QUAND L’AMOUR EST PLUS FORT

Write by Lari93

Lyaah KONATE

 

Tu ne dis rien ???

D’où vient tout ce liquide ?

Tu assise bêtement devant moi à pleurer comme une gamine et en plus tu permets d’uriner (En criant) ?

Tu ne peux pas te retenir ? Idiote !!

Annabelle : Lyaah, je n’ai pas uriné.  Je viens de perdre les eaux et j’ai des contractions.

Par pitié libère moi.

Lyaah : Putain Qu’es que j’ai à foutre de tes contractions (En hurlant).

Annabelle : Je t’en supplie (toujours en pleure et essayant de contenir sa douleur). Mon bébé arrive.

Lyaah : Tchrrrrr (Juron) Que ton bébé crève comme le mien.

J’avais envie de t’achever maintenant, mais je préfère te voir souffrir avant.

Te voir sentir ton bébé mourir sans pouvoir rien y faire et le suivre par la suite.

C’est plus jouissif, tu ne trouves pas ? (En riant)

Annabelle : (En haussant le ton) Tu es malade ? tu sadique, ta place est dans un asile de fou. Tous ces efforts, juste pour faire du mal. Et pour qui ? un homme qui ne t’a jamais aimé. Et en vrai que tu n’as jamais vraiment aimé aussi. Seul son nom et son statut t’intéresse.

Ce dont tu crois avoir perdu, c’était juste dans ta petite cervelle d’oiseau, maiiii (lyaah lui administre une violente baffe).

Lyaah : la ferme, la ferme (En hurlant de plus belle).

Annabelle : Je ne me tais plus. Tu la chance que je sois dans cet état actuellement sinon je t’aurais donné la correction que tes parents ne t’on pas donner. Moi on m’aime ; moi on se soucis de moi. Et je sais que Charles et famille remu ciel et terre pour me retrouver. Je ne pense pas qu’on puisse dire autant pour ton cas.

Aannn Hannn, seigneur wouuu j’ai mal (les contractions devant de plus en plus rapprochés, elle a du mal à cacher sa douleur).

Lyaah : Ne me fait pas rire. Regarde-toi tu es à ma merci et tu fais la grande gueule, je peux faire ce que je veux de toi alors boucle là.

Monsieur D :(En ouvrant brusquement la porte) Lyaah, il faut se tirer d’ici. Je crois qu’on nous a repérer et j’ai un de mes hommes qui a disparu.

Lyaah : Quoi ? Comment ?

Monsieur D : Fait ce pour quoi on a fait le boulot et on se tire d’ici (En regardant Annabelle). Attend !! elle est en travail ?

Lyaah : Oui elle a perdu les eaux. Mais comment un de tes hommes à disparu ?

Monsieur D : je n’en sais trop rien mais il faut partir. Tu décides quoi ?

Lyaah : Allez-y sans moi.

Monsieur D : Ils vont te prendre.

Lyaah : Oui, mais elle sera déjà morte.

En plus c’est moi qui organiser le coup alors vous pourriez vous allez en paix. Moi avec vous Charles ne lâchera rien.

Je serais juste en prison quelque temps.

J’ai prévu plaider la démence, je serais interné dans un asile de fou.

Avec de l’argent je pourrais facilement m’y évader.

Monsieur D : Très ingénieux.

Inconnus 1 : Boss, Boss (En hurlant) ils sont là. Nous sommes encerclés.

Monsieur D et Lyaah en cœur : Merde !!

Lyaah : On fait quoi ?

Monsieur D : Merde, Désolé Lyaah mais c’est elle notre porte de sortie.

Lyaah : Non, Désolé je refuse.

Monsieur D : Je ne te demande pas ton avis (En pointant son arme sur elle), on a bien dealer là mais il s’agit de notre vie. En je n’ai pas les mêmes ressources que toi.

