Partie 31 : Sur le cul
Write by Mayei
...Tania...
Une dernière couche de parfum et mon sac en main, je suis sortie de ma chambre
en prenant soin de bien boucler.
Une fois au salon j'ai senti l'odeur de la nourriture me chatouiller les
narines. Il n'y a pas de doutes cette pimbêche est encore dans la maison de mon
fils.
Moi : tu fais quoi encore la toi ?
Cécile (sourire aux lèvres) : maman le petit-déjeuner est près tu peux prendre
place
Elle m'énerve au plus haut point. Je suis sûre que c'est une fille de bas
quartier qu'il est allé soulever.
Moi : tchrrrr ! Personne n'est allé voir ta famille pour demander ta main mais
tu es dans cette maison à jouer les épouses parfaites. Tu n'as pas honte de te
vendre aussi moins cher ?
Cécile : je te sers quoi maman ? Du café ou du lait ?
J’ai envie de la cogner quand elle joue à la fille qui n'est pas atteinte par
mes insultes. Elle se prend pour qui a la fin ?
Moi : tu finis de te faire baiser n'importe comment et...
Samuel : MAMAN ?
Moi : oh mon bébé tu es la ?
Samuel : épargne-moi ça s'il te plaît. C'est quoi ce langage ? (Tirant sur une
chaise) tu peux me dire au fait quel est ton problème avec Cécile, parce que je
n'arrive pas à comprendre
Moi : je ne l'aime pas c'est tout !
Samuel : je pense qu'il est vraiment temps que je te trouve un appartement
parce que tu rends l'atmosphère de ma maison invivable.
Je les ai regardés sa sois disant femme et lui avant de claquer la porte.
"L'atmosphère de ma maison", "l'atmosphère de ma maison",
il sait ce que c'est une maison ? Juste deux chambres c'est ce qu'il appelle
une maison ? Qu'il refasse un tour chez son feu père et il saura c'est quoi une
maison. Il tient les rênes de la société laissée par son père et c’est dans ce
genre de trou qu’il vit ? n’importe quoi. Et cette fille de rien du tout qui ne
va pas le tirer vers le haut.
La mine attachée, c'est contre mon gré que je me suis installée sur la
banquette arrière de ce taxi miteux que je venais de héler. Les sièges sont
sales et déchirés à certains endroits et l'odeur dans tout ça ? La pauvreté
vraiment c'est une maladie. J’ai fais sortir un mouchoir de mon sac que j'ai
placé sur mon nez. J’ai garde une bouille de dégoût jusqu'à ce que j'arrive à
destination
Moi (jetant le billet de cinq mille sur lui) : tu peux garder la monnaie
Il s'est baissé pour prendre le billet
Lui : madame ce n'est pas comme ça hein. Ce n'est pas parce que tu es riche que
tu vas me faire comme ça
Moi : dégage de ma vue, en plus ton français laisse à désirer
Il a fouillé dans la boite et à versé la monnaie par la fenêtre avant de s'en
aller. S'il pense que moi Tania je vais me baisser pour ramasser ces miettes,
il se fourre les doigts dans les yeux. Il y a des mendiants qui passent souvent
par la, ils pourront ramasser ils en ont besoin.
J'ai traversé la route pour me retrouver devant le portail de mon ancienne
demeure. Je suis restée un moment debout à contempler le portail ainsi que
cette vaste clôture. Comme cet endroit ma étrangement manqué. Dire que tout
ceci m'appartenait ! Mais très bientôt j'y serai à nouveau. J’ai sonné et le
gardien m’a ouvert. J’ai souri en voulant rentrer.
Lui : madame vous ne pouvez pas rentrer
Moi : quitte sur mon passage
Lui : je suis désolée je suis les ordres
Moi : Les ordres de qui dejà ? Ici c'est ma maison.
Lui : ... ... ...
Moi (hurlant) : je demande tu suis les ordres de qui ?
Il ne parlait toujours pas mais comme DIEU sait faire les choses j’ai vu Nadia
arriver de loin.
