Seconde Étape !

Ecrit par Mabanabook

VENGEANCE VS AMOUR : Page 32


*Seconde Etape ! 


FRANCK 


Moi : (ahurit)  ce que tu me dis est vraiment grave !


Lui : (souriant) pourtant c’est vrai 


Moi : (surpris)  mais cet homme est un monstre 


Lui : à qui le dis-tu ? Je veux l’aider mais c’est sa vengeance, selon elle. Et vu tout le temps perdu je ne veux pas encore perde plus de temps. 


Moi : oui c’est vrai et l’aider pourrait éveiller trop de soupçons ainsi que vos petites escapades amoureuses (le regardant)


Lui : (souriant)  non tout est sur contrôle 


Moi : (inquiet)  si Julie vous attrape, mec cette meuf s’est adoucit avec toi mais c’est vraie diablesse inh 


Lui : (serein)  elle ne me fera rien 


Moi : toi ? C’est sûr qu’elle ne te fera rien, ton simple regard la fait fondre. Mais Jamila, oups pardon Jokeybed elle peut lui faire mal 


Lui : c’est plus la même, (serein) elle est devenue une dure et personne ne peut lui faire de mal actuellement regarde là toi-même 


Moi : (voulant lui faire comprendre)  oui c’est vrai mais par amour, jalousie et frustration une femme est prête à l’inimaginable 


Lui : (me rassurant)  au moment venu je parlerai à Julie mais pour le moment je me rattrape mec tu te rends compte elle est bel et bien réelle. (Souriant)  


Moi : (souriant)  et je suis ravi pour toi et pour vous. Seulement attention à Julie


Lui : ne t’en fais pas et toi félicitations aussi avec Lizzie parait-il que c’est du sérieux 


Moi : (heureux)  humm plus que cela cette femme est tout pour moi 


Lui : (me faisant une tape)  bienvenue au club 


Moi : merci bien 


Lui : bon je retourne taffer et n’oublie pas 


Moi : bien sûr bouche cousue (souriant)  


Lui : merci frère 


Moi : je t’en prie 


Jamila est donc la riche milliardaire, wahoo ah ça ! Quand deux personnes sont faites pour se retrouvés ils se retrouvent vraiment. Y’a vraiment longtemps que je n’avais vu Andy si joyeux, cette femme est vraiment sa moitié. 


J’ai de la peine pour Julie mais faut se rendre à l’évidence, il ne l’aime pas et ne l’aimeras jamais. 


Sms  « Elle : encore au boulot ? Je suis chez toi toute seule »


Rien que ce message me fit frémir 


Sms « Moi : j’arrive » 


Je rangeais tout et je partis 


Elle : tu es enfin là, tu m’as manqué (souriant) 


Moi : (regard froid)  je sais tout 


Elle : tout quoi ?(me regardant avec des gros yeux)  


Moi : pour Jamila 


Elle : (mettant sa main sur sa bouche) oh je suis navrée de t’avoir menti mais ce n’étais pas à moi de tout révéler 


Moi : humm (la regardant) 


Elle : tu m’en veut ? 


Moi : (souriant) tu l’as toi-même dit cette histoire nous dépasse 


Elle : (me donnant une tape) tu m’as fait peur, j’ai cru que tu ne voudrais plus de moi 


Moi : ce serait signé mon propre arrête de mort ma belle fleur (souriant)  


Elle : (me caressant) mon beau jardinier 


Je la soulevais et l’embrassait pour l’emmener jusqu’à ma chambre 


Elle : on ou va et pour faire quoi ? (riant) 


Moi : (la regardant)  au jardin faire du jardinage 


JAMILA 


Nous étions tous assis pour faire ce semblant de réunion afin que les journalistes prennent quelques photos et que la vraie réunion commence bien sûr sans la présence beaucoup. Même Mme Valls était là plus proche de son mari que jamais. 


Je vis Bely se lever lorsque quelqu’un vient parler à l’oreille du président surement que c’est maintenant que sa femme arrivait il ne manquait plus qu’elle pour la réunion. 


Moi : tu me laisses seule ? (le regardant) 


Lui : je reviens tout de suite chéri (souriant) 


Moi : (posant le dispositif) ok laisse-moi t’arranger 


Lui : toujours (se laissant faire avec un  beau sourire


Moi : voilà tu es plus beau maintenant 


Il partit et lorsque je l’entendis parler avec quelqu’un et lui dire «  on peut parler ». Je fis signe au détective pour qu’il rentre.  