Je ne vais pas tout encore perdre maintenant. Tu aurais dû la descendre depuis et il y a longtemps que nous aurions être pu loin.

Lyaah : Nous avions un marché Monsieur D.

Annabelle : Aaaaaaahh (En supportant de moins en moins sa douleur , c’est attroce) vos gueules, achevé moi et qu’on en finisse. Je meurs déjà de douleurs.

Lyaah : Tais-toi !!! C’est mon argent qui organisé tout ceci monsieur D, c’est moi qui décide.

Inconnus 1 : Boss, décidez-vous vite sinon c’est nos cadavres qui sortiront d’ici. (J’aurais dû écouter l’autre idiot et me tirer aussi il avait raison, pensais t’il)

 

A L’extérieur

 

Quelques temps avant l’assaut

 

L’un des ravisseurs s’est rendu à la police.

Il a négocié la réduction de sa peine en échange d’information capital sur l’enlèvement.

Les Tanoh s’équipent de gilet par balle au même titre que les forces spéciales de la police, ainsi que Charles Emmanuel et ses gardes de corps.

Les autres civils ont été mis à l’écart, l’inspecteur essayant encore d’empêcher les Tanoh et Charles Emmanuel de prendre part à son opération.

 

Inspecteur Kassoum : Je vous rappelle, que c’est moi et mes hommes qui dirigeons cet assaut. Je sais que vous vouliez aider mais je refuse de vous avoir dans les pieds. Vous êtes des civils (Dit-il agacé).

Brice : Hééé Kassoum Tu nous soule à la fin. Je suis général dans les forces terrestres du pays et je sais très bien me servir d’une arme.

Pareil pour tous mes frères. Alors nous serons là, donne tes directives nous essayerons de voir comment les suivre.

Charles-Emmanuel : Moi et ma sécurité n’allons pas être en retrait, donc que comptez-vous faire ?

Inspecteur Kassoum : Monsieur Dasylviera pour vos hommes je peux faire avec, mais vous je refuse.

Je ne veux pas plus de problème.

Vous êtes l’employeur le plus important du pays, en plus d’être un civil avec aucun passé dans l’armé et dans une école militaire.

Je ne sais même pas si vous savez vous servir d’une arme.

Pour vous c’est un « NON » catégorique. Restez de l’autre côté avec votre ami c’est un ordre (dit-il presqu’en colère).

Charles-Emmanuel : Je n’ai pas d’ordre à recevoir de vous suis-je claire (sur un ton très ferme) ? C’est ma femme à l’intérieur. Et pour information, je sais me servir d’un flingue et me battre je fais du Muay Thai, du karaté et de la boxe anglaise. Donc parler vite.

Bertrand : Inspecteur, je confirme Monsieur n’a pas de soucis à se niveau et nous assurons aussi ses arrières.

Andrew : (En s’adressant à Charles) Donc pourquoi tu as laissé mon père te mettre une dérouiller si tu sais autant te battre (Avec son sourire moqueur) ?

Michael : Andrew tu abuse là !!!!!

Charles-Emmanuel : Laisse Michael. (En regardant Andrews) Je ne te savais pas autant stupide, tu voulais que je cogne ton père en répondant à ses coups ?

Inspecteur Kassoum : Pffff je l’avais dit cette affaire risque de me coûter ma carrière. Brefs, monsieur nous allons quadriller le périmètre. 

Voilà le plan :

Il y a deux entrés avec 06 hommes et une femme à l’intérieur, selon le prisonnier qui s’est rendu 05 hommes sont très expérimentés dans le braquage à mains armés et le dernier est leur Boss Monsieur D qui n’est plus à présenter.

La dame comme vous savez c’est mademoiselle KONATE.

Voici les plans de l’entrepôt.

Annabelle se trouve enfermé dans cette pièce.

On y stockage des denrées alimentaires par-là donc impossible de s’y cacher, des hommes de mon équipe et celle de Bertrand seront posté à l’entré arrière du bâtiment au cas où il essaye de s’enfuir par cette sortie.

