Ange Ou Démon !

Ecrit par Mabanabook

VENGEANCE VS AMOUR : Page 33


*Ange Ou Démon ? 


JAMILA 


Je rangeais nos affaires, moi et Andy ce week-end c’était vraiment bien passé mais l’on devait revenir à la réalité. Et moi j’avais une vengeance à terminer. Je pris mon téléphone et constata que ce fut le 30ème appel de Maxime. 


Il était scotché à son téléphone ou quoi ? Je n’arrivais à croire que ce soit Maxime qui se comporte ainsi. 


Moi : allô 

 

Lui : (soufflant) enfin Jokeybed tu me réponds. Tu vas bien ? 


Moi : (jouant le jeu)  comme une personne qui vient de découvrir assez de choses sur quelqu’un en qui elle croyait 


Lui : (voix triste)  je sais et j’en suis vraiment navré crois-moi. 


Moi : hum


Lui : (me suppliant)  s’il te plait, je t’en supplie à genoux donne-moi une chance de t’expliquer 


Moi : (continuant à jouer le jeu)  mais je crois que tout a été dit non ? 


Lui : (automatiquement)  non tout n’a pas été dit, car il y’a cette personne que j’ai été avant toi et cette personne que j’essaye d’être maintenant. 


Moi : que veux-tu donc Bely ? Que je crois cette nouvelle personne là aveuglement ? 


Lui : non  mais que tu me laisses une chance de t’expliquer 


Moi : humm


Lui : je t’en supplie Jamila 


Moi : ok appelle moi en semaine on verra quand l’on pourra se voir 


Lui : je te remercie infiniment 


Moi : je t’en prie. Bon il faut que je raccroche 


Lui : (air un peu plus joyeux)  ok passe mes amitiés à ta famille 


Moi : je ne manquerai pas 


Je déposai mon téléphone et je croisais le visage d’Andy qui me fixai. 


Moi : (ayant peur)  Didi tu es là depuis longtemps ? 


Lui : (avançant)  assez pour savoir que tu veux revoir ce monstre bientôt 


Moi : écoute moi, (prenant sa main) ce n’est pas encore finie certes j’ai gagné la bataille mais pas la guerre


Lui : (s’emportant)  Jamila avec ce qui s’est passé il perdra tout et ils pourront même l’envoyer en prison 


Moi : (le fixant)  mais et la vengeance de Marysa et Kevin ? 


Lui : une fois en prison, il paiera aussi pour tout cela 


Moi : (directe)  non, il les a tués pas à cause de ce que nous tous avons découvert il y’a peu mais à cause de cette histoire d’élections. Lui et sa bande ont truqués les élections, et cela Kevin et Marysa l’ont su. Il y’avait une carte insérer dans l’une des nouvelles machines à voter qui était enregistrer avec le nom de l’actuel président. Donc tous les votes allaient en sa faveur, et cette carte est avec Maxime et c’est elle que je veux (ferme) 


Lui : (me regardant)  je sais tout cela, mais peut-être qu’il avouera de lui-même s’il va en prison 


Moi : (me retournant)  tu connais mal Maxime 


Lui : (soufflant)  Jaja, cette histoire peut finir ainsi et nous pourrons vivre la nôtre. Je suis sure que tout peut s’arrêter ici 


Moi : tant que je n’aurai pas cette carte, je ne serai en paix 


Lui : (haussant le ton)  et nous alors on continuera les cachotteries ? Quand pourrons-nous librement nous afficher ensemble ? 


Moi : (lui faisant face) ça aurait pu se faire Didi si tu n’avais pas été avec cette fille là quand je suis venue chez toi il y’a quelques années avec cette preuve. 


