Page 21: *Aucune Tâches!

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MA DECISION FINALE : Page 21


Aucune Tâches…


SAMUEL 


On a fini de courir et je suis allé sous la douche pendant que madame faisait sa vaisselle. J’ai insisté pour qu’elle laisse car normalement j’ai une femme de ménage que je ne vois presque jamais mais qui vient pour faire cela.  Elle vient de 10H à 15H, des heures que j’ai choisies pour ne pas avoir à la croiser, car je risque de  toujours interférer dans son travail. 


Elle : j’ai fini 


Moi : tu viens ? 


Elle : sous la douche ? 


Moi : oui j’y suis 


Elle : et tu veux que je vienne ? 


Moi : (souriant)  aurait tu peur te réveiller un truc ? 


Elle : (automatiquement) je n’ai pas dit cela 


Moi : sinon que seul ta voix ou ta présence le réveille donc tu peux venir 


Elle : je vais faire un peu de rangements 


Moi : (coupant la pompe) Non 


Elle : pourquoi ? 


Moi : (sortant de la douche) parce que je ne veux pas. On passe le week-end ensemble et dans peu j’irais te déposer car demain est déjà lundi, donc on reste ensemble à faire des trucs 


Elle : (voix douce)  mais je peux ranger juste un peu 


Moi : (ferme) Célina c’est le cœur gros que je t’ai laissé faire la vaisselle, et j’ai eu encore mal quand tu m’as dit que tu voulais le faire sans mon aide. Pour ne pas te montrer ma peine je suis venu me douchée et tu parles encore de ménage.  


Elle : (doucement) désolé. Je vois tu es tellement perfectionniste que tu voulais voir si je le faisais correctement. 


Moi : (sourire en coin)  tu n’as rien compris mon amour, je ne veux pas que tu passes ton temps à faire de la vaisselle ou du ménage. Il y’a quelqu’un qui est payer pour cela et je peux aussi le faire mais pas toi. 


Elle : oh ! 


Moi : (tenant ces mains)  tes mains sont faites pour me caresser, me toucher, de mettre du vernis ou tes accessoires que tu veux. Mais pas, (remuant ma tête) pas du tout pour venir faire du ménage encore moins chez moi. Tu es ma Célina, et Célina même est le nom d’une grande marque alors non je n’accepte pas cela, c’est comme si je t’exploitais. Sinon crois moi j’adore ton ménage, et tu sais prendre soin d’une maison je n’en doute pas, j’en ai la preuve chez ta sœur, mais moi je te veux entièrement et même les ustensiles ou les meubles sont mes rivaux. (Serein) 


Elle : (émue) Sam 


Moi : je suis très sérieux.  (L’aidant à enlever son haut) Alors on ne fait rien tu vas te douchée et je ferai le lit et le reste du rangement en plus faut que tu te reposes tu n’es pas habituée à courir 


Elle : (riant) tu ne m’as même pas laisser le faire, tu m’as dit de marcher rapidement 


Moi : c’est ton premier jour donc on y va doucement 


Elle : tu es si gentil avec moi 


Moi : (l’embrassant) tu le mérite 


Elle : ok, j’y vais


Moi : fais vite car tu me manques déjà 


Elle : t’en fait pas en plus il n’y a pas de baignoire pour que je puisse y dormir (riant)


Moi : tu aimes bien les baignoires? 


Elle : oui mais bon ce n’est pas une obligation du moment que je me lave ça me va 


Moi : ok (la regardant) 


Elle partie se douchée et je changeai les draps, et fis le lit. 


Moi : (criant)  ton téléphone Mona 


Elle : (parlant fort aussi)  décroche et dis-lui que je me douche 


Moi : ok (décrochant) coucou Mona, comment vous allez ? ….elle se douche nous sommes allés courir ce matin….non je ne l’ai pas trop fatiguée….Ok bisous ! Je salut Richard 


Elle : (sortant) j’ai fini 


Moi : elle a raccrochée Célina 


Elle : elle va bien ? Que dis-t-elle ? 


Moi : qu’elle va bien et qu’elle ne veut pas que tu l’appelles car tous vont bien


Elle : (riant) vraiment ? 


Moi : (la soulevant) ben oui 


Elle : je vais grossir à cause de toi, regarde la facilité avec laquelle tu me soulèves. 


Moi : et même si tu prends plus de poids, je te fais la promesse dans cette chambre que je continuerai à te soulever même si ton poids augmente 


Elle : (riant)  beau parleur ! 


Moi : je te le promets 


Je posai un baiser assez sensuel et délicat sur ces belles lèvres et la déposa sur le lit. J’étais sur elle et continua à embrasser ces si belles et douces lèvres. En même temps j’enlevais sa serviette progressivement, je la dénouai et jouait avec le bout de ces seins. Je ne sais pour vous mais la simple respiration accentuée qu’à une femme lorsque tu la touche à l’endroit qu’elle veut est si réconfortante qu’elle ne peut que te donnée envie de continuer. Une simple serviette me séparait du corps de celle que je voulais et désirais donc je n’avais qu’à la retirer et tout était là, sa belle poitrine, sa belle peau si douce et lisse, son ventre bien plat qui dessinait une belle forme. Des hanches et des cuisses biens mises que je ne cessais de caresser et son sexe si bien dessiné, bien placé entre deux belles cuisses. J’écartais donc les cuisses et commençai à toucher simplement son sexe. Tout simplement sans y entrer je restais juste sur la devanture et je le touchais simplement. 


