Page 7: À Bout

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MA DECISION FINALE : Page 7


*A Bout ! 


CELIANTHE 


J’ouvris les yeux lorsque je sentis quelqu’un me mettre quelque chose dessus. Je le vis me mettre une couverture. 


Moi : (me réveillant)  oh que faites-vous ? 


Lui : (calme)  je vous couvre


Moi : oui je vois,  mais que faites vous ici ? 


Lui : ah mon ami est de garde et je lui est envoyer à manger donc j’ai voulu passer voir comment allait notre belle patiente (regardant mon homo)  et je vous ai vu couchée et recroqueviller sur vous-même, je me suis dit que vous avez froid donc j’ai mis la seconde couverture poser sur ce sac sur vous 


Moi : oh merci, ma sœur n’est pas là ? (la cherchant du regard) 


Lui : (remuant la tête)  non je ne l’ai pas trouvé 


Moi : il est quelle heure s’il vous plait ? 


Lui : (regardant sa montre)  euh 22h 


Moi : (me redressant) merci,  je vois elle parle avec son mari. 


Lui : il n’est pas ici ? 


Moi : si mais il est en mission au Canada 


Lui : oh je vois le décalage horaire 


Moi : (allant doucher le front de la petite) votre ami est un bon médecin, c’est super qu’il dorme ici 


Lui : oui je le félicite toujours pour cela et sa femme le comprends et l’accepte. Elle n’a plus de fièvre ?


Moi : (couvrant bien la petite)  non, nous rentrerons surement demain matin 


Lui : (me regardant)  elle est si belle, et vous la prenez comme votre fille c’est adorable


Moi : (souriant en regardant la petite)  c’est tout comme en plus elle est mon homonyme 


Lui : elle se nomme Célianthe 


Moi : (automatiquement)  vous avez retenu mon prénom ? 


Lui : (souriant)  et comment oublier ma coéquipière de danse 


Moi : (baissant la tête)  j’étais trop nulle 


Lui : oh que non croyez moi 


Moi : (honteuse) si vous le dites 


Lui : (remettant la couverture sur la petite qui avait bougé) si croyez-moi 


Moi : (changeant de sujet) vous devez aimer des enfants, vous en avez ? 


Lui : j’adore les enfants et oui j’ai un fils mais il se voit déjà grand et n’accepterai pas que je lui remette sa couverture 


Moi : vraiment ? (rire) mais la plupart du temps les enfants garçons sont proches de leurs mamans  


Lui : (se rapprochant)  et vous Célianthe vous avez des enfants ? 


Moi : (triste)  oh non, Dieu ne s’est pas encore souvenue de moi 


Lui : (automatiquement)  vous travaillez ? 


Moi : oui 


Lui : et vous respirez et êtes en bonne santé, vous avez sans doute déjà dépassé la vingtaine 


Moi : (ne le comprenant pas) pardon ? 


Lui : pour vous dire que Dieu se rappelle toujours de vous, car vous vivez et avez déjà obtenue ce que plusieurs cherchent alors sachez que le reste ne sont que des détails qui viendront au temps voulu (avec un ton) Miss Célianthe 


Moi : merci…..mais c’est Mme, Mme Bamba 


Lui : oh désolé, j’ai fait une gaffe apparemment 


Mona : (entrant) oh vous êtes là ? 


Lui : oui j’étais passé voir, je vais prendre congés maintenant 


Mona : (souriant) merci bien 


Puis il partit. 


Moi : ton mari va bien ? 


Mona : (souriant)  hum oui et toi avec ce célèbre animateur 


Moi : animateur ? 


Mona : oui Samuel Bilé, (me montrant un article poser sur la table de chambre) 


Moi : wahooo, je ne savais pas, j’ai dansé avec lui à la réception ou j’ai accompagné ton mari


Mona : (ahurie) Céli arrête de te vieillir, comment tu fais pour ne pas le connaitre ? 


Moi : (riant) je n’en sais vraiment rien 


YAYA 


Je viens d’arriver chez moi et vais me coucher il est presque 3h du matin. 


