Partie 12 : prête à tout
Write by Mayei
…Tania...
Si Léopold pense qu'il va s'en sortir comme ça et bien il a tire dans l'eau. Il
pense que je vais rester la les Bras croiser à le regarder jouer avec cette
petite, sous mon nez, sous mon toit ? Jai trop fait de sacrifice pour que cette
petite pimbêche de rien du tout fasse partie des noms qui figurant sur son
testament. Il n'y a de places pour personne d'autre à hormis mes enfants et
moi. En tout cas je l'attends de pieds ferme ici.
Nous vivions ma famille et moi dans la région de Prikro, un département à 50
kilomètres de Bouaké. Tout le monde connaissait sa famille à cause de leur
richesse. Ils avaient des sociétés un peu partout notamment dans le transport,
les usines même ils en avaient (la scierie du village leur appartenait). Et le
plus important dans tout cela était que Léopold était le seul fils donc le plus
grand héritier. A chaque fois qu’ils venaient passer les vacances au village,
il ne fallait pas voir ses sœurs Marianne et Bénédicte comment elles se
pavanaient dans le village avec leurs effets de marques : des sacs par ci, des
chaussures par la ! Léopold n’était pas tellement beau mais qui s’en
préoccupait ? La richesse rend beau je vous assure, son argent compensait très
bien.
On ne pouvait compter le nombre de filles dans ce village qui ont visité son
lit. Ce qui me foutait les boules était que malgré tous mes efforts c’était à
peine s’il me regardait. Je me savais belle, je mettais mes formes en valeurs
mais à chaque fois que lui et moi nous rencontrions dans un même endroit, il ne
tournait jamais la tête vers moi.
Puis un jour ma sœur fit irruption dans ma chambre comme une furie. Elle
sautait partout comme une folle, elle ne tenait pas en place.
Moi : pourquoi as-tu l’air si excitée ?
Louise : tu ne devineras jamais qui vient de me faire des avances
Pfff, c’est pour me sortir un gras de ce village, pendant que je cherche moi à
avoir un mec pour me rendre sur Abidjan, elle se contente de la médiocrité.
Elle est toujours entrain de se contenter des gars de ce village
Moi : si c’est pour un de tes gars dans ce village, épargnes moi ça
Louise : si tu me parles encore comme ça, je te tape sur la bouche. Je ne suis
pas ta camarade Tania. Si je viens t’exposer mes histoires c ‘est pour créer
une bonne relation entre nous
Moi : hummm pardon oh ! excuse moi… parle seulement
Louise : assieds-toi bien ! Léopold vient de me faire des avance Tania, tu
t’imagines ?
Elle était toute enthousiaste mais de mon côté, tous mes sens se sont mis en
éveil ! non non, ça ne pouvait pas être vrai. Léopold que je cherche à avoir.
Moi : Léopold ? quel Léopold ?
Louise : ah tu connais combien de Léopold ?
Moi : ... ... …
Louise : Bon ce n’est pas tout je dois vite me tenir prête pour aller le
retrouver à la buvette
Je suis restée prostrée à la regarder avec sa joie qui me dérangeait au plus
haut point. Pour la première fois de ma vie, je jalousais ma grande sœur.
Pourquoi c’est elle que Léopold a décidé de voir ? de la tête aux pieds, je la
regarde, je ne vois même pas en quoi elle est plus jolie que moi. Je suis mille
fois plus belle qu’elle donc pourquoi elle et pas moi ?
Au début je pensais ou du moins j’espérais que cette relation amoureuse ne dure
que l’espace des vacances scolaire mais pour mon plus grand désarroi, même une
fois a Abidjan, il continuait de s’occuper d’elle à distance. A chaque fois il
envoyait son chauffeur apporter de l’argent…il ne fallait pas voir mes parents
et le gros dos. Pendant ce temps, la jalousie me rongeait à l’intérieur.
La cerise sur le gâteau a été quand il a décidé d’installer Louise dans un bel
appartement dans la commune de zone 4 à Abidjan. La haine qui m’a habitée ce
jour là, je ne saurais la décrire, même aujourd’hui mais il me fallait à tout
prix rejoindre la capitale. J’ai donc supplié Louise pour qu’elle me prenne
avec elle. C’est comme ça que toutes les deux nous avons rejoins Abidjan.
