Prunelle De Mes Yeux!

Write by Mabanabook

VENGEANCE VS AMOUR : page 10


*Prunelle De Mes Yeux !


MARYSA 


Je fais les boutiques avec ma sœur aujourd’hui. Je dois renouveler ma garde-robe, j’essaye de lui faire prendre certaines chose mais elle ne veut pas elle me dit je serai si grosse là-dedans 


Moi : essaie de faire alors une Revenge body ? 


Elle : une quoi ? 


Moi : une revenge body comme Klhoé Kardashians dans l’émission sur la chaine E ! Tu verras que tu auras une si belle forme déjà que tout est là où il faut, il suffit que ce ventre rentre et que tu ailles bien. (Souriant) 


Elle : (trébuchant) ohh 


Moi : qui y’a-t-il ? (la rattrapant) 


Elle : (me rassurant) ça va, ces temps-ci j’ai trop de vertiges. Mais ça passe rapidement 


Moi : je croyais que c’était l’idée de faire comme Khloé qui t’avait rendu ainsi (la taquinant) 


Elle : non, non je crois que c’est la fatigue 


Moi : (rassurée) dis à mon copain de diminuer la fréquence alors 


Elle : tu es folle ! (riant) 


Moi : et Maxime ? 


Elle : on fait toujours chambre à part nous vivons comme colocataires, mais ces temps-ci il m’offre assez de cadeaux et est attentionné avec moi. Mais bof moi je veux vite divorcer et m’unir à Andy 


Moi : oui ta bague est si belle


Elle : la tienne aussi 


Moi : et si on se mariait le même jour ? 


Elle : (riant) bonne idée, (voyant une robe de mariée dans une vitrine) wahoo cette robe est faite pour toi 


Moi : mais je ne me marie pas d’abord 


Elle me tira et m’y emmena, je l’essayais et elle ne peut que dire Wahoo 


Moi : ne l’achète pas 


Elle : pourquoi elle te va si bien 


Moi : actuellement avec Kevin tout est bizarre, il semble préoccuper par autre chose, je ne le comprends pas


Elle : tu as parlé avec lui ?


Moi : non tu sais comment je suis, lorsque je commence je n’ai aucun filtre et ne m’arrête pas


Elle : maitrise toi et parle avec lui. Peut-être que ce n’est pas ce que tu penses. Tu m’arranges cela avant mon retour de voyage 


Moi : tu ne vas que le week-end ? 


Elle : oui mais c’est long pour arranger une histoire amoureuse (souriant) 


Moi : dis plutôt que c’est long pour toi et Andy, lui aussi sera en voyage d’après ce que l’on m’a dit


Elle : oui à Korhogo pour une émission et moi à Yamoussokro pour une interview


Moi : ah ça !  Le monde des journalistes présentateurs 


Elle : (à la gérante) je vous paie la moitié et vous garder la robe on reviendra la prendre la semaine prochaine 


Moi : tu es un ange 


Elle : et toi la prunelle de mes yeux, en plus je te le dois bien vu comment tu as bien réussi ton stage et sera bientôt employer au sein de l’entreprise. 


Moi : oui c’est une bonne opportunité pour moi et Kevin. Pourvue que l’on règle ce froid là 


Elle : ça ira (me rassurant) 


On finit les courses et on se laissa. Mais je la serrai très fort dans mes bras comme si c’était ma dernière fois 


Elle : (m’embrassant) tu me reverra assez vite, embrasse mon beau pour moi. Et règle cette histoire ma prunelle


Puis elle partit. Je l’aimais ma sœur et je suis contente car depuis Andy elle est plus joviale et on passe plus de temps ensemble, tellement qu’elle a recommencé à m’appeler ‘’prunelle’’, c’était un vieux prénom qu’elle m’avait donné et qu’elle n’utilisait plus. 


