Tourbillon

Write by Farida IB

***** Ame sensible s'abstenir *****

Tina... 


Ne soyez pas surpris de mon changement si soudain.

Depuis notre rencontre avec Tonton Saïd, j’ai commencé à voir les choses d’une autre manière. J’ai compris que personne n’est parfait, l’important, c’est ce que l’autre t’offre dans la relation. Bradley est peut-être un bad boy, mais au moins il n’est pas fake, il n’a jamais prétendu être ce qu’il n’est pas. Depuis que je suis avec lui, il me traite avec respect et considération, pourquoi me casser la tête ? Que nous finissions ensemble ou pas, c’est le présent qui m’intéresse et je compte bien profiter de cette relation. C’est ma toute première donc il me faut de beaux souvenirs.

J’ai passé toute la nuit à réfléchir sur la meilleure manière de me racheter et je me suis rappelée de leur fameux petit déjeuné du week-end. Affronter ses parents est vraiment un exploit, de vrais comiques, mais en même temps strictes sur les questions d’éducation. Bradley m’a assez raconté sur eux donc j’ai su me comporter comme il le fallait et ça l’air d’avoir marché (clin d’œil). 


Après avoir aidé sa maman a rangé, j’ai rejoint Brad dans sa chambre. La porte était entrouverte donc je n’ai pas besoin de taper, il ne m’a pas entendu venir, sûrement dans ses pensées. C’est à mon troisième appel qu’il a su que j’étais là.

C’était facile de répéter le discours que j’avais préparé pour lui devant le miroir de ma salle de bain que devant lui. Le regard inquisiteur qu’il me lançait ne m’aidait pas non plus. Au bout de cinq bonnes minutes, j’ai pris mon courage à deux mains pour lui présenter mes excuses. Le silence qui s’en est suivi m’a fait regretter mon geste quelques secondes avant qu’il ne me tire sur ses cuisses et m’embrasser.


Moi (soupire d’aise) : tes lèvres m’ont trop manqué… Encore désolée chéri


Brady : ah ouais ! Je croyais que rien au monde ne pouvait te faire fléchir


Moi : seuls les imbéciles ne changent pas, s’il y a une chose dont je suis certaine à cent pour-cent, c’est que je ne veux qu’être avec toi


Brady : où est passée ma Tina ? Vous avez fait quoi d’elle madame


Moi : hahaha, elle est bien là, mais en mieux


Brady (me regardant dans le fond des yeux) : je ne veux pas que tu changes ton caractère rebelle, je veux juste que tu arrêtes de me prendre la tête pour des choses qui n’ont pas lieu d’être. Je t’aime comme tu es beauté, si ça ne tenait qu’à moi, on se serait marié après notre Bac.


Moi : lol qui va t’épouser aussi facilement ? Tu n’as pas fini d’en baver avec moi et tu veux déjà me caser, faut que je profite un peu de ma jeunesse pour te faire chier krkrkr


Brady : là, je retrouve ma TiMa, viens là.


Il me renverse sur le lit et nous nous lançons dans une embrassade sulfureuse. Ça devenait de plus en plus chaud, il me caresse le cou, lèche le lobe de mes oreilles. Je tremble sous ses caresses

Il continue sa manœuvre en glissant son doigt dans mon intimité et je pousse un cri de gémissement qu’il étouffe à l’aide d’un coussin.

Brad : shuutt Tina mes parents sont à côté

Il me doigte jusqu’à un point où je n’arrivais vraiment plus à me retenir, je redescends de mes nuages quand il fit sortir son doigt et s’assied comme si de rien était.


Moi : quoi ?


Brad : je veux m’assurer que tu le veuilles d’abord toi-même, je ne veux te forcer à rien.


Je le renverse sur le lit et m’applique à lui enlever son bas de jogging il n’avait rien mis dessus. Je l’embrasse ensuite, je lèche ses tétons du bout de ma langue.


Brady : woohh (il se crispe), c’est bandant ça…


Je continue ma manœuvre jusqu’à descendre dans son entre-jambe, le grand Brady ne s’est pas fait prié, un Africain de pure race.


Sans plus réfléchir, je me place entre ses jambes et enfonce Big Brady dans ma bouche. C’était mon tour d’étouffer ses gémissements.

