PARTIE :07

Write by Malachie officiel

ensuite il m'a répondu :

—Constant:« Je me demandais si

honnêtement tu es encore vierge ?!»

Juste une fois qu'il a achevé à me

parler ainsi, mes larmes ont

commencé à couler d'elles-mêmes.

—Lui:« S'il te plaît bébé! Ne pleure

plus. Je ne voulais pas te faire

pleurer ma princesse. »

—Moi:« .... »

Je n'ai rien répliqué mes amis, et

donc je me suis juste levée et je

cherchais déjà à sortir de la douche

quand il m'a saisi par le bras et m'a

demandé gentiment:

—Lui:« Tu vas où ?»

—Moi (en colère):« Constant laisse-

moi! Tu m'as énormément énervé. »

—Lui:« Je m'excuse ma princesse, je

ne voulais pas t'offenser, et

d'ailleurs, la virginité m'intéresse peu

mon amour. »

—Moi:« ... »

Je suis restée calme, puis il a ajouté

:

—Moi:« Joyce je t'aime, et je suis

prêt à tout faire afin de te rendre

heureuse ma princesse. »

—Moi:« Tu ne sais pratiquement pas

de quoi tu parles mon cher! Es-tu

prêt à tout faire ? À tout accepter afin

de me rendre heureuse ?»

—Constant:« Oui mon amour »

Du coup j'avais commencé à rigoler,

et c'était un rire moqueur mes amis,

puis après, je lui ai dit :

—Moi:« Tu n'es qu'un vendeur

d'illusions, car tu ne comprends

absolument rien de ce que tu es en

train d'affirmer. »

À peine fini de parler, j'ai ouvert la

porte, avant de sortir.

—Lui:« Joyce ne sors pas, attend !»

Je n'ai pas prêté oreille à ses

balivernes, et donc, je suis juste sorti

en lui laissant seul là-bas et je suis

parti au selon. Quelques minutes

après, il m'a suivi au salon tel qu'il

était, donc nu et en érection.

—Moi (en souriant):« N'as-tu pas

honte de te balader nu ?»

—Lui (en souriant):« Tu me le

demandes étant donné que tu es

également nue ? Quelle nervosité

madame !!! »

—Moi:« Moi même si je me promène

nue, je ne suis plus vierge! »

—Lui:« Joyce arrête de te dénigrer!

Mon amour envers toi est plus fort

que tout cela. Tu penses que moi je

suis encore chaste ? Non je ne le

suis plus ! Donc ne t'inquiète pas

mon amour, car si j'avais besoin

d'épouser une vierge, je n'allais pas

accepter de me marier à une

demoiselle de 25ans. »

—Moi:« .... »

—Lui:« Donc je t'aime sincèrement

okay ? »

—Moi:« Hummm... »

Soudain il s'est un peu approché de

moi, m'a regardé d'une manière sexy,

avant de me caresser sérieusement.

Il m'a caressé les fessses, puis

ensuite il m'a sucé les seins et

masser le clitoris, avant de me

pénétrer.

Nous avons fait l'amour dans les

canapés pendant un moment, puis

après il a éjaculé. Quelques minutes

plus tard, nous avons repris, et donc

mes amis, nous avons fait l'amour 4

fois successives, et c'était génial.

Dès ce moment-là, j'avais commencé

à l'aimer. Il avait des beaux yeux, et

il devenait très mignon quand il

faisait ses yeux doux.

Bon bah, quand nous avons eu

l'orgasme pour la dernière fois, on

est resté coller l'un sur l'autre

jusqu'à ce que je me suis décidée

d'aller me rhabiller.

Quand je me suis levée, Constant m'a

retenu un pied et j'ai failli tomber !!

—Moi (en s'exclamant) :« Ah mon

frère !! »

—Constant :« Quoi ? Répète ? »

—Moi (en souriant) :« Lâche-moi

d'abord le pied. »

—Lui :« Je suis ton frère moi ? »

—Moi (en rigolant) :« Tu es trop

chiant. »

—Lui :« Ça te fait rire ? »

Sur-le-champs, sa dernière phrase

m'a lancé dans un fou de rire pas

possible ; il fallait le voir pour le

comprendre.