Je rentre à la maison et range un peu. Après  que  j’ai fait le ménage et la cuisine, Kevin arriva le téléphone scotché à l’oreille. Il me lança un « salut bébé » et alla s’enfermer dans la chambre il communiqua pendant des heures et il vient après vers moi 


Lui : je sors ma poupée à plus 


Non mais il se fout de moi ou quoi ? Il sort, je sens que ce soir ça va chauffer 


Moi : et tu vas ou ? (le fixant) 


Lui : régler une affaire, manges et va te coucher 


Moi : tu m’as mise cette bague pourquoi ? Si tu voulais juste un flirt, à quoi bon de me dire autre chose ? 


Lui : mais pourquoi tu dis ça ? 


Moi : depuis presque deux mois tu es bizarre, tu es renfermé sur toi et ce fichu téléphone et tu me fais passer pour un décor ici. Même le sexe, rien de rien (m’emportant) 


Lui : (me suppliant) ok on en reparle à mon retour poupée, je t’en supplie mais je suis pressé 


Moi :( (Lui bloquant le passage) on en reparle soit maintenant ou jamais 


Lui : mais je t’ai dit pardon


Moi : (haussant le ton)  nous ne sommes pas des enfants, je veux que l’on parle comme des grands. 


Lui : (voulant me faire bouger) allez vas t’asseoir et attends mon retour 


Moi : (déterminée)  pour passer cette porte tu passeras d’abord sur mon cadavre et si tu réussi  malgré que je sois vivante tu ne me retrouveras pas ici 


Lui : (commençant à se déshabiller) ok on le fera 


Moi : quoi ? (choquée) 


Lui :  (continuant son geste) tu veux que l’on fasse l’amour, je reconnais t’avoir négligé, viens on le fera 


Moi : on ne fera rien tant que l’on ne parlera pas 


Lui : c’est long à expliquer ca se fera  à mon retour laisse-moi passer s’il te plait


Moi : (enlevant sa bague) vas avec aussi et à bientôt Kevin (la jetant en face de lui) 


Lui : mais non, écoutes moi (voulant me toucher) 


Moi : (énervée et criant) Quoi ? Tu me prends pour une idiote, tu me pousses à venir vivre avec toi me comportant en vraie femme au foyer pour toi et toi tu me traites comme une stupide fille seulement accro au sexe, non mais tu n’es pas bien toi. Mieux je te laisse 


Lui : non ma poupée, pars pas je t’en prie (air triste) 


Moi : (faisant sortir la valise) eh bien c’est ce que l’on va voir 


Lui : je t’en supplie ma poupée, écoutes je te jure que je t’aime. Désoler si je t’ai blessée 


Moi : (mettant rapidement mes affaires à l’intérieur) une eau qui est versée comme aimait le dire ma défunte maman on ne peut la ramasser 


Lui : (se mettant à genoux) je t’en supplie,  alors je ne vais plus en verser. Je t’en prie ne me quittes pas je t’aime 


Moi : (le poussant et passant) au revoir 


Lui : les votes ont été truqués et c’est sur cela que j’enquête voici pourquoi je suis toujours parti


Moi : (laissant tomber ma valise) quoi ? 


Lui : les votes ont été truqués. Tu te rappel de ces machines à voter venant quelques jours avant les votes,  et bien figure toi qu’une d’entre les nouvelles machines  a été programmé pour n’afficher que le nom du président actuel. Et cette machine à  une carte mémoire, ainsi grâce a des stratégies j’ai pu convaincre le gardien et je pourrai aller prendre la carte mémoire et venir l’inspecter. 


Moi : (honteuse) mais pourquoi tu ne m’en as pas parlé ? 


Lui : (caressant ma joue)  je ne voulais pas t’y mêler, je suis le seul à le savoir et j’en ai parlé brièvement à M. Ehouo et je lui est demandé de rester calme tant que nous ne trouvions pas la vraie preuve qui prouve qu’effectivement la présidentielle lui a été voler 


 

Moi : mais je suis ton amie ou bien tu n’as pas confiance en moi ? Tu as pensé que j’allais le dire à tous ? 


Lui : même pas, mais j’ai voulu ne pas t’y mêler


Moi : mais pourquoi ? 


Lui : (soufflant) ton beau frère est apparemment lié à cela, parait-il que c’est lui et une femme puissante qui ont apporté ces machines 


Moi : Maxime ! 


