PARTIE :02

Write by Malachie officiel

Anterdit aux mineurs

J'étais déjà excitée quand il m'a dit:

—Serge :« Tu es sûre de ce qu'on

veut faire ?»

—Moi :« Tika makelele ya pamba

pamba wana (arrête tes bruits

inutiles là) sois pragmatique,

continue avec ce qu'on faisait. Stp

bébé pénètres-moi, je te donne ma

virginité et je ne regretterai jamais de

te l'avoir offert ».

Serge m'a regardé pendant un

moment, avant de m'écarter les

jambes puis me pénétrer dans toute

sa longueur.

Au début c'était tellement

douloureux.

—Moi:« Mon Dieu pardon! S'il te plaît

Serge arrête! Tu risque de me tuer

chéri. »

Serge ne s'occupait pas de ce que je

disait, il continuait calmement à faire

ses mouvements de vas-et-viens.

—Moi:«Snif... pitié bébé! tu risque de

me tuerrrrr...»

—Lui:« ..... »

il ne disait toujours rien, puis à un

moment donné, j'ai commencé à

aimer l'acte sexuelle. Ça ne faisait ni

mal ni bien ; ni froid ni chaud donc

c'était waouh mes amis.

—Moi en gémissant :« papaaaa,

hummm, heyyyy mamaaaa »

—Serge :« Joyce s'il te plaît arrête de

crier car, mes voisins risquent de

nous écouter !. Que je m'arrête ? Ça

te fait mal ?».

Serge est tellement bizarre mes amis,

pourquoi voulait-il s'arrêter à

moment si merveilleux ?.

—Moi:« Tu veux te jouer de mes

sentiments ou quoi ?. C'est vrai que

ça fait mal, mais stp ne t'arrête pas!

Continue mon amour. »

—Lui:« Okay, alors tourne comme ça

».

Il a accompagné ce qu'il disait avec

un geste me montrant de lui tourner

les fesses.

—Moi:« Tu veux quoi ? Me pénétrer

par derrière ?»

-Serge :« Oui bébé ».

Du coup j'ai fait ce qu'il me

demandait calmement.

Comme mes fesses et mes seins

sont extrêmement jolis et séduisants,

je pense qu'il aura beaucoup de

plaisirs en y pénétrant.

J'étais en décubitus ventral quand il

m'a pénétré. Waouh!!! C'était

mirobolant mes amis.

J'ai eu des sensations étranges, puis

j'ai sécrété donc j'ai eu l'orgasme

avant qu'il éjacule quelque minutes

plus tard.

Serge était extrêmement super au lit,

je crois que notre acte sexuelle avait

duré pendant à peu près 35 minutes.

D'ailleurs rien ne m'étonne mes

amis, parce que Serge est médecin ;

je crois qu'il prenait sûrement les

Aphrodisiaques car, il avait une force

sexuelle inexplicable.

Au fait, je l'aime de tout mon coeur, il

est mon socle et ma raison de vivre.

Et Je suis contente qu'il m'ait

dévièrgé.

—Moi:« Merci mon amour »

—Serge:« Bébé c'est moi qui suis

obligé de te remercier. Je t'aime de

tout mon coeur Joyce mais courage

mon amour. Je prie pour que ton

futur mari soit aussi meilleur ; il te

rendra heureuse j'en suis sûr. »

Juste quand il a fini à dire cela, j'ai

commencé à pleurer:

—Moi en pleurant:« Non chéri, c'est

toi uniquement et toi seule que

j'aime. Alors S'il te plaît mon amour!

Epouse-moi »

—Serge :« Du calme chérie! Et arrête

de pleurer. Sache vraiment que moi

aussi je t'aime et je continuerai

toujours à t'aimer, mais je ne veux

pas que tu arrives à décevoir ta

famille à cause de moi. Sois forte

mon amour, ça ira. D'accord ? »

—Moi:« Non Serge, je t'aime de

plusque tout au monde. Et si tu veux,

fuyons d'ici! Nous pouvons aller à

Kisangani, à Mbujimayi ou à

Lubumbashi! la RDC est tellement

grande mon amour!».

Soudain il m'a regardé pendant un

moment, puis il m'a dit:

—Serge:« Non bébé, nous n'irons

nulle part. Je t'aime et tu le sait,

mais je ne veux pas que tu déçoive

ta famille, donc vas et fais ce que ta

famille te demande. »

Puis du coup, il a commencé aussi à

faire tomber les larmes. C'était

tellement déplorable mes amis. C'est

sûr que cet homme était fou

amoureux de moi. Et ça fait tellement

mal de ne pas épouser une personne

qu'on aime.

