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Write by Mabanabook

SON PARDON : page 33


 

EDWIN 


Elle : (m’ouvrant la porte) wahoo, tout ceci ? 


Moi : (souriant)  oui ma mère ne fait rien à moitié, (parlant de Yedmila)  elle est là ? 


Elle : oui, oui. Mais elle n’a pas bonne mine. J’espère que les cadeaux de ta mère lui ferons oublier cet épisode d’hier là. 


Moi : vous l’avez laissé regarder l’émission. J’ai vu matin des titres pas très bon sur les journaux. Cet homme lui en veut vraiment, c’est à se demander si c’est juste pour venger son père et sa maitresse. 


Elle : je suis déçue de lui 


Moi : elle est chambre ? 


Elle : oui viens, papa est allé à l’église. 


On partit alors vers sa chambre. 


Elle : (frappant) Yedmi, tu as de la visite. Oh on sonne je reviens 


Moi : (entrant) je peux ? 


Elle : oui Edwin, vas-y rentre (forçant un sourire) 


Moi : hum tu n’as pas une bonne mine là. On doit aller tout à l’heure au tribunal tu le sais ? 


Elle : oui, t’en fait pas ça ira. 


Moi : tu sais, tu dois être forte. L’ennemi passe toujours par des personnes qui nous sont chers pour nous faire du mal. Ne te laisse point abattre, pense à ta victoire, pense à la honte que tes ennemis auront et pense aux personnes avec qui tu mérites d’être en joie, ton papa, Sophie, Kylian, Angie. Des personnes qui croient en toi et te soutiennent


Elle : ainsi que toi (mettant sa main sur la tienne) merci beaucoup. Mon mari me déteste tellement que je demande s’il pourra un jour aimer son enfant ? Quelle idiote, il ne pense même pas qu’il est de lui. 


Moi : tout ira bien, la vérité viendra tu verras 


Elle : quand je me regarde enceinte, j’ai mal que Yasmina n’ai pas pu connaitre cette joie, même si elle portait l’enfant de mon mari je trouve que c’est une joie que toute femme doit connaitre, portez un autre être en soi


Moi : je ne veux pas paraitre sans cœur. Mais si elle vivait et que seul ton beau père était mort, crois-moi on ne serai pas ici. Tu n’aurais même pas eu de liberté provisoire, tu allais être envoyé dans un lieu inconnu ou ils te feront vivre de telles atrocités et tu finiras par dire ce qu’ils voudront car c’est un grand homme qui s’est éteint. Alors ne nous réjouissons pas, mais laissons Dieu faire tout car il sait pourquoi il fait toutes choses. 


Elle : tu as raison 


Moi : allons je vais te montrer quelque chose  qui pourra te redonner le sourire 


Elle me suivi et on alla ensemble au  salon 


Elle : oh wahooo, tout ceci  pour moi ? (ahurie et souriant) 


Moi : (heureux) oui cadeau de madame ma mère


Elle : oh, elle est si gentille. C’est beaucoup 


Angie :  (lui envoyant un présent) regarde qui t’a envoyé ce nounours ? 


Elle : encore ta mère ? 


Moi : non, non 


Elle ouvra la carte et vit une photo et un mot 


Elle : (souriant) oh c’est Lydia, elle dit qu’elle arrive bientôt et me demande de bien prendre soin de son fiole. 


Moi : oh, c’est un beau nounours. Vous vous ressemblez 


Angie : oui 


Moi : (voyant qu’elle avait retrouvé sa bonne humeur)  bon, je vais vous devancez pour le tribunal. On s’y retrouve l’après-midi ? 


Elles : oui 


Moi : tache de garder le sourire, c’est bon pour une femme enceinte 


Elle : merci, je remercie ta mère pour tout 


Moi : ok 


********


Moi : votre honneur permettez-moi d’appeler à la barre Mlle Emilie Tan 


Lui : Mlle Emile Tan à la barre 


Elle jura de dire toute la vérité et mon interrogatoire débute 


Moi : Mlle Emilie vous étiez une bonne amie de Yasmina ? 


