suite chapitre 34
Write by Ndobis
**PAUL**
On dirait un mannequin des revues de modes,
elle a arrêté ses cheveux au milieu de la tête, et s’est contenté d’un maquillage
léger, elle est si belle. Un coup d’œil derrière elle me fait apercevoir la
table magnifiquement dressée ainsi que les bougies qui n’attendent que d’être
allumées. Elle me fait un sourire qui me fait littéralement fondre
Maurelle : bonsoir et bienvenue à la maison Mr
mon protecteur
Paul : bonsoir ma chérie, tu es
magnifique.
Maurelle : Merci, dit-elle en se rapprochant
de moi. Elle me fait un bisou et je la regarde sans trop comprendre car c'est
elle même qui m'a dit qu'il ne pourrait rien y avoir entre nous
Paul : on fête quoi ce Soir
Maurelle : heuuu et si tu partais d'abord
prendre un bain
Paul : ok, je me dépêche mais avant ou est
l'infirmière ?
Maurelle : elle est rentrée chez elle puisque
je n'avais plus besoin d'elle. Aujourd'hui nous sommes allés voir mon
gynécologue, il a dit qu’il n’y a plus de menace, que je peux reprendre ma vie
normale, je devrais juste faire des contrôles de temps en temps pour éloigner
tout risque
Paul : waouhhhhhhh c'est génial ça me rassure,
et les enfants comment ils vont ?
Maurelle : merveilleusement bien… Bon
maintenant file, le repas va refroidir.
C'est au pas de course que je me dirige
vers la chambre afin de me dévêtir et de prendre un bain rapide. J'ai hâte de
découvrir ce qu'elle a prévu. Je mets donc une culotte et un
t-shirt Blanc Avant de la rejoindre au salon. A ma vue elle se lève et m'invite
à la rejoindre à table. Elle ouvre les couverts et je vois les lasagnes.
Paul : hummmm des lasagnes, j'adore, je vais
me régaler. En plus il y'a du bon vin, attends je vais nous servir.
Je nous sers des lasagnes, du bon vin
pour moi, et à elle un jus d'orange.
Paul : voilà Madame est servie, bon
appétit
Maurelle : merci, bon appétit à toi aussi
Nous mangeons quelques minutes et je me décide
enfin à lui poser la question qui le brûle les lèvres
Paul : alors qu'est-ce qu'on fête ??
Maurelle : hé bien on fête mon état de santé,
le fait que le médecin ait dit que je peux reprendre le cours de la vie…
Paul : alors à ta santé, puisse le seigneur te
garder toujours en santé
Maurelle : merci. Et c'est pas tout on fête
aussi le retour du papa de mes enfants
Je fronce les sourcils, elle était donc
sérieuse quand elle disait que ce ne sont pas les miens. Et moi qui
croyais qu'elle me le disais juste pour m'éloigner. Elle m'a coupé l'appétit
avec cette nouvelle
Paul : Ah, félicitations je suis content pour
toi. De plus maintenant qu'il est là je pense qu'il est temps pour moi de m'en
aller et de vous laisser profiter de vos enfants et de votre intimité. Excuse-moi,
je n'ai plus faim. Bon appétit
Je me lève de table et elle me regarde comme
si je parlais du chinois
Maurelle : mais où vas-tu ?
Paul : me reposer, bonne soirée
Maurelle : mais pourquoi tu t'en vas ? J'ai
fait ce dîner pour nous
Paul : tu m'as coupé l'appétit, de plus tu
crois que je vais rester là et t'entendre je réjouir de l'arrivée du père de
tes enfants ?
Maurelle : hahahahahahahaha espèce de jaloux
va, reviens t'assoir
Paul : mais qu'est ce qui te fait rire, je
sais que je t'ai faite vivre une misère quand tu étais au Cameroun et je m'en
excuse, mais ce n'est pas pour autant que je vais m'assoir et te voir te
réjouir de l'arrivé d'un autre et taire mes sentiments comme on change des
vêtements.
Maurelle : viens t'assoir.
Je reviens m'assoir malgré moi le visage
toujours froissé
Maurelle : c'est vrai je fête le retour du
père de mes enfants, un homme formidable, aimant, patient, même si grognon de
temps en temps
Paul : s'il a toutes ces qualités là où est-il
?
Maurelle :il est ici
Paul : quoi tu veux dire que tu organises
un dîner aux chandelles avec moi alors qu'il est dans cette maison ? heeee bien
tu me surprends
Maurelle : assez ! Je ne te permets pas
de dire n'importe quoi. Je suis la femme d'un seul homme. Et même si
j'ai essayé de te faire croire le contraire le père de mes enfants n'est
nul autre que toi.