Lui : (prenant mon visage dans sa main) et je t’ai dit et assurer que j’étais vraiment désolé Jaja, je le jure sur tout, en plus cette fille n’est pas le problème 


Moi : (automatiquement)  elle en fait partit


Lui : (s’emportant) le vrai souci c’est ce monstre que tu veux revoir, je n’aime pas ca 


Moi : (le caressant) écoutes, fais-moi confiance. Tu m’as fait passer un vrai et adorable week-end avec un petit déjeuner poser tous les matins sur mon lit, un bain déjà prêt et de vraies parties de plaisir et je ne veux que l’on se dispute (n’ayant vraiment pas besoin de disputes) 


Lui : tout ce bonheur du week-end peut continuer si et  seulement si, tu mets fin à tout ceci 


Moi : (soupirant)  tu sais bien que je ne peux pas 


Lu : (voulant quitter la pièce)  il ne me reste plus qu’à ranger mes affaires alors 


Moi : attends (attrapant sa main)  


Lui : quoi ? 


Moi : (avec des yeux chargés d’émotion)  je t’aime Didi, plus que tout 


Lui : (me prenant dans ces bras)  moi aussi mais apparemment tu ne le vois pas (haussant le ton) 


Moi : (me collant contre lui) je t’en prie ne crie pas (le caressant) serre moi juste contre toi 


Lui : (soupirant)  Jaja 


Moi : (continuant ma caresse) je t’en prie 


Moi : (me serrant contre lui) je t’aime Jaja (faisant une bise sur mon front) plus que tout sur cette terre. 


Il n’en fut pas plus pour que l’on s’embrasse, et que nous nous serions très fort. Je le poussa donc sur le lit et me mis sur lui je déboutonna sa chemise et lui fit une série de baisers sur tout son torse, je m’attardais sur ces belles tablettes de chocolat qui avait le don de me faire perdre la tête. Et d’une autre main, j’enlevais la fermeture éclair de son pantalon, et j’y envoyai ma bouche et mes doigts. 


Je saisis donc bien son membre dans ma main et commença à lui faire une fellation digne de ce nom. Tantôt en douceur, tantôt avec fougue, je devais le détendre et quoi de mieux que cela. 


Lui : (soupirant)  jaja !!!!


Quoi Jaja seulement ? (sourire) c’est trop peu pour ce que je fais. Et si j’essayais de me diriger vers les couilles avec ma lange en massant légèrement ou activement son membre. 


Lui : (gémissant)  ohh je t’aime Jaja tu es la meilleure, je t’aime. (Me serrant fort le bras) Je ne  veux pas te partager, je ne peux pas te partager, je suis à toi et tu dois être à moi (avec un peu d’autorité)  


Voilà ça vient. Plusieurs autres coups de langues habiles  et puis il me dégagea rapidement, je compris donc qu’il devait jouir, lorsqu’il eut fini, il me regarda et me dis. 


Lui : (me fixant en respirant fortement)  putain tu veux me faire perdre la tête avec tous ces jeux de langue ? 


J’éclatais de rire, pourtant c’est toujours son objectif de me faire perdre la tête lui aussi. Et aujourd’hui que je prends ma Revenge il se plaint, je le regardais partir de nettoyer avec un sourire victorieux sur mes lèvres. Ne me demandez pas ou j’ai appris cela, je risque de rougir, mais je voulais lui faire plaisir alors toute seule je me suis cultiver.


ANDY 


J’allais à la maison en ayant bien serré Jaja contre moi, ce week-end m’a vraiment fait revivre. Je suis comme une nouvelle personne. 


Je rentrais chez moi et trouvais la maison vide, Julie était sortie ? Tant mieux si elle s’amuse, c’est ce que je veux.


J’entrais dans la chambre et la trouvait toute endormie, je fis le moins de bruit possible pour ne pas la réveiller. 


« sms : je suis bien arrivée. Merci pour ce beau week-end Didi. » 


Je souris et je lui réponds 


« sms : bientôt ce ne sera plus un week-end mais toute une vie. Je t’aime Jaja » 


Puis j’allai me doucher pour venir dormir avec la belle image de ma Jaja dans ma tête. 


Je me réveillais ce matin dressé comme pas possible, c’est normal vu tous les rêves que j’ai fait de moi et Jaja, je partis prendre une bonne douche froide pour me détente. Julie dormait toujours, je partis donc faire le petit-déjeuner pour nous deux et je montai pour la réveiller. 


