UN NOUVEAU BONHEUR
Write by Phénix
***** Un an plus tard *******
**** Anaïs BATTA ****
«If tomorrow never comes, Words don't matter now
Cause all we have is only yesterday
Would you promise, To be ok, And all the things you did
Moment lives would you let mine slip away
Nothing would change, Nothing would change for me
Cause everything that matters is always free
I can lose it alll... alllllll
Money in the bank
The world forgets my name
I can lose it alll... alllllll
The One thing that is true
If I wake up next to you
Am the richest girll.girllll
Am the richest girll.girllll
Yeaah »
Dans mon nouveau véhicule, fraîchement acquis, je laisse Etana me bercer avec sa chanson. Par moment je l'accompagne en faisant de petit mouvement. Oui je suis heureuse ce jour, je suis la fille la plus heureuse du monde. . Enfin, le bout du tunnel. Enfin, j Et comme vous l'imaginez notre maison et l’hôpital de Cecil ont' été mis en vente pour que je recouvre mon demi milliard. Finalement je n’ai pas pu recouvrer le tout mais au moins j’ai reçu la majeur partie. Mon père a été vraiment dur avec lui. Rien de ce que j’ai pu dire pour le dissuader de le laisser n'a marcher. J'ai un peu de peine pour lui parce que toutes ces femmes l'ont laissé tomber. A commencer par cette Laly. Frédérique et Kelly ont aussi divorcé. La bonne dame a fait un boucan pas possible mais elle n'a rien pu faire. Tout ce qu'elle a pu emporter avec elle, c sont ses vêtements et sa voiture. En même temps, nous ne lui connaissions aucune famille. Donc elle passe plusieurs nuits dans des hôtels avant de disparaître. Kelly est allé se présenter officiellement aux parents de Yaelle. Et ensuite, il nous l'a présente officiellement. Il y a quelques mois elle a donné naissance a deux merveilleux garçons. Je suis complètement dingues d'eux. Je suis la marraine la plus comblée du monde. Mon institut fait son petit bout de chemin. Dès le début, ça a été un succès fou. On aurait dit que tout le monde attendait une innovation du genre. En tout cas cet enthousiasme avec laquelle la population a accueilli l’école m'a donné chaud au cœur. Avec Jauris, tout va comme sur des roulettes. Nos proches nous poussent à nous fiancer. Mais non. Je veux profiter de ma liberté. L'histoire avec Cecil m'a laisse un goût amer des mariages. Alors Jojo respecte cela. Même si parfois j'ai l’impression qu'il n’en peux plus. Et malgré tout ce temps passé, nous n’avons jamais fait l’amour. Oui, nous nous embrassons tout le temps. Nous prenons des douches ensemble quand nous voyageons souvent. Nous dormons dans la même chambre. Mais le gars a juré qu’il ne me touchera pas tant qu’on ne sera pas fiancés. Je ne sais pas trop ce que je ressens pour lui. Mais le temps précise cela. Car de plus en plus je commence a m'attacher à lui. Et justement je suis entrain d'aller le retrouver chez lui. Je vis au jour le jour et sans vous mentir, j’aime bien. Je ne me prend plus la tête pour trucs sans importance comme une belle mère acariâtre ou des belles sœurs aigries. Ses parents sont juste adorables avec moi. En un an, je suis déjà allée trois fois les voir à Paris. Sa mère m'a même offert une journée de shopping durant laquelle nous avons traîné dans les magasins comme deux adolescentes. Je me suis sentie tellement proche d'elle. Quant à son père, il m'a parlé de placement et de projets qui seraient très rentables pour nous... franchement, je ne peux rêver mieux comme belle famille. J’ai garé dans la grande cour de Jojo et suis entrée en balançant mon sac à main. L'horloge mural m’indique qu'il est dix-neuf heures quarante cinq. Je remarque toute suite la table joliment garnie, les chandelles, les pétales de rose. Une délicieuse odeur me titille les narines. Je m'approche de la table avec l’intention de goutter.
