Partie 5 : Les joies du foyer
Write by Mayei
***KYRIAH***
Tout
le monde réclamait des photos avec nous et ça devenait harassant si bien que le
moment de rentrer chez nous (oui chez nous qu'est-ce que vous croyez) était
comme une libération.
Yanick
: hum donc comme ça tu nous abandonnes hein !
Moi :
rooooh mon petit frère adoré je viendrai de temps à autre
Océane
: c’est cela blague nous une fois que tu seras bien avec monsieur tu vas nous
oublier tchooo
Melvin
: en tout cas profitez bien d'elle aujourd'hui car je ne vais plus la laisser revenir
hein, krkrkrk
Maman
: si elle ne vient pas est ce que nous on ne connait pas chez elle ? on
ira tous là-bas
Moi :
non deh maman c'est mon foyer à moi où est papa?
Je
le trouvai dans son salon il était perdu dans ses pensées
Moi :
papa on s’apprête à s'en aller
Papa
: oh déjà. Viens et prends place.
Je
fis ce qu’il me dit. Mon cœur s’était mis à battre à vive allure voyant la mine
sérieuse qu’affichait papa
Papa
: tu sais, La première fois que je t'ai tenue dans mes bras ce que j’ai ressenti
était inexplicable. Je me sentais tellement fier. Tu as grandi sans me faire
honte et pour cela je suis tellement reconnaissant envers Dieu. Tu as grandi trop
vite à mon goût et maintenant tu pars même fonder un foyer. N'oublies pas ceci,
avoir un foyer ne signifie pas que tu es seule. Tu as ta famille qui sera
toujours là pour toi quoi qu'il arrive. Si jamais tu as des problèmes n'aies
surtout pas honte de te tourner vers nous. Je ne te l'ai pas souvent dit mais
je t’aime énormément et tu restes mon bébé.
Je
n’en croyais pas mes oreilles mon père, Alain M'bouadan, cet homme si fort de
caractère et sévère venait de me sortir tout cela. J’étais fière et émue. Des
larmes coulaient tout le long de mes joues. Ah les papas ils font le malin mais
ils sont souvent très attachés à leurs filles. Si cela ne tenait qu'a eux,
elles seraient restées chez eux toute leur vie.
Moi :
je t'aime aussi papa
Il
me prit dans ses bras. C'est fou comme cela me faisait du bien. Maman et Melvin
vinrent mettre fin à notre petit Love.
Maman
: regardes toi tu me laisses mon mari hein qu'est-ce que tu croix Voici le tient
vas t'en
Moi :
rooooh maman on ne peut plus lover en paix ? Vraiment ! un mari que moi même je
te prête encore tu me cries là-dessus ? si on demande de faire un choix tu sais
pas que c'est moi qu'il choisira. N’est ce pas papa ?
Papa
: bien sur kyky
Maman
: tu penses que comme on a demandé ta main je peux plus te frapper ? Je ne vais
pas me gêner pour le faire et ce même devant Melvin
je
lui tirais la langue et Melvin éclata de rire.
On
prit enfin congé des parents et prirent la route pour Bietry.
Je
filai sous la douche histoire d’être fraîche avant d’être à mon homme. Maman
n’avait pas manqué d’ajouter des affaires dans ma valise et elle avait précisé
que je devais mettre ça après la douche pour faire tourner la tête de mon
homme. Le colis de maman était compose d’un cache sexe soutenu par des perles
qui faisaient scintiller mes hanches. Ce cache sexe était de couleur orange. Il
y avait aussi des perles pour seins qui ne cachaient que mes tetons. je me
couvrais du parfum qu’elle y avait glissé. Il sentait le mélange de passion et
de menthe. Je me sentais toute fraiche. Quand je sortais de la douche Melvin
était assis sur son lit. Le bruit de la porte lui fit soulever la tête. Je me
tins droite, le fixant.
Lui
: Ky…Kyriah qu’est-ce que tu es belle. J’ai juste envie de…
Il
avançait dangereusement vers moi. Il m'attira vers lui et prit mes lèvres
sauvagement. C’était tellement bon il arrêta et plongea son regard dans le
mien. Il frottait son érection contre mon entrejambe
Lui :
je t'aime tellement tu ne peux imaginer. Tu n’imagines même pas ce que je
compte te faire ce soir
Ces
mots me donnaient une de ces sensations au niveau du bas ventre qui se remplit
d'une chaleur inexplicable.
Moi :
je t'ai...
Je
ne pu finir ma phrase qu'il me coinçait contre l'un des murs de la chambre et
continua à m'embrasser. Nos lèvres se caressaient puis nos langues s’entremêlaient.
Il posa un baiser sur mon front. Puis mes joues, dans mon cou. Je tremblais
presque. Il me mordillait lobe de l’oreille. Il jouait avec mes perles de reins
qui faisaient un bruit enchanteur. Il s'empara de mes seins. Il passait ses
doigts sur mon téton gauche pendant qu'il léchait celui de droite.
Hummmmmm
donc c’est comme ça qu'il Ya du goût là-dedans ?
Moi
: Hummmmmm, oh oui bébé
Je
ne pouvais m’empêcher de gémir. Il m'embrassait à nouveau pendant qu'il faisait
glisser sa main de la naissance de ma poitrine jusqu'à mon antre. Il se mît à
caresser mon clitoris
Moi :
Melvin tu me rends folle c'est trop bon
Melvin
: chuuuut
Il
continuait de plus belle il caressait mon clitoris. Frôlait mes lèvres
inférieures. Il se mît à genou et écarta légèrement mes jambes puis glissa sa
langue chaude en moi.
La
mes cheveux même se dressaient. Pendant qu'il me léchait à en perdre la tête il
m’enfonça un doigt. Je criais de plaisir. Son doigt allait tout doucement puis de
façon plus accélérée. Je me mis à trembler je ressentais une sensation jamais
ressentie au paravent. Je me cambrais appuyant sa tête contre mon sexe. J'avais
l’impression de m'envoler, je convulsais même.
Moi
: bébé je viens de jouir la ?
Melvin
: effectivement Me dit-il en souriant.
Il
se redressa tout en gardant son doigt en moi. Il me souleva en je l’entourais
de mes jambes. Il me porta jusqu'à me poser sur le grand lit. Il se trouvait
au-dessus de moi. Il fit glisser son pantalon puis son caleçon. Ce que je vis
me glaça aussi tôt. Mes yeux étaient tous ronds. Il possédait un de ces machins. Je n'en avais
pas vu d’autres mais ce qui était devant moi était bien imposant.
Melvin
: veux-tu que j'éteigne la lumière pour ne pas te choquer autant ?