De fil en aiguille, j’ai su me servir de ce que ma sœur faisait pour agir
contre elle. Elle avait cet ami du nom de williams qui l’aidait souvent pour
ses cours. Elle ne le voyait qu’en ami mais lui par contre, on pouvait lire
bien plus dans ses yeux. Il mourait d’amour ou de désir pour elle. Un jour
alors qu’il était arrivé bien plus tôt que leur heure habituelle, j’ai saisi ma
chance pour commencer mon plan
Moi : tu aimes ma sœur ?
Williams : pardon ?
Moi : ça se voit que tu l’aimes à en mourir ! on le voit dans ton regard
Williams (se raclant la gorge) : je ne vois pas de quoi tu parles
Moi : c’est dommage alors ! j’avais ma petite idée sur comment te débarrasser
de Léopold et l’avoir pour toi toute seule…mais bon je ne vais pas te déranger
plus longtemps.
J’ai fais mine de m’éloigner et quand il m’a retenue par le bras j’ai tout de
suite compris que mon plan allait s’actionner. J’ai esquisser un sourire avant
de me retourner vers lui et de commencer à lui parler.
Deux semaines se sont écoulées depuis ma petite discussion avec Williams.
Louise : madame ?
Moi : oui ?
Louise : c’est comment les cours ?
Moi : ça avance, ça avance on va bientôt rentrer dans les révisions avant
l’examen
Louise : tu es sûre que tu n’as pas besoin d’aide ? williams pourrait
t’aider
Moi : désolée je n’ai pas besoin de suivi moi ! je suis assez intelligente
comme ça
Louise : je vais faire comme si je n’ai rein entendu
Williams est venu nous trouver sur notre échange ce qui a coupé court !
Moi : williams je te sers quelque chose à boire ?
Williams : un jus d’orange s’il te plait
Moi : ok
Je me suis vite dirigée vers la cuisine et j’ai sorti trois verres. J’ai
précisément choisi le verre préféré de Louise. J’y ai versé une poudre blanche
et j’ai bien remué avant de tout mettre dans un plateau pour faire le service
une fois de retour au salon. C’est avec une grande joie que je la regardais
tout ingurgiter. Quelques minutes plus tard, elle tombait de sommeil.
Williams : qu’est ce qu’on fait maintenant ?
Moi : commence par la soulever et la coucher dans son lit. Déshabille-toi et
couche toi près d’elle
Williams : ok
Pendant ce temps, je prenais le téléphone de louise pour envoyer un message a
Léopold : « williams, j’ai envie de toi encore ce soi ! Léopold ne viendra pas
aujourd’hui donc tu peux passer »
J’ai noté le numéro de Léopold dans mon téléphone car j’en aurai besoin pour la
deuxième partie de mon plan après quoi J’ai pris soin d’effacer pour ne pas
laisser de traces. Le téléphone de Louise s’est mis à sonner évidemment c’était
Léopold. J’ai laissé sonner à chaque fois puis j’ai fini par éteindre.
C’est à la vitesse éclaire que Léopold a débarqué dans la maison alors que
j’étais confortablement couchée dans le fauteuil entrain de regarder un
programme à la télévision.
Léopold : où est-elle ?
Moi : qui ?
Léopold : où est ta sœur ? où est cette pute ?
Moi : je te défends de parler de ma sœur ainsi
Léopold : c’est ça tu la couvres ! c’est ce que vous faites dans cette maison
que je paie ?
Il a tout droit filé comme une flèche dans la chambre de ma sœur. Williams
était tout nu et donnait l’impression de sortir de la douche. Louise dormait
toujours.
Moi (faussement outrée) : williams ? qu’est ce que tu fais dans la chambre de
Louise ? Nu en plus
Williams : tu étais sensée dormir
Moi : je ne dors pas ! c’est ce que vous faites dans mon dos et cette louise
qui dort profondément ! c’est beau joué
Williams : euh…
Moi : tais toi … Léopold ?
Léopold restait étrangement calme, trop calme à mon gout. Il regardait williams
avec insistance puis a dirigé son regard vers louise. J’avais peur qu’il se
mette à crier et qu’il remarque qu’il y avait quelque chose qui clochait chez
louise. Je lisais la détresse dans ses yeux, il avait mal
Léopold : je vous donne deux jours pour quitter cette maison.
