Charles-Emmanuel DASLIVIERA

J’étais assis dans ce divan, comme un homme à qui on venait d’arracher la langue.

Comment un si petit corps peut faire tout ceci ?

 Mon Dieu allons-nous comprendre un jour le mystère de la femme ?

Le petit Charles était tellement éveillé qu’il m’était impossible de me lever et de la suivre à sa sortie de la pièce.

Je ne voulais pas attirer les regards sur moi, et surtout le petit Charles (rire).

Je décide donc de rester un moment avec mes compagnons le temps que passe mon érection.

Anderson essayait de détendre l’atmosphère car toutes les filles étaient en colère, LYAAH encore plus car elle n’avait rien loupé de ce qui m’arrivait.

20 Minutes plus tard, tout était en ordre mes idées plus clair aussi.

Je fis signe à Anderson de me suivre hors de la pièce.

LUI : Qu’à t’il mec ?

Quelque chose ne va pas ?

Tu n’as pas à aimer le spectacle ?

Moi : Arrête avec tes bêtises tu n’as pas remarque à quel point j’y étais figé.

LUI : J’aurais aimé être dans ta position car tu as reçu la cerise du gâteau. En plus j’ai l’impression qu’elle a plus dans pour toi que pour nous.

Je ne l’avais jamais vu faire ça auparavant Mec.

Moi : ok, Broo conduit moi chez le boss des lieux, il me faut cette fille pour ce soir.

Lui : Je doute que ce soit possible Mec, j’ai essayé comme toi et ma demande a été rejetée.

Moi : as-tu fait une proposition alléchante ? tout le monde à un prix surtout dans ce milieu.

Lui : Ce n’était pas seulement une question de frics.

C’était juste non. Les filles pour passer une nuit il y en a dans ce club.

Mais pour celle-ci c’est non.

Des hommes fortunés comme toi ont proposés des sommes énormes.

Mais rien, J’ai même pensé que c’était la chasse garder du manager Monsieur D ou sa fille, mais aucune de mes hypothèses n’était la bonne.

En plus, elle est comme un fantôme, même ces collègues ne savent rien d’elle à part le manager. Ils ne connaissent que sont prénoms TRISHA, qui doit être un faux.

Elle entre danse et pars.

Ces les seules informations que j’ai pu avoir d’elle.

Evite frère ce genre de fille, elle a surement des histoires pas simple, contente toi de LYAAH, je ne veux pas être celui qui donnera des explications à tes parents.

Les paroles d’Anderson, n’ont coupé l’envie de parler au manager.

Mais celui-ci apparue soudainement en face de nous.

Monsieur D : Tout va bien Messieurs ? Le spectacle était-il à votre gout ?

Avez-vous besoin de quelque chose en particulier ?

Moi : Ne vous inquiétez pas tout va bien. Et votre danseuse peut-on la voir ?

Monsieur D : Non cela est interdit dans notre règlement intérieur, ce n’est pas une fille de joie, juste une danseuse.

De plus, elle vient de partir. Elle était ici uniquement pour vous ce soir.

N’hésitez pas à nous faire appel pour tout autres besoins.

Moi : Merci (dis-je avec un air de déception).

Anderson et Moi retournions dans la pièce.

Intérieurement je me disais que ce n’était que partie remise, j’abandonne pas si facilement.

Si dans gens riche comme crésus, il mettait le prix et n’obtenais rien, ce que cette fille préserve son intégrité.

Monsieur D a dit qu’elle n’était pas une fille de joie.

Mais que fait une aussi belle créature dans un endroit pareil à valser avec le diable.

Je n’y comprends rien, mais je suis sure d’une chose si cette fille entre dans ma vie elle risque de chambouler mon univers et j’en es pas besoin actuellement.

Nous terminons nos bouteilles dans une bonne ambiance.

À peine 10 minutes nous étions chez moi, j’habite une splendide villa dans la zone de Biétry en bordure de lagune.

Bien sûr j’ai ramené LYAAH, la fille ci ne voulait pas me lâcher, que puis-je faire devant un gâteau gratuit ?

J’ai déversé sur elle toute ma frustration de cette soirée et je pense qu’elle le ressentait.

 

NB :

Merci pour vos commentaires et kiff pour un début je ne m’y attendais pas.

Je prends en compte toutes critiques sur celles concernant les fautes je tâcherais de m’améliorer afin de vous donner plaisir à me lire.

Bisous.