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MA DECISION FINALE : Page 29


*Discussions !


CELIANTHE 


Me revoilà donc chez Mona avec Cheick-Mohamed Bamba, ce nom lui a été donné par son père le jour du baptême mais moi à la maison je l’appelle toujours Samy. Je ne sais trop pourquoi mais même si l’enfant de Yaya chose dont je suis sure à cent pourcent, je sens en lui un peu de mon Sam. 


Sam ne se cachait donc pas de moi il est vraiment partit pour de bon il m’a quitté et n’a plus regarder derrière, apparemment il est en France ou il a eu une superbe opportunité professionnelle, mais bon je n’ai pas son numéro et je n’ai rien d’autre comme nouvelles de lui. 


On me dit il va bien et t’a pardonner mais bon, il a été même l’un des premiers qui m’a envoyer des habits pour le bébé par le biais de Anita qui m’a assurer que tout était déjà chez lui et qu’il lui a juste dit ou le prendre et me l’envoyer lorsqu’il a su que j’avais accouchée. 


Mon bébé est ma raison de vivre, mon amour, celui-là même qui a fait que l’étiquette de stérile est quitté sur moi et aussi celui qui a pu sauver Yaya, qui se reprends bien, travailles assez pour remettre son entreprise sur pieds, prends toujours son traitement de ventre et est un bon père et bon mari. 


Mais tous ces efforts me concernant sont vains, vains car aujourd’hui je ne l’aime plus, et ne le supporte même plus, il fait tout et se donne assez d’efforts mais c’est aussi dur pour moi, c’est vraiment dur, j’essaye mais je n’aime plus Yaya, je ne peux dire que j’aimais son état de déprime mais je le préférais ainsi car je n’avais pas à trop faire semblant comme je le fais actuellement. 


Elle : tu as de la visite tantie ? 


Moi : d’accord, fais entrer la personne


La personne entra 


Moi : Anita ? 


Elle : (souriant)  bonjour Célianthe, comment ça va ? 


Moi : (ahurie)  bien et toi ? 


Elle : ça va et le bébé ? 


Moi : il dort, merci 


Elle : ok encore félicitations et je t’ai apporté cela, c’est mon cadeau pour l’enfant c’est vrai que je t’en ai voulue mais bon l’enfant est né, (marquant une pause)  M. aussi est partit et je ne vois pas pourquoi garder de la rancune contre toi 


Moi : (voyant qu’elle avait apporté assez de choses) merci bien, c’est gentil et sache que je ne t’en veux pas et est compris ta réaction 


Elle : d’accord, il y’a aussi un cadeau dehors pour toi et le bébé, c’est M. qui m’a commissionner et encore une fois j’ai juste pris le présent et te l’ai apporté. 


Moi : (la regardant)  Anita ? 


Elle : (soutenant mon regard)  oui 


Moi : il va bien ? 


Elle : apparemment oui, (triste)  je pense 


Moi : (automatiquement)  il revient quand ? 


Elle : je ne t’en veut plus et ne veux pas de mentir, il m’a dit qu’il ne veut pas revenir pour le moment s’il m’avait donner un numéro ou le joindre, promis tu l’aurais eu en même temps mais c’est sur ce mail professionnel que nous parlons et  lorsqu’il se connecte c’est pour me donner des directives et c’est tout. Lorsque moi-même je lui écris il met un long moment avant de me répondre. Je te l’envoi par message si tu veux 


Moi : (cœur lourd) je l’aime vraiment (levant les yeux au ciel) si je peux juste lui parler 


Elle : Célianthe je suis désolé, j’ai vraiment aussi mal pour toi mais je n’en sais pas plus (venant vers moi) je ferai tout pour savoir plus 


Moi : (touchée)  merci 


Mona : (entrant avec son bébé et mon homo) tiens mais qui a garé ce bolide énorme devant ma porte ? Anita ? 


Elles se connues lorsqu’ Anita est venue me remettre le présent de la part de Sam. Mona donna le bébé à sa fille de ménage qui alla le faire coucher et mon homo nous embrassa et partit faire pipi selon elle. 


Moi : bonne arrivée 


Anita : c’est le cadeau de M. pour Célianthe et en plus il a dit que tu ne devais pas refuser car une mère doit toujours avoir une voiture, les papiers sont à l’intérieur. Je dois filer, prends soin de vous, bye Mona, (l’embrassant) 


Moi : (ahurie)  au revoir 


Mona : viens voir la voiture 


Je sortis et constata la voiture devant la porte. C’était une belle sentafe noir, bien belle, avec tous les équipements nécessaires. Je restais sans voix. 