- N'y pense même pas gourmande ! Entendis-je derrière moi. Je me retournai. Comme à chaque fois, je faillis m'étouffer avec ma salive. Il était torse nu. Ses muscles saillants étaient juste trop beaux. Jésus-Christ ! C'est un péché d’être aussi beau !
- Tu peux fermer la bouche maintenant. Ne bave pas dans mon repas
- Rires, tu es trop bête. Dis-je en lui tirant la langue, mes yeux rivés sur son torse.
Il passa près de moi pour déposer les assiettes. Son parfum mélangé à sa sueur me caressa agréablement les nerfs olfactifs. Je soupirai d'aise en fermant les yeux un instant. Il me prit dans ses bras en me roulant une belle pelle avant de me demander amoureusement
- Ça va toi ?
- Salut chéri
- Je t'ai manqué ?
- Aujourd’hui plus qu’hier. On reçoit ? Dis-je en regardant la table.
- Oui mon cœur.
- Et je peux savoir de qui il s'agit ?
- Patience mon amour. S'il te plait permet moi d'aller me laver. il est déjà vingt heures. Les invités ne vont pas tarder.
- (L’embrassant) OK. File avant que je ne change d'avis.
- (souriant) Mais lâche-moi non! (Quittant mes bras) Je compte sur toi pour les installer et leur offrir l’apéritif.
- OK chef. C'est compris
Il s'est retiré après un dernier baiser. J'avais envie de monter le retrouver et de prendre cette douche avec lui. Mais non. Les invités n'allaient pas tarder à arriver. Je m’assis dans le divan en soupirant d'aise. Avez-vous jamais ressenti ce sentiment qui fait Guiliguili dans votre poitrine lorsque vous voyez l’être aimé ? Eh bien, c'est exactement ce que je ressens chaque fois en présence de Jojo. Cela n'a rien à voir avec ce sentiment qui m’animait en face de Cécil. J'en suis même arrivée à déduire que je cherchais juste une figure d'autorité, autre que les hommes de ma famille. Mais c'est la sauvagerie que j’ai croisé a la place. Il arrive encore de penser à lui, de me rappeler nos bons moments, notre complicité, notre bonheur durant nos fiançailles.
Je me suis assoupi en attendant qu'il revienne ou que les invités arrivent.
Ding dong!!!!
Je me levai, arrangeai ma tenue puis me dirigeai vers la porte
Papa: Bonsoir chérie
Moi: (surprise) Mais que fais tu là ?
Maman: Pardon, quitte nous on va passer. C'est chez toi ici?
Moi: Pardon oh, faut passer seulement.
Je quittai l'entrée. Papa me fit un bisou sur les lèvres ( c'est le geste qu'il fait quand il est en proie à une grande émotion)
Je les installais à peine quand la sonnerie retentit.
Moi: eeeh! C'est mes chéris, ooooo. Pardon donne-moi mes enfants seulement.
Yaelle: Bonsoir ma belle (bises)
Moi: Ma femme, tu es toute en beauté.
Kelly: pardon, ne drague pas ma femme devant moi. Et en plus, va trouver ton homme et fais lui des jumeaux. Donne mon enfant.
Moi: Dégage, idiot.
Je les installait aussi. Quelques minutes plus tard, ce fut les parents de Jauris, ainsi que nos amis de la bande. J'étais de plus en plus intrigué. Maman et moi tapions les divers quand nous entendîmes.
- Bonsoir.
Mon ventre fit un bruit qui déclencha le rire de maman.
Mam: C'est seulement sa voix qui te met dans cet état? Retourne-toi et matte moi un peu le morceau.
Je me retournai lentement. Non! Mon bébé était tout beau dans son costume blanc, chaussures blanches, une montre en or et un bracelet au poignet droit. Son sourire était si pur, ses cheveux était tiré en arrière avec du gel. Je suis sûre de dire oui, si jamais il me demande aujourd'hui de l'épouser, sur le champs.
**** Jauris ****
J'ai pris tout mon temps pour m'habiller. Pour lui en mettre plein la vue. Et je ne suis pas déçu. Il n’y a qu'à voir la manière dont elle me regarde pour savoir que j'ai atteint mon objectif.
