3_L'ANNIVERSAIRE 2

Ecrit par Lari93

Maman Gadji : Patrick

Patrick : Oui Maman !

Maman Gadji : On devait avoir une conversation ?

Patrick : Pas le temps maman j’ai une réunion dans 02 heures.

Maman Gadji : Ce soir alors ?

Patrick : Non ? je suis occupé.

Maman Gadji : Juste 30 Min et je te libère. Viens ce soir s’il te plait.

Patrick : Ok maman je passe à 18H. Trente minutes et pas plus, Je ne mange pas non plus (en regardant Isabelle, qui sait de quoi elles sont capables).

Je quitte l’appartement après un bisou à mon fils.

Ces deux-là ne méritent rien de moi.

Je préfère y aller.

J’ignore à quel moment, j’ai dérapé mais je le regrette amèrement.

Le pire c’est que je ne l’ai pas défendu face aux agressions de ma mère et mes sœurs.

Je me suis laissé entrainer dans la bêtise et je risque de perdre la femme que j’aime.

Je crois que je n’étais pas moi-même.

Eva, je suis trop fière de l’avoir comme épouse.

Je sens à chaque fois l’envie et la jalousie des autres hommes quand elle est dans mes bras.

Quand je marche à ses côtés, je suis fière de la présenter comme mon épouse.

Elle est ce genre de femme qui vous pousse à vous dépasser, et qui vous encourage dans vos projets.

Elle est naturellement gracieuse et douce.

Et cette grâce est inné chez elle.

Avec notre situation financière actuellement, ma femme c’est la master class.

Elle a de la conversation, et est cadre dans une grande banque, rien avoir avec cette isabelle qui passe son temps à me faire la liste de ses besoins comme si j’avais un portefeuille magique.

Ma vie était plus belle avec Eva, jusqu’à ce que je gâche tout.

J’aurais dû être patient, les enfants Dieu nous les auraient donnés au bon moment.

Aujourd’hui ,Eva s'est transformé en un mur de glace quand nous ne sommes que deux.

Et j’espère pourvoir réussir à me faire pardonner ce soir, ou du moins à l’attendri.

 

Eva Gadji

 

Malgré mon retard, je suis la première présente au restaurant.

Il sait bien que j’ai horreur du retard.

Bref, qu’ils viennent vite et qu’on en finisse.

Je sens les regards sur moi et je sais que la robe fait aussi son effet.

Une heure déjà que j’attends et point de Patrick.

A quoi pensais-je en acceptant son invitation.

Il n’a fait que me décevoir ces dernières années.

Depuis Trois ans et ce ne sont que des successions de déception.

Mais en y pensant Bien, Il a quand même fait les réservations.

À Mon arrivée, Dès que j’ai évoqué le nom de Patrick, un serveur m’a conduit directement dans l’une de ces pièces du restaurant ou les tables sont classés pour les VIP.

La salle a est joliment décoré.

Les tables sont éloignées les unes des autres pour créer une sorte d’intimité.

Donc ,s’il a préparé tout cela c’est qu’il avait surement l’intention de venir.

IL a du préparé ce rendez-vous.

Eva du calme, me suis-je dis intérieurement.

Il faut que je l’appel.

Il s’est peut-être passé quelques choses, un accident ou autre chose.

C’est encore mon mari tout de même.

Je lance son numéro et après plusieurs sonneries dans le vide, on décroche.

Moi : ALLO Patrick ! Tu vas bien ? je t’attends depuis un moment déjà. Je suis inquiète.

Inconnus : Il se porte comme un charme, Que veux tu encore ventre vide (Voix féminine) ?

Moi : Pourrais-je avoir Monsieur Gadji s’il vous plait ?

Inconnus : Eva tu ne m’a pas entendu ? Il se porte très bien.

Il est avec moi et son héritier.

Moi : Je vous prie d’éviter à l’avenir de prononcer mon prénom s’il vous plait.

Ok C’est bien compris passez une excellente soirée Madame (Je raccroche à la fin de ma phrase).

Franchement à quoi j’ai bien pu penser (En me prenant la tête entre les mains).

Je me lève quelques minutes plus tard et sort de la pièce.

Je me dirige au comptoir pour régler le cocktail que j’ai commandé.

La responsable : Madame je suis désolé, mais monsieur Gadji a déjà presque tout régler pour ce soir. Je ne peux donc pas vous facturer la boisson (Avec un air très désolé).

Moi : Ok, merci pour l’accueil je rentre.

En joignant l’acte à la parole, je sors du restaurant et monte dans ma voiture.

Je conduis sans vraiment savoir où aller.

Ceci à la pire des insultes.

Cette femme, je ne l’avais jamais cherchée.

Je n’ai jamais voulu savoir à quoi elle ressemble.