Le lendemain j’ai fais la commission de Léopold à louise qui était dans tous
ses états. J’ai bien appuyer en la traitant de tous les mots. Je l’ai bien fait
culpabiliser car c’est à cause d’elle on allait perdre tout notre confort.
Louise n’avait pas d’autres choix que de retourner au village. Pour moi il n’en
était pas question ! je suis donc restée chez mon amie Ginette. J’ai entendu
que les moqueries à l’égard de louise étaient assez intenses là-bas au village.
Cela me réjouissait fortement.
La deuxième partie de mon plan était de semer la haine dans le cœur de Léopold
vis à vis de ma sœur. Je lui ai fais croire que la seule façon de blesser ma
sœur comme elle l’a fait était de m’épouser moi car épouser une autre ne lui
dirait absolument rien. Cela a été vraiment facile avec mes exploits sexuels.
C’est comme ça qu’un jour, Léopold suivi d’une délégation de sa famille se sont
présentés devant la porte de mon père. Louise s’est emballée en voyant Léopold,
croyant qu’il venait pour elle. Elle a très vite déchanté quand il a demandé ma
main.
La dote a été acceptée facilement ! Mes parents étaient tout heureux sauf
Louise bien sur
Louise (les larmes aux yeux) : et vous acceptez comme ça, aussi facilement que
Léopold la Marie ?
Moi : Ursula arrête le bruit s'il te plaît ! Chacun sa chance
Louise : je vais te donner la correction de ta vie tu me sentiras.
Maman : touche-la seulement et tu verras !
Papa : bon je vous laisse régler ça je vais voir les anciens
Louise : donc tu es vraiment d'accord avec ça ! Quelqu'un qui a couché la
grande sœur va aussi coucher la petite sœur
Maman : Ursula se sont des choses qui sont arrivées avant même la naissance de
nos ancêtres ? Es tu la première à qui ça arrive ? Tu nous fatigue ! Sois
plutôt contente que Léopold ne soit allé dans une autre famille ! Tu
bénéficieras de ses largesses par Le biais de ta sœur où est le problème ?
Souvent je me demande bien d'où tu viens ? Tu es trop égoïste...tu n'aimes pas
partager
Moi : dis lui bien ça
Ursula : tu sais Williams m’a dit que c’est toi qui avait monter ce plan Mais
je n'arrivais pas à Le croire ! Aujourd'hui j'en ai la confirmation, tu es le
diable incarné ! Je ne ferai aucun scandale Mais je te laisse à la miséricorde
divine car sa colère est justice
Après cet épisode, Louise a coupé les ponts avec nous. Aux dernières nouvelles,
elle s'était envolée pour l'Europe Mais je ne sais pas précisément où ! Ça
m'importe peu d'ailleurs. Mon mariage a été célébré même si ses sœurs Marianne
et Bénédicte ne m'aimaient pas du tout car elles étaient amies avec Louise. Mes
parents avaient les maisons qui faisaient partir des plus grandes du village et
moi je vivais ma vie tranquille avec Léopold jusqu'à ce que ses problèmes
détection surgissent
Ping ping ping
Je suis sortie de cette longue réflexion en entendant le Klaxon de la voiture
de Léopold. Je me suis levée en me dirigeant vers la chambre puis me suis
assise sur le lit en l'attendant. Il faut que je reste calme si je ne veux pas
que mon plan tombe à l'eau
Léopold : bonsoir
Moi : bonsoir chéri bonne arrivée
Léopold : hum
Moi : attends-je te débarrasse de tes effets
Léopold : ce n'est pas la peine de jouer les épouses gentilles et soumises ! Je
ne passe pas la nuit dans cette chambre
Moi : ce n'est pas un problème ! C'est aussi ta femme et elle a besoin de toi
c'est le partage
Léopold : qu'est-ce qui t'arrive ?
Moi : comment ça ?
Léopold : depuis quand es tu aussi gentille ?
Moi : j'ai compris que ça ne sert à rien de passer mon temps à crier ! Il faut
que je mette de l'eau dans mon vin et accepter la cohabitation. Si cela te rend
heureux, j'accepte
Léopold : ok je vais prendre une douche
Moi : Je t'attends
Dès que j'ai entendu l'eau couler, je me suis mise à marcher à pas de velours
et j'ai saisi les clés de la chambre. Je suis sortie en bouclant derrière
moi
Moi : bien ! On verra par où tu passeras pour aller te glisser dans le lit de
cette autre idiote là !
