27- vierge!
Ecrit par Loraine valérie
Auteur : bonjour. J’essaie de vous comprendre, regardez le nombre de lecteurs et le nombre de like, cela n’encourage pas croyez-moi. Vous n’êtes pas obligés de commenter mais après avoir lu faites au moins signe et si vous n’aimez dites ce qui vous cause problème en commentaire et j’essaierai d’y remédier. Respectons le travail des autres, merci.
L’inconnue du restaurant
Chapitre 27
Axel
Je me suis levé de la table pour rejoindre Corélia. Arrivé à son niveau je n’avais pas sorti un mot. Je la contemplais, elle est si magnifique cette femme. Elle a perdu du poids mais sa beauté elle n’a fait qu’augmenter. Remarquant mon regard posé sur elle, elle me ramène à la réalité :
- Un problème monsieur Deroy ?
Je m’apprêtais à répondre lorsque Mr AKEBOUN prit la parole. Il sort d’où lui ? Il ne peut pas rester à table comme les autres ?
- Oni je voulais juste te dire si tu tiens à retrouver cet homme, Mr Deroy pourra peut-être nous aider, il connait plein de monde par ici.
- Je crois que cette histoire va hélas rester dans le passé Daniel. Qui sait ? peut-être qu’il a une famille bien au chaud ici en France et je n’ai été qu’un passe-temps
- Dans ce cas pourquoi aurait-il proposé de partir avec lui ?
- Pour être sa maitresse en plein temps je suppose. Je viens de décider que cette conférence marque un nouveau départ dans ma vie, je veux aller de l’avant rencontrer de nouvelles personnes, faire ma vie avec ceux qui le méritent
- Ok si tu le dis
Je les regardais discuter et savoir qu’elle parle de moi en ces termes en m’ignorant en plus me fait rire et mal à la fois. Si seulement elle était venue ce jour-là, nous ne serions pas ici à perdre notre temps. Son ami s’éloigne de nous résigné. Je m’approche alors d’elle puis lui regardant dans les yeux je luis dis :
- Ce jour-là si ce n’était pas cette femme à coté de ma fille, j’aurais surement raté mon vol, je m’étais effondré à l’aéroport après la lecture de ta lettre. C’est grâce à elle que j’ai pu prendre l’avion pour revenir auprès de ma fille. Elle est devenue pour moi une sœur une amie et pour ma fille une mère, la place que j’aurais voulu que tu occupes toi. Elle n’est pas ma femme mais elle fait partie de ma famille à présent
- Comment ça, elle n’est pas ta femme ?
- Non, la mère de Rachel est morte lorsqu’elle avait neuf ans. A présent tu sais la vérité sur moi, je l’ai dit juste parce que ma colère était montée. Je voulais que tu saches ce que j’ai ressenti après la lecture de ta lettre à l’aéroport
- Je suis…
- Assez Corélia. Je ne vais pas te demander ce qui s’était passée ce jour-là, tu as été assez claire et ensuite j’apprends que tu es célibataire…tu sais quoi je n’ai même pas besoin d’explications. Je suis fatigué de résoudre tes mystères. Tu as raison un nouveau départ serait mieux pour tous. ravie de t’avoir connue.
- Axel je suis désolée, ce n’est…
Je la laisse là alors qu’elle essaie de dire je ne sais quoi. Je me suis levée pour éclaircir tout ceci mais si pour elle un nouveau départ serait le mieux je crois que je n’ai plus rien à faire là. Une fois cette conférence finie je rentre à Lille, je ne pourrais pas supporter de la voir ici après tout ceci. On dirait c’est moi le fautif, c’est moi qui ai laissé quelqu’un à l’aéroport, ou fait des adieux à travers une lettre…
Mélanie
Je vous donne ce conseil : avant de suivre votre sœur à Paris, assurez-vous qu’elle n’ait pas de chagrin d’amour sinon il vous serait impossible de profiter de votre séjour. J’ai suivi du regard les gestes de ces deux toute la soirée à croire que je suis leur baby-sitter… en voyant Oni prendre la fuite après sa conversation avec Axel, j’ai compris que les larmes allaient encore couler. J’ai donc appelé Daniel pour qu’on rentre, de toute façon les choses les plus importantes ont été déjà faites.
Je croyais que j’aurais qu’un seule bébé à border ce soir mais finalement je crois que ce sera deux. Pourquoi ? Benn parce qu’en montant en voiture pour rentrer à l’hôtel, nous sommes tombés sur une femme qui appelait avec insistance Daniel, c’était sa mère. Le pire c’est la femme qui a voulu coucher avec Oni le soir où elle a perdu son bébé. Vous pouvez à présent imaginer l’état dans lequel ils sont tous les deux. Daniel après avoir crié et menacé sa mère m’a dit qu’il allait bien, il voulait jouer au fier, à l’homme comme si j’avais besoin d’être médecin pour savoir qu’il mentait.
