10: SI SEULEMENT SI

Ecrit par BELLO Effang Arafat

-CE RÉELLEMENT DE L'AMOUR OU JUSTE DE L'ATTIRANCE PHYSIQUE ?

En son sein, il n'arrivait à trouver de solution face à cela. C'est ainsi que son grand père Abdelkader HAMID arriva à son bureau. Il était 17h par là quand soudain l'on frappa à la porte de son bureau

(Toc Toc Toc)


- Qui est-ce ?( Répondit Seydou)


- C'est moi fiston (répliqua Abdelkader HAMID)


- Allez papy rentre....

Abdelkader HAMID rentre dans le bureau et trouve son petit-fils dans un état soucieux. Frustré, il se rapproche de lui 

- Seydou qu'est-ce qui ne va pas ?


- Rien du tout papy...


- Avant de quitter ton bureau ce matin j'ai essayé de te faire comprendre que tu pouvais compter sur moi pour tout tes problèmes. Si tu me parles ainsi cela démontre que tu me cache quelque chose Seydou


- C'est vrai papy. Tu as raison. Je travaillais tranquillement ce matin lorsque j'ai reçu la visite d'une charmante demoiselle. Elle s'appelle Aïcha ABDALLAH et recherche d'emploi.


- Attend, laisse moi deviné la suite. Tu es tombé amoureux d'elle juste au premier contact ?


- J'ignore si c'est de l'amour papy. Mais je ne cesse de penser à elle.


- Invite là à prendre un pot et essaye de mieux la connaître


- Papy mais.......


- Qu'est-ce qu'il y a encore Seydou ?


- Je pense toujours à Caroline. Je ne sais pas pourquoi il m'est difficile de l'oublier


- Tu dois passer à autre chose. Voilà la vie t'offre une seconde opportunité de tourner la page. Je te conseil de rappeler cette Aïcha et de l'inviter à déjeuner


- Non... j'aurai l'air d'un profiteur. Je crois que je vais l'embaucher


- Hummmmm et elle a quel diplôme ?


- elle a fait la gestion des ressources humaines. 


- ok c'est bien. Trouve la une place dans la compagnie mais d'abord assure toi qu'elle le mérite. Je ne veux pas que tu prennes des risques. Après tout il s'agit de l'entreprise familiale


- Ne t'en fais pas papy. Je gère la situation.

Peu de temps après leur discussion, Abdelkader HAMID et Seydou ont décidé de se soulager un petit peu. Seydou fut emmener dans un restaurant par son grand père et ils ont du passer une agréable fin de journée. Suite à cela ils sont rentrés à la maison. 

En effet, l'objectif d'Abdelkader Hamid était d'avoir quelqu'un qu'il pouvait manipuler. Au début, son fils El Khalifa suivait la cadence, mais il a fallut d'un retournement de situation très propice pour que les choses se compliquent. Depuis lors, El Khalifa est devenu pour lui et ces compagnons un obstacle à éliminer. Aujourd'hui, l'apparition de Seydou les avantages énormément. Il est jeune et obéissant. Son grand père peut toutefois le manipuler comme il le souhaite....

***** PEU DE JOURS APRÈS *****

L’amour, le « vrai », n’a rien à voir avec la sérénité. Même après le cap de la fusion des débuts, et contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, l’amour, ce n’est pas pépère ; ça chavire, ça secoue, ça nous lie mystérieusement à l’autre dans une épopée qui échappe à toute rationalité. Seydou n'arrive plus à se retrouver depuis la dernière fois. Il est tenter de recontacter Aïcha mais quelque chose le retient. Ne pouvant plus supporter cette souffrance contre laquelle il lutte, il saisit son téléphone portable puis la contacta....

Allongée sur la natte dans un coin de sa chambre, Aïcha ABDALLAH écoutait tranquillement la lecture coranique à travers son téléphone portable quand soudain il sonna. C'était un numéro qui lui était étrangé. Au bout d'un moment elle finit par décrocher :

- Allô !!!!


- Oui Allô... bonjour mademoiselle Aïcha ABDALLAH...


- Oui bonjour...qui est à l'appareil s'il vous plait ?


- C'est Seydou Hamid


- Oh monsieur comment vous allez ?


- Ça va...en fait vous êtes retenu pour votre demande. Veillez passer demain matin très tôt


- Infiniment merci à vous. Seul Allah vous le récompensera aux multiples...


- Laissez Allah en dehors de tout ça. Veillez juste faire très bien votre boulot


- Je peux toutefois commencer aujourd'hui monsieur


- Il est 10h déjà...


- Je serai là ce soir à 15h monsieur


- D'accord si cela ne vous gêne pas


- Non monsieur. Dès qu'il s'agit de boulot je suis là en toute sérénité. 


- D'accord Aïcha. A tout à l'heure...

C'est ainsi que Seydou et Aïcha terminèrent leur conversation...

De l'autre côté du cosmos, El Khalifa vivait avec sa tendre Claudine. Il restait en cachette durant un moment mais à présent Claudine N'KWAME a acceptée de l'héberger chez elle. Le simple fait de retrouver son amour la rend amoureuse davantage. Couché tranquillement sur son lit, El Khalifa réfléchissait à son plan d'attaque quand soudain l'on frappa à la porte de sa chambre

(Toc Toc Toc)

- oui rentrez ( dit-il)

Claudine N'KWAME pénètre la chambre du père de son fils . Elle alla à l'encontre d'El khalifa. Curieuse de voir dans quel état se trouve El Khalifa elle dit:

- tu ne dors pas ?


- non non. Je réfléchis


- Tu as intérêt à bien réfléchir et vite car tu as bien connaissance du fait que Seydou est là-bas tout seul sans nos nouvelles


- D'ailleurs ça fait combien de temps que vous ne vous êtes plus parlé ?


