What?

Write by RIIMDAMOUR



#Salut la famille muswada.  Je suis Désolée pour la publication d'hier, je ne suis pas vraiment douée avec Musawada.

Pour me faire pardonner je vais vous poster deux parties au lieu d'une.

Bisous et merci pour les follows et les commentaire, j'adore vous lire.#

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Faire la paix.

Faire la paix.

Je ne pensais pas que ce serait aussi difficile de faire la paix avec mon mari.

Certes il était moins...chiant. (pardon)
Mais il était chiant quand même.

On ne s'appréciait toujours pas mais on faisait avec.

La semaine d'avant quand j'ai eu une cette crise à cause de mes règles douloureuses, il m'a veillé toute la nuit. J'étais bluffée hein.

J'avoue que j'en faisait un peu trop. Après avoir pris ma dose de Flurbiprofène je ne ressentais presque plus de douleurs, mais j'ai continué de gémir et de me rouler sur le lit.
Juste comme ça...
C'était très drôle de le voir m'observer la mine inquiète.
Franchement je ne pensais pas qu'il pouvait faire montre d'empathie.
Encore une preuve que je ne le connaissais pas.

Il n'y a pas eu de dispute depuis.
Bon, c'est vrai qu'on ne parlait pas beaucoup.
Depuis, il essayait de nettoyer quand il salissait quelque chose, ce n'était jamais propre, mais il essayait au moins.
Il ne me criait plus dessus quand il ne trouvait plus sa montre qu'il avait posé sur le divan.
Il faisait même l'effort de saluer Josée quand il la trouvait au salon.
Ils ne se sont jamais apprécié ces deux là, dès le début, réciproquement.

Nous n'avions pas tellement pas l'habitude d'être aussi poli l'un envers l'autre que nos moments de...courtoisie, étaient très gênants.

Cette fois ci, il m'avait averti de la date du mariage de son frère une semaine à l'avance.
J'ai failli l'applaudir.
Au moins on ne se serait pas gueuler dessus pour ça cette fois-ci.

Je me demandais vraiment pourquoi il y allait?
Avait-il oublié la pagaille qu'il avait semé lors du dîner de fiançailles?

Je sentais bien qu'il n'était pas trop ravi de faire acte de présence mais c'est comme s'il était forcé.

Je n'y comprenais rien.

Cette fois, j'ai pris les précautions et j'avais préparé ma tenue des jours plus tôt et même mes chaussures étaient choisies.

N'empêche je n'avais aucune envie d'aller à ce foutu mariage.

Pourquoi organiser un dîner de mariage fastueux, si on se marie la semaine suivante ?
Trop bizarres ces gens là.

Et puis je savais que ça allait être un événement très mondain.
Madame Salima Aïdir adorait le faste, le luxe et surtout, qu'on parle d'elle.

Et le pire de tout ça c'est que cette harpie était très amie avec Safiètou.
Pff...

J'étais obligée d'y aller.
J'avais accepté cette clause dans notre contrat de mariage.
" Faire acte de présence et accompagner son conjoint lors des cérémonies familiales, religieuses ou qui ont attrait avec le travail."
J'avais signé, parce que je voulais qu'il m'accompagne si jamais je devais aller à une quelconque cérémonie familiale où tout le monde demanderait après mon mari.

La famille...

Ce jour là, j'avais invité Tala à déjeuner à la maison.
C'était un vendredi, il descendait plus tôt les vendredis.
Je lui ai fait un très riche tchiebou djeun (riz au poisson ).
Avec une queue de Thioff, du guedj beurre, beugeudj akk soul. ( des accompagnants).
Wa mani lolou kouka bagne?
Qui n'aime pas ça?

Amine était au travail.

Tala est arrivé avec Mansour dans les pattes, ce qui m'étonnait pas du tout. Mon cousin ne manquait pas une occasions de venir manger à la maison.
Puis Josée m'a appelé pour me demander ce que j'avais préparé à déjeuner. Elle s'est mise en route dès que je lui ai dit.