Au fait, monsieur n'était pas content

juste parce que j'avais dit "mon

frère" sans faire exprès. Un homme

complément fou je vous le promets.

Bon bah, ça ne l'avait pas encore plu

que je rigole non plus, vu qu'il

m'avait tordu le pied quelques

secondes.

—Moi :« Ah! Tu me fais mal. »

—Constant:« Sérieux ? »

—Moi (en souriant) :« Prends-moi

pour une conne imbé... »

Du coup il m'a coupé la parole en

me disant :

—Lui:« Non mais tu es insolente, il

faut que je te fasse un truc. »

—Moi :« Non non non, c'est bon. »

—Constant:« Tu es sûr ? »

—Moi :« Non sérieusement grandis.

Tu auras bientôt 30ans frère, donc

arrête de jouer au gamin et lâche

mon pied. »

Et comme par magie il avait lâché

mon pied avant de se lever du

canapé. Je commençais à reculer

parce qu'il était bizarre. J'avais mes

deux mains sur son torse et je

reculais. Comparé à moi, lui il

s'avançait vers moi. C'était bizarre

sur le moment mais marrant quand

j'y repense. À force de reculer mon

dos avait fini par coller au mur. Puis

soudain, Constant avait levé un

sourcil avant de sourire et mettre ses

deux mains de chaque côtés de ma

tête.

—Constant:« Tu disais quoi ? »

—Moi :« De quoi ? »

—Lui :« C'est qui ton frère ? »

—Moi :« Nelly et Franck. »

—Lui (en souriant) :« Humm... j'ai

cru que tu perdais la mémoire. »

—Moi :« Non jamais. »

—Lui :« Je suis qui pour toi déjà ? »

—Moi :« Mon pote. »

—Constant (en souriant) :« Je repose

la question. Je suis qui pour toi ? »

—Moi :« Tu veux vraiment savoir ? »

—Lui :« Ouais... »

Tout à coup je lui ai fait un petit

câlin avant de sourire. Au moins il

avait eu la réponse à sa question.

J'attendais qu'il retire ses mains

pour que je parte mais monsieur

n'avait pas bougé. Il préférait me

regarder droit dans les yeux...

—Moi :« Laisse-moi passer. »

—Lui :« Passe, qui t'en empêche ?»

—Moi :« Retire tes mains. »

—Lui :« Pas très envie. »

—Moi :« Tu es grave. »

—Constant :« Je n'ai toujours pas eu

ma réponse. Je suis qui pour toi ? »

—Moi (en souriant) :« Non! Là par

contre tu fais exprès. »

—Lui :« Je veux te l'entendre dire. »

—Moi :« Tu es mon mari. »

—Lui (en sourire):« Voilà. C'était

facile à dire... »

Il avait enfin retiré ses mains puis je

suis montée dans la chambre. J'ai

pris une douche avant de me mettre

en pyjama et prendre mon téléphone

pour appeler Olga.

—Moi :« Coucou mon amour . »

—Olga :« Dégage! quel amour ? »

—Moi (en souriant ):« Tu me

rejettes ? »

—Elle : « Ouais. Depuis que tu es

partie, tu ne m'as même pas appelé

pour m'informer de la suite. »

—Moi :« oh! lala, c'est bon là je t'ai

appelé et tu n'es toujours pas

contente ? »

—Elle:« Si un peu. »

—Moi :« Tshiiip. Ça va sinon ?»

—Olga :« Ouais ça va et toi ? Qu'est-

ce que Serge t'a dit. »

—Moi :« Il ne se laisse plus voir mon

amie. Je l'ai fort cherché, il ne vient

plus régulièrement au travail, et

c'était comme s'il savait déjà que

j'étais à sa recherche. »

—Elle:« Et ton mari ? Il sait déjà que

tu es enceinte ? »

—Moi:« Pas encore, mais je pense

qu'il ne tardera pas de le découvrir. »

—Elle:« Tu es toujours dans ta belle-

famille ? »

—Moi:« Non je suis rentrée chez moi

ce soir, et mon mari m'a offert pour

cette occasion, un bon dîné des

retrouvailles. »

—Olga:« Tu as bien fait connaissance

de ta belle-famille. »

—Moi :« Pas totalement mais ouais.