Nous passerons par l’entrée principale avant.

Nous allons les prendre par surprise, en les encerclant.

Le temps qu’il son rendre compte, ils sauront un très cour temps pour réfléchir.

Je ne compte pas faire de négociation, on n’en a pas le temps.

Le type nous a confié qu’ils avaient pour missions d’abattre Mlle TANOH, mais l’invité du Boss, Mlle Konaté avais insisté pour lui parler avant.

Mais elle était toujours en vie à son départ de l’entrepôt et nous espérons que c’est toujours le cas, encore en ce moment.

Donc vous venez avec moi et une partie de mon équipe.

Brice : Bien.

 

 

L’assaut

 

Ils agissent comme l’inspecteur a dit dès leurs entrés dans l’entrepôt.

Les ravisseurs en panique ouvrent en premier le feu.

Monsieur D et son homme de main à rejoignent les autres membres de leur équipe laissant lyaah et Annabelle dans la pièce.

Mais avant de partir :

Monsieur D : (En panique total) Lyaah ne la tue pas si on n’y arrive pas, elle est notre monnaie d’échange.

Elle ne répond pas.

L’entrepôt est devenu un champ de bataille.

Les balles sifflent dans tous les sens.

La peur est grande et se lit sur le visage des deux jeunes femmes restées en retrait dans la pièce.

Annabelle qui craint pour sa vie et celle de son bébé, avec des contractions qui ne s’arrêtais pas.

Et une Lyaah arme en mains qui réalise à peine là ou son obsession est en train de la conduire.

Les 03 des hommes de monsieur D, sont tombé sous les coups des balles , car pas très préparé à ce qui est entrain de leurs arrivées.

Mais ils arrivent aussi à ôter la vie à un flic et à mettre une balle au pied à un autre.

Michael réussit à abattre l’homme de mains de monsieur D qui essayais de s’échapper.

Monsieur D quant à reçu une balle dans le genou.

Une fois au sol et neutralisé par la police, le dernier de ses hommes en vie n’a pas hésité à se rendre.

Jason : (En regardant Monsieur D à terre criant de douleur) T’inquiète pas, ils vont te prendre en charge (En parlant des ambulanciers) et tu vas guérir afin que je m’assure que tu finis tes jours en prison. Le soleil tu ne le verra pas d’aussitôt.

Monsieur D : Achève-moi Maintenant c’est mieux.

Jason : Non la vie n’est pas aussi facile. Je t’ai donné une chance mais ta cupidité t’a conduit dans ce coup foireux. Tu as touché ce que tu n’aurais jamais du toucher.

A notre première rencontre je t’avais prévenu. Et pour ça tu vas crever en prison.

Tous les regards sont portés sur la petite pièce où se trouve Annabelle.

Charles se précipite vers celle-ci suivi des autres.

Personne n’avait remarqué qu’il n’avait plus son gilet par balle, sauf l’inspecteur et Bertrand.

Inspecteur Kassoum : Attendez Monsieur Dasylviera !!!! (Trop tard il ouvre brusquement la porte.)

Bertrand : Boss

Lyaah : N’avance plus Charles, tu m’entends sinon je la bute (En panique l’arme de lyaah est braquée sur la tête d’Annabelle qui est toujours assise les pieds liés et se tordant de douleurs. Elle transpire et à l’air épuisé).

Charles-Emmanuel : (en avançant lentement vers les deux femmes) Lyaah calme toi s’il te plait c’est moi ton problème pas elle. S’il te plait je ferais ce que tu voudras mais laisse là s’en aller. Regarde elle a mal !

Lyaah : Je dis m’avance pas Charles, et je m’en fous qu’elle ait mal, c’est normal quand le travail commence.

Charles-Emmanuel : Quoi ??? Trésor c’est vrai, le Bébé arrive ?