Et enfin quelques minutes avant de passer à table, Amine est arrivé.
J'étais réellement surprise, parce qu'il n'était jamais rentré aussi tôt avant. Il a dit qu'il voulait se reposer un peu.

Heureusement que je cuisinais toujours en quantité suffisante pour une régiment.

Nous avons passé un excellent moment tous ensemble.
Même mon mari m'avait l'air d'être dans son élément, entre les blagues de Mansour, l'intelligence de Tala et cinisme de Josée.
Il a souri, il a ri, et à plusieurs reprises.
Il a même participé au débat qui faisait rage entre Mansour et moi.
Une vraie surprise pour moi.

Ils ont tout dévoré. En même temps, tout le monde aime le riz au poisson. ..

Ensuite Mansour à fait du bon Thé a la sénégalaise (Attaya), c'est à dire un thé très fort hyper mentholé et hyper sucré.
Nous sommes restés au salon à palabrer.

C'est la que j'ai remarqué que Amine avait de très grandes affinités avec Tala.
Normal vu qu'ils se ressemblaient tous les deux: le même sérieux, cet aura de mystère toujours flottant autour d'eux , ils n'étaient pas très bavards non plus.
Ils ont parlé boulot et footbal, pendant près de 2h de temps.

On en a eu marre Josée et moi donc on s'est isolé dans un coin.
J'ai essayé de lui tirer les vers du nez à propos de ce qui ce passait entre Mansour et elle, elle a tout nié en bloc, encore une fois.

Quand vers 17 j'ai raccompagné nos invités jusqu'à leur voitures ( Mansour s'est de suite proposé pour raccompagner Josée, curieux non?), j'ai retrouvé Amine qui dormait comme une masse sur le canapé. Il ronflait très fort aussi.

J'ai toujours trouvé curieux la manière qu'il a de s'endormir très rapidement.
Sans doute devait il être fatigué.

Rien de bien étonnant puisqu'il travaillait sans relâche.
Quand il rentrait à la maison, il s'enfermant dans son bureau jusqu'à l'heure du coucher. Il travaillait vraiment d'arrache pied.

Il m'arrivait de l'avoir en pitié.

Bref, vous vous demandez sans doute pourquoi je vous raconte tout ça.
Eh bien je m'étais dit que puisqu'il était devenu plutôt aimable avec moi, je pouvais au moins le mettre au courant, pour qu'il sache ce qui l'attendait.

La veille du mariage de son frère, j'ai décidé de le prévenir, d'une éventuelle catastrophe qui pouvait se dérouler pendant la fête.

J'ai cogité des jours et des jours sur la question?

Devais-je lui dire?
Devais-je le laisser découvrir par lui même?
Comprendrait-il?
Tant de questions que je me suis posé...

J'ai pris mon courage à deux mains et je suis allée le trouver dans son bureau. Je venais juste de finir ma prière du crépuscule.
Il avait le nez plongé dans son pc quand je suis entrée.

- Tout va bien? Avait-il demandé en remontant ses lunettes sur son nez.

Ainsi donc il porte des lunettes! Me suis-je dit.
Aucun rapport avec le moment mais je voulais calmer ma nervosité en pensant à autre chose.

-Je voudrais te parler. Lui dis-je.

Je commençais à me dégonfler un peu devant son regard surpris.

- Vas y je t'écoute.

Je cherchais vainement dans ma tête une manière de commencer mon speech, une introduction...mais rien.

Au bout de quelques instantsvil commença à montrer des signes d'impatience.

- Bon, tu te lances princesse ou il faut que je te tire les vers du nez.

Voilà que je l'avais énervé avant même d'avoir dit quoi que ce soit.

Je pris la décision de me lancer sans plus réfléchis.