Une bande de techniciens (le détective et les infiltrés) : excuser nous autorités, (avec respect)  une panne d’électricité a pris le bâtiment du bas, nous devons donc nous assurer que ce ne serait pas le cas ici pour ce faire nous allons brancher des logiciels permettant de voir les différents lieux ou la panne est présente, cela ne nous prendra que deux ou trois minutes. (Très professionnel) 


Ils firent passer des lieux, moi j’étais pressé car eux (Maxime et autre) ils avaient commencera à parler. Ils firent passer des lieux noirs et un homme lui répondait soit situation stable ou situation instable. Arriver sur une image porte il dit : 


Lui : agent à vous ? 


Rien n’y fit 


Lui : (se répétant) agent à vous 


Les autres étaient concentrés sur leurs discussions et moi je fixais l’écran il mit donc le volume et dit plus fort comme pour capter l’attention de tous :


Lui : (criant)  AGENT J’AI DIT A VOUS ! 


Puis on entendit : 


« Elle : mais que puis-je faire Maxime ? 


Lui : tu es la première dame bon sang ! » 


Le détective déguisé en agent : (craint)  coupez moi ça rapidement 


Le président : (tournant les yeux vers l’image)  que personne ne coupe quoi que ce soit


Tous étaient scotchés à l’écran, ils ne voyaient rien mais entendait et moi j’avis deux écoutes, une  dans mon oreillette et l’autre à l’écran. 


« Elle : (continuant) si M. Valls et ces collaborateurs veulent d’anéantir que puis-je faire ? 


Lui : (comme un ordre)  dire à ton homme de ne pas les laisser faire, n’oublie pas que j’ai été là pour vous quand tous le voulaient dehors 


Elle : tu as plus été là pour lui, (comme un supplice)  depuis combien de temps tu rejettes mes appels, refoulent mes serviteurs et mes invitations, depuis combien de temps tu ne m’as plus fait l’amour ? »


Tous étaient ahuris même moi, je ne m’attendais pas à ça ! 


Détective : (semblant chercher le câble)  arrêtez moi ça !  


Président (autoritaire) : que personne ne bouge et que tous se taisent !


J’eus moi-même peur, l’autorité avec laquelle il avait parlé faisait peur. Même les quelques journalistes encore présents n’osaient broncher. 


« Lui : (continuant) je t’en prie tu es une femme fontaine, même si ton mari n’est pas endurant comme moi (comme une moquerie) il aurait suffi, qu’il te touche pour que toute ta jouissance sorte 


Elle : (énervée)  tu crois que c’est facile ? Il ne me touche plus


Lui : (raclant la gorge) écoute j’ai besoin  de ton aide 


Elle : je ne peux pas, c’est bien haut pour lui et moi 


Lui : il n’a qu’à me défendre et je gérerais le reste moi-même, parle lui comme je te l’ai demandé pour les terres de L’Ouest, tu le convaincras. 


Elle : c’est non ! (haussant le ton)  va voir ta ghanéenne pour qui tu me refuse 


Lui : (voix plus grave)  écoutés je risque de payer des gens pour leur dire que tu es une femme fontaine, je dirais que ton mari te délaisse car il te croit frigide. (Voix hautaine)  Je dénigrerais chaque personne, cet idiot d’Edouard par exemple (un membre du clan)  je paierai quelqu’un qui  racontera comment il se tape les mineurs qu’il fait passé pour majeures pendant des stages, cet idiot de Magloire aussi  je paierai aussi une autre personne pour  raconter tout sur son homosexualité et cet Valls quelqu’un d’autre racontera que son impuissance le mets tellement en rogne et voilà pourquoi il me croit amant de sa femme qui est très proche de moi. Et le plus mieux de tout ça c’est que je manipulerai tous pour leur faire croire que le coup vient de ton homme. Déjà qu’il le trouve mou, ça ira. 


Elle : pourquoi me dit tu tout cela ? C’est une menace. (Petite voix) tu n’oseras pas Maxime.


Lui : (continuant)  ton nom et ces gens que je paierai vous saliront tellement que  tu perdras tout. Tu le veux ? (la questionnant)  et en plus personne ne sauras que c’est moi (rire moqueur)  je  continuerais à faire ami-ami avec eux tous. 


Elle : Valls a-t-il raison tu te tape sa pétasse ? 


Lui : ce n’est pas une pétasse et ce n’est pas tes affaires 


Elle : ok.  (Comme un supplice)Fais-moi l’amour donc, viens ce soir ou tu sais, j’ai besoin de jouir avec toi (comme si tout ce qu’il venait de dire ne comptait pas) 


Lui : (semblant énervé)  vois ton mari bon sang, aucun homme n’est trop occupé pour tirer un bon coup 


Elle : c’est toi que je veux,  en plus il doit être impuissant. »


Ça c’était trop !  Le président se levait et demandait de le conduire dans la salle,  nous le suivons tous choqués comme lui et je fis signe au détective pour que lui et sa bande partent, les vrais journalistes quant à eux nous  suivaient. 