Annabelle remuant la tête en signe d’affirmation, elle a trop mal pour répondre.

Charles-Emmanuel : Courage Bébé, ça ira.

Lyaah : Tout ce que je veux Hein ???? mais tu continues à dire les trésors et les bébés par ci et par là. La bonne blague.

Inspecteur Kassoum : Monsieur Dasylviera laissez-nous faire m’avancez plus, vous m’avez plus de protection. Mlle Konaté rendez-vous et votre peine sera allégé.

Lyaah : Qu’elle meure je dis (En pointant son arme sur Annabelle). Tout est de sa faute. C’est elle le problème. Charles n’avance pas tu m’entends (Dis elle en criant).

Andrews : Cette fille je vais lui coller la gifle de sa vie un fois tout ceci terminé. Hé robin des bois (En parlant de Charles) reste où tu es. Cette fille n’a pas toute sa tête, elle est capable du pire.

Brice : Charles, Andrews a raison.

Charles n’écoute personne, ses pensées et son regard était pour Annabelle.

Il continue donc à avancer vers les deux femmes.

Il arrive à quelques pas d’elles quand, et se met subitement à accélérer ses pas.

Lyaah :  Charles éloigne toi (Toujours en criant)

Arrivé à sa hauteur, il essaye de lui arracher le revolver.

Charles-Emmanuel : Donne-le-moi Lyaah, ne soit pas stupide pense à ta famille. Je promets de ne pas te foutre en prison. Tu comptes aussi pour moi je t’ai aimé à ma manière, mais c’est fini aujourd’hui. Mais on peut rester ami. C’est tout ce que je peux t’offrir (En vrai il ne pensait même pas un mot de ce qu’il a dit à l’égard de lyaah).

Lyaah :  Lâche mon bras Menteur (En criant), Tu dis tout ça pour elle.

Bertrand : Monsieur faites attention !!! Essayer la prise de la dernière fois.

Cette prise ? il ne l’a pas oublié et c’est sur elle qu’il comptais quand il a décidé d’avancer vers Lyaah.

Bertrand lui avais appris lors de leur séance comment retirer une arme à un adversaire en combat corps à corps.

Il risque de faire mal à lyaah mais il n’a pas le choix.

Lyaah : Charles !!!!! (En criant de douleur), tu me brise le bras. Arrête !!

Il lui a pratiquement retourné le bras, Lorsque le coup de feu a retenti.

Il a maintenant le flingue entre ses mains.

Il se baisse rapidement pour libérer Annabelle.

Les autres courent automatiquement vers eux.

L’inspecteur et ses hommes se saisissent de lyaah qui hurle de toute ses forces.

Lyaah : Je vous déteste. Charles Emmanuel tu va me le payer. Tant que je vivrais vous ne m’aurez pas la paix. Je vous Mau (Kpaaaaaaaa).

C’est le bruit de la violente baffe qu’elle vient de recevoir.

Elle se met à pleurer.

Emile : La ferme maintenant.

Andrews : Merde tu m’a devancé frérot. Inspecteur, je peux lui en donner une autre ?

Inspecteur Kassoum : Je pense que cette fille gâtée pourri à compris la leçon.

Charles-Emmanuel : Mon cœur tu vas bien ? Il ne t’on rien fait de mal ? Le travail à t-il commencé depuis longtemps ?

Annabelle : Tais-toi (Elle le prend dans ses bras malgré la douleur qu’elle ressent, comme s’ils étaient seul au monde).

J’ai mal et le Bébé arrive. J’ai perdu les eaux il y a un moment déjà.

J’ai perdu la notion du temps.

Charles-Emmanuel : Pas grave je suis là.

Andrews : C’est quoi la fréquence de tes contractions ?

Annabelle : Je n’en sais rien mais c’est de plus en plus rapproché. (En se libérant de son étreinte avec Charles)

Emile : C’est à qui le sang ?