- C'est euh...à propos du mariage de ton frère. Je voulais te prévenir que...que je...euh.

J'avais été bête que croire que ce serai simple.

- Que tu quoi? S'énerva t-il.

- Que je risque d'être saoule pendant la fête.

- Quoi? Demanda t-il les yeux exorbités.

Voilà, il me prenait déjà pour une folle.

- Eh bien, à chaque fois que je vais à une cérémonie je rentre saoule. Tu n'as pas vu ça dans les magazines? C'est pourtant la raison pour laquelle tout le monde me connaît par ce que...

- Tu crois vraiment que j'ai le temps d'aller fouiller dans des revues pour trouver des infos sur toi? Et puis qu'est ce que tu me racontes? Tu bois de l'alcool? Me questionna t-il en enlevant ses lunettes.

- Non! M'exclamais je. Je n'en ai jamais bu. Enfin...pas theoriquement. Personne ne m'a jamais vu en boire, et je ne me souviens pas non plus en avoir déjà bu. Mais le fait est que à chaque fois que je vais dans un endroit rempli de personnes, je suis bourrée avant la fin des festivités.

Il me regarda comme s'il était en face d'un extraterrestre.

- Qu'est ce que tu me racontes là? Si j'ai bien compris, tu te saoule sans pour autant avoir bu une gputte d'alcool?

Je fis oui de la tête.
Il posa ses coudes sur la table et plongea son regard dans le mien, cette manie qu'il a d'essayer de me sonder...

- Dis moi princesse? Tu te moques de moi hein?

Je fis non de la tête.

- Non mais parce que, ce que tu me dis là n'a aucun sens. Et pourquoi tu me dis tout ça?

Il avait l'air très...suspicieux.

- Pourque tu ne sois pas surpris le soir de la fête quand tu me verras agir comme une...alcoolique. Par respect pour toi.

Ça sa voyait sue son visage qu'il n'acceptait toujours pas ce que je lui disais.

Je fis trêve de bavardage. Je savais que j'aurais beau lui expliquer, il ne comprendrait pas.
Et franchement, tout ceci n'était pas facile à comprendre, je le concevais facilement. Mais je ne pouvais soutenir son regard bizarres plus longtemps.

Alors je me suis levée, et je suis sortie, sans avoir au préalable posé un magazine devant ses yeux.

Je l'avais prévenu, advienne que pourra.

*************************
Point de vue Amine Aïdir.

J'étais vraiment perdu.
Je ne savais pas si je devais la croire ou s'il elle me mentait.
Pourquoi m'aurait-elle menti d'abord?
Je ne savais carrément pas quoi en penser.

Nous n'en n'avions pas parlé depuis la veille dans mon bureau.

Je n'arrivais pas à attacher mon noeud papillon.
J'avais envie de titiller mon père en portant quelque chose de peu conventionnel. Il m'avait appelé pour me supplier de porter un smoking classique et bien coupé, parce que je serai sans doute bien original.
Je n'ai pas eu de ses nouvelles quand j'ai été malade, ni simplement durant ma jeunesse. Il se permettait quand même de me dicter ma manière de m'habiller pour le mariage de son fils chéri.
Il se fourrait le doigt dans l'oeil s'il pensait que je me plierait à ses volontés.

J'avais choisi pour ce soir une chemise noire et un smoking noir, mais un blazer en motifs tribales ( wax)

J'avais choisi pour ce soir une chemise noire et un smoking noir, mais un blazer en motifs tribales ( wax).
Admettons que ce n'était pas très conventionnel pour un mariage, j'anticipais déjà la réaction de mon père, Il allait être furieux.

Je pris mon temps pour me mettre du parfum et jeter un coup d'oeil sur quelques documents.
Milouda m'avait promis d'être prête il y avait trente minutes, mais aucun signe d'elle
Ça m'aurait étonné qu'elle soit à l'heure. Les femmes...
Je commençais à m'inquiéter quand elle me fit signe qu'elle était prête...
Enfin.