Maman vient m'embrasser. Papa me fit une accolade et je serrai les mains des autres. Nous parlâmes un peu de tout et de rien avant de passer à table. Le repas fut apprécié à sa juste valeur. Je sentais le regard plein d'envie de ma chérie sur moi. Si je n'avais pas juré de la faire mienne seulement après nos fiançailles, j'aurais trouvé une excuse pour l'emmener dans ma chambre et lui faire l’amour correctement. Mais patience, je sais que ça viendra, et très bientôt. Lorsque nous passâmes au salon après le dessert, de petits groupes s'étaient formés. Je pris un verre et une fourchette et les choquait. Tout le monde se retourna vers moi.
Moi: Rebonsoir à tous, et merci d'avoir honoré ma modeste demeure de votre présence.
Papa Ans: Pardon, quelle modeste demeure!
(Rire général)
Moi;(souriant) Merci à vous, papa et maman pour le déplacement, à madame et monsieur BATTA, a Tous les potes de la bande pour avoir accepté de partager ce plat avec moi. Il y a environs dix ans, j'étais à l'Université. Le premier jour de la rentrée, elle est entrée dans la salle, toute innocente, merveilleusement belle dans sa robe fleurie et ses cheveux afro. Toute le monde s'est tu à son entrée. Elle ne se rendait même pas compte de l'effet qu'elle a produit sur nos pauvres cœurs.
Ce jour là, elle a volé mon cœur, a jamais. Elle était une dure à cuir. Si tu veux qu'elle te laisse l'approcher, évite de lui parler d'amour. Beaucoup de pote on fait les frais. Elle les a seulement rayé. J'ai usé de ruse pour ne pas me faire griller. Même si j'étais toujours grillé d'être si près d'elle
(Rires général)
Quand elle m'a proposé d'intégrer sa bande, j'ai sauté jusqu'au plafond. Et ainsi j'ai pu la côtoyer un peu plus. J'ai cru mourir quand elle a rencontré son médecin. Mais je suis encore là. Elle est là et aujourd'hui je n'ai pas peur de lui dire que je l'aime parce que je sais que si elle me grille, elle se grillera aussi (rire) Anaïs, tu es pour moi la plus importante du monde. Je t'aime tellement. Je ne saurais te dire à quel point. Je t'ai attendu pendant tout ce temps, et je crois que tu as finalement compris combien j'étais sincère. ( Je m'avance vers elle, pose mon genou à terre en sortant la boite de ma poche. Je l'ouvre devant elle. Ses yeux se remplissent de larmes pendant qu'elle me fixe en tremblant) Je ne saurais passer un instant de plus sans toi ma chérie. Devant nos parents et amis, je viens poser mon cœur à tes pieds, te promettre de faire ton bonheur si tu m'en donne la chance. Tous les jours je m'attèlerai à faire de toi la plus belle et la plus heureuse des femmes. Anaïs, veux-tu être la reine de mon cœur? La mère de mes enfants? Rendre mes parents heureux en leur donnant plein de petits fils? Une douzaine au moins hein! (Rires général) veux tu être mon univers( voix douce) Veux-tu m'épouser?
Mme BATTA: Bien sûr qu'elle veut. Même mon mari ne m'a pas fait une aussi belle déclaration.
Mr BATTA: Tais-toi chérie. Laisse Ana répondre
Elle me regarde. Une larme coule sur sa joue. Elle l'essuie rapidement en souriant.
Ana: Oui Chéri. Je le veux
Mme BATTA: Pardon, parle fort, nous on entend rien
Ana( criant fort) : Oui, je le veux Jauris.
Applaudissements de tous. Puis les gars se mettent à chanter et jouer une douce musique. Je lui passe la bague en l'embrassant langoureusement. Son père tousse derrière nous. Je me ressaisis en souriant.
Moi: (dans son oreille) Je t'aime Ana. Je t'aime tellement
Elle: Je t'aime aussi chéri.