Arrivés à l’hôtel, je suis monté directement dans ma chambre avec ma sœur alors que Mr avait décidé de rester au bar, ça sent mauvais. J’espère que bébé 1 va se calmer pour que je puisse m’occuper de bébé 2…lol. J’installe Oni et commence par la bercer. Ah les hommes, tu choisis de mentir là, tu n’avais qu’à emporter ton mensonge dans ta tombe non ? Et voilà c’est maintenant elle qui se sent coupable. Elle finit par se calmer puis après l’avoir recouvert je sors sur la pointe des pieds pour le bar. Arrivée je promène mon regard en vain, il n’est nulle part. Je décide alors d’aller à sa chambre. Je sonne, il m’ouvre puis retourne sur le balcon s’asseoir. En entrant je sens l’odeur de… la cigarette ! Je cours sur le balcon et voilà mes dires confirmés.
- Tu fumes ?
- Ça ne se voit pas ?
Je m’approche de lui et sans crier gare je fais tomber la cigarette de ses mains avant de l’éteindre. Je l’ai toujours traité de grincheux, pas souriant mais la colère sur son visage actuellement m’effraie plus que tout autre chose. Il se lève d’un bond puis le visage fermé il me demande :
- Qui t’a donné le droit de faire ça ?
- L’amitié que…
- Laisse-moi rire
Daniel
Je ne sais pas pourquoi mais sa réponse m’a tellement fait rire. Tu me fuis chaque fois que je fais un pas vers toi, je n’arrive même pas à savoir ce que tu veux et aujourd’hui tu me sors qu’on est amis ! Ah les femmes !
- Comme ça, nous sommes amis ? depuis quand Mélanie ?
- …
- Que se passe-t-il mon amie ? tu as donné ta langue aux chats ?
- Je crois que je devrais y aller, après tout tu es assez grand pour savoir ce que tu fais
- Un ami ne laisse pas tomber quand on a besoin d’elle
- Oui mais visiblement tu n’as nullement besoin de moi
- C’est toi qui le dit, pas moi ; dis-je en l’attirant contre moi
Je lui vole alors un baiser… madame ne s’est pas laissé faire. Elle a essayé avec ses maigres membres mais sans succès et quand je décide de la relâcher, je ne fus pas surprise de voir atterrir une belle baffe sur ma joue.
- Le contraire m’aurait étonné Mélanie. Cesse de luter parce que moi je viens de rendre les armes, je te veux et ici même.
Elle fit mine de ne pas saisir ce que je disais et se dirigeais vers la porte. Cette fille ne m’a pas compris apparemment. Je l’attire à moi et recommence par l’embrasser. Comme au début elle était réticente mais je décidai de ne pas la lâcher. Quelques minutes après je sentis ses lèvres s’ouvrirent et nous commençons par nous dévorer les lèvres. Comme je m’y attendais, ses lèvres pulpeuses sont si douces. Ce baiser avec fougue avait fait naitre une envie incontrôlée en moi mais je ne pouvais pas me laisser ainsi aller parce que surement elle ne voudra plus jamais que je pose mes mains sur elle après ceci alors si on doit le faire qu’une fois je préfère la marque à vie.
En l’embrassant je fais descendre sa fermeture et laisse sa robe glisser sur le sol… je m’éloigne pour la regarder, elle était sublime dans cet ensemble string et soutient gorge rouge, de la tentation. Je glisse ma main dans ses cheveux et recommence par l’embrasser. Je la soulève du sol et la pose délicatement sur le lit puis commence à poser des baisers sur tout son corps. Je dégrafe son soutien puis commence à caresser tout doucement ses seins fermes et ronds. Je commence par sucer le bout de son sein gauche tout en faisant balader ma main sur son corps. Elle commence par se détendre et caresse mon dos, ce qui me fait beaucoup de bien. Alors que j’approche ma main de son jardin secret elle m’arrête :
- Daniel
- Oui ma chérie
- Euh… c’est… c’est ma
- Ta première fois ?
- Oui
- Mon Dieu ! tu veux que j’arrête ?
- Non
- Ok, je ne te ferai pas mal, je te le promets. Tu me dis si tu as mal et on arrête ok ?
- Ok, dit-elle d’une voix à peine audible
Je rassemble mes esprits après avoir compris que l’enjeu est de taille. Je me remis à l’embrasser, à la caresser, à poser des petits baisers sur son corps. J’enlève son string puis caresse son mont de venus. Je titille de mon doigt son clitoris avant d’enfoncer un doigt en elle. Elle se braque et je retire mon doigt pour de nouveau titiller son clitoris. Je l’entends gémir, ce qui me rassure un peu. Je descends ensuite et pose ma langue sur son bouton de plaisir. Je lui fais du bien en faisant des allers-venues en elle.
- Dani… Daniel