Elle : (ouvrant ces yeux) tu es revenue Andy ? (me souriant) 


Moi : depuis hier nuit mais je ne voulais te réveiller, tu as du bien t’amuser pour dormir ainsi. (Souriant) 


Elle : (gardant son sourire)  tu m’a manquée 


Moi : (la fixant)  je suis désolé, il est l’heure d’aller au boulot  tu sais ? 


Elle : (faisant non de la tête)  je ne pourrait pas aujourd’hui 


Moi : pourquoi ? 


Elle : je suis souffrante 


Moi : (pris de peur, et enlevant automatiquement la couette sur elle)  alors on va à l’hôpital 


Elle : (se redressant)  j’y suis allé samedi, ils m’ont donné un repos et un tas de médicaments 


Moi : (ahurit)  vraiment ? 


Elle : oui mais ça va mieux (me souriant pour me rassurer) 


Moi : je suis vraiment navré, je vais te faire couler un bain 


Elle : non t’en fais pas pour moi 


Moi : oh que si 


Je lui fis couler un bain et je l’aidais à aller au salon. Je pris ces médicaments avec moi et on partit. 


Elle : merci 


Moi : (lui donnant à manger)  allez ouvre la bouche, tu dois me finir tout ce petit déjeuner 


Elle sourit juste et je vis à quel point elle était belle, mais l’amour ne regarde pas tout ceci, mon cœur ne pourra jamais battre pour elle. Je lui donnai la nourriture et ces médicaments, puis lui fis une bise sur la joue. 


Elle : (heureuse)  tu n’a pas idée du bien que ta présence me fait Andy, je t’aime tellement 


Moi : (m’agenouillant à son niveau) je ferai tout pour vite rentré ce soir et te faire une bonne tisane 


Elle déforma son visage 


Moi : (riant) et tu vas et dois la boire. Julie ? 


Elle : oui (me regardant) 


Moi : (respirant un grand coup) je t’offrirais tout ce que tu veux, dis-moi seulement ? 


Elle : c’est toi et seulement toi que je veux Andy


Moi : (baissant la tête) dans ce cas trouve la force au plus profond de toi de me pardonner, et pense  à me dire une autre chose que je pourrais t’offrir s’il te plait. (Air désolé) 


Elle ferma les yeux et acquiesça quelques minutes. Je lui suis fait mal et ça ne m’enchante en rien, mais Jaja elle est la femme de ma vie, et Julie je la vois comme une bonne amie. Je vais lui donner tout ce qu’elle veut, j’en ai les moyens elle n’a qu’à le dire mais moi c’est juste impossible. 


Moi : coucou frère (voyant la bague dans sa main) whaooooo, je vois que des gens veulent s’engager ici 


Lui : (souriant)  ferme là et dis-moi si elle est belle 


Moi : (riant)  pas aussi belle que Lizzie mais elle est belle et je suis sure que Lizzie aimera 


Lui : (heureux)  je l’espère 


Moi : tu vas lui donner quand ? 


Lui : le plus tôt possible, dans une vraie intimité 


Moi : c’est génial 


Lui : tu peux m’aider à décorer ma maison ? 


Moi : y’a pas de soucis. Félicitations encore 


Lui : elle doit dire oui d’abord (me regardant) 


Moi : (serein)  et crois-moi elle le fera 


Lui : merci 


Moi : j’espère vous suivre bientôt 


Lui : c’est clair, alors ce week-end ? (sourire en coin) 


Moi : (soufflant)  elle veut plus que cela pour Maxime 


Lui : (me regardant)  vu tout ce qu’il lui a pris c’est normal 


Moi : (acquiesçant)  oui j’essaie de comprendre 


Lui : (me rassurant)  t’en fais pas ça ira 


On continuait à parler de moi et Jaja, puis je lui expliquai pour Julie aussi et il s’apprêta à me conseiller lorsque l’on vit le président faire comme une déclaration à la télé. 