Je la fait lever et la serre contre moi. Elle fait le tour des parents qui la serrent et la félicitent d'avoir enfin trouvé le meilleur. Je n'en doute pas un instant. Cette femme je la rendrai heureuse. Je l'ai cherché pendant des années. Maman s'approche de moi et me serre dans ses bras
Mum: (larmes aux yeux) je veux la douzaine de petit fils promis. Et le plus tôt possible.
Moi: Compte sur moi maman. Je t'aime.
Mum:(souriante) Je t'aime aussi mon bébé.
Vingt minutes plus tard, les parents se retirent et rentrent chez eux. Le reste de la bande reste assez tard. nous finissons même pas les chasser. Après nous avoir félicité une dernière fois, ils rentrent chez eux. Ana est allée raccompagner Kelly et sa famille. Dès qu'elle entre, je la prends dans mes bras et l'embrasse doucement. Elle noue ses bras autour de mon cou en se collant à moi. Mes mains dans son dos descendent jusqu'à ses fesses que je presse, excité. Ses mains se perdent dans mes cheveux. Je la soulève doucement et la pose sur la table que j'avais pris le soin de débarrasser avant son arrivée. J'écarte ses jambes en la regardant droit dans les yeux. J'y lis tout le désir qu'elle se retient de me crier. Avec mes doigts, j'écarte le bout de fil qui lui sers de dessous et j'enfonce un doigt dans son intimité. Elle gémit de plaisir en se mordant la lèvre inférieur. Je fais de doux mouvements de va et viens en stimulant son bouton d'amour. Elle bouge le bassin pour m'accompagner. Quand mes lèvres atterrissent sur son boutons pour accompagner mes doigts, elle laisse échapper un cri roque en attrapant sauvagement mes cheveux. Big Jo tressaute joyeusement dans mon pantalon, fou de désir. Je la butine pendant de longue minutes pendant qu'elle hurle son plaisir. Tantôt, je suce, tantôt, j'entre ma langue, tantôt je doigte. Ses cris me font tellement du bien. Je ne sais même pas depuis combien de temps je suis là entre ses jambes quand je sens un doux liquide couler sur ma langue. J’avale avidement cette sécrétion mi sucré, mi salée. Je me délecte de sa semence. Son cri presque douloureux m'informe qu'elle est entrain de jouir. C'est le moment que je saisis pour me glisser en elle d'un mouvement brusque, déclenchant automatiquement un autre orgasme qui la fait se tordre dans tous les sens et dire des trucs incompréhensible. Je vais et viens doucement en elle, lui laissant le temps de revenir à elle. Ensuite, je la débarrasse de sa robe en l'embrassant. Elle déchire presque ma veste en la retirant, ainsi que ma chemise. Son soutien tombe aussi, et sans demander, je met son téton en bouche en titillant l'autre avec mes doigts. Je tète comme un gros bébé. Elle caresse mes cheveux. Tout est en mouvement, big Jo, mes doigts, ma langue. Elle gémit de tout son être.
- Tu aimes chérie?
- Hum, oh, oui Babe. J'adore. Je t'en prie vas-y plus fort
- Tu es sur que c'est ce que tu veux ?
- Oui Babe, plus fort s'il te plait.
Elle enroule ses jambes autour de ma taille. Je la ramène vers le bord de la table puis me met à la pilonner. Nos pubis se choque en faisant un bruit mat clap clap clap clap. Yeux dans les yeux, je me donne en entier à elle en lui disant combien elle est belle et combien j'ai envie de me perdre en elle. Je prend ses jambes que je pose sur mes épaules. La position est inconfortable. Mais cela décuple le plaisir. Ses cris témoignent du bonheur qu'elle en tire. Je pétris ses seins doucement en allant fort en elle. Trente minute plus tard, j'éjacule en elle en poussant un grognement après sonde énième orgasme. Elle est lessivée. Je la soulève amoureusement dans mes bras et la porte jusque dans notre chambre. Je me couche près d'elle et lui mange les lèvres encore affamé et assoiffé d'elle.
- Je t'aime Jauris me dit-elle en me regardant dans les yeux
-Moi encore plus ma reine. Je t'aime tellement.