Mona : on dira à Yaya que c’est une surprise de nous tous et lorsqu’on a su que tu étais séparer de lui on cotisait pour que tu es une voiture vu qu’on avait su que tu étais enceinte. Moi, Leila, son mari et Richard. 


Moi : (regardant Mona) je ne veux pas de voiture, c’est de Sam dont j’ai besoin 


Mona : Céli….


Moi : Mona, je ne supporte même plus que Yaya me touche, (fermant les yeux)  je ne supporte plus du tout cela, c’est un bon père et un bon mari mais le seul que je veuille actuellement c’est Sam, je te jure 


Mona : (me réconfortant)  écoute moi ma sœur, on va continuer à espérer qu’il rentre en contact soit avec moi ou Richard et on fera tout pour établir le contact entre vous,  mais pour le moment profite de l’enfant. 


Moi : (triste)  tu avais raison, j’ai été idiote 


Mona : (me consolant) je suis là, ne pleures pas 


******


Moi : (prenant l’enfant de ces bras) il dort 


Je le fis couchée et Yaya se tira. 


Moi : je parie que dès que tu rentres tu te couches 


Lui : oui, je préfère venir ici passé le temps plutôt que de rester seul à la maison, vous me manquez tant 


Moi : (faux sourire)  tu nous reverras bientôt, mais il se fait tard rentre


Lui : ok je t’aime, (m’embrassant par surprise) j’apporterai le reste des courses demain 


Moi : c’est déjà assez même ce que tu as fait 


Lui : (souriant)  oui mais on ne sait jamais 


On sortit de la chambre, il salua les autres puis il partit. C’était comme cela tous les jours. Il venait les matins, souvent les aprèm et passai toute la soirée ici comme aujourd’hui il ne s’en allait qu’après avoir fait dormir le petit. Quelle femme ne rêverait pas d’un homme comme ça ? Mais moi toute ma tête et toute mon idée sont sur un autre qui est à des milliers de kilomètres de moi. 


Je retournais en chambre pour prier et dormir. 


Moi : (allant boire de l’eau)  bonjour Richard tu es le seul debout ? 


Lui : (souriant)  oui le reste dort


Moi : (riant) ok 


Lui : Céli ton congé ici finit quand ? 


Moi : (m’asseyant dans le divan)  dans deux semaines


Lui : ok 


Moi : (le taquinant) tu veux déjà nous chasser ? 


Lui : (riant) si cela ne tenait qu’à moi tu resterais ici toute ta vie, non pas seulement parce que je t’aime mais parce que je vois que tu n’es plus heureuse avec Yaya, tu joues et cela se voit par certaines personnes. Même au baptême de ton propre enfant, tu étais très timide. (Me fixant)  Il te manque Céli et nous tous le constatons maintenant et je suis navrée de ne pouvoir t’aider. Tu es si gentille et si bien que je me dis que je dois t’aider mais comment, je ne sais ou le retrouver 


Moi : (timidement)  il m’a offert une voiture, merci d’avoir menti pour moi. 


Lui : je ferais plus pour toi Céli


Moi : je ne sais même pas ou il est précisément, j’ai son mail professionnel  ou il se connecte très rarement mais dois-je lui écrire dessus ? Je ne sais pas 


Lui : que veux-tu ? 


Moi : (le regardant) parler avec lui, le revoir. Etre avec  lui 


Lui : mais Cheick est encore petit, si tu le sèvres promis je t’offre tous les billets possibles afin que tu le retrouve mais et Yaya ? 


Moi : à vrai dire je ne sais pas, mais je veux penser juste à lui et moi pour l’instant ainsi que Cheick bien sûr mais pas à quelqu’un d’autre 


Lui : pourtant on doit éviter les même erreurs, réfléchis bien et prends ta décision je te promets que je te soutiendrai 


Moi : (émue) merci Richard 


Les jours passaient et je redoutais mon retour chez Yaya, je ne voulais pas y retourner mais comment faire, j’avais déjà inventé un mal qui avait fait qu’au lieu de 4 mois nous passions plus de 6 mois ici et là il faut que l’on retourne, car Yaya même vit presqu’ici. Je dois me résigner à cela Samuel m’a oublier et ne veux plus que je fasse partie de sa vie. 


Je regagnais le salon avec Cédric en mains vu qu’il était réveillé et que son cousin dormait avec mon homo qui les surprotège. Sourire. Et je vis Leila et Cathie avec Mona au salon. 