L’entendre prononcer mon nom au téléphone, ah seigneur !

En plus, elle m’insulte.

Ce soir, je ne vais pas pleurer.

J’ai décidé de ne plus pleurer pour lui et ça fait des mois que j’ai tenue paroles.

Donc ce soir pas question de craquer.

J’arrive devant le « Three seven » en zone 4, le lounge préféré de Axou.

Il est très select et class selon lui.

Je n’y ai jamais mis les pieds.

Je gare, entre et m’assoit au comptoir.

Moi : Bonsoir pourrais-je avoir s’il vous plait un verre de whisky avec une tranche de citron.

Barman : Bien sûr Madame tout de suite.

Ma vie ses trois dernières années défile dans ma tête et je n’arrive pas à la stopper.

Je suis en colère.

Boire me fera du bien.

Barman : Madame votre verre.

Moi : Merci, avez-vous des cigarettes ?

Barman : Oui bien sûr.

Moi : Puis-je les avoir ?

Barman : Ok je vous les envois.

Il fait vite.

J’allume ma première cigarette et tire dessus avant de siroter mon verre.

Oui ce n’est pas la première fois que je fume, je n’en suis pas accro non plus.

Je le faisais déjà à la faculté à l’étranger.

Seul Patrick et axel le savent.

Boire et fume m’apaise lorsque que je suis stressé.

De plus, je sais que cet endroit est calme et discret.

Avec mon statut de Directrice, je n’ai pas envie de me retrouver dans des endroits où on peut croiser n’importe qui.

Ici chacun se mêlent de ses bottes, je crois.

Mais, j’ai la sensation d’avoir des regards sur moi.

C’est vrai qu’avec cette tenue qui met mes formes en valeur, je dois attirer plus de regards.

Alex m’a dit que le club est fréquenté en majeur parti par des hommes d’affaires et hauts responsables d’entreprises.

Brefs, je continue à fumer et à boire.

Je dois décompresser.

C’est pour cela que je suis venu happy birthday à moi.

 

Hicham Prince Abdel Diallo

 

Mon rendez-vous est terminé.

Abidjan les affaires sont toujours conclu autour d’un verre.

Malgré toutes nos nombreuses rencontres dans des bureaux et restaurants, Monsieur Die Jean a fini avec ses autres associés par me céder leur entreprise de transport dans ce lounge autour d’un verre de Bleu LB.

Moi je ne suis pas un grand fan de ce genre d’endroit.

Issus d’une famille mixte (musulmane et chrétienne), j’ai quand même fait le choix d’avoir une vie très saine.

Je ne bois pas et je ne fume pas.

Malheureusement pour mes parents je n’ai fait le choix d’aucune des deux religions contrairement à mes frères et sœurs.

Une fois mes ôtes parti, je suis resté quelques instants dans le lounge.

Ne me demandez pas,

J’ignore pourquoi.

C’est au moment de partir que je l’ai vu entrer.

Je me suis donc rassie pour l’observer.

Mon dieu des femmes comme elle existe ?

Je suis assis dans ce coin du bar à regarder le comptoir comme si ma vie en dépendait.

Depuis son entré dans le club, je ne fais qu’épier les moindres gestes de cette jeune femme.

Elle est magnifique dans sa robe vert pastel qui lui épouse parfaitement les courbes.

Une de ses mèches lui caresse le visage, son teint couleur caramel scintillais et illuminais dans la pénombre de ce club.

Merde, Elle est simplement divine.

Elle doit avoir entre 28 et 35 ans.

Je ne me souviens plus de la dernière fois ou j’ai autant désiré le corps d’une femme.

Elle tire sa cigarette du bout des lèvres et caresses de son doigt le cercle de son verre de whisky.

Mais en regardant ses mains qu’elle fait parcourir de la table à son visage, je constate qu’elle a une alliance.

Merde, elle appartient déjà à un autre homme.

Oooh le veinard !!!

Sa beauté et sa garce sont une invitation au péché.

Le péché originel.

Bien vrai que j’évite toujours les femmes qui fument, Je la trouve sexy et fatale dans cette posture.

Comment son mari peut-il laisser sa perle à cette heure de la nuit, seul dans un bar ?

Moi je ne ferais jamais cette erreur.

Ou bien serait-il dans les parages ? (En regardant aux alentours)

Je meurs d’envie d’aller lui parler (Mes yeux fixé sur elle).

Je meurs de gouter à ce fruit défendu, à la Douceur de ses lèvres.

Je meurs d’envie de voler à cet homme sa belle.

J’y vais ou pas ? Qu’en pensez-vous ?

Bon je me lance, sait-on jamais ? (Mes yeux sont toujours sur elle).

Arrivé au comptoir, je me rapproche d’elle et m’adresse au serveur.

Moi : Pourrais-je avoir un verre d’eau s’il vous plait ?