Lui : (froissant sa mine)  un lundi matin, une déclaration, j’espère que le pays ne brule pas 


Moi : (prenant la télécommande)  attends j’augmente le volume 


Le président : « mes chers concitoyens bonjour, je viens à travers ce communiqué aujourd’hui pour d’abord m’excuser pour toutes ces histoires qui ne favorisent en rien le développement du pays et qui n’aide en rien la croissance du pays, mais qui par ma faute ont été au centre de toutes les attentions ces temps-ci. Des affaires privées ont été rendus publiques et je m’excuse de vous avoir fait cette honte-là. 

Ensuite je voudrai aussi que vous sachiez que ni de loin et ni de près je n’ai été en rapport avec toute ces histoires, certes mon nom et celui de la première dame ont été cités mais ça n’a rien avoir avec une stratégie politique afin d’attirer les regards sur moi. Le seul responsable de cet acte ici est celui que j’ai longtemps considéré comme ami et frère d’arme, M. Bely Maxime, qui a un moment donné n’était guider que par ces pulsions. Il voulait toujours avoir plus et je ne pouvais le faire car ce n’est pas pour lui que vous m’avez voté alors là il a commencé à manigancer contre moi et mes autres amis. Je ne croyais pas  M. Bely coupable de certaines choses, mais avec ce qui s’est passé j’ai pris le temps de mieux réfléchir et faire cette confidence aujourd’hui. 

En effet lorsque mon ami et frère Ehouo (candidat perdant face à lui) est mort, il avait quitté mon bureau un peu plus tôt et après enquête mener ce week-end, il n’avait rien consommé d’autres à part un café qu’il a pris chez moi, à mon bureau. Café qui avait été envoyé par mon assistante en ces temps-là qui entretenaient des relations plus qu’amicales et loin d’être fraternelles avec M. Bely, je ne le sus que vraiment plus tard et elle était déjà embauchée. Mais  vu que M. Bely détestait cet homme pour des raisons  propres à lui et qu’il est mort d’intoxication j’aimerais que pour la justice des enquêtes soient mieux poussés afin de savoir si M. Bely et sa compagne qui ne travaille plus pour moi maintenant, Mlle Siloé Julie n’ont rien  avoir avec cette mort. 


Enfin sachez que je m’engage à rétablir la vérité et la justice sur tous les incidents ou les pertes que la police jugera de douteux et cela même si l’un deux s’avèrent être un  ami. Pour des raisons propres à lui M. Bely m’a toujours vu comme son poulain et je le laissai faire car je l’appréciât mais tout ceci prend fin aujourd’hui.  Aussi toutes les personnes dont M. Bely à citer les noms avec pour certains assez de tiroirs dans le placard, je donne feu vert à la police afin qu’il déterre tous ces cadavres-là.Je vous remercie. » 


Je n’en revenais pas, Julie lié à une histoire de meurtre. 


Lui : (se levant)  ou est Julie présentement, elle n’est personne il risque de l’arrêter plus vite 


Moi : (toujours dépassé) elle est chez moi 


JULIE 


J’étais assise à penser à ce que je ferai car bien évidemment Andy ne me voulait plus. Et je ne comprenais même pas le pourquoi. J’avais tout fait, tout fait mais c’était comme si, il lui était impossible de m’aimer. 


Je regardais donc cet épisode sur la chaine E ! De l’incroyable famille Kardashians pour me distraire un peu, je vais continuer à simuler cette maladie encore longtemps, car je ne veux pas avoir cette discussion avec Andy. Certes j’ai mal et déprime mais c’est plus une maladie de cœur qu’une maladie particulière, mais si cela m’aide à éviter Andy et son discours d’excuses et d’adieu c’est mieux. 


Mon père m’appel, je préfère ignorer, ma tante aussi. Non mais ils ont quoi eux tous ? Ils sont en partis responsables de tout ce qui m’arrive aujourd’hui avec cette histoire de présentation. J’entendis des forts coups à la porte et je vis l’appel d’Andy, il est déjà rentré, je courus presque pour aller ouvrir la porte et je vis des gens en cagoule, me montrant un papier qu’ils qualifiaient de mandat et me demandant de les suivre sans protester pour mon bien. 