Moi : bébé ? Nadia, viens, c’est maman
Elle s'est approchée jusqu'à nous
Nadia : tu peux la laisser rentrer c’est ma mère
Lui : Mais madame Marianne a dit...
Encore et toujours cette Marianne. Qu'est-ce qu'elle me veut à la fin ?
Nadia : laisse la rentrée j’ai dit
Lui (se poussant) : je ne veux pas avoir de problème oh
Moi : c’est avec moi que tu les auras ces problèmes une fois que j'aurais remis
Les pieds dabs cette maison. Imbécile ! (Me tournant vers Nadia) comment tu vas
bébé ?
Nadia : je vais bien maman et toi
Moi : comment vais-je aller bien si je suis loin de toi ?
Nadia : hum...
Moi : viens allons dans ta chambre
Nous avons silencieusement pris les escaliers pour nous rendre dans sa
chambre
Moi : oh tu as changé l'emplacement ?
Nadia : oui j'avais besoin de changer, besoin de quelque chose de nouveau
Moi : ok Mais où sont les autres ? Cette pimbêche de voleuse de mari ?
Nadia : maman tu es la pourquoi au juste. ?
Moi : Mais pour te voir toi, viens dans mes bras
Nadia : non ça ira
Je la trouve un petit peu changer mais ne m’y attarde pas trop
Moi : j’ai appris que vous aviez lu le testament de papa et je n'ai rien eu !
Rien de Chez rien
Nadia : et ?
Moi : je pensais que je pourrais gérer ta part pendant que tu finis encore les
cours comme ça tu ne vas pas tout dilapider
Nadia : les cours m’empêchent de gérer mon argent ? ou bien tu me trouves trop
idiote pour ne pas être en mesure de le faire ?
Moi : ce n’est pas ce que je dis, je propose juste mon aide
Nadia (me regardant dans les yeux) : je pensais que tu venais pour t'excuser.
Je pensais que tu étais là pour me demander pardon pour la manière dont tu as
saccagé ma vie. Tout le monde sait que je ne suis pas l'enfant de cet homme que
j'ai toujours appelé papa. Tout le monde sait que je suis le fruit d'une
infidélité, le fruit de ton comportement léger. Le bruit s'est répandu dans le
quartier, je ne sors plus car à mon passage ça chuchote. Mes journées se
limitent à l'école et la maison. Je n'ai plus d'amis, depuis le début de cette
histoire pas une fois tu m'as dit un mot pour apaiser la douleur que je ressens
et tu es là à vouloir Controller ma part d'héritage ? je ne suis plus la même
maman, je suis cassée à l’intérieur, je n’ai plus rien de cette fille
extravertie que j’étais
Franchement je n'avais pas envie de jouer les mères consolatrices et tout. Mais
comme j'ai besoin de cet argent il va falloir que je la joue fine
Moi : je suis vraiment désolée bébé. C’est juste que je ne savais pas comment
m'y prendre. J'ai honte de mon comportement c'est gênant d'aborder ce sujet. Ne
crois pas que veuille m’octroyer ton héritage mais juste le fructifier pendant
que tu es encore à l'école...
La porte s'est ouverte sur Syntiche
Syntiche : madame je vous respecte beaucoup mais je vais vous demander de
quitter cette maison
Moi : tu écoutes aux portes maintenant ? tu ne sais pas que ton poste c’est
dans la cuisine ?
Syntiche : oui j’ai bien compris mais il faut sortir
C’est vraiment l'hôpital qui se fou de la charité. Une servante, une bonne, mon
esclave va me demander à moi Tania de quitter Ma maison ?
Moi : tu te prends pour qui ?
Syntiche : votre présence lui fait plus de mal que de bien donc sortez. Elle
est majeure, elle a 22 ans donc peut gérer son héritage comme bon lui semble.
Vous n'avez pas un peu honte ?