(Ma demande attire son regard sur moi.

Je me noyeraies volontiers dans ses yeux de biche.

Cette femme est terriblement belle.

Elle porte des diamants et est très raffiné.

Son parfum humm !!! un délice. Un Valentino si je ne me trompe pas.

Ma sœur doit en  avoir le même.)

Barman : Oui Monsieur, tout de suite.

Moi : (En m’adressant à elle) Puis-je m’assoir à vos côtés ?

Elle : Ce comptoir ne m’appartient pas alors vous pouvez siéger ou bon vous semble (Répond-elle sèchement sans un regard pour moi).

Moi : Ok belle Dame (Dis-je , nous démarrons mal).

Je continue à l’observer boire et fumer sans aucune discrétion.

Elle est légèrement maquillée.

Elle n’en a pas vraiment besoin car elle est très belle sans.

J’étais juste à côté d’elle et malgré l’horreur qu’elle fessait (Boire et fumer) je la trouvais divine.

Ah, j’ai dit ce mot « Divine » dans ma tête  au moins cent fois ce soir.

Elle n’est pas très grande malgré ses talons, elle doit faire dans le un mètre soixante-huit, soixante-dix maximums.

Elle : (Sans un regard pour moi) Saviez-vous que c’est mal poli de dévisager les gens de la sorte ?

Moi : Mes yeux adorent regarder les belles personnes même quand elles font de vilaines choses.

Elle : (Elle me jette un de ses regards comme si elle ne comprenait pas mes propos, j’ai eu envie de rire. Mais, je me suis retenu.) De quoi parlez-vous ?

Moi : Je trouve que boire et fumer pour une belle dame comme vous c’est malsain.

Vos problèmes vous attendront demain au lever du soleil (car ses claires qu’elle n’allait pas super bien ses yeux sont tristes même si elle essaie de les cacher par son ton dur).

Elle : Vous ne savez pas ce que vous dite monsieur, continuer à boire votre eau.

Aussi sachez que vous êtes le plus nul des dragueurs (Avec un sourire au coin des lèvres).

Moi : Je vous le concède (En riant). Je suis Hicham Diallo et je peux dire que j’ai quand même réussi à vous voler un tout et tout petit sourire ce soir.

N’est pas ? (Elle me sourit cette fois ci et ses traits s’illumine. Je n’arrive pas à croire que je ressens le besoin de la faire mienne. C’est l’épouse d’un autre homme. Mais je n’arrive pas aussi à m’arrêter.)

Elle : Eva. Comment vous faite ?

Moi : Quoi ? vous faire sourire ? ou très mal vous faire la cour ? (Elle rire de plus belle. Elle à ce petit truc qu’elle fait avec ses lèvres et ses yeux qui me font fondre. Mes yeux ne pouvez plus quitter ses lèvres. j’en ai déjà soif, les gouter me ferons un grand bien)

Elle : Non mais, vous allez arrêter de me mater comme si votre vie en dépendait (En souriant)

Moi : Ah ça (Je me sens à découvert) ! je ne pense pas pouvoir arrêter, vous êtes très désirable et j’ai terriblement envie de vous faire l’amour (Merde, j’ai pensé à voix haute).

Elle : Oh. (En mettant une de ses mains sur la bouche)

Moi : Désolé Eva je, je ne pensais pas.

Non en fait, je ne voulais pas le dire comme ça ! je suis désolé, j’ai pensé à voix haute.

Je suis stupide (En me passant une main sur la tête et ensuite le visage).

Ne me prenez pas pour un obsède ou je ne sais quoi !

Elle : Vous habitez loin ? je vous attends au parking, C’est quoi votre plaque ?

Moi : Humm mm ! (Mon cerveau bug là) vous dite quoi ?

Elle :  Hicham, C’est quoi votre immatriculation ?

Moi : 1910LC01

(Elle se lève. Dépose des billets sur le comptoir et sors).

What the fucxxxk is this plan ?

Je rêve ou quoi ? mon cerveau me dit ,c’est ce que tu voulais Hicham alors fonce.

Je dépose aussi des billets et sors à toute vitesse du lounge.

Arrivé au parking, je regarde dans tous les sens avant de poser mes yeux sur ma voiture.

Je la vois trouve adossé côté passager.

Je fonce et déverrouille La Audi berline A3.

Elle monte en silence, puis met sa ceinture de sécurité.

Je conduis sans rien dire jusqu’à mon appartement à quelques rues du club.

Je gare au parking souterrain.

Elle est mariée donc garer devant l’immeuble serait risqué.

Je n’ai pas envie qu’elle ait des problèmes par ma faute.

Je ne réfléchis plus.

Une fois dans l’ascenseur je ne pouvais plus tenir elle a refait le truc avec ses lèvres en rangeant une de ses mèches qui gênais son visage.