Lui : oui, mais je n’ai pas encore réussi à tout prouver 


Moi : ça ne m’étonnerai pas de lui 


Lui : je vais de ce pas prendre la carte mémoire et revenir poupée, je t’en prie reste. Et pardonne-moi pour tout, je t’aime et veux t’épouser. 


Moi : (l’embrassant) moi aussi mon Keke d’amour, je suis désolé d’avoir réagi ainsi. Mais je veux t’accompagner 


Lui : il se fait tard poupée 


Moi : je suis journaliste comme toi et je peux t’aider. 


Lui : hum je ne sais pas si c’est une bonne idée 


Moi : je ne veux pas de mérite à toi reviens toute cette gloire mais je dois t’aider au moins pour me pardonner d’avoir douté de toi 


Lui : (hésitant un peu) ok poupée, nous pouvons y aller 


MAXIME 


Elle me fit une bonne fellation et alla s’asseoir pour fumer son cigare. Ah cette femme, elle me fait toujours tant d’effets 


Moi : elle veut vraiment divorcer Neslie, elle ne ressent plus rien pour moi apparemment 


Elle : (fumant) continue de lui envoyer des présents 


Moi : je ne fais que suivre ton conseil, mais elle me dit juste merci et rien, je ne sais plus quoi faire  


Elle : (sérieuse) il ne faut pas que tu la perdre Max, c’est une belle rare comme femme. Elle supporte tout et ne dis rien, même pendant cette séparation de corps elle veille à ce que tu ailles bien alors ne la laisse pas filer 


Moi : mais que faire ? 


Elle : continue d’être le mari idéal, petit déjeuner au lit et aussi pleins de surprises sa colère passera. 


Moi : ou alors tu peux toujours m’épouser toi ? 


Elle : je suis déjà marier et je suis ici avec toi, toi et moi nous sommes faits pour baiser en voulant montrer à l’autre que nous sommes plus forts que lui mais après ça tout s’arrête,  on ne peut vivre ensemble 


Moi : tu es unique pour moi 


Elle : (me faisant une bise)  moi de même mais pas au point de me marier a toi, en plus c’est elle que tu aimes, mais la fortune t’avais surpris et elle aussi avait commencé à se délaisser un peu alors tu l’as négligé et honnie 


Moi : (la fixant)  bof, que ferai-je sans toi ? 


Elle : (souriant) je n’en sais rien…Dis-moi les affaires commenceront quand réellement ? Mes partenaires français et asiatiques s’impatientent, il est déjà élu qu’il se bouge un peu 


Moi : (venant mettre ma tête entre ses pieds) tu permets ? 


Elle : tu parles trop, utilise ta bouche pour commencer et on verra (comme un ordre) 


Cette Neslie toujours égale à elle-même. Comment ne pas craquer en voyant ce corps ébène et cette si belle forme bien sculpté, en plus au lit une varie tigresse qui devient tantôt douce et agressive. Et elle s’est s’affirmé et s’imposer en affaires. 


Elle : hum oui, mais tu sais que tu peux aussi épouser cette Julie Siloé que tu sautes souvent elle ne rêve que de ça 


Je relevais automatiquement ma tête, elle le sait comment ? On n’avait promis de ne tromper que ceux avec qui nous étions engagés mais pas nous même. Je suis dans la merde ! 


Elle : (riant) tu es surpris ? Tu oublies qu’en plus d’être  mariée, belle, riche et une déesse du sexe je suis intelligente et que j’ai même travaillé pour les services secrets un moment ? 


Moi : je suis désolé pour cela, je sais que….


