Bébé nana

Ecrit par Boboobg



(Décembre) 

Deux mois sont passés depuis cette soirée où nous avons Constant et moi établi les bases de notre relation qui n'est pas une relation lol.

Il cherche toujours plus d'attention venant de moi et moi je reste égale à moi. 

J'ai quitté la maison de orelie le mois dernier et les filles et moi avons déménagé dans une court commune de trois maisons au quartier résidentiel raffinage. 

Ma porte donne par le derrière donc avec mes voisins on ne se voit presque jamais. J'aime bien ça. Et j'ai trouvé une nounou, une jeune fille très bien que les filles adorent. C'est une cousine paternel à Orelie. On s'est revue deux ou trois fois Sara et moi. Elle est devenue une copine. Elle est cool et malgré son statut de femme mariée, toujours prête pour faire la fête. D'ailleurs je dois penser à l'invité à la maison un de ses quatre. 

C'est l'anniversaire d'une amie à Belle, c'est juste à deux ruelles de chez nous donc je dépose les filles chez elle . C'est samedi et je ne bosse pas.

Le couple de blanc qui m'accueille semble gentil et attentionné avec les enfants. Je demande quand même à Belle de garder un œil sur sa sœur. 

Moi : je reviens vous chercher dans trois heures. Soyez sage ! 

Belle : d'accord maman ! 

Moi : je veux des bisous ! 

Elles viennent toutes les deux m'embrasser. Je dis au revoir aux couples et monte dans la voiture en lançant l'appel vers le numéro de constant sans oublier de mettre le haut parleur. 

Constant : Allo ? 

Moi : bonjour. Ou es tu ? 

Constant : chez moi pourquoi ? 

Moi : j'arrive. 

Click 

Je conduit jusqu'à chez lui, au Wharf. Le gardien qui me connaît déjà ouvre. Je me gare, le salut puis me dirige vers la maison. 

Je trouve Constant en pantalon et t-shirt blanc dans sa véranda. Il me regarde tout penaud attendant sans doute que j'ouvre la conversation. 

Je dois avouer que l'on s'est disputé hier soir car il veut que je m'implique plus dans cette relation où du moins, que je l'implique plus dans ma vie. Ce qui n'est complètement pas envisageable pour moi. 

Je dépose mon sac à main sur la petite table et vient m'assoir à califourchon sur lui. 

Constant (me regardant) : non Farah 

Moi(souriante) : non Farah ? 

Constant : on doit parler. 

J'envoie ma main dans son pantalon et me met à masser son troisième membre tout doucement. 

Constant (voix grave) : Farah non! 

Moi (le regardant dans les yeux en sortant son sexe) : repousse moi alors!

Il ne fait rien, je me relève et vais chercher mon sac. 

Constant : Farah qu'est ce que tu fais ? 

Moi(l'air de m'en aller) : je suis venue pour ça et puisse que tu ne veux pas, je rentre chez moi ! 

Constant : arrête, reste. 

Je souris sans vraiment le faire exprès. Il fait toujours ça. Je sors un préservatif de mon sac puis revient m'asseoir sur lui. 

Je fais porter le caoutchouc à son membre, puis remonte ma robe avant de m'asseoir à califourchon cette fois ci en m'empalant sur son sexe surgescent. 

Constant(me tenant par la taille) : humm merde Farah! 

Je bouge d'abord lentement puis au fur et à mesure que mon plaisir augmente, j'accélère la cadence. 

Moi : je le veux plus fort ! 

Il se relève alors et me pose sur le canapé. Un courant d'air sur mes fesses nus m'erissent le pools. Je me place le ventre contre le dos du fauteuil en écartant mes jambes tout en me cambrant. 

Moi : change de préservatifs ! 

Il fouille dans mon sac et en trouve un autre,qu'il met avec des mouvements maladroit. Je surveille que s'est bien placé avant de lui faire signe de s'approcher. 

Puis il me pénétre en poussant sur ma taille avec ses mains. Je le sent carrément cogner contre l'entrée de mon utérus. Nos hommes ont vraiment été gâtés par la nature ! 