Elle : oui 


Moi : et vous avez témoigné contre Yedmila car vous la pensiez coupable ? 


Elle : c’est exact, mais je suis la aujourd’hui car je ne veux qu’une chose la vérité. Yasmina était plus qu’une amie, elle était une sœur même je dois dire. Et je trouve bizarre qu’elle m’est cacher sa grossesse. Elle voyait certes une personne mais je ne pense pas que ce soit Marc, car à bien y réfléchir, elle me l’aurait dit, elle cachait autre chose, ou une autre personne et je ne sais pas qui ni quoi. Mais pas Marc. Car Marc était un trophée que Yasmina aimait montrer à tous.  Donc si elle était revenue avec lui, je l’aurais su. 


Moi : vous êtes sûr ? 


Elle : je la connaissait  vraiment. (Sereine) 


Moi : merci Mlle, votre honneur je voudrais maintenant appelez à la barre M. Marc Tiachoh 


Lui : marc Tiacoh est demander à la barre 


Moi : M. Marc vous êtes l’époux de l’accusé ? 


Lui : oui 


Moi : pourrais-je savoir ou vous étiez le jour de l’assassinat ? 


Lui : j’étais au stade, je faisais du sport avec  d’autres amis joueur


Moi : et vous pensez que votre femme a pu être capable de tuer votre père et votre maitresse ? 


Lui : (détournant le regard) oui 


Moi : d’accord. J’ignore tout ce qui c’est passer entre vous et ça vous regarde. Mais je ne parle pas du fait que vous ayez senti à un moment qu’elle vous trompait ou qu’elle n’était pas la femme que vous pensiez être.  (Le fixant) Je parle de maintenant à ce moment précis, je ne veux pas que vous la regardiez aujourd’hui comme la femme que vous avez épousée, mais plus comme une femme. Regardez là et dites-nous si vous pensez vraiment que cette femme à été capable de tuer ces deux personnes.


Lui : je veux juste que la vérité soit dite  (baissant la tête) 


Avocat de l’accusation : objection votre honneur, il fait du chantage émotionnelle là ? 


Le juge : objection rejetée, continuez M. le substitut


Moi : merci votre honneur. M. Tiacoh  pour cette vérité nous avons besoin de votre version, Yedmila vous a peut-être fait mal dans votre vie commune, mais avant de l’épouser vous la connaissiez. Alors est-ce que selon vous Yedmila est capable de tuer deux personnes et t’appeler la police ensuite. De mentir sur cela à tous mais encore plus à vous on époux ? 


Lui : (la regardant) je ne sais plus rien venant d’elle. Moi je veux juste que la vérité se sache


Avocat de la défense : votre honneur objection, le substitut essaye ici de jouer sur les émotions de mon client encore marié à cette femme. 


Le juge : objection retenue. M. le substitut attention 


Moi : c’est compris.  Votre honneur je n’ai rien d’autre à ajouter. J’appelle maintenant Mirabelle Tiacoh 


Lui : Mirabelle Tiacoh à la barre 


Moi : Mlle Mirabelle ou étiez-vous à la date de l’assassinat de votre père ? 


Elle : aux Etats-Unis 


Moi : ah bon ? 


Elle : oui, j’y continue les cours 


Moi : c’est bizarre car selon le rapport de l’aéroport vous seriez arrivés en Côte d’Ivoire une semaine  avant l’assassinat de votre père.  


Elle : (surprise) hum


Moi : vous y étiez venu car votre petit-ami vous avait largué et avait pris tout votre argent  pour venir rejoindre son autre copine ici. Vous l’avez suivi et avez tout cassé chez lui, vous logiez chez une amie qui en plus d’être une amie vous fournissait aussi en drogue. J’ai pu rentrer en contact avec elle et elle est prête à même apporter  des preuves de tout ce qu’elle m’a dit, car selon elle vous n’êtes pas une bonne amie, vu que vous avez aussi couchée avec son petit-ami. 

On pouvait entendre des chuchotements et de la surprise dans les yeux de M. son avocat. 