Nous papotons un instant avant qu'elle n'aille sous la douche. Je la retrouve un instant après. Elle sursaute en sentant mes doigts courir le l’ONF de son dos. Je claque fortement ses fesses avant de les malaxer et d'y coller mon érection.
- Tu es insatiable dit-elle
- Non, je suis amoureux. Dis-je en l'embrassant dans le cou. Elle pose ses mains contre le sur en se cambrant. Ma main se fraie un passage jusqu’à son sexe que je trouve déjà mouillé. J'y introduit un doigt.
- Je t’en prie prends moi mon amour.
Je ne me fais pas prier. J'appuie sur sa hanche et elle se cambre plus. Je m'introduis en elle doucement. J'attrape sa hanche avant de lui donner un coup sec qui la faire trembler en hurlant. Elle s’écroule presque. Je la retient fermement contre moi avant de lui donner un autre coup tout aussi fort. Puis un autre, et encore et encore. Elle se met a jouir bruyamment en hurlant mon nom. je suis sur de prendre ma revanche de tous ces mois. Alors je ne me gène pas pour la baiser en lui donnant le plein d'orgasme. Elle ne tient plus sur ses jambes. Alors je la retourne et la soulève, lui collant le dos au mur et dans cette position, je la lime jusqu’à ce que je jouisse en elle dans un cris rauque. Ensuite, je lui donne son bain et la ramène dans le lit. Je retourne dans la douche pour me nettoyer. Quand je me couche à côté d’elle, je constate qu’elle est déjà endormie. Je lui fais un bisous. Avant de la serrer contre moi. Rendez-vous à cinq heure pour le réveil matinal.
***** Anaïs ******
Je me réveille en sentant des picotements dans mon bas ventre. J’ouvre les yeux et découvre Jauris lancé dans un cunnilingus sensuel. Sa langue suce mon clitoris tendrement, comme un biberons. Je gémis doucement en ondulant les reins. J'adore ce réveil matinal. Il me fait l'amour tendrement et après, nous allons prendre une douche séparée avant de prendre le petit déjeuner.
- Tu as bien dormi ?
- Oui Babe, comme une petite fille. Et j'ai adoré le réveil.
- Gourmande
- J'accepte. Alors, le programme de la journée.
- C’est une surprise. On finit et on va faire quelques courses.
Nous sommes allés au supermarché où il a acheté des yaouts, des croissants, des fruits. Il m'a aussi acheté un maillot de bain ( rire, un string minuscule et un soutien gorge)
Puis, il m'a amené à l’aéroport. J’étais vraiment surprise. Un hélicoptère nous attendait. Je n'ai pas posé de questions. Durant tout le vol, il m'a chauffé. J'avais juste envie de lui sauter dessus. A un moment donné, il a sortit big Jo et je me suis fait un plaisir de le sucer pendant qu'il me doigtait la chatte. A peine ai-je finit d'avaler son sperme que nous atterrissions.
- Ou sommes-nous ? Demandai-je en descendant.
- Bienvenue au Ghana ma belle.
On a sauté dans la voiture qui nous a conduit dans une vaste demeure peinte en rose. L’intérieur m'a rappelé celle de Grand-popo où nous étions allée. Il y avait une grande piscine, un grand jardin. Dans un coin du jardin était installé un air de jeu avec des toboggans et des balançoires. Mains dans la mains, nous entrâmes dans la maison. Je fus encore émue en voyant là un portrait de nous deux, tendrement enlacés et portant un ensemble. C’était une photo prise lors de la cérémonie de.sortie des jumeaux de Kelly.
- c'est ta maison ?
- - Non bébé. C’est la tienne.
- Pardon ?
- Oui. C’est ton cadeau pour nos fiançailles.
- Dis-moi que tu blagues !
- Non, je ne blague pas. Viens je te fais visiter.