Je ne saurais vous décrire ce qui s’est passé avec Barakissa tout à l’heure, je l’ai rejoint et : 


«  Elle : merci bien 


Moi : je t’en prie, ce n’est pas prudent d’emprunter un taxi seule la nuit 


Elle : (haussant les épaules)  oui mais selon moi ça l’est encore moins de conduire 


Moi : je préfère même que tu es un chauffeur 


Elle : (me regardant)  je ne suis plus une enfant 


Moi : (souriant)  toujours à vouloir être indépendante 


Elle : exact, voilà tu peux garer ici 


Moi : ok


Elle : merci beaucoup Yaya et encore désolé pour tout à l’heure 


Moi : (souriant)  ne t’en fais pas 


Elle : (triste)  je suis désolée, pour cela mais aussi pour tout. A une époque j’en suis sure tu m’as aimé et je t’ai blessé crois moi, j’en suis navrée, vraiment navrée même 


Moi : (la rassurant)  c’est du passé cela maintenant, crois-moi c’est oublier 


Elle : vraiment merci, bon je vais descendre donc rentre bien et ne te fais pas gronder par ma faute 


Moi : oh non ne t’en fais pas 


Elle : d’accord si tu le dis 


Puis j’eu envie de l’accompagner jusqu’à sa porte 


Moi : (descendant)  je te laisse devant ta porte 


Elle : d’accord, tu rentreras alors ? 


Ce que je fis, j’entrais et j’appris que sa mère était en voyage et vu que son père était hospitalisé, elle était seule avec le personnel. On parla de tout et de rien et j’appris qu’elle devait se marier à un homme d’affaires nigérian qui l’a laissé tomber parce qu’elle était tombée enceinte avant le mariage il voulait qu’elle avorte et elle voulait qu’il se marie car personne n’en savait encore rien ce n’était que 3semaines, mais lui ne voulait rien savoir, donc il partit la laissant enceinte et angoissée à cause de sa famille. 


Puis deux semaines après dans la déprime elle perdu le bébé. Mais ne voulut plus rien savoir de lui. Barakissa avait toujours de l’effet sur moi je l’admets car elle avait réussi à me faire boire de l’alcool pourtant depuis longtemps je n’avais y toucher. Et c’est ainsi que l’on s’embrassa et je ne sais comment c’est devenue des caresses plus approfondies puis on coucha ensemble dans le divan du salon. Apres quoi elle prit la fuite pour la chambre et moi je me rhabillai et rentra chez moi carrément dépassé. 


Je vais me doucher et me coucher. Je n’arrive pas à croire, je viens de tromper ma femme. Il fallait que j’arrête de voir Barakissa, elle se dira que j’ai profité d’elle mais je dois arrêter de la voir. 


SAMUEL BILE 


Ce matin j’ai fait livrer un copieux petit déjeuner à Célianthe et sa nièce qui sont à la clinique. Moi je dois partir rejoindre mon fils pour le mariage de sa mère, donc je ne peux m’y rendre. 


Cette femme est vraiment belle et assez timide, elle adore baisser la tète pour parler et à une voix très petite que j’apprécie bien, attention Sam, elle est mariée et te le répète assez. 


Moi : (ouvrant) que veux-tu Fanny ? 


Elle : (ton ironique)  ce que je veux ? Te voir, je peux entrer ? 


Moi : (la fixant)  je ne sais qui t’a donner mon adresse mais je ne peux te laisser entrer, (ferme)  aucune femme ne rentre chez moi, je te l’ai assez dit, raison pour laquelle moi et toi c’est juste l’hôtel 


Elle : (toujours le même ton) mais je ne suis pas n’importe qui moi, je suis ta petite amie 


Moi : (la dévisageant) et depuis quand ? 


Elle : comment ça depuis quand ? Près de 4 mois que l’on s’envoie en l’air et tu me dis depuis quand


Moi : (la fixant) donc ? Je t’ai bien dit que tu es bonne et sexy et je voulais que l’on se fasse plaisir mutuellement, tu as accepté en prenant mon chèque non ? 


Elle : (s’offusquant)  tu me traite de prostituer donc 


Moi : je n’ai rien dit de tel 


Elle : tu n’est qu’un méchant gars Samuel Bilé 


Moi : (souriant)  tout comme Alain qui devais te marier, mais il t’a zappé pour une française, c’est pour cela que ces temps-ci tu me cours après non ? 


Elle :  (ahurie) comment tu sais ? 


Moi : bonne journée (fermant la porte) 


Je l’entendis prononcer un juron, et partir.  Ces femmes je leur dit toujours que l’engagement et moi ce n’est pas pour maintenant, elle accepte et lorsque leur plan A s’en va, (souriant) elle mise tous leurs efforts sur leurs plan B, malheureusement poire elles je ne suis pas le bon plan. 


