone et regardais une dernière fois mon portable et relus le message qu’un numéro inconnu m’avait envoyé, il y’a peu, avec une photo de Yedmila habiller de la même manière et rentrant dans un hôtel. 

Je suis déçu qu’elle m’ai fait ça, j’ai été certes un peu dur ce soir, mais ça mérite qu’elle parte me tromper avec je ne sais qui ? 


TU AS AIMER ALORS NE TE GENE PAS DU TOUT AIME COMMENTE ET TAGUE DES AMIS AMOUREUX DE LECTURE COMME TOI……MERCI ET  BONNE SOIREE BISOUS !!!

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