01. Le Karma I
Ecrit par LaPatronna
Quand un oiseau est vivant, il mange des fourmis. Quand l'oiseau est mort, les fourmis le mangent.
Frédéric
Anaïs
Joyce
Aron
Frédéric est âgé de 18 ans, il est élève en terminal, vient d'une famille riche. Il croque la vie en plein dent, dépense sans compter et passe les weekends à s'amuser avec ses potes. Il est le fils gâté à son Papa, il est de nature Don Juan, il sait qu'il est beau quoi de plus pour mettre toutes les femmes à ses pieds. Toutes sauf une, Anaïs la fille du propriétaire du restau de son quartier.
Lui qui aime tout posséder, impossible d'accepter la défaite, il veut à tout prit la séduire.
- Tu es belle tu le sais?
-Bon pas tant que ça...
-Mais nooonn tu es trop belle, et sûrement la plus belle du quartier.
-Hein?! Hum
- Crois moi ( Il dépose une bise sur sa main) alors tu m'accorde ce rendez vous ?
- Si mon père apprend que je traine avec vous de bande de gosse riche il va me tuer.
- Ahah De gosse riche ! T'inquiète il n'en saura rien promis.
-Okay d'accord Jeudi. Pas très tard à 15h
- Promis tu ne vas pas le regretter.
Il voulut la faire une bise mais elle s'y opposa. Ça lui fit sourire malgré lui. Anaïs était d'une beauté mais aussi d'une naïveté ceci faisait d'elle une proie facile pour assouvir ses fantasmes sexuels.
Il sort du restau où il prend le soin de laisser 10$ à la fille. Monte dans sa voiture une BMW rouge assez remarquable.
Il était déjà 17h lorsqu'il rejoins sa copine chez elle.
- Tu étais où ?
- Chez moi...
- Tu as tardé ! Vas y entre vite avant que mes parents ne reviennent du boulot.
Joyce était seule chez elle, d'une beauté et d'un beau physique , à peine âgée de 17 ans elle aimait bien trop l'argent et ne supportait pas de vivre dans cette pauvreté alors sortir avec le fils du millionnaire de la ville était rentable. Mais il fallait de sacrifice, et se livrer à lui était le prix à payer, un prix assez passable pour Joyce.
-Tu es trop belle dans cette robe ma chérie. Mais Encore plus belle sans elle.
Il la suit dans sa chambre, ce n'était pas là première fois ni la dernière.
Après avoir mit un peu de la bonne musique et tamisé la lumière de la chambre pour une ambiance érotique, ils se sont mis à s'embrasser puis à baiser dans toutes les positions possibles sans limite.
Essoufflés et fatigués, ils fument un joint avant de faire un dernier coup de reins histoire de se dire au-revoir.
-Oo--Oo-oo ta chate est trop bonne mon amour.
- Encore s'il te plaît... Déclara Frédéric encore affamé.
- Non tu dois y aller. S'il te plaît mes parents vont bientôt débarquer.
- Je ferai vite promis...
- Va-t-en !
Il a prend violemment par le bras.
-Un dernier coups ou bien tu peux dire à dieux à notre relation.
-Okay...
Elle se pencha, lui donna pour cadre ses grosses fesses. Sans trop attendre il s'introduisit en elle après avoir déballer un autre préservatif.
- Merci ma belle, je t'aime
-Oui je t'aime aussi
Il sort un collier en or ainsi qu'une somme de 50$ beaucoup pour une fille de 17ans.
Le Jeudi arriva, et le rendez-vous avec Anaïs était fixé.
Il avait tout prévu, du repas dans un appartement inhabité de ses parents à une nuit digne de série dans l'appart même.
Il avait tout apprêté, un repas, servi au sol sur un drap étalé, de belle bougie tout autour, et ensuite de préservatif pour passer une nuit inoubliable.
L'invitée venait de s'évader de chez elle, mentant qu'elle allait réviser à la bibliothèque, elle fait le pied jusqu'à la bibliothèque l'endroit prévu pour se rencontrer avec Frédéric.
Après 10min sa voiture arrive sur le lieu de rendez vous.
- Splendide ta robe _Complimenta Frédéric
- Merci dit elle tout timidement
-Monte...
- Où allons nous?