J'ai pris les clés et c'est en chantonnant que je suis allée me poser devant la
télé du salon qui se trouve juste à côté de notre chambre. À peine 10 Minutes
que j'entendais Léopold crier. J'ai juste augmenté le volume pour ne plus rien
entendre
...Murielle...
Toute cette soirée j’ai passé mon temps enfermée dans la chambre avec la peur
au ventre. J'avais tellement peur que Léopold vienne à nouveau dans ma chambre.
Si la dernière fois Le Viagra n'a pas marché, ce n'est pas garanti que cette
fois-ci ça ne marchera pas. Je suis restée sous mes draps jusqu'à ce que
j'ouvre mes yeux et que je constate que le soleil était bien haut dans le ciel.
J'ai regardé autour de moi il n'y avait point de Léopold ! Jai levé les yeux au
ciel comme pour dire merci à Dieu.
Jusqu'à ce que je finisse de prendre ma douche, Tania n'avait pas encore fait
signe de vie ! Décidément qu'est-ce qui se passe aujourd'hui ? J'ai mis une
tenue et je suis allée rejoindre Syntiche.
Moi : bonjour Syntiche
Syntiche : bonjour Murielle tu as bien dormi ?
Moi : oui trop bien même ce qui me surprend ! Ta patronne n'est même pas venue
me réveiller
Syntiche : elle est sortie très tôt ce matin en me laissant la clé de leur
chambre. Apparemment elle a enfermé monsieur dedans toute la nuit
Moi : oooooh
Syntiche : oui oh ! Quand je te dis qu'il y a des choses dans cette maison. Tu
veux que je te fasse quelque chose à manger ?
Moi : non ça va ne te gêne pas je vais Le faire moi même
Je me suis fait un bol de céréales et dans le silence j'ai commencé à déguster.
La porte de la cuisine s'est ouverte et j'ai sursauté en croyant avoir affaire
à Tania ! Mais à sa place j’ai vu entrer un jeune homme grand de taille, noir,
vraiment beau. Il ressemblait fortement à Tania. Il était suivi de très près par
Nadia
Nadia : ah maintenant que j'y pense et n'as pas encore rencontré notre chère
belle mère. Samuel je te présente ce que notre père a décidé de nous imposer
dans cette maison
J'ai décidé de l'ignorer
Samuel : Nadia !
Nadia : quoi ? C'est quoi le problème ?
Samuel : je t'ai toujours dit de savoir comment tu parles à autrui ce n'est pas
respectueux
Nadia : respect pourquoi ? Elle n'a même pas 19 ans j'en ai 25 je te rappelle
et toi 28 donc personne ne me fera la respecter. Syntiche monte moi mon petit
déjeuner dans ma chambre et je n'ai pas envie de me répéter
Elle est sortie en claquant la porte
Samuel : vous êtes ?
Moi (timidement) : Murielle
Samuel : ok moi c’est Samuel ! Excuse ma sœur, elle a un comportement assez
étrange. Syntiche je suis au salon j'aimerais bien une omelette avec du pain
s'il te plaît !
Syntiche : bien monsieur
Samuel : je t'ai dis d'arrêter de m’appeler monsieur Syntiche ! Je ne suis pas
vieux
Syntiche : d'accord
Il est parti en nous faisant un sourire.
Moi (murmurant) : Syntiche tu es sûre que c'est l'enfant de Tania ça ?
Syntiche : oui il vient de temps en temps rien à avoir avec sa sœur ! Attends,
je me dépêche
Je suis vraiment stupéfaite par Samuel ! Léopold est mauvais tout comme sa
femme Tania et sa fille Nadia. Cependant Samuel est tout le contraire d'eux !
C'est vraiment étonnant.
... une semaine plus tard ...
Léopold n'a toujours pas encore trouvé la porte de mon intimité car mes règles
se sont présentées. Je ne me souviens pas avoir déjà été si heureuse de les
voir. Il fallait me voir sauter dans tous les sens.
Moi : allo bébé
Nolan : hey chérie comment tu vas ?