Le président ouvrit la porte de leur lieu et se jeta sur Maxime, moi j’étais choquée, sa femme quant à elle était comme une statue elle ne bougea pas. Les gardes intervenaient et Maxime ne faisait que se demander ce qui se passait. Quant à  Neslie, elle  le gifla d’une façon très forte.

Bon pour Neslie je ne savais si c’était la jalousie ou pour défendre son homme. 


La première dame au président : chéri je suis….. 


Lui : (hurlant en levant la main mais s’arrentait juste sur son visage) ne  me touche plus jamais….


Les gardes commençaient à brutaliser les journalistes et à tous leur arracher. Mais n’avaient-ils pas  déjà trop entendus ?  Et moi mes hommes aussi  avaient tout, même si certaines choses par respect pour le président et sa femme ne sortiront pas de mon lot d’infiltrés. 


Cette fois je ne fis pas semblant d’être choquée, je l’étais je ne m’attendais pas à tout ça, tous regardaient Bely avec dégout et mépris. Il dandina et arriva jusqu’à moi, je touchai sa veste pour reprendre mon enregistreur mais le fit comme pour l’arranger et je lui dis avec un  regard triste 


Moi : (triste)  je commençais à te faire confiance Bely


Lui : s’il te plait dis-moi ce qu’il y’a ? Qu’est ce qui s’est passé ? 


Pour la première fois il s’exprimait sans être hautain, sévère, dur, serein et autoritaire. 


Moi : apparemment l’un de vous était sur écoute et on a tout entendu. Tu couchais avec elle aussi ? (mine déçue) 


Lui : (attrapant sa tête) non ma belle ce n’est pas ce que tu pense 


Je lui remis un lotus pour s’essuyer et je partis, je fis comme si je pleurais en le quittant. 


Moi : (tournant mon visage en faisant semblant d’essuyer une larme)  je pense à trop de choses, j’ignore celle qui ne sont pas ce que je pense. 


Puis je partis il voulut me rattraper mais j’allais plus vite,  il alla alors vers Valls et cria « c’était aussi ton plan cela ? Qui parmi vous tous ici, m’a tendu ce piège ? » 


Personne ne le calculait, Neslie prit la main de son mari et les deux partis, les reste continuait à le fixer avec leur même regard moi je pris mon sac et partit, il m’appela mais je ne répondis pas, je devais me jouer l’amoureuse choquée. 


Je montais dans ma voiture et appela le détective pour lui dire ce que je voulais que l’on diffuse ou pas. Il prit note et me dis qu’avec tous ces journalistes présents tout sortira mais au moins ce ne sera pas de mon côté lui dis-je. 


ANDY 


Moi : (l’appelant) coucou ? Alors c’est toi ? (heureux) 


Elle : (voix endormie) tu as lu les titres ? 


Moi : (sourire en coin)  oui et j’en suis ravie c’est toi non ? 


Elle : juste un peu, Dieu a été de mon côté. 


Moi : félicitations 


Elle : merci (souriant j’en suis sûre) 


Moi : je te laisse te rendormir 


Elle : ok bonne journée je t’aime 


Moi : moi aussi ma jaja 


Je raccrochais et reprit le journal avec la vilaine tète de ce meurtrier et je ris. Je partis donc voir Franck tout heureux 


Moi : (souriant)  j’ai besoin d’un ordre de mission 


Lui : (me regardant)  pourquoi ? 


Moi : pour une célébration (riant) 


Lui : (souriant)  je vois que les nouvelles sont bonnes, je viens de lire les journaux et Lizzie m’a appeler toute joyeuse


Moi : je suis aux anges donc je pars tout ce week-end, si tu as besoin  de moi demande à Lizzie de nous joindre elle saura comment faire. 


Lui : je suis vraiment heureux pour toi, pour vous.  Profitez bien  


Moi : j’y compte bien et toi doucement avec  Lizzie y’a un gamin à la maison (le taquinant) 


Lui : (souriant)  j’y vais toujours doucement et en plus le gamin ne nous gère même pas 


Moi : (riant) ok bye 


Je partis dans ma voiture pour aller à la maison. Tout en fredonnant la chanson de Dadju « Reine », j’étais trop heureux tout ça était bientôt fini et moi et Jamila nous pourrions vivre heureux. Elle à vraiment fait fort cette fois-ci je suis fière d’elle. 


Moi : salut Julie, ça va tu as mangé ? 


Elle : oui ça va, tu as l’air de bonne humeur 


Moi : (fredonnant une musique)  je le suis crois moi 


Elle : ok je te sers. (Souriant) 


Moi : non je vais me doucher, tu ne vas pas au travail aujourd’hui ? 


Elle : je suis sur terrain, donc je ne fais pas tôt je t’ai manqué là-bas ? 