- Quelques parts où on pourra pas être dérangé.
- Hum okay
Il roula jusqu'au lieu du rendez-vous.
- Non je ne vais pas monté. On avait prévu d'aller dans un restaurant.
- Mais arrête chérie. Quoi tu ne me fais pas confiance?
- Heu...
- Anaïs. Regarde moi dans les yeux. Est ce que j'ai l'air de quelqu'un qui peut te faire du mal? J'ai une famille, je ne suis pas un monstre à quoi tu pense?
- Heu... Je ne sais pas trop
- Allez s'il te plaît. Fait moi plaisir et monte. ( Il lui montre son plus beau sourire)
-Okay d'accord.
Ensemble ils montent les escaliers et s'introduit dans l'appartement vide.
Après avoir discuter tout en buvant et en mangeant, Frédéric était trop pressé d'obtenir ce qu'il lui avait poussé à faire tout ses efforts. Une nuit avec Anaïs, savoir qu'elle était vierge accentuer encore plus son désir.
Mais après plusieurs tentatives d'introduction et de séduction Anaïs reste sur sa décision, elle ne veut rien faire avec lui, encore moins lui faire une fellation ni l'embrasser d'ailleurs. Alors prise de colère il la plaqua sur le sol et d'une manière violente il lui arracha sa virginité, malgré le pleure et le supplications de Anaïs il ne voulait rien attendre. Seule sa pulsion sexuelle lui intéressait. Il venait de violer cette fille, une victime de plus de la méchanceté de l'homme, une victime de plus de cette société qui ne protège pas assez les femmes, qui n' éduque pas les hommes à respecter la gente féminine, cet homme avec une grande appétit sexuelle venait de lui arracher sa virginité, elle, une fille de 16 ans, comment allait elle l'expliquer à ses parents ? Comment allait elle expliquer s'être retrouver dans le bras de cet homme, dans ce lieux alors qu'elle était sensé être à la bibliothèque.
Les yeux rougies elle constata avec effroi la tache rouge sur le drap blanc. Et Frédéric lui qui était si charmant et gentil s'était transformé en un homme désagréable.
- Je suis désolé d'y être aller un peu fort
- Un peu fort ?! Tu viens de me violer! Violeur! Bandit
- Hé mais arrête, tu dis n'importe quoi. Tu ne vas pas faire comme ci tu n'avais pas pris goût après un moment
-(En pleure, Elle lui attrape par la chemise) Qu'est ce que tu m'as fait , qu'est ce que tu m'as fait ! Tu viens d gâcher la vie. Mes parents vont me tuer!
- Ils n'en sauront rien si tu arrête de chialer là et puis la vie continue. Je ne serai pas le dernier homme de ta vie, tu verra tu me remercieras un jour de t'avoir fait découvrir le monde sexuel.
- Ecoute moi, moi de ma part je promet que je ne dirai rien à personne. Tu peux aussi en faire de même et personne, je t'assure personne ne saura.
Rassurer par ce promesse, même ci celles ci n'allait rien jamais sur la douleur de son coeur et la déception. Elle ne pouvait que accepter ce compromis. Elle s'était juré de ne plus avoir à faire à Frédéric mais c'était sans compter sur Frédéric et ses démons.
Trois semaines plus tard après avoir disparu de la circulation, il réapparaît dans le restau de chez le Anaïs.
- Que fais tu là, après avoir disparu. Escrocs ! Tu as eu ce que tu voulais alors tu m'as jeté dans les oubliettes _Dit elle d'une voix attristée.
- Dis pas ça. Tu sais bien que je t'aime. J'ai honte de ce que je fais et je veux bien m'excuser. Il lui tend un sachet, à l'intérieur de produits de beauté et cosmétiques.
- Ça ?! Tu pense que ça peut acheter mon pardon ça ?
- Tu veux savoir où j'étais? Je prépare mon bac , une fois le bac en poche j'irai aux USA faire des études supérieures, puis je reviendrai pour devenir un grand homme dans le pays, et toi? Vois tu là aux pays de blanc on ne trouve pas femmes à nos goût. Femme aussi respectable et fidèle, toi j'ai pris ton innocence, je suis ton premier homme donc tu as de la valeur à mes yeux, toi seul m'a offert cette joie de dépuceler une femme, et grâce à ton innocence je vais t'épouser. J'irai aux USA je t'enverrai souvent de l'argent puis à mon retour tu deviendra ma femme.