Annabelle : Quel sang ?

Andrews : Le sang sur ta robe ?

Annabelle :(En regardant la tâche sur sa robe et Charles) Bébé ????

Brice : Charles attend (dit il horrifié) !! (En allant vers lui)

C’est maintenant qu’il ressent la douleur, il est touché.

La balle de tout à l’heure ! elle s’est logée dans son abdomen.

Sans un mot, avec un sourire pour la femme qu’il aime, Charles Emmanuel perd conscience dans les bras de Brice et Bertrand.

Andrews : (En regardant la blessure) la balle est ressortie. Il perd beaucoup de sang. Comment il n’a pas ressenti de douleur ?

Emile : il avait d’autre préoccupations.

Andrews :  Il faut vite l’évacuer son pronostic vital risque de très vite s’engager (En s’adressant à l’Ambulancier).

Ces derniers prennent vite le relais et font sortir Charles immédiatement sous les pleurs et cris d’Annabelle. Bertrand pars avec lui.

Andrews :  Mais et pour ma sœur ? il n’y a plus d’ambulanciers ?

Inspecteur Kassoum : J’en avais que 04 pour l’opérations. Il y a eu des blessés de part et d’autre et monsieur Dasylviera viens de partir dans le dernier disponible.

Brice : Pas grave. Les Gas on la soulève direction la voiture et on fonce.

Annabelle : Je peux plus bouger, je crois que je sens sa tête.

Michael : Merde on fait quoi ???

Andrews :  Ok ok (En tournant en rond) Je vais le faire ?  (Il avance vers elle, lui prend le bras qu’elle presse fort et la regarde droit dans les yeux) Je vais te faire accoucher ma fleur Tu me fais confiance ? (Elle répond oui de la tête, la pression est énorme).

Brice : Tu as déjà fait ça toi ?

Andrews :  Théoriquement à la FAC !

Jason : Seigneur !!! Charles qui se vide de son sang là-bas et toi qui veut tester tes talents de matrone.

Andrews :  Vous avez une autre idée ??? (En criant)

Inspecteur Kassoum : J’ai appelé une ambulance mais elle prendra 30min pour arriver.

Brice : Elle ne tiendra pas tout ce temps (En transpirant à gros gouttes)

Emile : Vas y fait ce qui te semble juste.

Andrews :  Bon trouvez-moi des couvertures, un bol d’eau propre et de l’alcool. Aussi j’ai besoin d’un couteau ou un objet tranchant.

Quand il reçoit ce qu’il a demandé, il étale une partie des couvertures au sol et y fait allonger sa sœur.

Il stérilise avec le whisky ses mains qu’il avait préalablement lavé dans le bol d’eau et le couteau suisse de Michael.

Dieu merci le ravisseur avait leurs bagages sur les lieux et des bouteilles d’eau et ‘alcool.

Andrews : Brice tu reste avec moi.

Tu as déjà eu plusieurs enfants tu m’aideras à tenir le bébé à sa sortie. Les autres dehors.

Brice : Ok

(Ils s’exécutent. Une fois seul, Il lui retire son dessous, et vois déjà la tête du bébé.il la position bien comme il a appris et lui demande de bien respirer comme elle a appris pendant ses dernière consultation)

Ma fleur maintenant que ton souffle est bon, tu vas prendre une grande inspiration et poussé, c’est bon ? à Trois on y va tu es ok ?

(Elle répond oui de la tête, Brice lui éponge le visage pour la rafraichir avec une serviette imbibée d’eau froide)

Un, deux et trois. Pousse Anna, pousse (Elle exécute). c'est bien .

Reprend ton souffle et on y vas. Allez!!

Ils répètent l’exercice trois fois de suite, lorsque Andrews sort le bébé en lui tapotant les fesses, ce qui déclenche automatiquement ses pleurs et cris.