Il s'est approché vers moi et m'a

embrassé pour la dernière fois avant

que je sorte dans sa maison en

pleurant.

Puis en cours de route, mon

téléphone a sonné. J'ai directement

cru que c'était mon père, mais plutôt

c'était Olga.

Olga est ma meilleure amie, ma puce

et ma confidente.

Elle a 25 ans comme moi, Célibataire

et mère d'une petite fille de 3ans.

Elle travaille dans la même entreprise

que moi, mais elle, est chargé de la

communication et marketing de

l'entreprise. Donc quand j'ai vu que

c'était elle, j'ai directement décroché.

—Moi:« allô »

—Olga:« allô ma puce. Est-ce que ça

va ? Tu es où ? Car je suis devant

ton bureau »

—Moi:« Aujourd'hui je ne suis pas

venue au bureau mon amie »

—Elle :« Mais tu es où jusqu'à cette

heure ? Est-ce que tout va bien ma

puce ? »

—Moi:« Oui mais mon père m'a

énervé »

—Olga : « Waouh ! Qu'est-ce qu'il y

a ?»

—Moi:« Il veut me marier forcément à

un jeune homme que je n'aime pas ».

Immédiatement Olga avait commencé

à rire, avant de me demander:

—Olga :« Quoi ? Les mariages forcés

existent toujours ? Pourquoi il veut

forcément te marier à un inconnu. »

—Moi:« Je ne sais pas mon amie,

mais papa m'a dit que j'ai intérêt à

épouser ce jeune homme là car, la

survie de notre famille en dépend. Et

d'ailleurs, c'est le fils de son meilleur

ami ».

—Olga:« Je suis désolée mon amie.

Alors ce fameux jeune homme est-il

riche ? »

—Moi :« Probablement il l'est, car

son père est le PCA de la société

pétrolière ».

Du coup, Olga s'est exclamée en

disant:

—Olga: « C'est le fils de chef

Richard ?»

—Moi:« Oui exactement »

—Olga :« Ce gars là est de teint un

peu clair, taille moyenne, et porte

souvent les lunettes ?»

—Moi:« Oui c'est exactement lui. Tu

le connais ?»

—Olga en pleurant :« Oui, c'est

Constant le père de ma fille ».

Oh mon Dieu ! Merde..

—Moi:« Quoi ? Est-ce lui le jeune

homme que tu m'avais parlé dont sa

famille avait refusé ta grossesse ?»

—Olga :« Oui c'est bien lui. Et

bizarrement je l'aime toujours

nonobstant que sa famille m'ait

ridiculisé en me jetant dehors.

Constant m'appartient, et je regrette

qu'il ait tombé amoureux de ma

meilleure amie. »

Puis tout à coup elle a commencé à

pleurer.

—Moi:« Ne t'inquiète pas Olga, je

crois que lui aussi t'aime encore.

Mais apparemment, c'est son père

qui lui a forcé à m'épouser.

alors qu'est-ce que nous pouvons

faire pour empêcher tout ceci ? Parce

que moi également je ne suis pas

fière et prête d'épouser l'homme

auquel ma meilleure amie est

amoureuse. »

—Elle :« Nous ne pouvons rien faire

car c'est déjà trop tard. Tu peux

seulement accepter de l'épouser, et

je pense que constant sera un bon

mari pour toi. »

—Moi: « J'....»

Soudain elle a raccroché avant que je

puisse finir ma phrase.

Puis immédiatement je me suis

concentrée au volant, avant de

conduire calmement jusqu'à la

maison.

Une fois arrivée à la maison, j'ai

trouvé mon père et ma marâtre au

salon en train de parler. Je les ai

passé sans pourtant les saluer, et

alors avant que je puisse franchir la

porte qui se dirigeait vers ma

chambre, papa m'a dit :

—Papa:« Joyce reviens ici !».

Je me suis arrêtée pendant quelques

minutes, avant de retourner vers eux.

—Moi :« Oui papa »

—Papa :« Tu viens d'où ? ».

Je suis restée calme, je ne me suis

pas précipitée à répondre. D'ailleurs

qu'est-ce je vais lui dire ? Je vais lui

dire que j'étais partie offrir la virginité

que j'ai dû garder pendant 25ans à

l'homme que j'aime ? Non, ça non.