- Ça fait déjà 1 mois et demi


- Je pari que tout a été planifié par Abdelkader HAMID


- Oui c'est logique. Ton père veut m'éloigner de mon fils et je ne vais pas lui laisser faire


- Pour le moment nous devons jouer le jeu afin de mener à bien mon plan


- D'accord El Khalifa Mais s'il te plaît dépêche toi...... 

En pleine discussion avec Claudine N'KWAME, El Khalifa souriait... Étonné par son sourire, Claudine réagit :

- Qu'est ce qui te fait rire comme ça ? 


- Rien ma chérie


- Non ; je ne suis pas ta chérie. 


- Claudine, pourquoi tu me parles de la sorte ?


- Tu m'as perdue depuis le jour où tu as choisi ton héritage au lieu de moi . Tu m'as abandonné El Khalifa


- J'ai essayé de t'expliquer les raisons délicates de ce choix. S'il te plaît ne m'en veux vraiment pas pour ça


- D'accord El Khalifa C'est compris. J'étais de passage pour un coucou. Je crois que je vais devoir m'en aller...

Claudine N'KWAME s'apprêtait à s'en aller quand soudain El Khalifa la retient par la main gauche. 

- Où vas-tu Claudine ?

Elle s'apprêtait à répondre quand soudain El Khalifa la rapproche de lui et vire son pull rouge pour dégager ses seins . Claudine N'KWAME était également très sexy dans son soutif pigeonnant. Sa jupe remontée et ses escarpins de bonne secrétaire était juste chaude comme il faut… À la fois convenable, élégante, irréprochable, et en même temps bonne à se branler, El Khalifa l’a demandée de frotter son cul de gazelle contre sa bite.Elle a souri en dégageant d’encouragement. De son côté, El Khalifa a viré son pantalon puis Claudine N'KWAME a découvert sa bite épaisse avec un joli gland bien rose. Elle hésitait mais par la suite l'a prise dans sa bouche, puis s'est mise à le lécher,, l'embrasser et enfin sucer sur toute sa longueur. Plongé dans le désir, il a eu l’air d’apprécier. 

- « Oh oui vas-y, tu fais ça trop bien, j’en ai toujours rêvé », a-t-il lâché. 

Elle redoublais de cajoleries et prenais son gros bâton qui envahissait toute sa bouche et venait caresser sa langue, ces lèvres et tous ces sens. Elle s’arrêtait de temps à autre pour le branler en le regardant avec ces yeux soulignés de khôl. Elle savair que ça lui plaisait. Il haletait en la regardant, la bouche ouverte. Elle avait encore plus envie qu’il la saute et qu’il la défonce avec cette belle queue dont elle avait le contrôle. Elle sentait des petites veines palpiter sous sa langue et le bout de son gland commençait à mousser sous ses caresses. Elle l'a fait jouir avec sa bouche de coquine et il a éjaculé fortement.. Claudine N'KWAME avait son liquide partout sur la bouche, cela coulait sensuellement sur sa bouche et son menton et elle s’en régalait en se léchant les babines.À sa plus grande joie, El Khalifa était tellement chaud qu’il bandait à nouveau au bout de quelques minutes seulement. Elle voulait être sienne, se donner totalement à lui pour lui faire oublier un bon moment ces problèmes avec son père et qu’il goûte enfin aux charmes du sexe débridé et sans prise de tête. Quand El Khalifa a eu repris du poil de la bête, elle a recommenceé à le branler tendrement, affectueusement. Ces doigts montaient et descendaient doucement sur sa tige, puis elle l’empoignait avec ferveur entre ces doigts experts. Elle serait et desserrait la main sur son gland puis elle lui remettait à le branler franchement, éprouvant les contours de ce si joli et fier membre...El Khalifa et Claudine N'KWAME eurent un agréable moment....

***** (ABOBO) *****

Frustré d'apprendre que sa fille attendait un enfant, Papa Caro essayait de réfléchir à une manière plausible d'informer Seydou. La mère de Caroline reconnaît le tord qu'elle a causée à sa fille. Si seulement elle pouvait remonter le temps, elle fera marche arrière afin de réparer les choses. Triste et se trouvant à l'écart dans une salle de l'hôpital, Hector vena vers elle :

- comment vous vous sentez maman Caroline ?


- Je vais bien mon fils et toi?


- Ça ne va pas maman Caroline


- Hector; qu'est ce qui ne va pas ?


- J'ai joué une partition dans la séparation de Caroline et de Seydou mais jusqu'à présent je n'ai rien eu pour ça


- Que voulais tu? Ou qu'est ce que tu espérais ?


- Vous m'aviez promis convaincre Caroline afin qu'elle se donne entièrement à moi. Mais c'est dommage car rien de tout ça n'est d'actualité


- Tu croyais quoi? En fait je ne peux jamais forcer ma fille à épouser quelqu'un contre sa volonté


- Donc c'est moi qui suis bête ? C'est moi qui ne sais pas réfléchir ? Maman Caro ; j'aime énormément votre fille. Je suis toujours disponible et prêt à l'accepter dans ma vie. Après tout, elle est toujours l'amour de ma vie


- Hector, j'ignore si tu es au courant mais sache qu'aux dernières nouvelles, ma fille me déteste. J'ai finis par avouer le coup que nous avons monté. Caroline s'est pertinemment que toi et moi avions comploté ensemble


- Non maman Caro. Vous ne pouvez pas me faire ça


- Si si je ne blague pas. A présent j'ai d'autres soucis plus majeure que. Si seulement je savais....Si seulement tout ça n'avait jamais eu lieu ? Ma fille serait en ce moment là plus heureuse du monde......( Disait la mère de Caroline)


A SUIVRE,........


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LE DILEMME