Moi(gemissant) : oui ! Hum ! plus fort Farel ! Je le veux plus fort ! 

Constant : hoooo shit! ! 

Moi : hum ! 

J'en veux plus, encore plus et il me le donne à m'en faire m'arracher les cheveux. 


Je sens ses goutelettes de transpiration tombé sur la partie de mon dos nu. Il y va encore plus fort avant de se contracter et jouir. 

Moi (comblée) : j'ai adoré Constant ! 

Constant (retirant le preso) : ça ne te ferai pas de mal de m'appeler bébé une seule fois. (s'essuyant le sexe) et si mon gardien avait décidé de s'approcher d'ici ? 

Moi : il serait reparti à grande vitesse après avoir vu le spectacle ! 

Je remet de l'ordre dans mes vêtements et entre dans la maison suivi de prêt par le maître des lieux. Je dois me désalteré. 


.... Constant Farel Kambisi Obori.... 

Putain pourquoi je n'arrive pas à lui résister? Pourquoi il faut toujours que je cède ? Il faut dire qu'elle sait comment y faire avec moi. 

Je la suit dans la cuisine où elle se sert du jus de fruit. Puis dans la chambre où elle se déshabille complètement avant d'aller s'enfermer à double tours dans la douche. J'entends juste le bruit que fait la pompe signe qu'elle se douche. 

Cela fait deux mois qu'on sort ensemble où devrais je souligner deux mois qu'on couche ensemble. 

Farah ne me considère pas comme son mec, c'est ce qui me dérange le plus. Je sais qu'elle ne me trompe pas, c'est plus le statut que je n'ai pas qui fait défaut. 

Au boulot, on ne se calcule pas, même quand elle vient chaque fin de mois me présenter son travail. On agit comme des inconnus, plus elle que moi car cette situation je ne la vit pas très bien. 

Dehors, on se parle, on rit et tout. Mais pour une raison que je ne comprends pas, Farah ne veut pas m'introduire auprès de ses filles et refuse catégoriquement de rencontrer mon fils. Même sa grande sœur dont elle me parle souvent, je ne l'ai jamais vu. Elle ne veut pas. 

Mon fils Junior arrive demain avec sa mère pour les fêtes. J'ai alors proposé à celle que je considère comme ma copine de profiter de ces moments festifs pour faire une rencontre avec nos différents enfants mais Farah n'a voulu rien étendre. C'est ce qui a causé notre dispute hier. Elle reste camper sur ses positions et cela m'exaspère. 
Elle sort des toilettes en se sechant avec une serviette. Elle sort alors de son sac un sous vêtement qu'elle porte en faisant comme si je n'étais pas là. 

Moi(sérieux) : Faut qu'on parle Farah ! 

Farah(l'air de rien) : de quoi ? 

Moi : du fait que tu ne veuilles pas que cette relation évolue, du fait que tu donnes peu de ta personne. Que tu me prennes comme un simple plan cu. 

Farah : je t'avais bien dit au tout premier jour que je ne voulais pas de relation. C'est toi qui t'en tête avec cette histoire. 

Moi (la regardant) : c'était avant de te connaître, avant qu'on se mette ensemble. Une relation est faite pour évoluer. Je ne suis plus un gamin Farah, j'ai besoin de stabilité,d'engagement. Et même si ça c'est trop, j'ai besoin ne fusse que du statut de petit copain pour commencer. Que je puisse au moins t'afficher aux yeux du monde. J'ai l'impression de donner plus que je n'en reçois. C'est à croire que tu n'en as rien à foutre de nous deux. 

Farah (soutenant mon regard) : je te l'ai dit hier Constant. Si cela devient insupportable pour toi tu peux décider d'arrêter. 

Moi (m'enervant) : mais tu ne comprends pas que je veux juste qu'on s'implique tout les deux. On ne peut pas rester comme ça ! Sortir, danser et baiser quand ça te chante. Alors qu'il y'a une grande partie de nos vies que tu refuse qu'on rencontre pour l'un et l' autre. 