Donc j'avais résolu de ne rien

répondre, mais ma marâtre a pris la

parole et a dit à mon père :

—Elle :« Andy tu la poses des

questions pour rien. Ta fille vient à

peine de faire l'amour, regardes sa

démarche. Et puis écoute l'odeur de

coït. ».

Hummm... Des vieilles dames

africaines sont tellement dingues.

Est-ce que le coït a l'odeur

spécifique ? Me suis-je demandée

intérieurement car c'était ma

première fois d'entendre cela.

Aussitôt mon père m'a regardé

bizarrement de la tête aux pieds,

avant de me dire:

—Papa :« Joyce pourquoi tu as fait

cela ? Tout ça pour me dire que j'aie

fait un mauvais choix pour toi ? Mais

sache que je t'aime, et aucun parent

au monde ne veut voir son enfant

souffrir. Joyce! Je ne veux pas te

voir souffrir, je veux seulement ton

bonheur. Mais ma fille tu m'as déçu,

même ta défunte mère n'aurait

jamais été contente avec ce que tu

viens de faire. Pourquoi tu t'es

laissée déflorer avant le mariage ?

Est-ce que tu as oublié le sens

même de notre coutume ? Tu ne sais

pas qu'ici chez nous en Afrique, la

virginité compte de plusque de

l'or ?».

—Moi:« Pap... »

Avant que je puisses répondre, ma

marâtre m'a rompu la parole en

disant :

—Marâtre:« Chéri ne t'inquiète pas

pour elle! Tu as vu la façon dont elle

t'a ridiculisé ce matin devant tes

invités et les membres de ta famille ?

Joyce est une mauvaise fille, et

d'ailleurs elle n'est plus vierge

depuis longtemps ».

Cette femme m'énerve énormément,

de quoi elle s'en mêle ? C'est ma vie!

Et ça ne le regarde absolument pas.

Donc je lui ai dit en le pointant de

doigts:

—Moi:« Toi ne te mêle pas dans ma

vie. De un, que je sois vierge ou pas

ça ne te regarde pas, de deux je ne

suis plus une enfant, j'ai 25ans.

Donc je peux faire tout ce qui me

semble bon ,et en fin troisièmement

tu n'es pas ma mère !»

—Elle :« Tu crois que moi j'ai envie

de mettre au monde une pute ? Ma

fille (Lydie) n'est pas une prostituée

comme toi. D'ailleurs qu'il pleuve ou

qu'il neige tu épousera Constant »

—Moi:« Je n'oserai jamais épouser

qui que ce soit ! D'ailleurs je sais

bien que c'est toi et ta fille qui ont

scénarisé tout ça mais sache que

vous avez échoué, car je ne me

marierai jamais à un inconnu !»

—Papa :« Taisez-vous ! Joyce ta

mère a raison, tu dois

nécessairement épouser cet homme.

»

—Moi en pleurant:« Non papa, je ne

l'epouserai pas ».

Puis tout à coup, je suis sortie de là

en pleurant.

Ça fait tellement mal de se trouver

obliger d'épouser un homme qu'on

aime pas. Les filles me comprennent

mieux. C'est pitoyable mes amis

amis, et aucune fille ne mérite ça.

Car on a aussi droit de choisir qui on

veut...

Bon bah, je suis partie m'enfermer

dans ma chambre, puis avant de

dormir, je suis allée prendre un bain

froid.

Le lendemain matin, je me suis

réveillée comme d'habitude, j'ai pris

mon bain, avant de faire mon hygiène

buccale et aller enfin faire la

vaisselle.

J'avais déjà presque fini à faire la

vaisselle quand cette fois-ci Nelly

est venu m'appeler.

Nelly est mon demi-frère, donc le

petit frère de Lydie.

Nelly a 22ans, il est de teint noir

comme mon père et c'est mon

meilleur ami.

Lui et son petit frère Franck sont mes

amis contrairement à leur mère et

leur grande soeur. Ces dernières me

prennent pour leur concurrente ou

leur ennemie. Elles sont

impitoyables, et n'ont aucun coeur.

Bon bah, Nelly m'a salué avant de

me dire:

—Nelly :« Tu m'as énormément

manqué grande soeur »

—Moi en souriant :« Tu m'as

également manqué petit frère. Est-ce

que ça va ?»