Il le pose automatiquement sur la poitrine de sa sœur se rince les mains et avec les couteau suisse coupe le cordon.

C’est une fille !!!!!!

Le portrait craché de sa petite fleur pense t’il intérieurement (ses larmes se sont mises à couler sans qu’il ne s’en rend compte).

La petite princesse se calme dans le bras d’Annabelle.

Mais il fallait vite la couvrir.

Il se ressaisi et prend les couvertures propres pour envelopper le nourrisson après l’avoir nettoyé.

Il couvre ensuite sa sœur après s’être assurer qu’elle ne fasse pas d’hémorragie.

Les autres peuvent entrés.

Annabelle : Merci pour tout Andrews.

Brice : (assis à ras le sol a coté d’Annabelle le bébé dans les bras) Merci tu as fait un boulot remarquable.

Andrews : Vous en fait un peu trop, il n’y a pas de merci qui tienne. Je vais chercher les autres.

(Les autres après avoir vu la princesse. Ils étaient tous heureux et ému à la fois.)

Annabelle : C’est rare de vous voir dans cet état , c’est trop chou.

Michael : Mais tu as donne un petit rayon de soleil. La nouvelle petite fleur.

Annabelle : Je sens que la jalousie va vite commencer.

Jason : (En riant) Ah tu n’es plus à la mode.

Emile : (En riant aussi) franchement, c’est clair tu n’es plus à la mode Anna. En plus elle est plus belle que toi. C'est notre nouvelle petite lune.

Andrews : Non , c’est la petite lune à son tonton préféré Moi.

Michael : Mais il se prend pour qui lui ??? c’est moi son tonton préféré. Je suis le plus cool ici. (Ils éclatèrent de rires)

Inspecteur Kassoum : (En entrant avec des Ambulanciers) Désolé de gâcher ce moment mais ils doivent les conduire à l’hôpital ? (En parlant d’Annabelle et du bébé.

Andrews : Oui, c’est compris. Allez-y messieurs. Dans l’ambulance faite leurs de la peau contre peau et qu’elle nourrisse la petite.

Ambulanciers : Ok monsieur.

Michael : Le tonton Hein !!!!! (En riant)

Annabelle : Avez-vous des nouvelles de Charles (En s’adressant à l’Inspecteur Kassoum) ?

Jason : Oui comment va-t-il ?

Inspecteur Kassoum : Hummmm (En hésitant) il est aux soins intensifs.

Il a perdu beaucoup de sang. Et à son arrivé à l’hôpital, il était déjà dans le coma.

Annabelle : Seigneur !!!!! Il doit se battre il n’a pas vu notre enfant. Il n’a pas vu sa fille. Je veux le voir en essayant se lever (Mais son corps lui à rappelé dans quel état elle était déjà)

Jason : Du calme Anna on va à l’hôpital tous ensemble. Il est fort et il va s’en sortir. Sa famille est elle informée ?

Inspecteur Kassoum : Oui . la votre aussi. Ils nous retrouveront là-bas surement, s’ils n’y sont pas déjà.

Direction la PISAME.

 

Mes lecteurs

Pardon

Je sais que vous auriez aimé des textes réguliers.

Mais comme vous l’avez deviné, c’est le dernier chapitres avant la fin de notre histoire.

Ce chapitre 10 fois je l’ai écrit et 10 fois je l’ai supprimé (Lol).

Jusqu’à perdre l’inspiration.

Et même Monsieur, le grand jaloux de mes heures que je passe devant l’ordinateur m’a dit un jour « Mais pourquoi tu n’écris pas deux jour-là ? »

Mais au fond je voulais juste que ce chapitre soi à la hauteur de vos espérances.

J’espère que vous prendriez plaisir en le lisant.

Le final? il est déjà prêt et vous l’aurez avant ce mercredi.

Je lirais vos commentaires entre temps.

Avec Amour Lari93.

Bonne lecture Bisou .

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