- Tu es sérieux?
- Oui très sérieux.
L'idée que celui qui lui avait dépuceler devienne son époux était une alternative parfaite pour Anaïs. Encore une fois sa naïveté allait lui coûter cher. Elle tomba dans le jeux. Mais il y avait bien une condition.
- Mon amour, ma future femme. J'ai encore besoin de goûter à ta sauce...
- Mais non impossible. Tu as déjà eu à le faire non je ne veux pas ça. Déjà la première fois c'était une erreur.
- S'il te plaît ma fleur. Regarde moi, ton homme va s'en aller pour une année sans te revoir, une année ce trop, je risque de devenir infidèle là bas et t'oublier. La première fois on ne l'avait pas bien fait toi même tu sais. Laisse moi y prendre plaisir et te faire goûter à ce plaisir aussi.
Les mains de Frédéric se posèrent sur ses anches développés, puis il lui embrassa d'un baiser fougue, Anaïs se laissa emporter par le plaisir que lui procurait ses caresses et baiser, très vite elle succomba aux désirs et Frédéric en profita. Avec elle il ne se protegait point. Car se disait il, elle était vierge et aucun homme n'y était passé donc aucun risque de maladie sexuellement transmissible.
Tout cela était bien-sûr un mensonge. Il ne comptait en aucun cas l'épouser, il n'était même pas amoureux d'elle.
Du côté de Joyce, son appétit pour l'argent se faisait de plus en plus grand, il ne se contentait plus de 50$ que Frédéric lui offrait pour de jeux sexuels dont elle était si bien doué d'après ses amants, elle en voulait plus alors elle est allé chercher un plus gros poisson. Pourquoi cet amour d'argent? Une telle cupidité pour une jeune adolescente de 17ans. En effet ce besoin d'argent est née pour le besoin de bien paraître aux yeux de tous, avoir de beaux fringues, de beaux téléphones et appareil, une belle lotion, être au top de la mode, ressembler à ses amies qui venait de famille riche mais aussi donner de l'eau à la bouche aux filles de son quartier. "Je ne suis pas de votre niveau" _Disait elle .
Son plus gros poisson fut un homme , Aron âgé de 25 ans, célibataire et gosse de riche. Le rendez-vous ne se faisait plus chez elle mais désormais dans des hôtels, où elle dégustait la vie de luxe et de riche. Auprès de cet homme de 25ans elle avait accès à tout ce beaux endroits, de boîte de nuit, de restau gastronomie, plage etc...
Malgré leur début qui n'était passé que sur le sexe très vite Joyce est tombée amoureux de lui mais ce n'était pas le cas pour lui, elle était son objet sexuel rien de plus.
Après quelques mois de relation il décide de mettre fin à leur relation et lui informe qu'il va bientôt se marier.
- Pourquoi elle et pas moi. N'est ce pas que tu l'as connu après moi.
- Toi c'est clair dès le début que ce juste pour le sexe . On s'amuse baby j'ai toujours été clair. Je ne te vois pas en tant que femme. Mais tu vas me ruiner, ruiner ma vie ainsi que mes finances. Même ma réputation. Tu imagine je serai bientôt PDG de l'entreprise de mon père puis un jour quelqu'un se rend compte que je sors avec une escorte girl, c'est une honte, qui va encore me respecter?
- Je te promet d'arrêter ce que je fais. Je ferai tout ce que tu voudra. Je vais changer rien que pour toi. Je serai la femme de tes rêves. Après qui connait tes goûts sexuels mieux que moi.
- C'est pourquoi tu pourra devenir ma maîtresse.
- (Les larmes remplissent son visage, le coeur serré, elle saigne)
- Imagine une seconde, je ne peux pas tolérer avoir par exemple un associé qui me dit avoir déjà couché avec toi. C'est insupportable. Et puis ton corps c'est un jouet de tout celui qui veut, suffit juste d'avoir le billet plein la poche. Je ne veux pas d'une femme passe partout. Et si un jour je fais faillite seras tu toujours à me côté ? Où tu écartera encore tes jambes aux premiers venus.
