Le Karma 02

Ecrit par LaPatronna

Effet boumerang,
Le mal que tu fais
Te revient toujours en pleine figure


Anaïs
Frédéric
Joyce
Aron

Frédéric :


Frédéric est âgé de 18 ans, il est élève en terminal, vient d'une famille riche. Il croque la vie en plein dent, dépense sans compter et passe les weekends à s'amuser avec ses potes. Il est le fils gâté à son Papa, il est de nature Don Juan, il sait qu'il est beau quoi de plus pour mettre toutes les femmes à ses pieds. Toutes sauf une, Anaïs la fille du propriétaire du restau de son quartier.

Joyce :


À peine âgée de 17 ans elle aimait bien trop l'argent et ne supportait pas de vivre dans la pauvreté de ses parents alors sortir avec des hommes riches et couchaient avec était la solution qu'elle avait trouvé pour gagner de l'argent facile. D'abord avec de plus jeune comme elle puis avec des hommes de 50 et 55ans.

Anaïs


Fille d'un propriétaire de restaurant que Frédéric fréquentait. Croiser le chemin de Frédéric, lui croire, l'aimait et se donner à lui fut sa plus grosse erreur. Elle se retrouve enceinte et rejetée de tous, elle a le coeur brisé lorsque celui nie être l'auteur de la grossesse. Elle se retrouve alors seule avec sa grossesse.


Aron


Âgé de 25ans lorsqu'il sort avec Joyce. Quelques mois après il rencontre sa bien aimée et décide de se marier. Malheureusement Joyce est folle amoureuse de lui et lui déclare sa flamme mais pour lui hors de question de prendre le risque en épousant une prostituée.


Dix ans plus tard....


*Frédéric 28ans. *Joyce 27ans.
*Anaïs 26ans. *Aron 35ans.


Dix ans plus tard du côté de Frédéric tout semblait lui sourire, il avait fini ses études dans une prestigieuse université, et était revenu au pays pour s'occuper de l'entreprise familiale qui ne faisait que exceller depuis ses années. L'argent coulait à flot et Frédéric en profiter, il n'avait pas changer , il était toujours un coureur de jupon, un menteur et escrocs qui détournait les femmes pour son plaisir sexuel. Secrétaire, stagiaire, employée, associée, femme de ménage et j'en passe. Mais une femme avait su toucher son coeur Samya, elle belle jeune fille âgé de 26ans, qui s'occupait aussi de l'entreprise de son père, une entreprise rivale de son père.


Les deux familles avaient trouvé bon de marier leur deux enfants dans le but de fusionner les deux entreprises et de gagner encore plus d'argent.


Et dans ce mariage arrangé était née une attirance et de l'amour, pour la première fois Frédéric était amoureux, il aimait follement Samya et était prêt à tout pour elle. Samya aussi ne semblait pas indifférente à ses avances. Après quelques mois de fréquentation le mariage est scellé, un mariage qui attire presse et people, tout le monde en parle. Ils sont le Ze couple de l'année.


Mais après quelques mois de cohabitation les caractères mystérieuses de Samya se fait vite remarquer. Elle ne tolère pas que son époux contrôle sa vie, et elle s'engage dans le libertinage. En effet Samya est infidèle, trompe son mari avec le premier qui lui plaît, bref elle a aussi une grande appétit sexuelle et compte bien satisfaire ses fantasmes.


À une année de mariage Frédéric découvre que Samya a un amant mais l'affaire est réglé assez vite, lui qui était amoureux d'elle depuis le mariage n'avait jamais osé coucher avec une autre ( mais ses yeux n'étaient pas si fidèle que ça).


À deux ans de mariage Frédéric se sent comblé car sa femme vient d'accoucher d'une magnifique petite fille. Elle est d'une beauté qu'il décide de l'appeler "Rose".


Dans 5 ans de mariage ils ont 3 beaux enfants Rose, Fred, Vicky.


Du côté de Vicky, après ce dix ans rien avait vraiment changé, toujours aussi cupide, l'amour de l'argent l'avait rendu impudique et rien ne pouvait l'arrêter.