Quand j'ai vu ce qu'elle portait, j'étais encore plus content, mon père allait mourir de rage en nous voyant arriver tous les deux habillés en wax.

Je savais qu'elle faisait des efforts pour qu'on ai rien à lui reprocher, mais sérieusement cette fille avait le chic pour créer la polémique.
Franchement, qui va à un mariage hyper chic en wax?

N'empêche, elle était classe, sa robe lui allait bien. Et puis qu'avait elle fait à ses cheveux?
Ils étaient super long et ça lui donnait un air plus mature.

 Et puis qu'avait elle fait à ses cheveux?Ils étaient super long et ça lui donnait un air plus mature

- On y va? Demanda t-elle d'une petite voix.

Elle baissa les yeux face à mon regard insistant.

Elle baissait tout le temps les yeux dernièrement, depuis qu'elle m'avait parlé de cet histoire farfelue en fait.

Elle était gênée, il y avait de quoi.

C'était le silence dans la voiture.
Elle fixait le paysage, le regard ailleur.

À vrai dire, moi aussi j'étais plongé dans mes pensées.
Je me demandais si mon frère inviterait encore Taloula , ça risquait de compliquer les choses.
Je ne regrettais pas du tout avoir envoyé mon frère Hayad à l'hosto. Il avait dit du mal de Taloula et ça, je n'avais pu le supporter.
Malgré tout ce qu'elle m'avait fait, j'aimais encore cette femme comme un dingue.
La revoir la dernière fois a réveillé mes vieux démons.
Cela faisait deux ans que j'avais rompu avec elle mais je ne lui avais toujours pas pardonné.
Un cocktail entre haine et amour quoi.

Mais cette fois, j'étais mentalement préparé. Taloula ou pas, je m'étais juré de rester calme.
À part si ce que Milouda avait dit était vrai.
Encore un mystère autour de cette fille, je n'arrivais pas à la cerner, même après avoir vécu avec elle plusieurs mois.

J'ai néanmoins découvert qu'elle était loin d'être une petite dépravé pourrie gâtée.
On ne s'entendait pas, c'était un fait, mais jamais elle ne m'avait manqué de respect, pas une seule fois.
Elle était très serviable, j'ai été surpris quand j'ai découvert à quel point elle aimait cuisiner. Elle ne donnait pas du tout l'air d'une fille qui sait faire quelque chose de ses dix doigts.
Elle s'occupait de moi, mieux que ma propre mère me l'avait jamais fait.
Au début j'étais intrigué, je ne savais pas pourquoi elle faisait tout ça pour moi, jai compris que c'était sa nature, de se plier en deux pour les autres.

Si ce n'est pour aller en cours, ellr ne sortait presque jamais, à part pour aller au marché, accompagnée de Fatou. Ou quand elle allait rendre visite à sa famille, et là encore elle était toujours accompagnée par l'un de ses cousins. À croire quelle avait peur de sortir seule.

Je me suis rendue compte que je l'ai jugée trop hâtivement, surtout le jour où elle m'avait dit à quelle point j'étais égoïste, dans mon bureau,elle était en larmes.
Je me suis senti vraiment mal.
Moi qui m'étais juré de ne jamais faire couler les larmes d'une femme.

Et puis ça ne devait pas être facile pour quelqu'un d'aussi jeune qu'elle d'avoir une vie aussi médiatisée.
La presse people s'empressait de commenter ses moindres faits et gestes et d'inventer tout un tas de truc.
Je comprenais qu'elle ne veuille pas attirer l'attention.

Donc j'admettais que cette histoire d'alcool n'avait aucun sens, mais je lui accordais quand même le bénéfice du doute.