Elle : (me coupant) pas grave, au moins elle m’aide à ne pas toujours venir m’occuper de Maxiou (faisant allusion à mon sexe) et en plus lorsque j’ai su cela j’ai moi aussi oublier cette règle 


Moi : quoi ? (énerver) 

 

Elle : (sourire malicieux) je te l’ai dit. Tu ne trouveras jamais mieux que Jamila 


Puis elle riait et se leva pour aller prendre un autre cigare. J’étais énervé et je lançais le plateau à côté de moi, elle cria « ne casse pas tout Max ». Cette femme a le don de m’énerver parfois, je l’ai rencontré il y’a peu au début des élections, des amis du même cercle me l’ont présenté comme une riche femme d’affaires capable de nous faire gagner. Son mari est un milliardaire hors pair. Il est un grand actionnaire ici, ce qui nous permettra nous gens de l’ombre qui avons mis ce monsieur président de profiter au maximum de toutes les ressources du pays. En effet le peuple pense que c’est le président qui dirige mais il n’est qu’une simple marionnette dans notre main. Et ça seule une femme comme Neslie peut le comprendre pas la sainte qu’est ma femme Jamila, non elle me demandera de me repentir et tout arrêter. Mais je suis trop loin je ne peux reculer. 


Moi : (décrochant mon téléphone) oui quoi ? 


Lui : M., le jeune homme que l’on suspectait a réussi à mettre la main sur la carte mémoire nous faisons comment ? 


 

Moi : (énervé) faites le disparaitre au plus vite 


Merde qui est ce jeune qui veut venir faire foirer mes plans ? Qu’il l’élimine au plus vite. Merde ! 


J’étais en train de la prendre de manière sauvage, oui aucun préliminaire n’a été fait, dès qu’elle a fini avec son deuxième cigare je m’enfonçais en elle et commençais à lui faire l’amour comme un chien enragé, elle gémissait mais gardait son sourire, je voulais qu’elle hurle et me supplie de diminuer le rythme mais c’était Neslie et elle ne le fera pas. Je m’activais et à un moment elle se dégagea de moi et me pris le sexe ne bouche pour me faire une autre de ces fellations dont elle seule avait le secret. Je gémissais et l’encourageai jusqu’à ce que je jouisse. 


Elle : (souriant)  tu voulais apparemment te venger Max, après le repos de Maxiou moi je me vengerai. Bon je vais me doucher (me fixant) et toute seule s’il te plait 


Je n’avais plus de force même pour la suivre. 


Moi : (décrochant) c’est fait ? 


Lui : M. nous avons un souci ? 


Moi : l’éliminer est un souci ? Incapable 


Lui : votre belle-sœur Marysa est avec lui et apparemment elle sait tout aussi 


Merde que fais Marysa avec cetype ? 


JAMILA 


Je descends de ma voiture et normalement je devais aller à la maison mais je vais direct au bureau. (Sourire) je dois y attendre Andy car il me manque et nous devons nous faire discret, vu que la semaine prochaine je compte accélérer les choses pour mon divorce. 


J’arrive à Abidjan, mais  j’ai froid tout à coup. Je sens une sensation étrange. J’espère que je ne suis pas malade, Seigneur ! J’entre et je trouve une collègue qui range ces affaires on se salut et je fais tomber ma clé dans mon sac, je m’arrête donc pour prendre ma clé lorsque je vois que mon téléphone s’allume, ah un appel. Amis pourquoi il ne sonne pas ? Ah oui, je l’avais mis sur silence 


Moi : allô ici Jamila a qui ai-je l’honneur ? 


Lui : ici polyclinique de l’indénié nous vous appelons car une femme et un homme ont été conduits ici d’urgence et sur le téléphone de la femme c’est votre numéro qu’elle a lancé en dernier. Faites vite madame 


J’eus le vertige un coup, j’allais tomber si ma collaboratrice ne m’avait attrapé, j’eus peur lorsque je vis les appels de Marysa. Jésus ! Faites que ce ne soit pas elle. Je pleurais même déjà. Ma collaboratrice à qui j’essayais d’expliquer la situation décida de m’y emmener. 


Elle : vous êtes une connaissance des deux ? 


Moi : la femme est ma sœur (regardant leurs pièces d’identités que l’on m’avait remis) et l’homme mon beau-frère, ils sont  fiancés. 