Moi : (souriant)  bonsoir 


Mona : (ahurit)  il est déjà réveiller ? 


Moi : oui 


Cathie : (le prenant) fallait réveiller Cheick non ? Cava Céli ? 


Moi : oui et Luc ? 


C : il te passe le bonsoir 


L : tu retournes bientôt, nous sommes donc venus passer l’aprèm avec toi 


Moi : c’est gentil 


On passa donc l’après-midi à parler de nos vies après les enfants, je peux parler aussi maintenant  vu que j’ai aussi un bébé à moi. Cathie et moi ne sommes pas grandes amies mais depuis l’histoire elle n’a pas pris parti et reste courtoise avec moi et elle aussi ne sait rien, je ne vais même pas demander c’est mieux. Apres quelques heures de rires, Cathie prit la route car elle devait faire des courses. 


Je partis aussi me changer vu que Cédric avait vomit sur moi. Je me regardais dans le miroir et me demandait comment cela serait lorsque je retournerais chez Yaya, je n’arrive pas à faire semblant, je ne l’aime vraiment plus, et ne veux pas qu’il me touche. Mais mon congé de maternités est fini maintenant ce qui veut dire que je dois être entièrement disponible pour lui, comment je vais gérer cela ? Je ne veux pas encore aller faire des histoires avec lui pour cela….


Elle : (frappant)  je pars Célianthe, mais pourquoi tu es si triste ? 


Moi : (la regardant)  je peux te demander un service ? 


Elle : (entrant et fermant la porte) oui tout ce que tu veux


Moi : ta cousine là, Soua,  tu ne peux lui demander si elle sait ou est Samuel ? 


Elle : (choquée) Céli


Moi : (la suppliant du regard)  je t’en supplie 


Elle : mais et Yaya ? 


Moi : Leila, la seule personne que j’aime est Sam et je veux juste lui parler et le voir. Avec Yaya, il n’y a plus d’amour j’en suis sure je ne l’aime plus et je ne veux continuer ainsi 


Elle : (triste)  je suis désolée 


Moi : ce n’est pas ta faute 


Elle : je le ferai pour toi 


Moi : (l’embrasant) merci. 


******


Je retournais chez moi avec Yaya et son fils qui avait pris des kilos et devenais de plus en plus grand. Maï se jeta à mon coup et pris Cheick. On passa notre soirée à faire un peu de rangements même si Maï avait déjà tout bien arrangé. On mangea et on passa un  bon moment Yaya était heureux. 


Je partis ensuite dans la chambre faire coucher ce le bébé,  et retourna dans la mienne.  Et je vis qu’elle avait changé, elle était décorer et à terre il y avait des pétales et des bougies parfumées, je vis Yaya qui me souriait. 


Moi : (avançant) mais…


Il m’embrassa et me jeta sur le lit, je voulais essayer de me laisser faire. Penser que  à Sam et le laisser faire mais je n’y arrivais pas, il enleva son habit et enleva aussi mon habit, me caressa, m’embrassa en me disant des mots comme « je t’aime, tu me manques, tu es si sexy. » Je fermai mes yeux et essaya de me laisser faire par pitié puis j’avais l’impression de revoir Sam en fermant les yeux et en les ouvrant Yaya. Ça devenait assez bizarre. Je ne voulais pas le frustrer et continuai d’essayer de me laisser faire mais lorsqu’il voulut s’introduire en moi, je ressentis un truc étrange et me releva. 


Moi : (le stoppant) Yaya, je t’en prie non, (me dégageant) 


Lui : (apeurée par ma réaction)  J’ai fait un truc ? Je t’ai fait mal ? 


Moi : (voix tremblante)  non, tu es bien et parfait. Mais c’est moi. Je suis désolé c’est moi, j’ai un blocage (touchant ma tête)  je ne suis pas encore prête, pas du tout. Je suis désole tu fais tout mais actuellement je ne peux pas je suis désolé.  


Lui : (me caressant les cheveux) Céli


Moi : (le suppliant et coulant des larmes)  je t’en prie pardonne-moi 


Lui : ne t’en fais pas. (Me faisant couchée sur sa poitrine et continuant à me caresser) Je comprends ça peut arriver des fois, je vais t’aider à surmonter cela on ira à ton rythme sois rassurée. (Me faisant une bise)  On va y arrivée


 Avec Yaya, ça allait plus au moins. Il ne se fâchait plus trop et il comprenait que j’étais encore un peu bloqué dans ma tête. Mais jusqu’à quand je l’ignore. Les mois passaient et Samy grandissait bien, il était à nous deux notre joie de vivre, mais lorsque j’étais seule je souffrais. Le chagrin de Yaya avec qui j’étais marié et qui m’avait poignardé dans le dos ne m’avait pas fait tant mal. Mais celui de la personne que moi-même j’ai laissé me traumatisait ainsi. Je ne souhaite le chagrin à personne, encore moins quand la personne est loin de toi. 