La fête se déroulait au King Fahd palace.
Je trouvais bête de louer un hôtel étoilé alors qu'on à une énorme maison très bien équipé.
Je n'ai jamais compris mon père.
Je suis sûr qu'il avait claqué une fortune pour ce mariage alors qu'il a refusé de me prêter de l'argent pour l'opération de ma mère, qui était pourtant son épouse.
Je ne l'en détestais que plus.

Milouda s'était crispée dès que nous avons pénétré dans l'hôtel.
Elle n'était pas très à l'aise dans les endroit où il y avait du monde.
Elle s'agrippa à mon bras comme à une bouée de sauvetage.

- Ça va? Lui demandais-je.

Elle respira un bon coup puis me dit:

- Amine, écoutes moi. Ne me lâches pas du regard une seule minute. Ne sois jamais loin de moi, surtout à table. Et dès que je commence à être bizarre, ramène moi à la maison. Dit-elle l'air grave.

- Quoi?

- S'il te plaît. Écoutes moi bien.
Ne t'éloignes surtout pas de moi. Je t'en conjure . Tu te souviens de ce dont je t'ai parlé? C'est le seul moyen de ne pas creer un scandale.

- Milouda qu'est-ce que tu...

- Promets le moi, s'il te plaît. Promets moi de ne pas me quitter des yeux. Amine promets moi. Fit-elle son regard gravement planté dans le mien.

Je ne savais que penser de tout ça.
J'eus juste le temps de hocher la tête que ma soeur apparut devant nous, comme une fleur.

C'était la deuxième fois qu'elle nous intetompait en plein échange.

Elle nous fit des bises sonores et ce mit à parler abondement, comme à son habitude.

Elle nous dirigea vers la salle de réception, toujours en parlant.

Ma soeur Camélia à toujours été très extravertie. Elle m'a témoigné une grande affection dès qu'elle a su mon existence , contrairement à ses frères.
J'ai toujours été très foid avec elle. Je ne sais pas pourquoi, je ne lui faisais pas confiance malgré sa gentillesse.
Je l'aimais bien,mais j'évitais de le lui montrer.

La salle de réception était remplie d'invités, les uns plus distingués que les autres.

Bizarrement on me complimenta sur ma tenue.
Milouda et moi étions un peu à l'écart. On ne bougeait pas de notre table.
Elle semblait craindre quelque chose, elle avait l'air très stressée.

Un peu avant le dîner, sa belle-mère Safietou est venue à notre table pour nous saluer.

- Milouda ma petite chérie! Tu m'as manqué! Avait-elle crié en la prenant dans les bras.

Milouda n'a pas réagi, elle s'est juste contentée de lui lancer un regard d'avertissement.

Moi je savais qu'elle ne portait pas ma femme dans son coeur, alors pourquoi cette comédie?

Le reste de la soirée était inintéressant. Un chanteur local animait la soirée. Les mariés faisaient un incessant aller-retour entre les invités sans pour autant arrivait jusqu'à nous. Mon père remerciat ses trois fils adorés me zappant complètement. Ma soeur lui a rappelé qu'il en avait quatre, de fils il l'a ignoré.
Milouda picorait dans son assiette, c'était la première fois que je la voyais faire la fine bouche. Elle était plutôt vorace d'habitude.
On aurait dit qu'elle avait peur de manger.

La soirée n'était que perte de temps...pff...

Vers l'heure du dessert Milouda commença à être bizarre. Elle s'était déridee, elle souriait et faisait même l'effort de discuter avec son voisin qu'elle ignorait depuis le début.
Puis elle s'est mise à rire toute seule, ensuite elle à commencé à être bavarde. Et enfin elle s'est levée pour se tortiller devant moi, elle disait danser.

Elle avait réellement l'air d'être saoul.
Je m'inquietais.

Quand elle m'a soufflé vouloir aller embrasser mon frère, j'ai su que quelque chose clochait.

Je me suis directement levé et je l'ai discrètement dirigée vers la sortie. Direction la maison, elle gloussait comme une folle.



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