Elle : ok d’accord, la jeune femme a perdu assez de sang, elle se bat contre la mort encore. Quant au jeune homme je suis désolé mais nous n’avons pas pu le garder il est arrivé ici mort


Moi : (laissant tomber mon sac) oh Seigneur !!! Mort ? Comment ? (hurlant) noonnnnnnnnn pas lui, pas Kevin 


Kati : (la collègue) je suis désolé Jamila, je suis désolé 


Moi : (n’en revenant pas)  ils devaient se marier, que vais-je dire à ma sœur ? À son réveil que fais-je lui dire ? Car elle va se réveiller non ? Rassure moi elle se réveillera (éclatant en sanglots) 


Kati : oui, elle le fera (me consolant) 


Moi : Kevin, Kevin est mort (éclatant en sanglots) pourquoi ????Pourquoi (pleurant) 


****


Lui : madame votre sœur veut vous voir faites vite


Moi : MARYSA ! 


Elle : (reliée à plusieurs fils) tu….t…u …es lààà. Je…su…is…..J’aiii…. (Forçant un sourire) 


Moi : (pleurant) repose toi ma sœur, repose toi 


Elle : lui……lui…..il……Il


Elle parle surement de Kevin, comment lui dire ? Comment ?  Puis je ne sus ce qui se passait mais la machine commença à faire un bruit bizarre, le médecin me demanda de sortir mais je ne pouvais pas. Les autres venaient et essayer de la réanimer mais rien n’y fit. Rien. Et je l’ai entendu dire, « on la perd » il continua en lui parlant lui demandant de rester mais hélas, elle partit. Il me regarda et me dit  avec désespoir, « c’est fini ». 


Le monde me tomba dessus, je me rappelais encore de la mort de maman, elle me disait sur son lit d’hôpital 


Maman : (difficilement)  Jami je partirai je le sais, mais j’ai une faveur à te demander


Moi : ne dis pas cela maman, tu resteras avec nous


Maman : écoute moi, il ne reste plus assez de temps, je vais partir. Promets-moi d’être une bonne grande sœur et de prendre soin de ta sœur 


Moi : (pleurant) c’est toi qui dois prendre soin de nous. 


Maman : sèche tes larmes, Jami et promets le moi. Prends soin de vous je t’en prie. Aide là à devenir une femme bien comme toi. Car tu es un enfant bien ma Jami 


Moi : (pleurant) sinf, snif, et toi une mère formidable 


Maman : promets le moi (me regardant) 


Moi : j’en prendrai soin (éclatant en sanglots) comme la prunelle de mes yeux, je te le promets maman. (Pleurant) je t’aime. 


Et depuis je l’appelais Prunelle, j’avais arrêté lorsque mon mari avait réussi à me séparer d’elle. Car j’avais failli à ma mission, et maintenant que tout allait bien, il fallait qu’elle parte. Je partis me jeter sur le médecin qui étaient en train  de fermer son corps, je les enlevais sur ma sœur et partait me jeter sur elle. Je pleurais en lui disant « mignonne, sœurette, prunelle, poupée, copine réveille-toi, ne me laisse pas, je ne veux pas que tu partes. Je te promets d’être plus que présente, Marsysa réveille toi non, je suis lààààà, Marysaaaaaaaaa ! Je t’en  prie ne me fais pas ça, Mary, Maryse, Marysa je suis à genoux pense à moi, réveille toi. »  Ma voix tremblait. 


Et là je commençais à la secouer et crier 


Moi : ne me laisse pas  Marysa, ma prunelle, mon amie, ma confidente, réveille toi.  (Pleurant plus fort avec des cris) Je t’en supplie, non pas toi, non (la secouant) réveille-toi moque-toi de moi, crie sur moi pour me ramener à la raison mais ne pars pas.  (Hurlant avec des larmes) MARYSA !!!


Eux tous essayaient de me faire bouger de là mais, personne je dis bien personne n’y arrivait. J’étais accroché au corps de ma sœur et je lui parlais. Même Kati pleurait. Je ne voyais pas ma vie sans elle, sans ma mignonne de sœur, son sourire, son rire, ses bouderies et ces phrases choquantes et blessantes. Non pas elle. 


Puis je ne sus comment il était informé mais il vient vers moi et me prit, avec difficultés mais il réussit, je pleurais et il me prenait dans ces bras. Puis je perdis connaissance. 


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