À 27ans elle vivait toujours sous la charge de ses petits amis, elle avait un bel appartement, des beaux meubles de luxe, une belle garde robe et une belle voiture. Ses amies enviait grave sa vie, car pour elles s'étaient une belle vie, baigné dans du luxe.


Mais ce qu'elles ne savaient pas c'était que la belle Joyce pleurait tout le soir dans son lit, elle avait mal de n'avoir personne pour partager ses nuits, personnes pour la combler d'amour et d'affection, elle n'avait personne pour l'encourager dans ses projets, personne pour essuyer ses larmes lorsqu'elle pleurait, personne pour la réconforter. Elle avait mal parce que contrairement à elle ses amies avaient un homme dans leur vie, un homme qui les comble d'amour, la plus part s'étaient mariées et avaient fondé une famille. Elle les enviait aussi secrètement.


Alors qu'elle fut sa joie lorsqu'elle rencontra Aristote, un associé de la société où elle travaillait comme réceptionniste ( malgré qu'elle n'avait pas fait des études). Celui ci semblait intéressé par elle et elle ne manquait pas de charme pour lui séduire à son tour. Très vite une relation sérieuse se créée mais même comme ça ce n'était pas assez pour convaincre Joyce d'arrêter sa vie de prostituée, elle continuait et n'avait rien avouer à son copain.


Après quelques mois de relation Aristote veut sauté le pas et la présenter à ses parents. Le rendez-vous fut fixé.


C'est vêtu d'une robe cocktail, un maquillage léger, bien habillé et bien coiffée. D'après elle, elle avait tout pour plaire au parents, elle était gentille, cultivée, intelligente et aimer trop leur fils.


Que fut alors son horreur lorsqu'elle croise le regard de père d'Aristote, et constate le coeur battant à 100km/h que l'homme âgé de Cinquante six ans 56ans qu'elle fréquentait depuis 3ans était en effet le père de Aristote. Elle manqua de peu de s'évanouir.


- Ma chérie est ce que ça va? Tu as l'air tout pâle.


Elle venait de voir le cadre photo au salon où ils venaient de s'installer.


- C'est ton père?


- Oui tu le connais? Hey... Est ce que ça va ?


- Bah oui ça va! Je suis juste stressée, normale, je vais voir tes parents pour la première fois.


- Okay mais tu commence à m'inquiéter là. Tu transpire.


- Bon j'avoue je me sens pas très en forme. Est ce qu'on peut y aller. S'il te plaît tu vas expliquer à tes parents. Je me sens vraiment pas bien. Je m'efforce depuis tout à l'air.


- Ils arrivent bientôt. La gouvernante a dit qu'ils étaient juste sorti un peu pour pas longtemps.


Aussitôt on entendit les voix de deux personnes entraient dans la maison.


Joyce voulait s'enfuir, ell avait envie de creuser un trou et de s'y cacher. Tellement qu'elle avait honte.


Les couples parents entrent dans le salon et on peux voir le sourire de deux s'effacer.


- Qu'y a-t-il? Questionna Aristote qui n'y comprenait rien.


SA MÈRE : - Cette traînée ! Toi comment oses-tu venir dans ma maison. Tu n'as donc pas honte de toi.


- Maman calme toi. C'est Joyce ma fiancée.


- Comment ça Joyce? Elle c'est Mady j'en suis sûr. ( Elle cherche un truc sur son portable)


Elle tend le téléphone à son fils, sa réaction grince les dents de Joyce. Elle y jette un coup d'oeil et voit une photo d'elle en tenue sexy presque nu, avec une perruque jaune et de haut talon, une photo provocateur qu'elle a l'habitude d'envoyer à ses petit-amis pour leur inciter à être de client fréquent et fidèle. Elle utilisait de pseudo Mady pour cacher sa véritable identité mais son visage restait la même et elle était reconnaissable.


SA MÈRE : - Cette femme que tu vois là. Est une prostituée. Elle faisait ses services à ton père. J'ai plusieurs fois surpris leur conversation téléphonique où il se donnait de rendez-vous. Allez cher mari avoue!


SON PÈRE : -(Tout honteux) C'est bien elle.