Moi : (surprise) mais qu’ai-je fais ? 


Lui : (m’indiquant de les suivre) vous êtes accusée de meurtre sur la personne de M. Ehouo, mort d’intoxication alimentaire 


Moi : quoi ? (craint presque) 


JAMILA 


Je suis assise entrain d’écouter Maxime me raconter comment et pourquoi il est sorti avec la première dame 


Lui : (me fixant)  crois-moi ça n’est arrivé que deux fois 


Moi : c’était après la mort de ta femme ? (froide) 


Lui : oui après, mais avec Neslie et les autres c’était pendant mon mariage


Moi : tu ne l’aimas pas 


Lui : je ne la comprenais plus, je ne l’ai jamais compris. Elle voulait toujours vivre dans la normalité et resté digne honorable 


Moi : et c’est mauvais cela ? 


Lui : (soufflant) non tant que les autres le pensent non, mais envers toi-même tu dois savoir que tu es loin d’être honorable car pour avoir ce que l’on désire on ne doit pas être honorable mais craint 


Moi : mais regarde ou cette histoire t’a mener ? 


Lui : oui M.Valls a vraiment eu ma peau, il m’a donc fait écouter. (Semblant s’en souvenir) 


Moi : tu pourras refaire partie du clan ? 


Lui : je ne pense pas, ils ne veulent plus me parler et aussi j’ai commencé à perdre certains privilèges 


Moi : je suis navrée 


Lui : (me fixant)  te voir Jokeybed me fait me sentir mieux et pour toi tu verras je vais vite remonter la pente. Je serais de nouveau un homme respecté, lorsque tout ce tapage-là finira. (Me souriant) 


Moi : (lui affichant un petit sourire)  je veux bien te croire mais j’ai besoin de temps 


Lui : (mettant sa main sur la mienne)  prends tout le temps que tu veux. Merci de m’avoir accordé ce déjeuner aujourd’hui lundi (souriant)  


Moi : en même temps vu comment tu m’appelais (souriant) 


Lui : (plus gaie)  je devais te voir, tu me manquais atrocement 


Moi : pour t’aider à surmonter cette passe là ? 


Lui : non je voulais te voir, concernant cette passe, elle finira bientôt, je te l’assure. 


Moi : (surprise) oh le président passe à la télé qui y’a-t-il ? 


Nous regardons donc la télé en écoutant avec surprise car je lus aussi la surprise dans  les yeux de Maxime vu tout ce que le président affirmait. Je regardais Maxime dépassé en me demandant combien de personnes il avait tué ? 


Lui : (s’emportant) mais c’est vraiment n’importe quoi c’est faux 


Moi : (automatiquement)  le meurtre ou l’aventure ? 


Lui : le meurtre, Jokey crois moi je n’ai pas tué cet homme. Concernant cette fille, elle a été ma maitresse et j’ai continué à me servir d’elle quand ma femme est morte mais c’est fini depuis bien longtemps avant ta venue même. (Comme pour me rassurer) 


Moi : mais que va te faire maintenant ? Qui te croira ? 


Lui : laisse-moi passer des coups de fils


Je sentais le regarda lourd des gens sur nous, c’est un restaurant couteux ici et entre homme riche, ils doivent se connaitre. 


Lui : des bêtises ! (énervé) 


Moi : alors ? 


Lui : aucun membre ne me réponds et la totale c’est que le procureur me dit de me rendre demain à la DST pour me faire entendre et certains de mes biens seront saisi pour enquête. (Air hautain)  Bêtise, ils veulent me faire couler et bien on se fera coulé. 


Moi : (ferme)  appelle ton chauffeur 


Lui : pourquoi ? 


Moi : dis-lui de rentrer, les journalistes s’ils sont déjà là, penserons que c’est toi, vu que c’est ta voiture, et là ont rentrera tranquillement avec la mienne. 