Bon je vais aller à l’aéroport maintenant. Je me demande bien, comment Célianthe réagira si jamais elle voit ce petit déjeuner, acceptera-t-elle ? Ou s’offusquera-t-elle ? Tout compte fait je ne sais pourquoi je l’ai fait mais j’ai eu envie de le faire. C’est une femme mariée je le sais mais bon moi aussi je suis un homme libre donc je crois que un truc peut se passer et il n’aura aucune attache. 


« Moi : (sms) j’espère que vous avez aimé le petit déjeuner ? Je voulais l’envoyer moi-même mais je pars rejoindre mon fils. 


Elle : merci bien, ce n’était pas la peine. Faites bon voyage et profitez bien de votre fils ». 


C’est officiel, cette femme veut vraiment un enfant. Ça se sent même par sa manière de m’écrire, elle a l’air si jeune, pourquoi donc se presser ? Elle doit être relax. 


« Moi : un jour je vous dirai aussi cela. Prenez soin de vous et j’embrasse la petite et votre sœur. 


Elle : merci bien »


Je montai dans l’avion. 


*******


Lui : (se jetant à mon coup) Papa !!!!!


Moi : (la joie au cœur) qui vois là ? Mon grand comment tu vas ? 


Ségolène : (me faisant une accolade)  tu as fait bon voyage beau gosse ? 


Moi (la serrant)  oui la future mariée, alors pas trop stressée ? 


Elle : (souriant)  même pas 


Moi : menteuse ! 


Lui : tu m’as manqué papa 


Moi : toi aussi mon grand 


Lui : allez on rentre à la maison, tu verras comment j’ai décorer ta chambre tu vas adorer 


Moi : (souriant)  j’ai hâte 


On arriva à la maison et c’était parfait. Je vis les grands parents de mon fils et le futur marié qui m’accueillaient tous bien. Je partis me doucher et les rejoindre à table, tout respirait mariage et Ségolène était radieuse, je suis si heureux pour elle. 


Laurent : (grand père) maintenant que tous sont occupé je peux profiter de vous 


Moi : (le regardant)  je suis là 


Lui : (raclant la gorge) j’ai un ami Franck Perrier tu le connais ? 


Moi : qui ne le connais pas ? C’est un dur dans l’industrie de la communication 


Lui : voilà il veut un associé afin de créer une chaine de télé ici, et j’ai pensé à toi 


Moi : moi ? 


Lui : (acquiesçant)  oui tu as les fonds et en plus tu es fort, il m’a dit avoir regardé tes vidéos sur Youtube et voudrait te rencontrer pour mieux en parler 


Moi : wahho merci Laurent, mais je devrais donc m’installer dans ce pays ? 


Lui : je crois bien, tout compte fait vous en parlerez bientôt 


 

Moi : ok merci 


Je fis un message sans savoir trop pourquoi à Célianthe pour lui dire que j’étais arrivé. Je ne sais trop pourquoi ? 


Elle : hum mon beau gosse a enfin trouvé la perle rare apparemment 


Moi :  (riant) non même pas 


Elle : (fixant mon écran)  depuis quand tu préviens les gens de ton arrivée ? (souriant) C’est nouveau ça 


Moi : (me levant)  n’importe quoi ! 


Elle : c’est ça fuis ! Faux mec 


Moi : et toi belle future mariée 


Lui : et maman en plus 


Elle : merci mes hommes. 


CELIANTHE 


Moi : (criant pour qu’il m’entende)  chéri, tu me dépose ? 


Elle : (automatiquement)  il ne pourra pas, il m’accompagne à l’hôpital aujourd’hui 


Moi : d’accord maman 


Elle : Célianthe tu as vu tes règles ? 


Moi : euh non pas encore 


Elle : (comme une menace)  j’espère que ce n’est pas une fausse alerte parce qu’avec toi vraiment tout est bizarre 


Moi : (poussant un soupir) je l’espère aussi 


Elle : (me fixant)  tu es une femme, tu dois savoir si tu es enceinte ou pas. Ou alors tu es aussi infertile que cela au point de ne rien ressentir 


Moi : maman je ne suis pas stérile 


Elle : (continuant)  et où est l’enfant ou est-il ? Ta mère n’a eu que toi alors on ne peut vérifier si ou non tu es  maudite ou si c’est héréditaire. 