Elle : je n’étais pas stable, mais on ne parle pas de moi là.  (S’emportant) 


Moi : certains amis de vos pères ont su que vous étiez là et apparemment vous avez eu une lourde et violent discute avec lui. Il vous a demandé de retournée rapidement d’où vous veniez et qu’il allait vous mettre dans un centre de désintoxication  si vous continuez avec la drogue et aussi informez tous les membres de votre famille. Vous êtes partie  toute boudeuse, en lui jurant qu’il le regrettera.  


Elle : (s’ énervant) mais je ne l’ai pas tué, l’assassin ici c’est cette pétase (indexant Yedmila du doigt) 


Moi : raison pour laquelle vous avez payé des personnes pour tout détruire chez elle et incendier sa résidence ? 


Elle : elle le méritait et méritait plus même (voyant qu’elle venait d’avouer, elle mit sa main sur sa bouche) 


Moi : ah bon ? (la fixant)


Elle : oh, (se rappelant de sa bêtise)  arrêtez de m’embrouillez je ne l’ai pas tué 


Moi : une dernière question ? Depuis combien de temps sortez-vous avec Steve, ancien manageur de ma cliente ? 


Elle : euh, euh


Moi : vous êtes sur serment et nous avons des preuves 


Elle : depuis peu (baissant la tête) 


Moi : ça veut dire après l’arrestation de ma cliente. 


Elle : oui 


Son amant d’avocat risque de faire une attaque vu son regard. 


Moi : merci beaucoup. Votre honneur j’en ai fin pour aujourd’hui. Ma conclusion partielle : méfions-nous des apparences car elles sont très trompeuses, par la grâce de Dieu à l’audience prochaine  je vous donnerai plus de détails et vous prouverez l’innocence totale de ma cliente. 


 Yedmila : (à la sortie du tribunal) merci beaucoup


Moi : Derrien. Je dois faire un petit voyage dans le cadre du travail, t’en fais pas je serai là à l’audience prochaine. Prends soin de vous 


Elle : toi aussi et merci encore 


YEDMILA 


Moi et Sophie faisons un peu de sport. Boff, on veut booster le bébé pour qu’il sorte. Depuis plus de 3semaines, il ne fait rien, ne me bouscule pas et ne me fais rien. Je ne fais que prendre les médicaments d’Hélène mais rien. Alors on marche un peu, on marche assez même je dois dire. 


Moi : (m’arrêtant) oh je suis fatiguée 


Elle :  allez encore un peu (m’encourageant) 


Moi : Sophie j’ai vraiment soif là. 


Elle : ok le super marché est au prochain carrefour on va y arriver et tu pourras boire tout ce que tu veux (me souriant) 


Moi : je ne t’ai pas fait ça pour Kylian 


Elle : (riant)  vu comment il est vite venu là, tu voulais me faire quoi 


Moi : il t’a facilité la tâche. Il me manque tant 


Elle : depuis un certain moment M. est enfouie dans les bras de son papa et ne veut pas le laisser


Moi : c’est cool ca 


Elle : oui son père est venue s’excuser pour son comportement qu’il a eu lorsque tu étais en prison


Moi : (souriant) s’il est avec vous, c’est l’essentiel. Le reste que du passé 


Elle : oui, merci (me souriant) 


Moi : enfin arrivée, de l’eau vite, vite 


On entra dans le supermarché et je prie de l’eau sous le regard amusé de Sophie. Elle arrêta de se moquer lorsqu’elle vit passer quelqu’un 


Elle : (petite voix)  bonjour Sophie, bonjour Yedmila 


Sophie : (la lorgnant) bonjour 


Moi : salut Sandra 


Elle : contente pour ta liberté provisoire 


Sophie : (automatiquement) contente  aussi pour ta grossesse, espérons que sa naissance t’aide à être plus loyale et franche dans tes décisions à venir 


Elle : (regard suppliant) je suis désolé je ne voulais pas que ça arrive 


Moi : (la stoppant) oh non Sandra, tout ce qui arrive dans la vie avec l’accord de Dieu est bon. Donc ne t’excuse pas s’il te plait 