Farah (se mettant sur lit) : je viens d'avoir un magnifique orgasme, j'ai besoin de dormir et ensuite d'aller faire ce que j'ai à faire. Si tu trouve que tu ne peux plus, Farel va chercher ailleurs ce que je ne peux pas te donner. Mais avant s'il te plaît dit le moi, que j'enlève mon corps. 

Moi (haussant le ton) : Tu es sérieuse de ce que tu avances ? C'est donc ça la vie pour toi ? Te faire baiser par toute la terre et ensuite Farah ? Ensuite dit moi ? Tu finira seule ? Sans mari ? Parceque tu ne voulais pas de relation ? 

Farah (haussant plus fort le ton) : Farel Constant Kambisi Obori, je ne veux pas de relation et puis quoi ? Oui je veux finir seule et puis quoi ? C'est écrit ou que je dois coûte que coûte me mettre en couple pour coucher avec quelqu'un du moment où je ne mélange pas ? C'est forcé d'officialiser les relations maintenant ? Oui on sort, on danse, on baise. C'est tout ce dont je suis capable de te donner,Voilà ! Tu prends ou tu laisse ! 

Moi (dépassé) : alors tu vas te faire baiser par tous les hommes qui croiseront ta route. Et au final tu sera une putain comme les autres. 

Farah (se levant du lit) : tu sais quoi ? Je vais me casser d'ici c'est mieux parceque sinon c'est ta grosse tête de fils de riche que je vais casser. 

Je la prends par les deux mains et la plaque avec force contre le mur. 

Moi : tu parles à qui de cette façon ? 

Farah (se débattant) : qui d'autres tu vois dans cette pièce ? 

Moi (en colère) : si tu continu Farah Odongo je te jure sur la tête de ma mère que je te casse ta petite gueule de métisse tout de suite ! 

Farah :.... 

Moi (la relâchant) : MERDE ! 

je vais ouvrir la porte qui mène au dehors et vais dans le jardin prendre un peu d'air. Putain cette femme me rend fou ! 

Puis je me suis souvenu qu'elle pourrai être en train de s'en aller alors j'ai foncé dans la chambre et évidemment elle était entrain de prendre la porte déjà habillé. 

Moi (la rattrapant) : Farah t'en va pas ! Reste ! 

Farah (énervé) : tu ne peux pas me forcer à faire ce dont je n'ai pas envie. Tu ne peux pas t'imposer à moi, j'ai horreur de ça et tu le sais alors arrête. 

Je la tire contre moi et pose mon frond contre le tien. 

Moi : je suis désolé de m'être emporter. Mes paroles ont dépassé ma pensée. 

Farah : hum 

Moi (amusé) : tu pourrai t'excuser aussi. 

Farah : je ne me reproche de rien ! 

Je l'ai alors embrassé et notre baiser à conduit aux bonnes choses. 

Je n'ai jamais rencontré de femmes aussi compliquée que celle ci. Quand tu crois l'avoir enfin cerné, elle te sort une qualité là que tu reste la bouche ouverte et tu te dis merde dans quoi je suis tombé. 


*Farah 

J'avais mis un réveil de trente minutes avant l'heure à laquelle je dois aller chercher les filles. J'ai retiré tout doucement le bras de Constant de ma taille avant de me tirer hors du lit. 

Il est tellement beau quand il dort, on ne peut pas imaginer qu'il puisse déblatérer autant de connerie Directeur de son état. 

J'ai bien cru qu'il allait m'en coller une cette fois ci. En tout cas, Farah tu as trop la grande gueule aussi. 

Je me suis nettoyé dans les toilettes avant de sortir de chez lui. C'est mieux qu'il soit endormi, avec son fils qui vient, je ne mettrai pas les pieds ici avant janvier donc le sommeil nous a sauvé d'une autre dispute. 