Elle : (essayant de retenir son gémissement) hum


Le toucher était agréable mais pas plus agréable que le plaisir que je lui procurais, cette respiration ainsi que ce soupir me motivait à ouvrir le sexe et toucher les grandes lèvres les tenir puis commencer à les caresser plus fortement les unes que les autres et descendre ma bouche vers ces côtes, son ventre, son bas ventre, son pubis qui était assez lisse ce qui prouvait qu’il avait été épiler il y’a peu et enfin embrasser son sexe et bien l’ouvrir afin d’y plonger toute ma langue et de mon doigt continuer à caresser les autres lèvres. 


Elle : (me suppliant)  Sam tu vas me faire hurler…..


Je continuais à la lécher jusqu’à ce que je dis bien à ce que ces pieds se retrouvent sur mes épaules et que je sente que le drap sur lequel nous étions était en train d’être sérieusement tirer. Je devais arrêter car ces gémissements me suppliait de lui laisser un peu de temps, elle respirait vraiment très fort. Mais non elle devait me prouver qu’elle était comblée  et je devais en être rassurée avec une preuve, donc j’introduis 1 doigt en elle et puis deux en faisant des va et viens et continuant à la lécher. 

 

Elle : (mettant sa main sur ma tête)  haaaa


Je continuai mon affaire et Célina enleva son pied sur mon épaule et le déposa rapidement sur le lit mais en le pliant, elle se tordait, je le sentais car elle bougeait assez, et je remontai ma bouche, ma bouche seulement car quant à mes doigts ils continuaient en elle, je remontai et la tenais fermement puis elle jouit, j’avais ma preuve. 


Elle : (essoufflée) ohh 


Moi : (la caressant) tu es trop adorable lorsque tu as un orgasme 


Elle : hum (cachant son, visage) 


Moi : (embrassant son front) tu n’as même pas à avoir honte 


Elle : (souriant mais la gêne était toujours là)  hum 


Moi : je vais boire de l’eau


Elle : (ahurit) mais et toi ? 


Moi : je devais te faire plaisir et donc je l’ai fait. 


Elle : oui mais ? 


Moi : (embrassant son front)  t’en fais pas pour moi, en plus je ne pense pas que tu es déjà repris de la force. (Souriant)  Je reviens 


Je partis boire de l’eau, un grand verre d’eau pour me détendre. Je ne voulais pas couchée avec elle car ce cunnilingus l’avait épuisée et aussi car je ne voulais pas qu’elle pense que chaque fois que je lui ferai plaisir elle doit même si elle n’a plus envie se donner à moi, non il est mieux partagée le plaisir je le sais mais c’est mieux quand personne n’y est contraint. 


J’ouvris la porte avec le sourire lorsque je vis que madame dormait à point fermés, elle était vraiment épuisée. Je la couvris bien et m’assis sur le lit et l’admirais, Célianthe cette femme a un truc exceptionnel, j’ignore ce que demain sera pour nous mais je veux passer presque toutes les minutes de mon temps à lui prouver que je l’aime. 


*****


Elle se frotta les yeux encore un peu et les ouvrit


Moi : (la regardant) tu vas mal ? 


Elle : (frottant encore ces yeux) j’ai mal dormie je pense 


Moi : (l’attirant à moi) vient


Elle se coucha à moitié, sur mon torse. 


Moi : monte bien 


Elle : non 


Moi : (la fixant)  Célina…


Elle  monta et je caressais ces cheveux. 


Moi : (la caressant) tu veux en parler ? 


Elle : (petite voix)  je ne m’en rappel même pas 


Moi : (continuant mes caresses) pas grave, je suis là. Ce n’est rien 


Elle : merci 


On resta ainsi près de cinq minutes sans broncher, elle se colla même plus à moi. Et moi je continuais à la caresser. 


Elle : (me regardant)  je crois que je commence à avoir faim. 


Moi : ok tu veux que je te fasse un truc à manger ? 


Elle : non 


Moi : alors on commande ? 


Elle : (soutenant mon regard)  je veux que l’on parte manger ensemble dans un beau cadre 


Moi : ah bon ? 


Elle : oui


On s’apprêta et on partit donc bien se restaurer dans un bel endroit vers Bingerville. Même si avant cela on a dû aller dans un magasin afin de prendre deux autres tenues à Céli qui avait courue dans celle du matin.  Lorsque l’on eut finit on passa le reste de l’après midi à visiter la commune et découvrir certains beaux endroits que l’on promit de revenir revisiter un autre jour et même y passer la journée. On tira même des photos pour les envoyer à Mona. 