SA MÈRE : -Donc toi en plus du père tu vas séduire le fils.


- (En pleure) je n'y savais rien. S'il te plaît Aristote je t'aime crois moi. Je t'aime et je vais changer pour toi chéri. Je t'aime tellement ne m'abandonne pas


Aristote choqué par cette nouvelle, s'était laisser asseoir par terre, incapable de réagir, incapable de dire un mots. La femme dont il était amoureux était une traitée et plus pire était là maîtresse à son père. Son père et lui avait couché avec la même femme, cette triste réalité était dégoûtante pour lui.


Le père d'Aristote la dégage du bras de la mère qui avait déjà commencé à la rouler de coup. Il lui dégage et la fait sortir dehors.


- Allez sort d'ici. Comment as tu osé te faufiler dans ma maison, dans ma famille. Tu as osé séduire mon fils, qu'est ce que tu voulais?


- Rien. Je t'assure je ne savais pas que c'était ton fils. J'aime Aristote. S'il vous plaît, laissez moi lui parler je l'aime tellement.


- Écoute moi bien, je ne te permettrait jamais de l'approcher, je ne permettrai jamais votre relation. Une fille comme toi ne peut en aucun cas faire partir de notre famille. Tu es une honte, une prostituée, tu ne sers qu'à donner du plaisir et rien d'autre. Tu pense que tu peux faire bonne épouse toi.


- Mon passé n'a rien à avoir avec moi. Ne me parle pas comme ça.


- Tu es bête. Tu oublie que la semaine passée on était ensemble. Même lit, on a couché ensemble, tu oublie que je t'ai offerte cette robe que tu porte.


Malheureusement pour elle Aristote avait écouté ce que venait de dire son père. Il était encore plus énervé et ne voulait plus voir Joyce.


- Quoi?! Fiche le camps d'ici. Sors d'ici sinon je te tuerai de me propre main.


- Aristote je t'aime. S'il te plaît laisse moi t'expliquer.


- Rien à expliquer sors !


Au moment où Aristote tente de la faire sortir de force elle s'évanouit. Laissant tout le monde dans l'inquiétude. Mettant leur indifférence de côté, Aristote et ses parents l'ont amené à l'hôpital.


Après plusieurs minutes le docteur vient annoncer que l'état de Joyce est stable. Elle n'a rien de grave mais elle est enceinte de 3 semaines.


De qui était cette grossesse? Joyce en était sûr il était de Aristote. Aristote lui restait méfiant. Il avait prit la décision de rester loin d'elle jusqu'à l'accouchement, où un test de paternité pourra se faire.


C'est ainsi que Joyce passa ses 9 mois de grossesse, dans la solitude, seule face à elle même, ses amies l'ayant abandonné, ses amants ont disparus un à un après avoir su la nouvelle de sa grossesse, personne ne voulait en être le père.


Après 9 mois de souffrance, de dépression, elle donna vit à une fille, qu'elle nomma "Dior" ( toujours son amour pour le luxe). Quelques mois plus tard un test de paternité confirma que Aristote était le père.


Mais Aristote restait toujours sur ses gardes, elle était la mère de sa fille et rien de plus. Elle et sa fille ne manquerait de rien, il allait faire partir uniquement de la vie de sa fille.


Du côté de Anaïs. Dix ans après son fils avait bien grandi, il était très intelligent à l'école, et était bien éduqué et gentil. Elle était fière de lui.
Dans dix ans elle avait pu aussi continuer ses études malgré tout les difficultés de la vie, elle avait réussi à obtenir le bac, puis à faire une formation et se lancer dans du business. Elle a fini par rencontre l'homme de sa vie, le bon cette fois ci. De se marier et de fonder une famille.
Son fils Yannick avait deux petits frères Vincent et Luc.


Elle vivait bien sa vie, sans soucis, comblé d'amour avec les 4 hommes de sa vie.


Elle n'avait jamais pensé aller mendier dans la famille de Frédéric au grand jamais, même dans les moments les plus difficiles. Elle avait tenu sa promesse, celle de rayer de sa vie cette famille et Frédéric qui avait nié sa grossesse.