Ils étaient tous gentils, et je compte

aller voir ses tantes et oncles la

semaine prochaine. »

—Elle:« Vraiment... ?»

—Moi:« Ouais! contrairement à ce

que tu me relatais, Constant a une

famille tellement exceptionnelle. »

—Olga:« (rire) »

Soudain Olga s'est éclaté dans un

rire pas possible, et puis je lui ai

demandé:

—Moi:« C'est drôle ? »

—Elle:« Oui parce que bientôt tu le

sauras de toi-même. Souvent je n'ai

rien à reprocher à mon ex-mari ;

Constant est une personne

exceptionnelle, c'est le genre des

maris que toutes les femmes

préfèrent avoir mais par contre sa

mère et ses maudites sœurs, ces

sont des sorcières. »

—Moi:« Et si ton ex-mari est une

personne exceptionnelle et qu'il est

le genre d'époux que toutes les filles

désirent, pourquoi vous avez divorcé.

»

—Elle:« Ah! C'est vraiment compliqué,

tu ne peux comprendre mon amie.

Est-ce moi qui ai fait que Constant

soit stérile ?... »

Après avoir entendu cela, mon

exclamation lui a rompu la parole :

—Moi (en s'écriant) :« Quoi ?!!! »

Immédiatement mon mari qui était

resté initialement au selon, est venu

me rejoindre car probablement mon

exclamation avait tiré son attention.

—Constant:« Ma princesse, qu'est-ce

qui ne va pas ?»

Du coup j'ai raccroché, malgré que

Olga me devait encore plusieurs

d'explications sur ce qu'elle venait

d'affirmer.

—Moi:« Chéri j'ai vu un rat, un gros

rat... Ah! C'était horrible. »

Immédiatement il m'a fortement serré

dans ses bras pour me fortifier.

—Lui:« D'habitude les rats ne sont

pas ici! Mais bon, il me faut acheter

un chat. Donc n'aie pas peur mon

amour okay ? »

—Moi:« Hummm... »

Du coup je me suis collée fortement

à lui, et par contre lui, ne faisait que

me tapoter doucement sur les

épaules comme un bébé dans une

berceuse. Et c'est comme ça que

nous nous sommes endormi mes

amis.

Une semaine plus tard, j'étais allée

dans la cuisine pour faire le

déjeuner. Et quant à Constant, il était

parti prendre sa douche avant de me

rejoindre dans la cuisine où il m'a

trouvé en train de manger.

Du coup il est venu se poser à côté

de moi avant de me faire des bisous

sur la nuque.

Il m'a fait les câlins pendant

quelques minutes avant de se servir

à manger et aller au salon voir la

télé.

Quant à moi, dès que j'avais fini de

manger, j'étais allée dans la chambre

lire une chronique. Pendant deux

heures j'étais dans mon monde

jusqu'à ce que mon mari m'a rejoint.

Il est venu s'allonger à côté de moi

avant de me prendre dans ses bras

et me dire :

—Constant:« Demain je t'emmène

visiter mon entreprise. »

—Moi :« Ohhh trop bien. »

—Lui :« 9heures tu te réveilles. »

—Moi :« Oui, ne t'inquiète pas bébé.

»

Soudain on avait continué à parler

puis je m'étais endormie.

Le lendemain Constant m'a réveillé,

puis après il est allé prier comme le

font les musulmans vu que c'était

l'heure et quant à moi, je suis allée

prendre ma douche. Et Lorsque je

suis sorti de la salle de bain, il m'a

dit :

—Constant :« Maintenant à chaque

fois que je ferai la prière, tu la feras

avec moi. Tu dénigres trop la prière

et ce n'est pas bien Joyce. »

—Moi :« Humm... »

—Lui:« Quand je me réveille pour

faire la prière du matin, je te réveille

c'est bon ou pas ? »

—Moi :« Hmm. »

—Constant:« Cinq prières par jour ce

n'est pas beaucoup princesse et je

sais que tu peux le faire. Je ne suis

pas un saint, j'ai fait pleins de

pêchés dans le passé et même

jusqu'à maintenant j'en fais mais

chaque jour je demande le pardon au

Tout-Puissant, j'implore son pardon.