La maison comportait une douzaine de chambres toutes avec leur douches et toilettes, lit et dressing. Deux grands et deux petits salons totalement meublés avec goût et class, avec des toilettes pour visiteurs, deux vaste cuisines, Quand il me montra notre chambre à coucher, je l’attirait simplement et le jetai dans le lit. Je lui ôtai son pantalon, puis soulevait ma robe avant de l’empaler. Je lui offris une danse dont il se souviendra toute sa vie. Des qu’il éjacula en moi. Je me retirai et me couchai dans ses bras.
- Merci mon amour. J'aime vraiment ton cadeau. Tu me rends déjà heureuse.
- Je ne t'ai même pas montré le clou de la surprise.
Je fis une toilette rapide avant de le suivre. Il me demanda de fermer les yeux. Ce que je fais. Je le suivis en descendant les escaliers. Je gardait les yeux pendant environs dix minutes avant DZ les ouvrir sur son ordre. Je me mis bêtement à pleurer. C’était trop pour moi. De toute ma vie je n'avais jamais rêvé d'aussi grand.
- Ça te plait ?
- Tu es sérieux ? J'adore carrément ! Dis-je en essuyant mes larmes. Ça a dû te coûter une fortune.
- Rien n'est assez cher pour la femme que j'aime.
- Merci mon amour. Quand je me rend compte que tu étais juste à côté, et moi je me perdais à…
- N’en parle plus. L’important c’est qu’on lit ensemble maintenant. Et je te promet que tous les jours seront toujours des jours de bonheur tant que je vivrai.
- J'y crois.
J’étais dans une grande salle. Aussi grand qu’un gymnase, tout le sous-sol de ma maison en fait. Et dans la salle, il y avait tous les instruments de musique. Tout était disposé, comme si nous allions répété. Je touchais les instruments les uns après les autres les larmes aux yeux. Arrivée devant ma guitare, j'ouvris les grands yeux en reconnaissant la guitare de mes rêves. Je lui Sautai au cou en l’embrassant de tout mon cœur
- Tu es le meilleur, mon Jojo.
- Si je savais qu'il fallait une Fender pour obtenir une telle réaction, je l'aurais fait depuis.
- Ce n’est pas n'importe quel Fender c'est le dernier cri bébé, la plus prestigieuse. Mon Dieu je pense déjà à mon prochain concert hein ! Waoooh, je vais déchirer, je te jure.
- Je n’en doute pas.
Le reste de la journée se passa aussi bien. Nous avons flâné dans les restau et boutique de la ville, à bort de notre voiture. J’étais simplement émerveillée. Qui l'aurait pensé ? Que je serais aujourd’hui avec Jojo en riant de tout mon cœur ? Il me rend tellement heureux.
**** QUELQUE PART A COTONOU ****
Laly BIBI
- Ohhh oahh Roland, ouiii, vas y plus fort. Oh, tu va me rendre dingue, oooo mon Dieu. Oui !!!!
Il accélère pendant que Bruno me casse le cul agréablement. Je suis couchée sur son torse, ma poitrine collée à lui. Je prends mon pied en hurlant mon bonheur. Quelques instant après, Bruno se retire de mon cul et vient me présenter son sexe que je prend en bouche. Il saisit ma tête et l’envie ses 25cm dans la gorge. Je sens ma gorge brûler et mes yeux s'embuer. Il n'y vas pas de main morte. J'ouvre grand ma bouche pendant que dans un dernier coup encore plus violent, il éjacule en collant son pubis contre mon visage avec force. Je manque d'air, toussaute, un peu de sperme me ressort par les narines. Il se retire en me donnant une gifle. Roland me lime encore un instant avant de faire pareil. Quand il éjacule, il se retire . je m'écroule, repue.
Je broute la vie à belle dent. Depuis que j'ai quitté Cecil, je n'ai plus cherché à avoir de mec dix. Je me tape ceux qui me plaise et qui sont pleins aux axes. Roland et Boris sont deux potes que j’ai croisé en boite de nuit hier. Je leur ai fait du rentre dedans puisqu'ils semblaient bourrés de fric. On s'est retiré dans les toilettes et après avoir conclu le marché, je leur ai offert une fellation rapide avant qu’on ne vienne chez moi. Aussitôt arrivés, ils m'ont pris en mains. Ils m'ont pris chacun par tous les trous avant de me prendre en sandwichs. J'ai pris mon pied. Et malgré ça, j'aurai une enveloppe de cinq cent mille francs, si ce n'est pas le paradis, c'est quoi ?