Sophie : mieux allons à la caisse Yedmila


On partit à la  caisse et ensuite on marcha  pour rentrer à la maison 


Elle : je suis désolée que tu l’aies vue 


Moi : t’en fais pas, tu ne peux pas savoir qui on verra en ville 


Elles : ils t’ont fait tant de mal 


Moi : à ma sortie, je partais toujours devant la maison de Marc pour le voir mais les gardes m’en empêchaient. Je n’ai jamais réussi à le voir. Je ne fais pas tout ça pour moi, je le fais pour mon enfant qui a besoin de lui, il est innocent je veux tant que Marc comprennes cela mais il me déteste et ne crois pas que cet enfant est de lui. 


Elle : je suis si désolé  (regard triste) 


Moi : (souriant) tu n’y es pour rien 


Nous arrivons à la maison et elle partit car Kylian l’a demandait assez. Je rentrais et je ne trouvais personne, normal papa est partit à l’église et Angie chez son producteur. Je leur ai demandé de vaquer à leurs occupations car depuis un certain temps à cause de mon état ils arrêtaient tout. Le téléphone existe et en plus cet enfant-là  ne fait même pas signent de sortie, donc ils peuvent faire leurs affaires. Je partis ainsi prendre ma douche, boire mon médicament et j’eu envie de faire la cuisine. Des frites au poulet, j’en raffole ces temps-ci.  oh on sonne c’est peut-être papa ou Angie. 


Moi : (ouvrant) oh tu es revenu ? 


Lui : (souriant) oui, comment ça va ? 


Moi : ça va entre, et ton voyage ? 


Lui : bien et vous ? 


Moi : il est toujours dedans, (riant)  je te sers à boire ? 


Lui : non ça va et les autres ? 


Moi : Angie chez son producteur et papa à l’église


Lui : tu es seule ? 


Moi : oui, c’est moi qui l’ai voulue. Si celui-là veut venir et bien je vais appeler


Lui : tu es sûr de pouvoir avoir le temps d’appeler. La maman d’Inès a dit cela et tellement elle a eu mal j’ai dû rester dans la salle d’accouchement avec elle 


Moi : tu es bon mari alors (souriant) 


Lui : (souriant) non, plutôt un bon frère. Oui, Inès est ma nièce. Ma sœur est morte en couche, alors Inès passe les vacances avec nous et tout le reste de l’année avec son père encore célibataire. Il est aux Etats-Unis. Moi je suis un gros et grand célibataire sans enfant. 


Moi : (choquée) oh je suis vraiment désolé. 


Lui : t’en fais pas, il y’a longtemps. Même si la douleur est toujours présente. Mais Inès me rappelle tellement ma sœur. (Souriant) 


Moi : je suis contente qu’elle t’aide à surmonter cela et aussi que tu l’aimes comme ta fille.  Je comprends ta douleur et il ne se passe pas un jour sans que je ne pense à mon frère et ma mère. Mais depuis ma réconciliation avec papa ça va mieux. 


Lui : oui, quand j’ai su ce  qui s’est passée. Je t’ai un peu comprise. Je suis désolé 


Moi : pas grave, (me rappelant) ohh non j’ai oublié mes frites. (Allant rapidement) eh merde c’est bruler pourtant j’ai faim 


Lui : allez laisse je vais t’en prendre à l’automatic (un restaurant). Des frites et du bon poulet 


Moi : (souriant) merci 


Il partit, et je rangeais un peu le désordre. J’avais vraiment faim et moi qui voulait nourrir tout le monde (parlant à l’enfant) maman à tout raté. Puis j’entendis sonner, il est déjà là. 


 

Moi : (ouvrant) TOI ? 


Lui : oui moi 


MARC 


Elle : (m’ouvrant avec le regard surpris) TOI ? 


Moi : oui moi 


Elle : entre 


Je la suivais et regardait son ventre. Ça m’énervait qu’un autre est pu lui faire cela. En plus cela s’est peut-être passer pendant que l’on vivait ensemble. 