18 ans encore plus tard.


*Frédéric 48 ans.
*Joyce 37ans.
*Anaïs 36ans.
*Fleur ( fille de Frédéric) 18 ans.
*Fred ( Fils de Frédéric) 17 ans.
*Vicky (Fille de Frédéric) 16ans.
*Yannick (Fils d'Anaïs) 28ans.
*Dior (Fille de Joyce) 18ans.


La nouvelle avait ensanglanté le coeur de Frédéric, choqué il s'était tenu la poitrine et avait laissé coulé ses larmes. Vicky sa fille chérie était âgée de 16ans venait d'être amené à l'hôpital après que le voisin aie appelé les ambulances. Son petit ami l'avait violé, le voisin alerté par ses cris étaient intervenus et avait alerté la police. Le jeune garçon était directement mise en prison en attente de procès.


- Papa j'ai mal, je l'aimais mais il m'a trahis. Il a profité de moi, je lui ai dis non mais il n'a pas compris... Il a fini par me prendre par force.


- Calme toi ma chérie.


- Papa un salaud comme lui ne mérite pas de vivre. Il ne mérite pas de vivre.... ( Elle Hurle de douleur)


- Je vais que ce fils de pute reçois la meilleure de correction _ Avait il ordonné à ses gardes de corps.


Il était rentré chez lui, avait offert sa bouteille de whisky et avait commencé à boire. Le coeur brisé en mille morceaux. Voir les larmes et la peine de sa fille l'avait ramené à quelques années plutôt.


Flashback 28 ans plus tôt


Anaïs- Un peu fort ?! Tu viens de me violer! Violeur! Bandit


Lui- Hé mais arrête, tu dis n'importe quoi. Tu ne vas pas faire comme ci tu n'avais pas pris goût après un moment


Elle-(En pleure, Elle lui attrape par la chemise) Qu'est ce que tu m'as fait , qu'est ce que tu m'as fait ! Tu viens d gâcher la vie. Mes parents vont me tuer!


Lui- Ils n'en sauront rien si tu arrête de chialer là et puis la vie continue. Je ne serai pas le dernier homme de ta vie, tu verra tu me remercieras un jour de t'avoir fait découvrir le monde sexuel.


Fin flashback


-Ne jamais faire à l'autre ce qu'on n'aimerai pas qu'on nous fasse _Avait il compris.


Il était alors rongé par la culpabilité et la douleur.


Un mois plus tard sa fille s'était rétablie. Tous surveiller le dossier en cours de traitement pour le procès contre le violeur de sa fille. Il s'était juré de lui faire payer ce crime qu'il avait commis. Même ci lui même tout au fond il cachait un lourd secret, le secret qu'il avait violé Anaïs alors âgé du même âge que sa fille chérie.


Mais il était loin de surprise désagréable de sa vie. Déjà que son entreprise tenait sur un bout de file. Il devait travailler encore plus sinon il allait perdre son entreprise criblée de dette. Il y avait aussi son mariage, sa femme qui ne s'occupait pas bien de lui et qu'il suspectait avoir un amant.


Un autre coup du destin s'était invité.
Sa femme avait trouvé un test de grossesse positive à la chambre d'une de ses filles, il s'agissait de Fleur.


- Fleur explique moi ce que ta mère vient de me dire. Et comment tu pensais nous le cacher.


- Je m'excuse papa. S'il te plaît ne m'en voulait.


- Alors parle! Tu vas parler et nous ramener l'auteur de cette grossesse.


- Bon d'accord. Il s'appelle Yannick. Il est ingénieur, il a même autre fois travailler pour ton projet ce comme ça qu'on s'est rencontré papa.


- Ah donc comme ça toi tu sors avec mes employés ?!


- S'il te plaît papa ne le prend pas comme ça.


- Ah laisse l'enfant! Au moins elle ne pas allait se donner à n'importe qui, il ne se pas donner à un moins que rien. Avait rétorqué Samya sa femme.


- Okay. Je ne suis pas fier de toi Fleur. Je veux que cet homme vienne assumer cette grossesse ici dans cette maison.