—Lui: « Oui, Je vais bien. Joyce papa

t'appelle »

—Moi: « Pourquoi ?»

—Nelly :« Je ne sais pas, mais il veut

te voir tout de suite »

—Moi:« d'accord, je viens ».

Je me suis préparé avant d'aller au

salon, et une fois que je suis arrivée

au salon, papa était avec ma marâtre,

mes tantes et mes oncles paternels.

Je les ai tous salué avant de prendre

place...

Du coup, papa a pris la parole pour

me dire :

—Papa:« Ma fille, je t'ai appelé pour

t'informer qu'on vient à peine de

donner ta dot. Donc tu viens d'être

traditionnellement l'épouse de

monsieur Constant ».

Quelle tragédie!!! Même si une femme

ne représente rien en Afrique, mon

père allait quand même m'informer

avant de prendre ma dot !

—Moi:« Ça veut dire qu'il est déjà

mon mari ?»

—papa :« Oui ma fille. Tu es la fierté

de toute notre famille et en plus, ton

mariage civil sera pour Jeudi »

—Moi:« Mon mariage sera pour ce

jeudi ?»

—Lui :« Oui. Joyce je suis fier de toi

».

—Moi:« ... »

Je n'ai rien répondu, j'ai juste quitté

le salon en faisant tomber les larmes

comme une madeleine car, je n'avais

plus besoin de le ridiculiser une fois

de plus devant ses frères et soeurs.

Donc du coup je suis allée me

préparer, avant d'aller au travail.

Ça fait tellement mal mes amis ; le

mariage forcé continue d'être une

monnaie courante ici chez nous en

Afrique. Une femme n'est pas une

chose, elle a aussi droit de choisir

tranquillement qui elle veut épouser.

Au fait, j'ai pleuré presque toute la

journée, mais je n'avais pas le choix,

car les us et coutumes de l'ethnie où

j'appartiens (ethnie luba) exige

fermement le respect envers ses

parents, et le manque de respect

envers son père ou sa mère

constitue un tabou et le châtiment

d'un tabou c'est la mort ou la

malchance. Donc je n'avais pas autre

choix que celui d'accepter ce

mariage. Waouh ! ça fait très mal

mes amis.

Deux jours plus tard, ce fut le jeudi,

donc le jour de mon mariage civil.

On avait organisé une fête grandiose.

Il y avait plusieurs hautes

personnalités de notre pays.

Mon beau-père est milliardaire, donc

il y'avait seulement des riches dans

notre mariage et quelques amis de

Constant.

Je ne me souviens plus exactement

de ce qui se passait ce jour-là car

mon esprit était ailleurs, mais ce que

je me souviens est que Constant m'a

dit ceci à la mairie sous les

applaudissements de tout le monde:

—Constant :« À toi ma belle et bien

aimée femme de ma vie. En

témoignage de l'affection que je

porte pour toi, je te promets que je

serai éperdument amoureux de toi et

tu seras une et exclusive. Il est vrai

que la main a 5 doigts, l'année a

douze mois mais dans mon coeur il

n'y aura que toi. Je t'aime Joyce ».

—Assemblée:« Ohooo... »

C'est sur ces applaudissements que

j'étais devenue officiellement

madame Joyce Ngoy et belle-fille

d'un grand milliardaire de notre pays.

Nous les mariés, donc moi et

Constant avons quitté la fête vers

22h... On nous avait dit d'aller

savourer le mariage.

Contant m'a emmené dans une

chambre d'hôtel qu'il avait déjà

prévu pour notre nuit de miel. Et une

fois à l'intérieure de la chambre, il

m'a dit:

—Constant :« S'il te plaît madame,

est-ce tu peux me faire plaisir de te

déshabiller ?».

Je lui ai regardé pendant un moment

avant de me déshabiller

complètement.

J'étais totalement nue devant lui

quand il s'est approché vers moi

pour me caresser et sucer mes

seins.

—Moi:« Constant arrête. Ne me

touche pas ! »

—Lui:« Que je ne te touche pas

pourquoi ? Joyce, je suis ton mari !»

—Moi:« J'ai une question que

j'aimerai bien te poser avant qu'on

puisse savourer notre mariage »

—Constant :« D'accord chérie, tu

peux me poser !»

—Moi:« Répond-moi par oui ou non.

Est-ce que tu connais Olga Landu ?»

Il m'a regardé pendant un moment

avant de me dire....

À SUIVRE...

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???? MALACHIE OFFICIEL

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