Nous avons fait les fous toutes la nuit. Et ce matin, ils m'ont réveillés pour un dernier round. Ils ont pris une douche rapide avant de me donner mon enveloppe et de se barrer. J'ai fermé mes portes avant d'aller me coucher.
Quinze heures sonnaient quand je me suis réveillée. J'ai pris ma douche, me suis brossée avant de me mettre devant la télé. Mes journées sont ainsi. J'ai ouvert une clinique. Pas aussi luxueuse que celle de Cecil. J'ai des médecins compétents qui assurent le boulot pour moi. J'ai mes studios qui me rapportent de l'argent tous les fins du mois. Je suis financièrement épargnée. Ma vie telle qu'elle est me plait énormément. C'est no stress.
A vingt heures, j'ai garé ma voiture devant ma clinique et je suis entrée. Tous les médecins sont venus me saluer dans mon bureau avant de retourner à leur occupation. J’étais à rêvasser quand :
Toc, toc ?
Moi : Oui ?
Michel le stagiaire est entré un sourire aux lèvres.
- Bonsoir madame.
- Oui, ça va ici ?
- Oui.
- Assieds-toi.
Il s'assit sur la chaise en face.
- Alors ?
- Bien, aujourd’hui, Nicole est venue avec trente minutes de retard. Axel, est allé à la pause un peu plus tôt, la nouvelle a semblé durer un peu plus que d’habitude dans le bureau de Me KITAM. A part ça il n'y a rien d'autres.
- Tu es sur ?
- Oui madame.
Je vais m'asseoir en face de lui sur la table. Il me regarde, les yeux pleins d'envie. Je remonte ma robe sous laquelle je n'ai rien porté. Il approche son visage sans un mot et se met à me manger le sexe. J'adore particulièrement ce qu’il fait. C'est pourquoi j'aime arriver au boulot à cette heure ci. S'il n’était si pauvre, peut-être que j'aurais eu des sentiments pour lui. Mais je ne me plains pas. Il sait me faire plaisir. Il me suce jusqu’à ce que je jouisse, ensuite il va dans la salle à côté ou il y a un lit pour me reposer et aussi une salle de bain. Je le suis, vicieuse. Je vais lui saisir son sexe de derrière en le malaxant. J'ai envie de lui faire autre chose aujourd’hui. J'ai envie de le dévergonder. Je sais qu'il est manipulable. Il suffit de lui proposer un bon poste et c’est tout.
Moi : J'ai envie de te proposer autre chose.
Il se retourne vers moi.
Lui : Quoi ?
Je me dirige vers le lit et ressors tout l'arsenal que j'ai : Des menottes, des cravaches en cuir, des vides petits et énormes. Il me regarde sans comprendre.
Moi : J'ai envie de m'amuser avec ton derrière.
Lui : Quoi ??
Moi : Oui. Tu me plais énormément et j'ai envie de partager mes moments de folies avec toi. Tu es le genre d'homme que j'ai envie d'enculer sauvagement.
Lui : Mais c'est insensé ?!
Moi : Non, c’est jouissif. Pense y. Je pourrais s’engager définitivement, trois fois par semaine, tu me laisse te mettre on gode dans le cul et en retour, je te trouve un bon poste.
Je m'approche de lui en prenant ses couilles que je presse doucement, le fixant dans le blanc des yeux.
Moi : Si tu refuses, je te mets simplement dehors. Tu ne travailleras plus dans mon cabinet.
Il baisse les yeux et quitte la salle sans un mot. Je sais qu’il est choqué. Mais je suis sûr qu’il reviendra. Il a besoin de ce boulot pour nourrir sa mère et ses frères. Je sais qu'il reviendra et ce jour, je me ferai une joie de lui enfoncer le plus gros gode de ma collection. Oui, à moi la belle vie.