- Je te déteste ! Hurle - t - elle le coeur rempli de tristesse. Elle prend ses affaires et se tire.
Elle se jura de ne plus aimer un de ses clients mais elle continua son business de sexe. Elle ne pouvait jamais renoncer à tout cet argent et cette vie facile.
Elle fit de son mieux pour trouver deux plus gros poisson. De papa cette fois ci, 50 et 55ans, les pères de ses amies de l'école.
Elle s'offrait à eux, corps et temps, elle offrait sa jeunesse. Tant dis que les autres apprenaient à travailler, à se cultiver et apprenait à aimer et à trouver l'amour.
Du côté de Frédéric, les examens pour son bac était passé, tout allait bien comme il le voulait. Malgré sa malhonnêteté et son caractère de Don Juan il était bon élève et avait de bonne note. Il avait fini par rayer Anaïs de sa vie pour trouver une autre proie. La fille de son voisin qui avait à peine 14 ans, il avait aussi une nouvelle copine, il avait fini par rompre avec Joyce.
Mais le résultat du bac venait de sortir, il avait eu avec une bonne note, son père était fier de lui, toute sa famille était fière, il avait reçu de cadeau partout et son père allait réaliser son rêve celui d'aller aux USA faire ses études universitaires, il était très joyeux car son rêve était sur le point de se réaliser.
Mais c'était sans savoir qu'une chose allait venir tout faire basculer. Ses erreurs du passé comptait bien lui rattraper.
Anaïs de son côté avait bizarrement de malaise assez répétitif, elle avait prit considérablement du poids, avait de nausée et très souvent de vertiges. Sa grande soeur avaient toute suite vu l'alerte, sans rien dire aux parents elles ont effectué un test de grossesse et il s'est averait que Anaïs était bien enceinte , elle avoua tout à sa soeur, qui l'a conseilla d'aller voir l'auteur de cette grossesse pour qu'il l'a prenne en charge.
Anaïs ne s'inquiétait de rien, déjà il était le seul homme qu'elle avait connu et il l'avait promit de l'épouser.
C'est le coeur meurtrie que Anaïs constata qu'il ne répondait plus à ses appels ni à ses messages. Elle décide quand même de laisser un message où elle informe de sa grossesse. Et très vite le même jour Frédéric lui avait fixé un rendez-vous dans le parking d'un super marché.
Anaïs heureuse de le revoir, c'était fait belle, et s'y rend avec toute sa gaieté.
Après avoir vu la voiture de Frédéric elle accélère ses pas pour entrer dans celle ci et très vite le visage fâché de Frédéric venait de gâcher sa joie et ses espoirs.
- Salut mon chéri d'amour (Elle lui fait un câlin tout en souriant)
- Arrête moi ça ! ( Frédéric en la repoussant)
- Qu'y-a-t-il mon amour?
- Le problème est que tu n'es qu'une traînée sans vergogne. Regarde toi tu n'as pas honte de toi? Tu veux détruire mes chances d'avoir une vie meilleure.
- Mais pas du tout
- Ferme la! Je ne suis pas l'auteur de cette grossesse et tu n'as pas intérêt à me coller ça. Je ne t'aime pas, alors oublie moi
- Mais je porte un enfant, ton enfant, et tu es mon premier amour, tu es celui qui m'a fait perdre ma virginité.
- Va là bas! Tu penses que qui va te croire hein? Toi la pauvre fille du propriétaire du restaurant de l'autre quartier, un restaurant qui manque de peu à faire faillite ou Moi le fils du riche entrepreneurs de la ville, moi le fils aimant, bon élève qui vient d'avoir son bac et qui compte aller aux USA, qui a une copine qui vient d'une famille riche. Comment ce fils peut il déposer son dévolu sur toi, sur une minable serveuse.
Pendant qu'il criait ses mots pleins de blessures et de méchanceté, Anaïs pleurer sa peine, et constater avec effroi les mensonges que lui avait fait Frédéric, elle comprend en retard qu'elle s'était fait avoir par cet homme, un loup au visage d'agneau.
- Aide moi s'il te plaît. Je n'arriverai jamais à élever cet enfant seul. S'il te plaît aide moi. Mes parents vont me tuer.
