Partie 17 : Naomie
Write by Mayei
…Naomie...
Je regarde l’heure
rapidement, il est 18 heures. Il faut que je sois belle le plus vite possible
car il ne va pas tarder à arriver. C’est à cette heure que nous avons pour
habitude de nous retrouver et ce juste pour quelques heures. Je ne dois pas me
plaindre, c’est comme ça quand on sort avec un homme marié. J’ai fini de
préparer il sera la d'ici peu, je dois donc enlever toute odeur de nourriture
sur moi et dans la maison. Pour se faire, j’ai allume une bougie senteur
lavande.
Cling
Qu'est-ce que je disais ?
J’ai rapidement mis mon parfum et je suis allée ouvrir la porte. Il est rentré
en me saluant
Auguste : c’est ce que
j'aime chez toi ! Tu es toujours au point quand je viens te voir. Rien à avoir
avec cette femme qui ne jure que par les boubous que j’ai garé chez moi à la
maison
Moi : pourtant tu es
toujours avec elle
Auguste : j’ai pourtant
été clair avec toi Naomie ! Tu me donnes un enfant, je balance directement les
dossiers du divorce
Moi : pourquoi insistes-tu
autant sur cette affaire d'enfants ? Tu en as déjà une non ?
Moi : Naomie tu me
fatigues avec tes questions tu me donnes l'enfant, je t'appartiens
Moi : tu fais du chantage
Auguste : prends ça comme
tu veux !
Je me suis éclipsée dans
la cuisine lui prendre de l'eau pour qu'il se désaltère. Je me suis assise le
regardant vider son verre.
Auguste : viens près de
moi, je n'aime pas quand tu es loin comme ça !
Comme un robot je me suis
exécutée. Il me caressait les fesses et de temps à autre les seins.
Moi : et ce dont je
t'avais parlé ?
Auguste : quoi encore ?
Moi : l'argent pour mes
affaires, mes magasins ? Je ne vais pas rester tout mon temps à dépendre de toi
Auguste : Naomie je paie
déjà ton loyer, les factures, tes voyages et tes shoppings. tu as besoin des
magasins encore pourquoi ? Si tu as besoin de quelque chose tu n’as qu'à me
demander
Moi : Mais c’est ce que tu
fais et tu ne veux pas m'écouter. J'ai besoin de ces magasins pour pouvoir m'en
sortir toute seule sans avoir à te demander à chaque fois
Auguste : aussi longtemps
que cela ne me dérangera pas tu n'auras pas besoin de ces magasins
Moi : auguste...
Auguste : tais-toi tu
parles trop ! Si j'avais besoin de me prendre la tête avec quelqu'un je serais
resté chez ma femme car elle sait très bien le faire. Je suis ici pour prendre
un peu de bon temps et oublier les soucis donc occupes toi de moi
Je n'ai plus rien ajouté !
Je me suis agenouillée devant lui et j’ai fais sortir son sexe tout flasque de
son pantalon pour lui faire une fellation de cinq minutes maximum car c’est
tout ce qu'il peut tenir.
Auguste : voilà j'aime
quand tu te comportes comme ça ! Occupes toi complètement de moi
Notre échange de plaisir à
duré environ vingt minutes et comprenez par la qu'il a même jouis deux fois ce
cher monsieur. Après avoir bien travaillé selon lui je lui ai servi de quoi
manger. Il a pris une douche et m’a remis une enveloppe
Auguste : tiens il y a un
million à l'intérieur ! Va faire du shopping ça te changera les idées
Moi (du bout des lèvres) :
merci
Auguste : c’est tout ?
Moi (à contre cœur) : je
t'aime
Auguste : voilà qui est
mieux
Il m'a embrassé et s'en
est allé. J’ai bien compté les billets pour m'assurer que le compte était bon
et qu’il s'agissait bel et bien d'un million. J’ai souri en pensant au fait que
je suis entrain de me construire une belle fortune en banque. Demain je
passerai déposer cette somme de plus. Ça va faire cinq ans que dure ma relation
avec ce père de famille. Au début c'était l'horreur de laisser ce vieil homme
me toucher ou même me monter Mais avec Le temps et l'argent aidant, j’ai très
vite dépasser ce complexe. Quelque soit la position qu’il veut je me courbe et
les billets pleuvent sur moi après, donc cela en vaut le coup. J’ai 26 ans,
Auguste doit avoir quoi ? le double de mon âge ? Je n'en sais rien je ne lui ai
jamais demandé son âge car cela m'importe peu. Tout ce qui m'intéresse c'est ce
qu'il peut me donner financièrement. Cécile et moi sommes dans un premier temps
sorties avec des hommes beaux et pauvres de notre génération qui ont seulement
pris nos cœurs pour jouer au football. Dès lors nous avons su que l'amour ce
n'était plus important. Aujourd’hui grâce à auguste j’ai largement de quoi
m'offrir plusieurs magasins mais je veux que ce financement sorte de sa poche
directement et non de mes économies.
Je pense que si je tombe
enceinte de lui, Jusqu'à ce que j'accouche, je pourrai lui soutirer énormément
d'argent. Souvent il faut savoir faire des concessions
Je suis rentrée dans ma
chambre et j’ai vidé tout mon panier de contraception. J’ai tout mis à la
poubelle. Je n'en aurai plus besoin, je me lance dans l'opération conception de
bébé.
... Murielle ...
Moi : voilà c’est ici !
Il s'est garé sur le côté
de la route et à arrêté le moteur.
Nolan (levant mon menton)
: je n'aime pas voir tes yeux aussi rouges !
Moi : ... ... ...
Nolan : je suis encore là
pour trois jours ! On pourra se faire des programmes et se voir dans la journée
ou si tu veux je viendrai de voir chaque soir on restera dans la voiture à
parler
Moi : sniff. D’accord
sniff
Nolan : viens dans mes
bras. Il n’y a pas de quoi pleurer. J’aime te voir sourire
Nous sommes restés comme
ça pendant je ne sais plus combien de temps puis tout doucement je me suis
détachée de lui
Moi : je vais y aller
Nolan (boudant) : pas sans
mon bisou