Quand j'arrive à l'endroit de la fête, les filles sont entrain de tellement bien s'amuser que je décide de rester assise avec quelques parents encore une heure de plus. L'on me sert du Martini que je déguste avec joie,rien qu'un verre, je penses à la sécurité de mes enfants. 

Il est dix sept heures trente quand Belle et Edna acceptent enfin de rentrer seulement après que je leur ai promis qu'on ira passé la journée de demain chez les Mpo. 

Les filles veulent encore salué leurs amies alors je décide d'aller démarrer la voiture car ses deux là, ne veulent décidément pas rentrer. 

C'est en voulant entrer dans la voiture que je tombe nez à nez avec Sara. 

Sara : je me disais bien que c'était ton dos que j'avais vu entré ici il y'a une heure ! 

Moi : les filles avaient une fête ici. bon sang tu fais quoi là ? 

Sara :  l'un de nos amis vient de rentrer d'un long voyage et Karl a organisé une petite fête pour lui souhaiter la bienvenue. 

Moi : Karl ? Marleau? 

Sara : oui quel autre Karl on connaît toute les deux? Viens je vais te présenter à mon mari comme ça ! 

Moi : ho je suis avec les filles. 

Sara (enthousiaste) : ho c'est vrai ? Enfin je vais voir les deux petites princesses ! 

Moi : attend que j'ailles les tirés de là. 

Dès que je passe mon visage dans la villa, Belle vient en courant suivi de sa petites sœur dont les pieds trop petit ne peuvent pas la conduire plus vite.

Je sors et me place toute fière devant Sara appréhendant un peu sa réaction quand elle vera Nana. La plupart des gens ont du mal à cacher la surprise. 

Moi : voici ma grande fille Belle ! 

Sara : ho qu'est ce que son nom lui va à ravir ! Bonjour jeune fille ! 

Belle : bonsoir tantine. 

-Farah ? Nom d'une pipe tu vis toujours très chère ? 

Karl qui sans doute sortait à la recherche de Sara, me tire de terre comme un papier et se met à me faire tournoyé. Avant de me déposer à terre et de me donner deux grosses bises sonores.

Moi (rire) : Karl voici Belle tu te rappelles d'elle ? 

Karl (lui faisant deux bises) : la dernière fois elle avait la taille d'une pastèque c'est pas croyable ! Sara tu m'avais caché avoir contact avec Farah ! 

Moi : je ne suis revenu qu'il y'a quelques mois, on s'est croisé par hasard Sara et moi. 

Sara : et de surcroît j'étais loin de me douter que vous étiez aussi ami. Je comptais la présenter à Sébastien ! Mais Farah ou est la petite Edna ? 

Moi(amusé) : caché quelque part. 

Belle (rire) : elle n'aime pas les étrangers ! Elle est derrière le portail. 

Moi (douce) : bébé ? Bébé Edna ? Mais ou est passé mon bébé ? Edna ? 

Edna (petite voix) : oui maman ! 

On s'échange tous un regard amusé . Voilà ce que la fille si me fait. 

Moi : vient saluer les amies de maman s'il te plaît ! 

Edna (toujours derrière) : le monchieu t'a fait mal ! 

Moi (seigneur) : non le monsieur était trop content de revoir maman. On jouait chérie. Dites lui que vous êtes gentils. 

Karl : nous sommes très gentils princesse, désolé de t'avoir fait peur. Si tu ne viens pas nous saluer, nous serons très triste. 

Moi : tu as entendu bébé ? Maintenant sors de ta cachette. 

Elle sort alors sa petite tête avant de sortir son crops en entier. On dirait vraiment un petit lutin cet enfant. 

Je vois aux visages de mes amis que la couleur de peau de la petite les choque. Karl est même devenu pâle d'un coup. 

Moi : les amis voici Edna. Dis bonjour chérie. 

Belle : dit bonjour nana. 

Edna : bonjour. 

Puis elle place sa tétine dans la bouche avant de venir s'accrocher à mon pieds. 

Sara (voulant cassé la gêne) : Elle est splendide (manquant de tact) son père est blanc ? 








 

Farah, rebelle de la...