Je me rapproche d’elle et pose mes lèvres sur les siennes.

Elle résiste un brin de seconde, puis se laisse faire.

Quelle douceur !

Cette femme me fait perdre la tête.

Je savoure encore ses lèvres avec passion.

Purées embrasser une femme ne m’a jamais fait autant d’effets.

Etant plus grand qu’elle, du haut de mon mètre quatre-vingt-huit, je la soulève pour mieux savourer ses lèvres tout en lui pressant les fesses.

Elle enroule automatiquement ses jambes à ma taille.

Je suis au penthouse de l’immeuble et l’ascenseur s’arrête juste à mon palier.

Elle est toujours dans mes bras quand j’ouvre la porte grâce la clé électrique pour à l’appartement.

Je ne sais pas, par quel miracle j’ai trouvé le chemin de ma chambre avec elle dans mes bras entrain de savourer encore et encore ses lèvres.

Je la pose sur le lit et en une fraction de seconde, je lui retire sa magnifique robe pour admirer son magnifique corps.

Elle est parfaite. Ses seins sont beaux et fermes.

Sa peau est douce comme celle d’un bébé.

Moi : Tu veux qu’on continue Eva ?

(En la regardant droit dans les yeux, avec mon corps brûlant déjà de désir. Le petit moi était déjà à l’étroit dans mon pantalon)

Elle ne me répond pas.

Elle se redresse, s’approche de moi et m’embrasse.

Je couvre sa douce peau de baiser et je la sens frissonner dans mes bras.

Je prends ses seins en bouche et en caressant de mes mains chaque parcelle de son corps.

Comment peut avoir une aussi belle femme et la laisser vagabonder ?

Hicham ce soir cette déesse et à toi et rien qu’à toi.

Apres avoir encore parcourus son corps de baiser, je termine ma course dans sa grotte, oh le délice.

Eva n’est plus que gémissement.

Je sais que je la rends folle.

Sans prétention aucune, je sais m’y prendre.

Il faut qu’elle mouille assez, car mon petit moi n’ai pas si petit que ça.

Il y a longtemps que je n’ai pas fait l’amour à une femme et je n’ai ni lubrifiant, ni de protection surtout dans cette maison ou je séjourne rarement.

Ce n’est pas l’idéal, mais je ne veux pas arrêter alors je prends le risque.

Je sais que c’est très irresponsable. (Je vous en prie sortez toujours couvert. Le SIDA existe vraiment).

Quand je l’ai senti prête, je me suis introduit en elle avec délicatesse.

Waouh !!!! elle est si étroite, serré et chaude à la fois.

Elle est sûr d’être marié ?

Ou elle a épousé un de ses vieux riche qui ne démarre pas ?

Elle est tellement serré que si je m’y prends mal, je risque de vite jouir.

Alors je reste en pause quelques minutes et la sensation est super agréable. je ressens toute la chaleur de son vagin.

Purée comme c’est bon !!!!

Je commence timidement mes vas et viens , puis accélère au fur et à mesure la cadence.

Nos corps balançaient au même rythme.

Cette alchimie entre nous, c'est comme si nos corps se connaissait depuis toujours.

Ses mains sur moi sont comme des électrochocs.

Ses caresses, mon Dieu j’appartiens à cette femme.

Car oui j’en ai connu d’autres mais elle !

C’est comme si mon corps a trouvé son maitre.

Et je sens que c’est réciproque.

Je la laboure un bon moment avant de jouir au même moment qu’elle.

Apres une pose de quelques minutes, mon petit moi était encore tendu.

Normal, il y a longtemps qu’il est au repos.

En plus avec une aussi belle créature à ses côtés, il ne peut pas être au rebond.

Dieu merci pour moi, Elle se laisse faire.

Je lui fait l’amour encore et encore jusqu’à épuisement.

Avant de m’endormi je lui dit ceci à l’oreille « Je ne sais pas comment mais je te ferais mien et tu seras à moi. Tu seras ma femme, madame Diallo. »

A mon réveil, il est 10 heures du matin et le lit est vide.

Je me lève en sursaut et me met à fouiller toutes les pièces de l’appartement.

Aucune trace d’elle.

Elle est partie.

Je regarde dans le lit et je vois son collier en diamant.

Elle a dû l’oublier. 

Il est de grande valeur, elle viendra surement le récupérer, en tout cas je l’espère.

Je le range dans mon tiroir de lit.

Je ne sais rien d’autre d’elle à par son prénoms « Eva » et qu’elle est marié, donc l’épouse d’un autre homme.

Une chose est sûre, je viens de passer la plus belle nuit de toute ma vie.

Elle est mon âmes sœur, Et je dois la retrouver.

Nb: J'attend vos avis ?? On continue ou pas ?

L' épouse d'un Autre