Moi : (agacée mais me maitrisant)  ma sœur a une fille 


Elle : (ton ironique)  sœur ? Mona n’est même pas ta demi sœur, c’est juste par compassion qu’elle t’appelle sœur sinon tous savons que vous n’êtes en rien liés 


Moi : (agacée)  maman ! Mona est ma sœur pas de sang mais c’est comme tel, je ne suis pas maudite encore moins stérile, avec tout ce stress comment veux-tu que je tombe enceinte ? 


Elle : (criant)  la ferme ! Tu parles ainsi sur qui ? Tu crois que je suis ton égal ? (me lorgnant)  Toujours le gros français mais un simple enfant de n’importe quel sexe tu es impossible de le faire, tu es jeune mais rien ne se passe. (Lançant un juron)  A savoir même si tu étais vraiment vierge, tu as surement eu recours à des pratiques occultes pour berner mon fils. Fille de joie comme ça !  


Moi : (hurlant)  NON ! 


Lui : (sortant de la chambre) pourquoi cries-tu ainsi ? 


Elle : (automatiquement) c’est sur moi qu’elle crie comme ca 


Lui : (me regardant)  qui y’a-t-il Célianthe ? Tu sais tres bien que maman à la tension très basse et le médecin lui demande un repos absolu 


Elle : c’est juste ma mort qu’elle veut afin de pouvoir ne pas te donner d’enfants 


Moi : (la regardant les yeux pleins de larmes)  j’étais vraiment vierge mama…


Elle : (levant sa main)  ne m’appel plus maman, ne m’appel plus ainsi. Un enfant crie sur celle qu’il appelle maman ?  (Criant) Ton hypocrisie que tu fais toujours devant mon fils, tu crois que je ne vois pas cela ? 


Moi : mais….


Lui : (ferme) ça suffit ! (sans la regarder)  Maman va m’attendre dans la voiture


Elle : (étonnée)  je prends mes affaires en même temps vu que ta femme ne veut plus me sentir 


Lui : (ferme) va dans la voiture on va à l’hôpital et on revient. 


Elle partit. 


Lui : (doucement)  Célianthe, calme-toi. On lui donne assez de fil à retordre avec cette histoire de petits enfants qui ne vient pas, n’augmente pas son stress, s’il te plait chéri. (Une bise)  A ce soir


J’augmente mon stress. Que lui ai-je fais ? Que lui ai-je fais ? Quoi ? Est-ce ma faute si je ne tombe pas enceinte, les médecins disent que je n’ai rien, mais pourquoi depuis rien.  J’essuyai mes larmes et je sortis. 


Je finis les examens et j’attends que mon gynécologue me fasse le retour. 


Lui : (s’asseyant en face de moi) je suis vraiment désolé madame mais ce n’est pas pour maintenant 


Elle : (douleur à la poitrine)  pas pour maintenant, suis-je stérile ? 


Lui : (remuant la tête)  non mais vous avez un cycle irrégulier donc souvent vos règles ne viennent pas mais ça ne veut pas dire que vous êtes enceinte


Moi : (triste)  docteur pourquoi depuis rien ? Pourquoi ? 


Lui : (essayant de me réconforter)  je ne saurais vous le dire, on fera d’autres tests plus approfondies 


Je sortis en pleurant presque. Je partis dans mon église en pleurant. Je partis parler seule à Dieu en lui déversant toute ma peine. Je ne voulais plus me confier à quelqu’un, plus du tout depuis que j’ai su que le pasteur racontait toutes nos confidences à son  épouse qui en parlait avec ces copines aussi. 

Je préférais parler directement à mon Dieu. Apres ma prière je sortis de l’église en voyant la femme du pasteur. Je la saluais 


Elle : (me regardant)  Celianthe tu es venue prier un peu ? 


Moi : (acquiesçant)  oui maman 


Elle : (continuant)  toujours le manque d’enfants ? Tu sais lorsque tu demandes à Dieu repends toi bien, dans la jeunesse on fait parfois des choses que l’on oublie après. 


Moi : merci 


Puis je partis, j’en ai marre que tous pensent que j’ai fait un truc dans ma jeunesse. J’en ai marre. J’essayais de rester calme et de rentrée chez moi, je trouvais ma belle mère au salon avec une cousine de Yaya, la maman des fameux enfants venues une fois nous visiter. 


Maï : (heureuse)  bonne arrivée tantie 


Moi : merci, bonjour maman, bonjour Aïcha 


Ma belle mère me lorgna et lança un juron. 


Aïcha :  bonne arrivée Célianthe 


Moi : merci, tu as mangé ? 