Fais de même princesse »

—Moi (en souriant): Oui d'accord. »

—Lui (en me faisant un clin d'œil):«

C'est toi la meilleure. »

Il était déjà prêt hein, il s'était juste

changer pour mettre un jean bleu

avec un polo blanc et des

chaussures blanche. Il avait mis sa

montre et ses lunettes de soleil

comme toujours ; il se croyait trop

beau. Et moi je m'étais parfumée

crémer avant de mettre un ensemble

en pagne couleur mauve, c'était une

jupe avec son haut manches longue

en forme de chemise. J'avais

planqué mes cheveux en arrière

avant de descendre rejoindre mon

mari dans le salon.

Je tiens à préciser que je n'étais pas

maquillée. Et Quand Constant m'a vu,

il est venu vers moi et...

—Constant:« Ah! C'est la princesse à

Constant. »

—Moi (en souriant):« Arrêteuh. »

—Constant:« Fais un tour pour que je

puisse bien te voir. »

—Moi avec une voix coquine: « Ah!

Bébé. »

—Lui:« Tourne pour ton mari. »

Il me tenait une main et à l'aide de

celle-ci, il m'a fait faire un tour sur

moi-même avant de me réfugier dans

ses bras. Il aimait trop me flatter, un

vrai flatteur cet homme. Je savais

qu'il pensait ce qu'il disait mais il

savait comment me faire sentir

unique.

Bon bah, je lui ai fait un câlin, puis

immédiatement il m'a dit:

—Constant :« Tu veux que je fasse

une crise cardiaque ? »

—Moi :« Pourquoi ? »

—Lui:« Tu es trop belle »

—Moi (en souriant) :« Constaaaant. »

—Constant :« Oui princesse. »

—Moi :« C'est bon on y va. »

—Constant:« Non non non. Refais un

tour pour moi. »

—Moi en souriant :« Constaaaant. »

—Lui :« S'il te plaît »

J'ai à nouveau refait un tour sur moi

avant qu'il fasse semblant de

s'évanouir. Il s'était laissé tomber

sur le canapé derrière lui et je

m'étais mise à rigoler avant de lui

mettre des petites claques mais

vraiment des petites sur ses cuisses.

—Moi :« Bébé arrête. »

Du coup il s'est relevé avant de me

dire :

—Constant :« Non sérieusement tu es

magnifique princesse. »

—Moi :« Merci mon sucre. »

Immédiatement il a passé ses deux

bras autour de mon cou avant de me

faire un bisou sur le front et sur la

bouche. Qu'est-ce que je l'aimais,

qu'est-ce j'étais amoureuse de cet

homme. Olololo...

Par la suite, nous sommes allés à

son entreprise qui se trouvait un peu

loin de chez lui. Dans la voiture on

parlait de tout et de rien. Puis après,

il s'est garé devant un grand

immeuble trop beau à Lemba. Y avait

plusieurs étages, trop beau. Donc il

est descendu de la voiture et moi

également. Puis je suis allée à côté

de lui avant que l'on rentre. L'accueil

était parfait, les filles étaient

habillées de tailleurs noirs. Elles

étaient toutes souriantes. Constant

les avait salué et commençait à me

montrer chaque emplacement. C'était

trop beau et trop grand. Les

personnels ne parlait pas bien le

lingala, c'était soit les français soit

l'anglais.

Au fait, Constant m'a présenté devant

ses employés puis après, il a

commencé à m'expliquer comment

leur système fonctionnait. Je le

regardais parlé et j'étais vraiment

fascinée par leur travail. Je m'étais

vraiment jamais intéressé par ce qu'il

faisait, c'était une première pour moi.

Je lui caressais la barbe pendant

qu'il parlait et c'était exceptionnel

mes amis.

Après m'avoir visité son entreprise, il

m'a invité dans un superbe resto en

face de l'immeuble où son entreprise

se trouvait. Nous avons commandé

du riz, le poulet rôti et deux verres de

vin blanc.

En effet, on était en train de manger

quand j'ai vu ma meilleure amie Olga

et Serge mon ex-copain en train de

s'embrasser de l'autre côté du

restaurant, et tout d'un coup la terre

s'est dérobée sous mes pieds et les

larmes ont commencé à couler

d'elles-mêmes.

À SUIVRE...

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