En début de soirée on prit la route, nous devions rentrés. C’est avec le cœur lourd que je conduisis jusqu’à chez moi, elle alla toute silencieuse dans la chambre, prendre ces affaires et revenir me trouver au salon. 


Moi : (baissant la tête)  tu vas atrocement me manquer 


Elle : (acquiesçant) toi aussi mais demain est lundi 


Moi : oui, on y va (prenant son sac) 


Elle : je peux le prendre 


Moi : (autoritaire) non je ne veux pas 


Elle : ok 


Elle  partit vers la porte et je m’apprêtais à la suivre lorsqu’elle s’arrêta en ouvrant le poignet. 


Moi : (déposant son sac) tu vas mal ?


Elle vient se jeter dans mes bras et me serrer très fort 


Elle : tu ne mérite pas que je parte ce soir, j’irai demain 


Je l’embrassai et la remerciait car je m’étais trop habituée à elle. Et ce vide je le sentais déjà rien qu’en y pensant. 


Moi : merci


Elle : merci à toi, je vais joindre Mona et richard pour les prévenir 

C’est à ce moment que le la libéra de mes bras. 


Moi : ok je vais donc prendre ma douche 


Elle : ok 


Moi : Célina ? 


Elle : oui


Moi : ne touches à rien


Elle : (riant) ok 


C’est tout heureux que je partie prendre ma douche. Je ne voulais vraiment pas qu’elle rentre et si ça ne tenait qu’à moi on pourrait même vivre ensemble. Mais bon tout dépendra d’elle, tout se fera en son temps sans même que je ne la brusque, je ne veux la forcer en rien, tout viendra naturellement.


Elle : ils te passent le bonsoir 


Moi : (sortant) ils vont bien ? 


Elle : (souriant)  oui ça va 


Moi : ok Dieu merci 


Elle : je vais sous la douche 


Moi : ok 


Nous étions blottis l’un contre l’autre à regarder un film sur la télé. Le film qu’elle voulait tant regarder avec moi ‘’Cinquantes Nuances de Grey’’. J’avais fait des popcorns et on regardait ensemble la télé, elle appréciait le film, moi je l’avais déjà revue mais ça me faisait toujours plaisir de le revoir. 


Elle : (lorsque le film pris fin) mes mains ne doivent rien faire d’autre ? 


Moi : (sérieux)  même pas donc tu me laisses débarrasser 


Elle : ok, dis-moi je peux savoir ? 


Moi : oui quoi ? 


Elle : (tournant la tête) humm 


Moi : sois naturelle, dis moi tout


Elle : au fait je suis si incompétente que cela ? (baissant la tête)  Vu que tu je m’endors après avoir été satisfaite et qu’on ne fait plus rien ensuite. 


Moi : (soulevant sa tête) ce n’est pas cela, je veux souvent juste te découvrir, comment te faire plaisir et ou le faire ainsi que quand le faire, je ne veux pas te brusquée ni même que tu te sentes redevable à moi juste parce que je t’ai fait plaisir. Non, sache que je suis sortie avec assez qui se disaient expérimentées mais personne n’a jamais franchie ici à plus forte raison y dormir. (Me rapprochant)  Toi et moi c’est spéciale


Elle : (me regardant) je compte assez à tes yeux alors ? 


Moi : (caressant son visage) tu n’as même pas idée


Elle : merci….Sam ? 


Moi : oui 


Elle : mais mes mains peuvent tenir ça ?  (Ces mains avait déjà tenu ferment même mon membre) 


Moi : (surpris) …


Elle : (le maintenant plus fermement)  ou alors mais mains sont trop fragiles pour l’attraper ou tu le vois comme ton rival ? 


Moi : (parlant assez lentement pour ne pas gémir et non lui répondre)  il ne peut être mon rival et aussi tes mains le tiennent assez bien 


Elle : car même si mais mains n’arrivaient à le tenir (descendant sa bouche vers lui) celle-là pourra m’aider (se l’enfonçant dans la bouche) 


Moi : (mettant ma main sur ces cheveux)  Oh Célina !!!!


CELIANTHE 


Je suis debout et me regardes dans le miroir, c’est vraiment moi qui est fait cette fellation hier ? C’est vraiment moi qui est fait jouir un homme comme Sam avec ma bouche et mes doigts ?

 C’est moi qui ai été soulevée et envoyer ici dans la chambre, puis prise sur cette chaise après qu’il est enfilé le préservatif.  C’est vraiment moi ? Seigneur que suis-je devenue ? (sourire) Sam est vraiment un vrai mec, qui peut faire braver assez d’interdits. 


Je vais sous la douche et me mets derrière lui. 


Moi : (contre son dos) alors cette nuit ? 


Lui : (se retournant) Célina (m’embrassant) bien dormie ? 


Moi : oui, (caressant son torse) douche ensemble ? 


Lui : (sortant) attends 


Moi : (le regardant) mais ou vas-tu ? 


Lui : (parlant fort)  ce corps nu prêt de moi mérite un préservatif bien parfumé à côté aussi 


Moi : (riant) c’est ça !

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