Moi : c’est ma fille je fais ce que je veux d’elle
Syntiche : c’est peut-être votre fille mais il y a des personnes qui l’aiment
bien plus que vous
Je m’apprêtais à lui administrer une gifle dont elle allait se rappeler toute
sa vie
Nadia : je suis d'accord avec Syntiche tu es là pour me manipuler mais je ne
suis plus ta poupée qui t’obéissait à tout bout de champs. Maintenant je vois
le type de personne que tu es, Sors vas t'en
Moi : Nadia...
Nadia : ma...je ne sais même plus si je dois t’appeler maman. Sors de cette
maison je ne veux plus te voir.
...Naomie...
Moi : auguste tu vas continuer à me faire la tête comme ça ?
Auguste : ... ... ...
Moi : ok
Je l'ai laissé au salon pour me diriger sur la terrasse prendre un peu d'air.
Monsieur est fâche parce qu’il n'a pas assisté à l'échographie. Il voulait quoi
que je le prenne pour qu'il aille découvrir que je lui mens depuis le début
?
Je suis simplement allée à l'hôpital et en prétextant un retard on m’a fait
faire une échographie utérine qui n'a rien montré. À mon retour à la maison
J’ai montré la même échographie en montrant un point la à auguste lui faisant
croire que c’était l'emplacement de l'enfant selon le médecin. Monsieur s'est
fâché parce qu'il voulait être là. Il me sort par les pores.
Je me suis adossée contre le mur. Il faut vraiment que je trouve une
solution.
Auguste : c’est quand la prochaine échographie ?
Je me suis redressée en le regardant. À quel moment il a apparu lui ?
Moi : Dans un mois
Auguste : c'est quoi la date exacte ?
Moi : 10 juillet
Auguste : ok je prendrai ma journée ce jour la et nous irions toutes les
deux
Moi : ok
Auguste : je suis dans la chambre
Moi : j'arrive
Je crois que les dés sont jetés, il ne me reste plus qu'à faire sortir la carte
de la fausse couche sinon c’est Adieu à cette vie de rêve.
... ... ...
Simone : madame ?
Moi : quoi ?
Simone : Le gardien me charge de vous dire qu'il y a une femme qui aimerait
vous voir
Moi : c’est quoi son nom ?
Simone : elle refuse de le dire tant que vous ne venez pas
J'ai mis mes chaussures frénétiquement. On ne peut pas rester au calme ? Il
faut toujours qu'il y ait quelqu'un pour vous déranger. Mettant la manche de
mon boubou en place, je me suis dirigée à pas vifs vers le portail
Moi(surprise) : Cécile ?
Cécile : oui c'est moi !
Moi : oh Mais rentre
Elle est rentrée en regardant partout partout, voilà pourquoi je voulais rester
bien tranquille dans mon Chez moi. Nous nous sommes installées dans le
jardin
Moi : tu bois quelque chose ?
Cécile : un jus de fruit
J’ai demandé à Simone de nous apporter ce dont on avait besoin
Moi : comment tu as connu chez moi ?
Cécile : c’est d’ailleurs pour ca que je suis la. Naomie depuis quand tu as
déménagé ici sans me dire ?
Moi : Cécile, je sais que je ne t’en ai pas parlé…
Cécile : aaah donc tu reconnais que tu ne m'as pas montré chez toi. Je pensais
qu'on était amies, bien plus des sœurs. Je ne te cachais rien de ma vie jusqu'à
ce que j'apprenne par la coiffeuse que tu as déménagé
Moi : Cécile ça ns rien à avoir c’est juste que ma situation n'est pas stable
actuellement pour que je puisse me montrer partout. À l’heure là même je ne
sais pas comment ma vie va se passer j'ai besoin d'un enfant pour sécuriser
cette affaire
Cécile : oh Mais si ce n'est que ça je connais une dame au marche de Marcory
qui vend des plantes pour se laver le ventre et faire l'enfant très vite
Moi (reprenant de l’espoir) : ah bon ?
Cécile : Mais oui ! Quand tu es prête tu me fais signe et on y va
Moi : maintenant même. Laisse-moi aller me changer
La femme m’a bien expliquer comment utiliser le tout, et surtout je devais
m’assurer d’avoir des rapports tous les jours avec mon mari pour que ça marche.