- Bon okay. Je peux t'aider mais ça ne dépendra que de toi. Je vais te donner de l'argent pour un avortement.
- Aïe ! Mais c'est diabolique ça.
- C'est ça ou rien.
- Non tu peux aussi reconnaître ta grossesse.
- Jamais tu m'écoute... Jamais! Tu veux gâcher mon avenir ou quoi
- Assume tes actes , assumons nos actes s'il te plaît. Peut importe leur poids il faut assumer nos actes. Je t'aime Fred, je t'aime jusqu'à oublier que la première fois tu m'as violé. Aveuglé par l'amour je t'ai laissé coucher avec moi toute les autres fois parce que tu m'as promis le mariage, tu as promis de m'aimer pour la vie.
- Tu es trop bête Anaïs. Tu es tellement bête ce pourquoi j'ai profité de toi de la sorte. Maintenant sort de ma voiture. Réfléchi bien et appelle moi si ce pour me dire que tu es d'accord.
Elle sort de la voiture et s'en va le coeur pleine d'amertume.
Le lendemain soir après avoir passé toute la journée à s'amuser avec ses potes, Frédéric rentre à la maison fatigué et loin de se douter de la mauvaise surprise qui l'attend.
- Bonsoir chers parents
- Bonsoir Frédéric, prend place. Nous sommes entrain de traiter une affaire très grave te concernant.
Les corps tremblant Frédéric prend place sur tabouret pas loin de ses parents, prenant les soins de ne pas croiser le regard d'Anaïs.
Le père d'Anaïs frustré et en colère expliqua les soucis de sa venue. Et il était très clair, Frédéric avait mis enceinte sa fille et il devait en prendre la responsabilité.
Devant les parents et devant tous, il nia sans conscience, il nia être l'auteur de cette grossesse. Il accepta avoir eu qu'une seule fois de rapport sexuel avec Anaïs et que celui ci dater d'avant cette grossesse. Il avoua avoir été amoureux de Anaïs mais que celle ci l'avait déçu en commençant à fréquenter d'autre homme. Et il rajouta même que celle ci n'était pas vierge comme elle le prétend.
Une gifle éclata dans la pièce , Anaïs s'était levé pour gifler Frédéric, les mensonges qui sortaient de sa bouge étaient insupportable pour elle.
Une dispute éclata entre les deux familles, chacune protégeait son enfant. Anaïs se retrouvait en position de faiblesse n'ayant aucune preuve attestant qu'elle avait une relation avec lui.
- Regarde moi dans les yeux Fred. Je te donne une dernière chance. Regarde moi dans les yeux et jure que tu n'es pas l'auteur de ma grossesse.
- Je jure sur ma vie, "Je ne suis pas l'auteur de ta grossesse". Ta jalousie est nuisible, tu ne veux pas admettre que je ne t'aime plus.
- Okay... Papa allons y . Je ne veux plus avoir à faire à cette famille ni rien recevoir venant d'elle. Mon enfant n'a plus de père à partir d'aujourd'hui. Fred ne vient jamais le chercher, ne vient jamais le réclamer. Dieu me vengera.
C'est ainsi que Anaïs s'en alla avec son père décidée de ne plus jamais revenir et d'oublier l'existence de Frédéric. Son père la soutenait et ne comptait pas abandonner sa fille, il a toujours été là pour elle et il comptait toujours l'être. Mais pour sa mère voir sa fille enceinte sous son toit lui était insupportable. Elle qui avait enseigné à sa fille de valeur et de principe ne pouvait pas assumer avoir une fille enceinte sans mari. Alors très vite pour cacher le rumeur sur la grossesse de sa fille, elle organisa son voyage pour le village, où elle pourra y rester jusqu'à son accouchement. Et ce fut ainsi.
Frédéric quant à lui il savait jouer le jeux, ses parents étaient convaincus de son innocence, toute sa famille aussi. Le vacance achevé il était envoyé aux USA pour ses études universitaires, pour son plus grand bonheur. Il en était bien heureux. Pour lui savoir qu'il avait enceinté Anaïs n'était rien, ses larmes n'attirait aucune compassion. Il s'en foutait, et comptait vivre comme ci cela n'était jamais arrivé.
À suivre......