« Moi : (décrochant)  allô Leila 


Elle : ça va Céli ? 


Moi : oui et toi ? 


Elle : ça va, (raclant sa gorge)  ma cousine dit qu’elle a rencontré Sam avec son fils récemment et qu’il travaille en France ou il est en collaboration avec un grand gars de la télé française, et ensemble ils font des talks shows. Elle n’a pas pu l’approcher et n’a pas son numéro, je suis désolé 


Moi : (triste) ok merci bien 


Elle : vraiment navrée, mais je lui ai dit de me tenir informée. 


Moi : c’est gentil merci 


Elle : soit forte 


Moi : ok d’accord »


Click ! 


Bon au moins il va bien. Je n’ai même pas le numéro d’un membre de sa famille et je suis sure qu’eux tous même me détestent à l’heure actuelle. Si au moins j’avais le contact de son fils ou autre. 


Maï : (criant)  tantie, viens. Tantie Mona est venue avec les enfants 


Moi : (souriant)  j’arrive


Je sortais de la chambre et tomba sur mon homo qui venait à ma rencontre. 


Elle : (toute heureuse)  tata, tata


Moi : (la soulevant) ça va ma chérie…..


Je jouais avec mon fils en ce vendredi soir, c’est fou comme le temps passe si vite, il aura dans quelques moi 1 an, on a fêté celui de son cousin il y’a quelques temps. Il grandi bien mon fils avec assez d’amour de partout. Yaya et moi c’est un peu bizarre encore je fais encore souvent me réfugier chez Mona, il fait tout mais mon cœur et mon corps se refusent de l’aimer. J’ai mal pour lui mais que faire ? L’affaire Sam j’ai laissé tomber, j’ai peur d’aller le retrouver en France car c’est sûr qu’il y est maintenant, et qu’il ne veuille pas me voir, vu qu’il n’a jamais répondu à mes mails. 


Mon portable sonne. 


Moi : Maï, viens rester avec Cheick je vais en chambre (mon portable y étais) 


Elle : d’accord tantie (le prenant) Cheicko


Moi : allô Anita ? 


Elle : il est là 


Mon cœur fit un boom. Je m’assis pour éviter de tomber. Je respirais un grand coup. 


Elle : il est chez lui en ce moment et a toujours son même numéro de téléphone fixe. Célianthe ? 


Moi : (me reprenant)  oui 


Elle : bonne chance ! Je compte sur toi, il ne dure pas donc fonce et récupère-le 


Moi : merci 

Click ! 


Je me levai et m’habilla rapidement pour y aller, puis j’eus une idée de l’appeler d’abord.  On ne sait jamais peut-être qu’il n’est pas à la maison, promis dès que j’entends sa voix je raccroche et vais le retrouver. Les mains tremblantes je composai le numéro 


« Elle : allô ? 


Moi : (regardant le numéro) oui bonjour, pourrais-je avoir M. Samuel bilé s’il vous plait ? 


Elle : gardez la ligne je vous prie, (criant)  chéri téléphone pour toi


Lui : je suis là chérie qui est-ce ? 


Sa voix, oui c’était bien lui, il était vraiment là. J’eus chaud tout d’un coup, mais qui était cette femme, ils se sont même appeler chérie…. et moi je voulais y aller comme ça. Chérie ? 


Elle : (reprenant)  une femme, je ne sais pas qui


Lui : allô, allô ? 


Je ne répondis pas. Qu’allais-je dire même d’ailleurs ? 


Lui : tu es sur que la personne n’a pas raccroché ? 


Elle : non je lui ai dit de garder l’écoute


Lui : elle a dû couper, bon allons-nous changer. »


Click !


Mon Dieu, Sam avait une autre femme ! Un autre chérie, qui allait dans son appartement et décrochait même son téléphone ? Pourquoi ? Oui ça fait presqu’un an mais….Non, pas ça ! Non ! Mes larmes coulaient toute seules. 


Lui : (souriant)  salut chérie, Célianthe tu pleures ? (s’approchant) Mon amour tu vas mal ? 


Moi : (le regardant)  Yaya assieds-toi nous devons parler.


FIN!!


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