Lui : (me remerciant)  vraiment merci beaucoup 


******


Lui : je ne sais comment te remercier


Moi : tu m’as aidé à venir ici et je te dois bien cela Bely (le regardant à peine) 


Lui : (me promettant)  je te jure que cette mauvaise passe passera bien vite 


Moi : d’accord, ou sont les toilettes s’il te plait, j’aimerais me rafraichir (ne le supportant plus) 


Il m’indiqua et je partis. Je n’avais nullement envie de me rafraichir mais juste de revoir cette maison qui pendant longtemps a été la mienne. Cette maison ou Maxime m’avait fait vivre de mauvaise chose, ou ma sœur et moi avions eu notre première grande dispute, mais elle revenait toujours lorsque je me sentais mal. Cette maison ou Maxime m’a humilier à plusieurs reprises et ou j’avais décidé de demander le divorce. Cette maison ou il commençait à changer mais où j’avais découvert la vérité. Cette maison ou il avait tué cette pauvre servante qui ne voulait que m’aider, cette maison n’avait pas vraiment changé. Je retournais au salon ou j’entendis :  


Elle : Maxime ça sent vraiment mauvais pour toi 


Lui : tout cela grâce à qui ?  M.Valls 


Elle : pourquoi crois-tu que mon mari est à la base de tous des soucis ? 


Lui : parce que c’est vrai 


Elle : tu exagère à la fin, ce n’est pas lui qui a tué Ehouo quand même 


Lui : (automatiquement)  oui car c’est toi 


Elle : (semblant énervé) ca retombe sur moi ? C’est d’un commun accord que cela a été décidé 


Lui : accord ou je n’ai pas pris part car j‘étais déboussolé par la mort de Jamila 


Elle : ça revient au même. Qui ne dit rien consent 


Lui : (reprenant avec une voix hautaine)  et si toi aussi tu avais juste remis ce café toi-même à Ehouo tout cela ne serait arrivé. Masi ta jalousie t’a fait donner cela a cette pétassa de Julie et aujourd’hui regarde 


Elle : (haussant le ton) et si toi aussi tu n’avais pas couché avec  cette fichue première dame on n’en serait pas là aujourd’hui. Bon sang tu t’en es tapé combien ? (énervée) 


Lui : (automatiquement)  tu te vantes toujours d’avoir été dans les services secrets donc tu sais tout 


Elle : (juron)  tu n’es qu’un con Maxime 


Lui : (ferme)  il faut que tu partes 


Elle : (automatiquement)  il faut que l’on trouve une solution 


Lui : Julie te dénoncera 


Elle : (comme une évidence)  elle me craint trop même et en plus le clan m’aidera à la faire taire. Mais toi tu n’en fais plus partit et ils t’achèveront 


Lui : faut que tu  partes 


Elle : j’essaie de t’aider là 


Lui : merci mais là tu dois partir 


Elle : pourquoi ? 


Lui : Neslie je t’en prie 


Elle : (riant nerveusement)  tu as peur que ta ghanéenne sache que je suis passé ?  


Lui : ce ne sont pas tes affaires 


Elle : (sourire en coin en fixant son sexe)  maxiou te mettras encore dans les soucis, mais cette fois avec un gros chagrin de cœur et tu seras tout seul 


Lui : (haussant le ton)  mais de quoi tu parles, va-t’en 


Elle : (le fixant lui) cette femme te trompe, elle sort avec Assi Andy 


Lui : comment ? (froissant sa mine) 


Moi : (entrant)  je ne trompe personne car je reste une femme libre pour le moment, je ne suis pas comme certaines (le regardant avec sérénité) 


Elle : (me dévisageant et regardant Maxime)  oh je vois pourquoi tu me chassais, tu es bête Maxime, (froissant sa mine)  tu crois qu’elle peut t’aider à sortir du pétrin dans lequel tu es ? rappelle-toi d’Assi, tu sais que lorsqu’il s’intéresse à un de tes conquêtes il te l’arrache (le fixant durement) 


Moi : (automatiquement en la regardant)  et lorsque ce sont les conquêtes qui vont le voir pour des services ça devient quoi ? 