Me purger comme ça chaque fois avec le poivre africain ce n’est pas chose
aisée. A chaque fois ça me brule énormément mais je vais faire comment ?
Après trois semaines d’utilisation j’ai pris un test de grossesse et c’est avec
joie que j’ai remarque ces deux traits apparaître. Je suis réellement
enceinte.
...Murielle...
Audrey : c’est vraiment beau
Moi (fière) : eh oui
Adrienne : et dire qu'on a fait tout ça toutes seules sans l'aide de qui que ce
soit
Maman : de vraies bricoleuses.
Moi : merci Les filles...
Syntiche : il ne fait pas pleurer ici hein pardon
Nadia : elle passe tout son temps à pleurer
Audrey : en tout cas
Oui Nadia fait aussi partir de la partie, nous nous sommes beaucoup rapprochées
ces temps ci. J’ai aussi appris ce que Tania est allée faire. Samuel a même
demander à Syntiche qui voulait s’en aller de rester un peu plus le temps que
Nadia reprenne ses repères. C’est comme ça que Syntiche l’incluse dans tout ce
qu’elle fait, que ce soit la cuisine ou même aller au marcher lol. Qui aurait
cru
Nous avons enfin trouvé la maison qui nous convenait à maman et moi. Nous avons
vraiment tourné avant de trouver quelque chose sur nous aimions toutes les deux.
Et la Les filles n'ont aidée à décorer la chambre du petit qui est enfin prête.
Je suis à mon septième mois et mon ventre est au beau fixe. Je ne pars nulle
part sans qu'on le voie.
Je n'ai rien dépensé de ma poche pour les affaires du bébé. Audrey m'a offert
un tas de trucs sans compter tata Bénédicte et tata Marianne. Le bébé a des
vêtements qui vont surement servir jusqu'à ce qu’il ait même un an.
Je ne me tourne pas les pouces non plus. Finalement j'irai retrouver Didi aux
États Unis. J'ai commencé à faire Les démarches pour la rentrée de mai. Mon
enfant aura cinq mois donc ça ira.
Je ne me prends plus la tête, j'accepte la vie comme elle vient et ne me plain
pas
... Nolan ...
Je viens d'ouvrir un message de Léna et je ne peux m'empêcher d'avoir ce
sourire aux lèvres, il n’y a pas plus beau que ce genre de réveils.
C'est la photo de l'échographie avec comme légende huitième mois. J'ai suivi
l'évolution de la grossesse comme ça. À chaque fois qu'elle va en consultation
elle me fait un message pour le compte rendu comme une secrétaire à son
patron.
Je ne me rappelle plus de la dernière fois que j'ai entendu le son de sa voix.
J'ai enlevé le drap sur moi et je suis sorti du lit pour une toilette
rapide.
Moi (prenant mes clés) : je sors
Meira : tu ne prends pas de petit déjeuner ?
Moi : non
Meira : Nolan c'est quoi Le problème
Moi : ne commence pas Meira
Meira (se mettant à pleurer) : Nolan quand tu m'as proposée de m'épouser je
pensais que tu m'aimais. Je t’aime moi, ce pourquoi j’ai accepter sans hésiter.
Pourquoi tu me gardes dans ta maison ? On fait chambre à part, à chaque fois
qu'on a des rapports il faut le préservatif, ma nourriture tu n'y touches
pas.
Moi : Meira je n'ai pas le temps pour ça aujourd’hui.
Je suis monté en voiture. Je me sens de plus en plus mal. Je ne sais pas
pourquoi je fais tout ça en fait. Je ne l'aime pas je ne sais pas pourquoi je
ne me suis pas ressaisi à temps. Ma colère m’a poussé tellement loin et au
point où je ne peux plus aller en arrière, je me suis lancé dans quelque chose,
il faut que j'aille jusqu'à la fin.