Elle : tu veux de l’eau 


Moi : (autoritaire)  non, je veux savoir ce que tu fais devant ma porte et en plus pourquoi tu viens chez moi ? 


Elle : je voulais te parler. Que l’on puisse discuter tranquillement 


Moi : de quoi ? 


Elle : de nous, et de l’enfant 


Moi : il n’y’a plus de nous. 


Elle : mais je suis innocente, tu le sais au fond de toi n’est-ce pas ? 


Moi : je ne sais pas ce que tu offres à cet homme qui te défend mais sache que tôt ou tard il t’abandonnera comme tous l’ont fait. (Serein) 


Elle : à cause de ta sœur.


Moi : je ne la défends pas. Mais pour moi,  tu ne représentes plus rien, si tu veux on peut tout te restituer mais toi peux-tu restituer ces vies que tu as prises ? 


Elle : mais je n’ai rien pris, (s’approchant de moi) Marc notre mariage prends un coup à cause de ton entêtement à m’accuser. Je suis désolé pour tous les torts que je t’ai causé mais est-ce que je mérite cela de ta part ? Couchée et enceinter Sandra qui est mon amie ? 


Moi : je ne te dois rien comme explication, j’attends que tu signes les papiers du divorce. Si tu veux continuer à te prendre pour ma femme c’est ton affaire mais moi je veux que tu signes ces papiers car je ne te veux plus jamais dans ma vie 


Elle : mais et lui ? (triste et touchant son ventre) 


Moi : tu veux m’attribuer un bâtard ? 


Elle : paf, paf, il n’est pas un bâtard tu es son père 


Moi : ne pose plus jamais des sales mains de prostitué sur moi est-ce clair ? 


Lui : (entrant) Yedmila, tu as laissé la porte ouverte ça va ? 


Moi : (le dévisageant avec ces paquets de nourriture)  je vois que tu as de la compagnie 


Lui : oh M.Tiacoh est là, je vais placer les plats et vous laissez 


Moi : pas la peine, je partais. Restez avec elle, mais faites bien attention à cette femme, elle est capable de vous attribuer sa grossesse, car je n’en veux pas de cet enfant. (La regardant avec de la haine) 


Lui : (sereinement et avec sourire) avec tout le respect que je vous dois M.Tiacoh, sachez que je n’ai pas besoin qu’elle m’attribue une grossesse. Cet enfant est plus le nôtre, moi, son père, ma mère et ces amies car c’est nous qui l’avons supporté dans le vôtre de sa mère. C’est un innocent et il est l’enfant de Dieu donc de qui d’autres à t-il besoin ? 


Moi : je comprends mieux votre défense, vous couchez ensemble, hum pauvre de vous. (Le lorgnant) 


Elle : tu es stupide Marc tu crois que je couche avec tous  (choquée) 


Moi : en même temps tu l’as déjà fait. Ce n’est rien de nouveau pour toi.  (la regardant avec mépris) 


Lui : (me fixant) les hommes de votre rang n’ont rien à faire ici, alors je vous prie de prendre la porte. Car si vous passez une minute de plus ici à injuriez une femme pourtant vous êtes sortis d’une femme et vous avez une petite sœur qui va d’hommes en hommes sans principal cause je vous jure que vous regretteriez ce moment


Moi : (saisissant ces cols) ne parlez pas de ma petite sœur ainsi, vous ne la connaissez pas 


Lui : (me repoussant) vraiment on ne se connait donc mieux faut pour vous que vous partiez maintenant, si vous avez encore un peu de dignité. 


Moi : et si je ne vais pas qu’allez-vous faire (le fixant) 


Lui : (regard dur) je regarderais la bêtise qui est en vous continuer à se manifester en bien sûr, prévenant le juge de tout 


Moi : vous allez perdre ce procès et votre réputation (lançant un juron) 


Lui : et vous votre dignité et votre femme et peut-être même votre enfant. (Souriant)


Moi : (me rapprochant de lui) vous me cherchez cette nuit apparemment ? 