B.M : parce qu’elle devait attendre madame l’effrontée d’abord avant de manger chez son frère 


Moi : hum,  je n’ai pas dit ça Mama…


B.M : (lançant les cauris qui étaient dans sa main vers moi) ne m’appel plus ainsi 


De justesse je loupai cela. 


Aïcha : calme toi maman, (me fixant)  Célianthe je t’en prie nous ne sommes pas tes ennemies on s‘en fait juste pour notre frère qui vieilli. Alors ne nous prends pas comme tel, maman est malade, arrête de la contrariée davantage. Arrête, ce n’est pas de notre faute si les enfants fuient ton ventre. 


Je restais arrêter là et les regardais partir dans la chambre. Je ne comprenais rien. 


M : tante va te changer tu vas venir manger. T’en fais pas Dieu fera 


Moi : (voix tremblante) merci MaÏ 


Je rentrais dans ma chambre et me mis à genoux en priant Dieu. Tous me pointent du doigt pourtant Dieu seul sait que je n’ai rien fait de mal. Je n’ai jamais pratiqué ce don ils m’accusent.  


Moi (en larmes) : Seigneur tous, me traitent de tous les noms, tous ! Tu me connais si bien comme personne, je t’en supplie Dieu de Sarah, Dieu d’Anne, tout comme tu as pu te rappeler de ces femmes, rappelle toi de moi et donne-moi juste, 1, 1 (soulevant mon index) 1 seul enfant Seigneur et je te promets que je te serais reconnaissante toute ma vie. Je te le jure. Seigneur


Lui : (entrant en vrac)  Célianthe ! Ça veut dire quoi ceci ? 


Moi : (continuant ma prière) je t’en supplie mon Dieu, écoute ma prière, aie pitié de moi et trouve au fond de ton cœur de…


Lui : (hurlant) JE TE PARLE ! 


Moi : (continuant de plus belle) trouve au fond de ton cœur de miséricorde la compassion nécessaire afin que tu réalises mon vœux. 


Lui : (me soulevant) que t’ai-je dit ce matin ?  (Énervé apparemment) Pourquoi t’en prends-tu à ma mère ? 


Moi : (énervée)  m’en prendre à ta mère ?  Comment je m’en suis prise à elle ? (criant) C’est de ma faute si je ne fais pas t’enfants ? 


Lui : (me fixant)  ne lui en veux pas donc ? Tu crois que c’est la faute à quelqu’un ? 


Moi : (criant) alors dis-lui de me laisser Yaya,  (agacée) dis le lui je t’en supplie. Je suis fatiguée 


Lui : (froissant sa mine)  fatiguée de quoi au juste ? C’est toi qui fatigue avec cette histoire de je ne suis pas enceinte 


Moi : (criant)  je fais exprès tu crois ? 


Lui : (me laissant)   je ne sais plus 


Moi : (criant) qui donne les enfants ? (le forçant à me fixer)  Yaya qui donne les enfants ? N’est-ce pas l’homme ?


Lui : (me regardant)  et je t’en donne assez mais (m’attrapant les bras)  qu’est-ce que je gagne en retour que des règles 


Moi : (le tapant) tu es mauvais (pleurant) je fais tout pour tomber enceinte, tu le sais (pleurant et me débattant pour qu’il me lâche) tu es méchant de me dire tout ceci aujourd’hui, Yaya ? (pleurant) tu es sans cœur vraiment ! 


Lui : (me serrant) je suis désolé chérie, je le suis crois-moi (me serrant plus fort) chut, pardon je ne voulais pas dire cela 


Moi : (pleurant) je suis perdue et ne comprends plus rien. Yaya tu crois que je ne veux pas d’enfants, tu crois que c’est avec fierté que je vais toujours acheter des lingettes chaque fin de mois. Tu crois que c’est avec des cris de joie que je reçois mes règles je ne fais que supplier le bon Dieu de me donner ne serait-ce qu’un seul, un seul (pleurant) 


Lui : (me serrant) je suis désolé, je suis désolé. (M’embrassant) ne pleure plus ! 


Il me mit donc sur le lit et il continua à m’embrasser en enlevant rapidement mes habits, moi mes larmes coulaient, je ne savais même pas si mon homme allait le faire par envie, par amour ou juste pour me consoler ce qui voudrait dire par compassion. Je pleurais, il essuyait mes larmes avec sa langue et il entra en moi en me disant « ne pleure plus, je suis là ». 


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