J'ai conduis jusqu'à la maison familiale et sans vous mentir j’ai peur, peur
d'affronter maman. Depuis la fois passée nous n'avons plus échangé ne serait-ce
qu'un mot. Maman est du genre à avoir le gros cœur mais bon. J'ai fini par
klaxonner et laisser ma voiture à côté de celle de Audrey.
Tout le monde était au salon
Moi : bonsoir tout le monde
Papa a été le seul à répondre à mon bonjour
Papa : comment tu vas ?
Moi : on a connu de meilleurs jours
Maman : humm...
Je me suis assise près d'elle mais elle s'est levée automatiquement
Maman : je dois me rendre Chez Marianne pour les derniers détails pour le
mariage...Audrey tu viens ?
Audrey : bien sur
Moi : maman ??
Maman : hummmmmm Nolan qui est ta maman ici ? (Regardant partout) la maman de
Nolan tu es ou oooh il te cherche. Quand je vais retrouver ta mère, je vais te
l'envoyer. Audrey, allons.
Audrey (ricanant) : je vais prendre mon sac
Moi (regardant papa) : je sais plus quoi faire
Papa : laisse-lui un peu de temps tu connais ta mère
Maman : oui Ehui c’est ça supporte bien ton fils. Il se lève seul, mari une
fille sans sa famille, maltraite une qui attend son enfant et tu es là à
l'encourager, ce n'est pas sous mon toit. D'ailleurs je m'en vais
Je savais qu'il allait falloir du temps avec maman donc je suis monté dans la
chambre de Audrey.
Moi (refermant la porte) : Audrey ?
Audrey : je n’ai pas le temps Nolan
Moi : écoute moi pardon j'ai besoin de son adresse
Audrey : l'adresse de qui ?
Moi : Léna
Audrey : pardon laisse moi passer elle n'a pas besoin de toi pour la
stresser
Moi : j’ai juste des trucs à lui remettre c’est tout s'il te plaît, des trucs
pour le bébé
Audrey : hum ok note alors
Moi : merci
J’ai fais toutes les courses que j'avais à faire avant de me rendre chez
Léna
J’ai sonné en attendant qu'on vienne m'ouvrir
J’ai tout de suite reconnu sa mère
Elle (surprise) : oh Nolan c'est toi ?
J'ai juste souri
Elle : ne reste pas là, rentre
Ce que j’ai fais
Elle : tu veux que je te serve quelque chose mon fils ?
Moi : non maman ça ira
Elle : tu es sur ?
Moi : oui oui
Elle : ok je vais chercher Léna
Je me sentais gêne face à autant de gentillesse de sa part.
J’en ai eu Le souffle coupé quand elle a apparu dans cette robe avec son
ventre, son ventre. C’est mon bébé à l'intérieur, elle porte mon enfant, mon
fils
Léna : bonsoir
Moi : bonsoir
Sa maman : je vais vous laisser
Moi (mal à l’aise) : tu vas bien ?
Léna (souriante) : très bien merci
Je ne pouvais quitter son ventre des yeux
Léna : tu veux toucher ?
Moi : si tu le permets.
Elle a pris ma main et l’a placé sur son ventre, le bébé s'est mis à bouger
produisant une sensation indescriptible en moi. C’était comme si plus rien
n'existait autour de nous.
Moi (retirant ma main) : hum...j'ai apporté des trucs pour l'enfant, pour la
chambre et tout
Léna : comme quoi
Moi : berceau commodes tenues un peu de tout quoi
Léna (se levant) : ok je vois ! viens suis moi
Je l'ai suivi jusqu'à ce qu'elle ouvre la porte d’une chambre
Léna : viens
Dès que j'y ai mis pied j’ai été émerveillé par les couleurs, la décoration. Il
y avait tout ce qu'il fallait pour accueillir un enfant, du berceau jusqu’à la
table à langer.
Léna : comme tu peux le constater, la chambre est prête. Nous n'avons pas eu
besoin de toi. C’est vraiment gentil de ta part d'avoir pensé à nous mais tour
est la. Je ne pourrai pas placer deux berceaux en plus cela sera inutile.
Essaies de voir si tu peux tout retourner au magasin.
Je suis resté sur le cul !