Moi : bof ! Tu ne m'as même pas appelé hier
Nolan : désolée ne te fâches pas...je n'ai même pas eu du temps à moi ! Ne te
fâches pas ok ?
Moi : d'accord ! Maintenant que j'entends ta voix je ne suis plus fâchée
Nolan : tu ne sais pas combien de fois j'attends que ces quatre mois passent
pour te revoir ! J'en ai marre de n'entendre que ta voix...j'ai besoin de te
toucher
Moi : moi aussi j'ai besoin d'être dans tes bras
Nolan : je dois te laisse bébé j’ai une Réunion dans moins de deux
Minutes
Moi : okay
Nolan : je te rappelle dès que je rentre je t'aime
Moi : je t'aime aussi bébé
Jai longtemps garder mon téléphone sur ma poitrine en pensant à lui. Je sais
que ma façon de gérer la situation n'est pas la meilleure Mais je ne peux me
résigner à l'idée que Nolan ne fasse plus partir de ma vie. Je sais c'est
égoïste de ma part Mais au moment venu on verra comment régler ça !
... Céline...
Moi : ma copine je ne te dis pas le genre gars sur qui je suis tomber
Naomie : déjà arrivée la ?
Moi : je te dis ! Quand ton bonheur se trouve quelque part c’est comme ça que
ça te suit
Naomie : ah bon hein ! Raconte moi bien
Moi : c’est Le type dont tout le monde rêve hein ! Il est grand beau, le teint
ciré comme s'il est né ici en plus de ça il sent l'argent de loin
Naomie : ma chérie ce genre de type existe ? D'habitude ils sont fliqués et
laids ou beaux et pauvres ! Ou tu l'as même vu ?
Moi : au boulot, il fait une formation au dessus de la mienne
Naomie : et comme il fait la formation au dessus de toi tu en conclus qu'il est
riche à en crever les yeux ! Tchrrrr pardon accroches toi à Jacques. Vous
faites la même formation qu'il t'envoie où ?
Moi : tu aimes trop vite aller en besogne ! Tu aimes trop ça ! Je n'ai même pas
fini de parler que tu tires tes conclusions
Naomie : hummm
Moi : donc le gars, Nolan il se nomme. Il m'a fait rentrer dans une bijouterie
ma chérie, jamais je ne suis rentrée dans ce genre de coin ! Partout brillait
les diamants oooh. Tu sais que les magasins aiment mettre dans les vitrines ce
qu'ils ont de plus beau n'est-ce pas ?
Naomie : arrête de me poser des questions continue de parler seulement
Moi : c’est un bijou de la vitrine qu'il a choisi ! Forcement Le prix va avec
et il ne transpirait même pas. C’était comme une course de tous les jours qu'il
faisait
Naomie (toute excitée) : wouuuuuuuh ma copine a gagné le gros lot ooooh ! Mets
le plan séduction en marche, on ne peut pas laisser passer ça comme ça
tchiiiiii ! Les diamantaires qu'on cherche partout dehors
Moi : je te dis ! Mais Le collier qu'il cherchait était pour sa copine oooh,
une petite de 18 ans
Naomie : krkrkkrkrkr le père ci à quel âge ?
Moi : sûrement qu'il approche la trentaine Hein
Naomie : krkrkrkkrkr tu auras tous les types Cécile ! C’est Le diamantaire
pédophile ?
Moi : idiote krkrkrkr un peu de respect pour mon futur mec ! Laisse c'est
l'expérience qui parle ! Une petite de 18 Ans peut faire quoi devant moi avec
ce bagage physique que J’ai
Naomie : en tout cas je te fais confiance
Moi : bon je dois te laisser ma chérie ! Il se fait tard Chez moi demain je
travail
Naomie : à vous les jeunes cadres dynamiques bisous
Moi : bisous
Depuis que j'ai vu ce Nolan, je sais qu'il me Le faut ! Ici dans la vie chacun
a ses problèmes moi je ne suis pas née riche donc c'est normal que j'essaie de
m'entourer de personnes riches pour espérer finir ma vie à l'abris du besoin. La
pauvreté j'y ai goûté et je ne suis pas prête à finir ainsi oooh ! je laisse ça
pour les autres. Quelqu'un qui paie les chaînes en diamant sans cligner des
yeux vous voulez que je laisse ! Désolée pour le bébé-ci q