Lui : (ahurit)  tu es allé voir Assi ? 


Elle : (me fixant) vous parlez de moi ? 


Moi : (la fixant aussi) je dis un fait, je n’ai mentionné personne 


Elle : (ferme)  ne parlez pas de ce que vous ne savez pas 


Moi : (soutenant son regard avec une belle mine sereine)  vous de même 


Elle : (regardant Maxime)  sa copine peut me fournir des preuves de ce que je dis 


Lui : (riant nerveusement)  cette pétasse de Julie, demi folle là, c’est elle que tu écoutes ? 


Moi : (voix sereine)  qu’elle en fournisse donc, (haussant les épaules)  je suis libre et quand je m’engage à une personne je reste avec elle et ne court pas d’hommes à hommes à la recherche de désirs inassouvis. Si je choisis Max et si j’accepte de le côtoyer c’est que je sais qu’il remplit assez de qualités mais ce que je n’aime pas (autoritaire)  c’est qu’une ex marié vienne se mêler de ma vie aussi forte pense t’elle  être. (La fixant) 


Elle : (me lorgnant) je me demande bien ce que votre fils pensera de ça, sa mère qui l’abandonne pour venir consoler un  type à femmes et en plus qui défend cela comme une adolescente amoureuse (souriant) 


Moi : (lui rendant mon plus au sourire) la même chose que penserai votre fille, ou pas car pour elle vous êtes mariée à son père. Elle ignore assez, donc elle au lieu de penser ce sera plutôt une découverte. Pourtant moi je suis une femme veuve et célibataire pour le moment et mon fils le sait.  


Elle : (me pointant du doigt) ne parlez pas de ma fille, vous ne me connaissez pas. Je peux devenir un démon à tout moment (comme une menace) 


Moi : (saisissant son doigt) et si vous voulez que l’on continue à ne pas se connaitre, car vous aussi ne me connaissez pas, même si à défaut d’être un démon je suis un ange, mais un ange qui peut faire aussi mal,  je vous conseille donc (autoritaire) de ne plus jamais parlez de mon fils, (criant avec la même autorité)  plus jamais de votre vie. (Laissant son minuscule doigt) 


Lui : (autoritaire)  Neslie sors d’ici, va-t’en 


Elle : (prenant son sac) tu vas le regretter Max cette femme te détruira 


Lui : je préfère mille fois qu’un ange me détruise plutôt qu’un démon 


Elle sortit en lançant un juron. Je m’assis en soufflant, Max vient près de moi en s’excusant. 


Lui : je suis désolé Jokeybed 


Moi : j’accepte tout ce que l’on dit sur toi, je prends sur moi car tu m’as donné la chance de voir une face meilleure de toi.  


Lui : et c’est cette face que tu verras toujours (me rassurant) 


Moi : mais je n’aime pas le manque de confiance 


Lu : (serein)  je ne doute pas de toi 


Moi : (le regardant)  elle t’emmènera à le faire,


Lui : (promettant)  ni elle et ni cette pétasse de Julie, ne le ferons, je sais que tu vaux mieux (sa mine exprimait un dégout)  que ce simple journaliste. 


Moi : il faut que je rentre il se fait tard, je dois voir Ethan mon  fils. 


Lui : d’accord, ne prête pas attention à cette femme. Ni à toi, ni à aucun membre de ta famille quelque chose n’arrivera. 


Moi : (souriant pour lui faire croire que je le crois) essaie de dormir tôt pour demain, et tiens moi informer s’il te plait 


Lui : (souriant)  avec une telle voix c’est promis, merci. 


Je rentrais chez moi heureuse d’avoir répondu à cette femme, joyeuse car Maxime me faisait confiance, mais intriguée car je devais mettre une pause entre moi et Didi. Aussi j’ai appelé le détective, j’ai besoin de plus de surveillance pour mon fils et Lizzie. 


Moi : « sms : j’espère que tu vas  bien ?  On doit se voir. » 


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