Très lentement, je lèche le bout de son pénis et descends ensuite le long de sa verge avec ma langue en même temps, je lui masse doucement les couilles. Je continue dans ma lancée en tournant ma langue dessus tout en remontant jusqu’au bout et le mordille gentiment. Je le glisse enfin dans ma bouche en faisant des mouvements de va-et- vient.


Brady (peinant à se contrôler) : Tina arrgghhh tu vas me tuer

Qui t’a appris à faire ça ?


Moi : j’ai une télévision chez moi tu sais


Brady : on devrait t’interdire son accès comme avec Armel


Il me ramène vers lui et m’embrasse longuement. Puis il commence subtilement à m'ôter ma robe. Son excitation atteint son paroxysme quand il vit ma lingerie (un ensemble en dentelle blanc) et tout le potentiel que cela cachait. Je viens toujours chez lui en connaissance de cause donc rien à craindre pour un quelconque collant percé (rire).

Il enlève mon soutien-gorge avec ses dents et emprisonne le bout de mes seins qui se sont durcis sous le coup des caresses dans sa bouche. Il les caresse simultanément, en commençant par le dessous du sein et fait le tour, il lèche l'aréole en faisant le tour du téton dont il s'occupe en dernier.

J’étais au bord de l’extase quand il me mordu par-dessous, par dessus, sur le téton, les rapproche et glisse sa langue entre les deux pour les lécher simultanément. Non, j’ai vite parlé

Cette fois-ci, je sens sa langue dans mon intimité, je n’en peux plus, j’oublie ses parents et me mets à gémir fortement. Mes pieds tremblent, je ne suis plus maîtresse de mon corps. Mes supplications n’ont pas arrêté Brad, au contraire, il a redoublé d’ardeur. Ma respiration s’accélère, mon cœur s’emballe, les pulsations de mon cœur sont passées à un rythme très rapide. Le plaisir était inouï. Je me suis laissé aller et au bout d’un moment j’ai senti un liquide jaser de mon intimité. 

Bradley : bravo, ton orgasme est à son paroxysme, en plus t’es une femme fontaine

Je ne sais pas ce que ça veut dire, je ne veux pas savoir pour le moment, c’était indescriptible ce que j’ai ressenti. 


Bradley : c’était le premier, prête pour le grand saut ?


Moi : ça va faire mal ?


Bradley : non ma puce, je serai doux avec toi. Si ça te fait mal je peux m’arrêter.


Il se lance à nouveau dans les caresses, je caresse également son torse. Je m’occupe à répondre à son baiser quand il entre en moi d’un geste vif.


Moi : Aiichhh


Brady : c’est fini, j’ai réussi, tu n’auras plus mal


Je hausse simplement la tête


Il se lance dans un mouvement de vas et vient très lent qui ont pour effet de dissiper toute mon excitation de tout à l’heure. J’essayais de cacher mon état d’âme, mais Bradley l’avait compris et il reprit avec les caresses et les baisers. Au bout de quelques secondes, la douceur pris la place de la douleur et je me mis une fois de plus à pousser des cris d’extase. 

Pour une dernière fois, nous avons joui ensemble et Brad s’est écroulé sur moi, nos cœurs dansant le samba.


Brady (brisant le silence) : je viens de faire de toi une femme chérie, merci de me faire cet honneur.


Je cache mon visage dans mes mains, toute honteuse, il les enlève et se mit à m’embrasser.

Je n’y crois pas ! Je me suis fait dépuceler


****


Bradley…


Ca y est, nous l’avons fait. Comment je me sens ? Comme le mec de Tina, la miss Tina, la plus belle fille du lycée. Je me sens roi parce que c’est ma reine.


Je crois qu’elle a honte, elle ne m’a lancé aucun regard depuis toute à l’heure


Moi (la main dans ses cheveux) : chérie regarde moi


Elle peine à le faire, je soulève son menton


Moi: tu n’as pas à avoir honte, nous venons de faire un pas vers l’avenir, c'est maintenant les bonnes choses vont commencer. 

Je t’aime bb


Tina : (elle se met à bouder), qui t’a dit que j’ai honte ? 


Moi : ta petite mine déconfite krkrkr 


Nous nous lançons dans une bataille d’oreillers


Tina (me fixant intensément) : je t’aime mon Brad Pitt


Je souris très fier de moi.

L'histoire que vous lisez

Statistiques du chapitre

Ces histoires vous intéresseront

My pathetic love sto...