Moi : (continuant ma route)  ha d’accord, bon je monte 


Je fis un sms à Jaja :


« Moi : on célèbre cela tout le week-end ? » 


Je croisais mes doigts 


« Elle : avec plaisir 


Moi : même lieu tout à l’heure ? 


Elle : d’accord je prends mes dispositions et suis à toute à toi. 


Moi : ok. »


Je partis prendre une bonne douche tout en fredonnant des musiques que j’adorais. 


JULIE 


Moi : Andy ? 


Je n’entendis rien, je voulus aller l’attendre en bas lorsque je vis son portable encore allumer, il était sous la douche. Je pris vite le téléphone et je vis un échange de message entre lui et une femme j’en suis sure. Mon cœur se coupa, sa joie est donc à cause d’une autre ? Il n’y avait pas de nom mais je devais connaitre sa maitresse, une bonne femme connait toujours sa rivale. 


Je lançais l’appel depuis son téléphone et elle décrocha 


« Elle : allô ? »


Cette voix ! Non pas cette femme et j’entendis quelqu’un dire « madame Nelson votre course » 

Je coupa automatiquement effaça l’appel et m’assis tranquillement sur le lit et loin du téléphone. 


Andy sortit et me sourit, il se parfuma avec son deo Axe et se mit à chercher une tenue. Je ne voulais pas lui demander s’il sortait car je connaissais la réponse et elle me faisait déjà mal. 


Lui : (me regardant)  Julie je pars en Week-end, je pars pour un truc urgent et important


Moi : (ayant une boule au ventre)  oh d’accord 


Lui : (souriant)  t’en fais pas j’ai laissé tous les chèques dans ce tiroir et de la liquidité. Prends tout ce dont tu as besoin  n’attends pas mon avis si tu veux un truc, et puis ce n’est pas sûr que j’ai  le réseau donc si tu as besoin  d’un truc assez urgent et que l’argent seul ne peut servir, dis à Franck, il viendra t’aider et aussi il saura comment me joindre 


Moi : (petite voix)  d’accord 


Lui : donc je compte sur toi pour sortir, t’amuser et vivre ta vie. Tu as la liberté sur les chèques et sur l’argent et sur la maison même. Organise même des fêtes avec tes copines si tu le veux. Fais ce qui te rendra heureuse. (Me souriant) 


Pourtant c’est lui ma joie. 


Moi : merci 


Lui ; ne me remercie pas, merci plutôt à toi. (S’agenouillant à mon niveau) tu n’as pas idée de tout ce que tu as fait pour moi et je jure sur tout que je m’engagerai à toujours te donner et t’offrir le bonheur. (Prenant ma main) tu m’as été d’une très grande aide, sans que je ne te promette quoi que ce soit, et cela me toucheras toujours. A mon retour on parlera et je te prie de fouiller au plus profond de toi pour trouver la force de me comprendre, comme tu l’as toujours fait, aussi pense à ce que tu veux et désire plus que tout sur cette terre et dis le moi, je le ferai. (Me regardant avec des yeux pleins d’espoir) 


Moi : je t’aime vraiment Andy 


Lui : (caressant ma joue)  crois-moi je le sais ma belle Julie, je le sais. Mais on doit parler, je suis désolé. Mais ne pense pas à ça et ce week-end vis bien. Prends soin de toi ma belle (m’embrassant sur le front) 


Moi : (le regardant partir) toi aussi Andy, prend bien soin de toi (avec une douleur à la poitrine) 


Il me sourit et partit, je me mis au balcon et quelque minutes plus tard je le vis partir dans sa voiture. 

J’aurais bien voulu le suivre mais tous ces mots voulait tout dire il veut rompre avec moi pour elle, je m’assis et éclata en sanglots. Qu’ai-je fais de mal à part l’aimer et le chérir ? Je lui est tout donner, tout à lui seul.  


Je pleurais et maudissais cette femme. Puis je me rappelai d’une personne qui pourrai m’aider vu que ce con de Maxime n’a pas voulu m’écouter et ne pourras peut-être plus même. 


Elle : (décrochant) Neslie valls, a qui ai-je l’honneur ? 


Moi : bonjour c’est Julie Siloé


Elle : tu t’ai surement trompé de numéro ma petite (voulant surement raccrocher) 


Moi : non, non. Attendez je vous en prie. Je dois vous parler de la veuve milliardaire. 


Elle : veuve milliardaire ? 


Moi : oui Mme Nelson, la nouvelle petite amie de Maxime 


Elle : tu ne m’apprends rien et ça ne m’intéresse pas donc peux-tu libérer ma ligne


Moi : (automatiquement)  elle sort aussi avec mon copain Andy Assi 


Elle : (apparemment intéressée)  vraiment ? Je veux dire sérieusement, tu en es sûre ? 


Moi : (essuyant mes larmes) je peux même le prouver. 


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