- T'inquiète pas pour ça papa. Il aimerai même m'épouser. C'était dans nos plans même si on voulait d'abord que j'aille mon bac.


- Okay. J'attend le voir et discuter avec lui.


Yannick de son côté venait d'apprendre la nouvelle que sa copine Fleur était enceinte de lui. Il ne comptait en aucun cas renier cette grossesse, il n'allait pas refaire le même schéma que son père qui l'avait nié et ainsi ridiculiser sa mère. Il voulait être un bon homme, et un homme un vrai sait assumer sa grossesse et respecter la femme.


Il avait annoncé à sa mère, et celle ci était fière qu'il veille en accepter la responsabilité.


- Je suis contente que tu ne refasse pas le même erreur que ton père. Je ne suis pas tellement fière que tu aies engrosser une si jeune fille, tu aurai pu juste l'épouser si tu savais que tu ne pouvais plus te contrôler. Mais bon ce qui est fait et fait et il faut en assumer le conséquence mon fils.


- Oui maman. Je t'avais présenté une fille l'autre fois, ce bien elle.


- Ah Fleur... Comment oublier son prénom. Elle est si douce et si gentille. Elle m'avait aidé ce jour là sans savoir que j'étais ta mère. Elle m'a prise dans sa voiture comme la mienne était en panne en plein chemin, elle a proposé de me déposer, et que fut notre étonnement quand on se rendu compte qu'on allait chez la même personne. Ahaha c'était bien drôle.


- Ahaha quelle drôle de façon de rencontrer sa belle mère.


- Bon d'accord. Va voir ses parents.


Le jour j arriva. Vêtu de son plus beau costume, il avait garé sa voiture de luxe dans le parking de la maison. Sa fiancée était devant le véranda et l'attendait impatiemment. Ils se font un câlin.


- Papa t'attend dans son bureau. Maman a cuisiné à ton honneur. Donc après la discussion avec papa on passera à table.


- Tout ira bien n'en doute pas. Je t'aime et je veux ce qu'il y a de meilleur pour nous trois.


- Je t'aime aussi.


Frédéric sort au même moment au véranda et interrompre la discussion.


- Bonjour Jeune homme . Alors c'est toi Yannick M***


- Bonjour Monsieur Frédéric. Oui ce bien moi.


- On s'était rencontré pour mon projet


- Oui. Vous aviez fait appel à mon entreprise pour la construction des vos nouvelles immeubles.


- Je me rappel. Venez entrer.


Frédéric remarqua la belle et grosse bagnole garée dans leur garage. Il était quand même un peu rassuré que ce jeune friquet épouse sa fille.


Après avoir prit une gorgée du vin qui les avait été servi à la pièce qui lui servait de bureau. La discussion pouvait commencer.


Ils discutèrent de tout, du finance, du monde des entreprises, ils discutèrent de la famille et de principes familiales, du mariage etc.


- J'aimerai que le mariage se déroule assez vite. J'aimerai que Fleur puisse passer la majeur partie de sa grossesse à mes côtés.


- D'accord. Ça sera ainsi.


Il fixa la note de la dote, ainsi que la date de tout les évènements qui allait suivre dont présentation, dote, mariage civil et consorts.


Tous était bien d'accord. Le dîner avec la famille s'est bien passé, tous étaient heureux pour ce mariage.


Frédéric n'était pas si convaincu que ça. Quelques choses en Yannick lui disait quelque chose mais ne savait pas quoi.


Il engagea un détective privé qui lui ramena toute la biographie de Yannick. Que fut son effrois lorsqu'il comprend que la mère de Yannick est en effet Anaïs la femme qu'il avait enceinté 28ans plus tôt, année qui correspondait avec l'âge de Yannick.
Celà signifierai que Yannick est son fils, ce qui ramènerai à la scandaleuse vérité, que son fils a mise enceinte sa propre soeur. Quels abominations !


C'était scandaleuse.


Cette nouvelle qui venait d'apprendre l'avait paralysé sur place, son coeur lâcha et une crise cardiaque s'en suivit.


Il fût amener d'urgence à l'hôpital la plus proche.


Les Nuances de la vi...