Paul : quoi ?
Maurelle : tu as bien compris, tu es le père
de mes enfants et c'est pour toi que j'ai fait ce dîner
Paul : attend, rembobine, tu as dit quoi
? Donc je suis leur père ?
Maurelle : oui, toi et toi seul.
Paul :je savais, je le savais, merci
seigneur, dis-je en sautant dans tous les sens, je vais vers elle et lui
tend la main , elle la saisis et je l'aide à se lever, je me mets ensuite à
genoux, devant ouvre les pans de sa robe et fais plusieurs bisous sur son
ventre, comme s'ils n'attendaient que cela, je perçois un mouvements comme s’ils
donnaient des coups. Je lève les yeux vers Maurelle pour comme pour lui
demander si elle avait aussi perçu. Elle secoue la tête en souriant. Je me
relève et l'invite à s’assoir
Paul : Merci merci pour ce cadeau ma
princesse, vraiment merci, merci merci.
Maurelle : tu n’as pas à me remercier, ce sont
nos enfants
Paul : oui je sais mais tu me permets de
faire partir de leur vie et je t’en remercie
Maurelle : allé mangeons sinon ce repas
sera bon pour la poubelle
Paul : tu as raison, surtout que
maintenant tu m’as ouvert l’appétit.
***MAURELLE***
Nous mangeons et il me regarde droit dans les
yeux, son regard est tellement aimant qu’il me fait fondre. Le repas finis je
lui sers son café et nous nous installons sur le divan devant un film, je suis
dans ses bras, il me caresse le ventre et j’aime cela.
Paul : je sais qu’au Cameroun je t’ai mal
traité et surtout mal jugé et je te demande pardon pour cela. Mais après ton départ
je me suis rendu compte de mon erreur sauf que mon orgueil et mon passé
m’empêchaient de discerner les choses comme il se doit et de faire le premier
pas raison pour laquelle quand je t’ai revu de nouveau j’ai recommencé à te
lancer des piques. Tu ne sais pas la joie que tu me procure en faisant de moi
un papa et aujourd’hui je te fais la promesse d’être toujours là pour toi et les
enfants.
MAURELLE : Mer…
Paul : laisses moi finir stp sinon après je
vais manquer de courage. Tu sais, le temps que j’ai passé ici à tes coté m’a
fait comprendre quelque chose contre quoi je luttais, mais maintenant je crois
que je peux te le dire en toute sincérité et sans craindre quoi que ce soit JE T’AIME
Maurelle : hein… tu tu M’AIMES ?
Paul : oui je t’aime dit -il en s’inclinant
sur le côté comme s’il voulait prendre quelque chose derrière lui. je t’aime
comme je n’ai jamais aimé et si tu veux bien de moi , je veux dire si tu
ressens encore quelques chose pour moi, je serais heureux de faire de toi ma
femme
Maurelle : TA F-E-M-ME ? Dis-je en
me levant péniblement
Paul : oui , pas seulement la mère de mes
enfants mais aussi ma femme , dis t’il en glissant une jambe vers le sol et révélant au même moment un écrin dans
lequel se trouve une magnifique bague
Paul : alors, veux tu m’épouser ?
Maurelle : oui oui oui oui je veux t’épouser
car malgré tout ce qui s’est passé je t’aime, je t’aime mon monsieur grincheux
Il se lève et me prend dans ses bras, s’en
suit ensuite un baiser langoureux. Je suis si heureuse qu’il ait changé de
comportement mais aussi d’avis me concernant, nos enfants pourront grandir et
vivre avec leurs deux parents.
Paul : je ne te dis pas que tout sera
rose mais je te promets de faire beaucoup d’efforts.
Il me serre encore plus fort et me traine
ensuite vers la chambre, c’est heureuse que
je m’endors dans ses bras après avoir adressé une prière au tout puissant
pour le remercier et lui confier cette petite famille que nous voulons mettre
sur pieds.
HEI MY PEEP'S VOILA LA PETITE SUITE DU CHAPITRE D'HIER. JE VOUS BALANCERAIS LE PROCHAIN CHAPITRE D'ICI LA FIN DE LA SEMAINE. avec mon accidents jai accumulé beaucoups de retard dans certains aspects de la vie quotidienne du coups je suis super super busy mais je ne vous oublie pas mes cheris...kissouuuuuu