Lui :  (soutenant mon regard) pas besoin tout votre corps et devant moi actuellement ou bien vous en doutez vous-même ? 


Elle : je vous en prie, arrêtez (criant) ahhhh


Lui : qu’est-ce qu’il y’a ? Tu vas bien ? (s’approchant d’elle) 


Elle : (criant) j’ai perdu les eaux, j’ai mal, ahhhhh, j’ai trop 


Lui : allons à la voiture 


Elle : non je ne peux marcher 


Lui : un effort, attends je te soulève. (Voulant la prendre) 


Elle : non Edwin, je le sens entre mes cuisse, ahhhh, je ne peux pas marcher, je te jure. Il est là il veut sortir. 


Lui : ok allonge toi et  (me parlant) vous au lieu de rester plantez là allez me prendre un coussin. Votre bébé arrive


Moi : mais il faut que l’on aille à l’hôpital, (tremblant) 


Elle : ahhhh, (serrant son bras) il est là, regarde je le sens 


Lui : on la faire accoucher (prenant son portable) j’appelle à l’hôpital une ambulance viendras rapidement et  pendant ce temps on suivra les instructions du gynécologue 


Elle : (craint plus fort)  haaa, je le sens 


Lui : allez-vous lavez les mains et apportez les cousins.  (Lui parlant doucement) Yedmila calme toi, je suis là. Expire, inspire. On va t’aider, je l’ai déjà fait avec ma sœur, n’aie pas peur. Chut, calme-toi 


J’emmenai les coussins et je ne pus m’empêcher d’être éblouie par la décoration de sa chambre 


Lui : (me donnant les instructions) donnez-moi les coussins et mettez-vous en face d’elle. Elle sent déjà le bébé alors vous n’aurez qu’à le faire sortir 


Moi : le faire sortir moi ? (ayant peur) 


Lui : (me regardant à peine) oui, ou vous voulez que je vois la nudité de votre femme ? 


Je partis rapidement et je voyais un truc je ne sais pas si c’était le bébé ou sa tête mais je voyais un truc. 


Elle : (saisissant ma main) aide moi, ahhh, aide moi à le faire venir. C’est ton enfant je te le jure crois-moi 


Lui : (l’encourageant) allez Yedmila pousse de toutes tes forces, il est déjà là pousse 


Elle : ahhh, (craint) 


 

Moi : (tremblant) je vois quelque chose venir 


Lui : (autoritaire) restez attentif 


Lui : (lui parlant) continue, nous sommes avec toi. Tu peux nous mordre ou même crier. Mais vas y pousse, il viendra 


Elle : ahhhhhhhh, Marc c’est ton enfant je te le jure dis-moi que tu me crois je t’en prie 


Vu le regard de l’avocat et la pression que je subissais,  je répondis 


Moi : oui Yedmila, vas-y pousse. 


Lui : il te croit, nous tous te croyons. Vas-y pousse de tout ton corps. Serre fort ma main et pousse 


Elle sera fort sa main et elle poussa. Puis il sortit. Je le pris et je sentis quelque chose en moi c’est un garçon bien gros.  Edwin la félicita et lui fit une bise sur le front puis il partit prendre des serviettes moi je ne faisais qu’observer l’enfant qui pleurai 


Elle : (souriant toute essoufflée) je peux le prendre


Je lui donnai l’enfant et dans sa main il se tût. Edwin vient avec les serviettes et à ce moment l’ambulance arriva. Le gynécologue  coupa le cordon et les emmena. Je les suivis, je voulais savoir si vraiment cet enfant était le mien. 


Edwin resta pour informer les autres mais il promit les rejoindre vu son insistance. Elle ne me calculait même plus et je dois avouer que je me sentais un peu jaloux. Mais bon je dois me rassurer pour l’enfant. 


TU AS AIMER ALORS NE TE GENE PAS DU TOUT AIME COMMENTE ET TAGUE DES AMIS AMOUREUX DE LECTURE COMME TOI……MERCI ET  BONNE SOIREE BISOUS !!!

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