C’EST NOËL- Chapitre 2

Ecrit par chrochro241

*** C’EST NOËL ! ***

Chapitre 2

 

--- MARCO ---

 

De retour chez moi après mes course au supermarché, j’étais content de moi, de mon aplomb, ainsi que du trouble que je semblais avoir semé dans la tête de cette pauvre mais jolie femme en tenue de mère noël. D’autant qu’elle n’avait pas un physique de sex symbol ou bimbo. J’ai toujours eu une préférence certaine pour les femmes de forte corpulence, surtout avec un gros bodje (gros fessier) avenant, une taille fine et des hanches élargies. Cette femme correspondait à ça en plus d’avoir une forte poitrine. Je la trouvais particulièrement attirante. En bref, c’est une femme au physique intéressant comme je les aime. Et je pense qu’avec ma pseudo-blague elle s’en était bien rendu compte que je la draguais parce qu’elle me plaisait.

 

Bien que la pensée de la voir répondre à mon invitation assez incongrue m’émoustillât fortement. Cependant, je ne me faisais aucune illusion. J’imaginais assez peu cette belle nana se pointer à mon domicile le jour de Noël en tenue de mère Noël, tout ça pour moi, un inconnu qu’elle voyait souvent à son lieu de travail. Mais je croise les doigts car on ne sait jamais. Mon audace va peut-être payé.

 

 

--- NADIA ---

 

Je monte dans la voiture, 4x4 KIA, garée non loin devant le parking du supermarché. Je trouve le beau-père de mon amie. Il me sourit et me fait la bise. Il est vêtu de son costume de grand monsieur, avec veste grande ouverte et la cravate qui pend sur son chemisier habillant son gros ventre arrondi comme celui d’une femme enceinte. 


- Bonjour monsieur! Dis-je en souriant !
- Bonjour ma petite Nadia ! Ça va ?

- Oui monsieur !

-  Je t’ai déjà dit que entre nous pas de formalités…

- Je sais ! Je vous taquinais, hihihi ! Dis-je en souriant.

- J’aime mieux ça !

 

Sa main se pose sur ma jambe gauche et remonte sur ma cuisse, je le laisse faire un peu car le contact de sa main caressante est assez plaisant. Mais je l’arrête vite lorsque sa main baladeuse ose se glisser entre mes cuisses pour aller droit sur mon sexe.


- Pas touche, coquin ! Dis-je tapant sur sa main.
- Ha oui ! Mais j’y peux rien ! Tu m’excite !

- Vous êtes un grand monsieur qui peut avoir l’âge de mon père.

- L’amour n’a pas d’âge ma petite !

- Il faut vous contrôler. C’est important pour espérer avoir ce qu’on désire.

- c’est vrai mais plus je te vois, plus je perds mes moyens.

- Vous vouliez me dire quoi ? dis-je pour détourner la conversation.
- Ha oui ! Bon ! Et bien…

- Hum !

- Voila… Tous les ans, j’organise un repas de fin d’année pour mes gars de ma prestation qui travaillent sur le chantier de production du site pétrolier de TOTAL Gabon au cap-Lopez. Ils y bossent pendant les fêtes sans pouvoir leurs familles et proches pour rattraper un certain retard sur le chantier. Je vais leur organisé un repas de noël et j’ai besoin de toi pour toi pour ça

- Tu veux que je prépare pour eux.

- Il n’y a rien à préparer, sinon dresser la table et ouvrir le vin. Mais il me faut quelqu’un pour les servir et assurer le service jusqu’à la fin. Tu comprends ?

- Oui !

- Et je n’ai personne depuis pour le service. Voilà pourquoi je t’en parle.

- Hum !

- Tu serais d’accord pour ce job ? Juste de 11h à 14h
- Pourquoi pas. Si la paye est bonne ! C’est bien d’ailleurs ?

- 100 milles !

- A ce prix ce n’est pas bien compliqué.

- Tu acceptes ?

- Dit moi c’est pour quand d’abord ?

- Le 31 !

- Ok ! J’accepte ! Mais tu me payes d’avance !

- D’accord ! Je ne pourrais pas être là, mais j’irai te déposé sur le site puis je reviendrai te prendre.

- Ça marche !

- Tu verras, c’est sympa. Mais si tu te prends une main au cul, ne t’offusque pas trop. Tu m’en parles.
- Ça, il n’y a pas de risque ! Hihihi ! Dis-je en souriant.

Il m’explique en détail la façon dont se passait le repas les deux autres années... Le traiteur déposait les plats, ainsi que les boissons, dans la cuisine du réfectoire à 11h. La table devait être dressée dans la salle à manger du réfectoire pour 11h30. Les gars arrivaient vers midi, et là, je commencerais à leurs servir à boire. Puis, tout s’enchaine. Normalement.

 

- D’accord ! C’est tout ! Dit-il pour finir !

- Ok ! On m’appelle le 30 pour rappel et o se voir le 31.

- D’accord ! 

- Bon… Je vais y aller.

- Je te dépose !

- Non, merci ! J’ai un programme avec une amie qui arrive bientôt. Dis-je en mentant.

- Ah d’accord ! Tiens voilà pour le taxi.

 

Il me tend un billet de 10000F que je prends tranquillement. Je lui remercie et descends de sa KIA en lui faisant signe qu’on s’appelle plus tard. Je m’éloigne en marchant vers l’arrière de sa voiture démarre lentement et s’en va. Je n’étais pas presser de rentrer chez moi alors je décide de marcher un peu pur prendre l’air en cette fin de journée.

 

Je marchais calmement sans voir personne sur le trottoir, le long d’un parc public. J'avais déjà parcouru la moitié de la route lorsque j'arrivais à la terrasse d'un petit café dit « Petit KAWA », où j’aperçue trois mecs qui buvaient chacun une bière. Je n'avais pas eu le temps de changer de trottoir et passais donc à quelques pas d'eux en leur jetant un petit coup d’œil juste comme ça. Je croisais le regard de l'un d'eux qui me regarda des pieds à la tête et qui donna un petit coup de pied à son voisin d'en face. Ce dernier se retourne de suite et les trois me regardent passer devant eux.

 

Evidemment ils ne tardèrent pas à faire entre eux des commentaires sur moi et certainement à se balancer des banalités et des remarques un peu lourdes à mon sujet. Je ne l’ai entendais et ne m'arrêtais pas. Je continuais ma route comme si de rien était, mais je sentais bien leur regard sur mes jambes et mes fesses moulé par mon pantalon jogging, près du corps. C’était troublant de sentir leur regards sur moi.


J'avais parcouru une trentaine de mètres plus loin lorsque je sentis une présence dans mon dos. Je tournais la tête machinalement pour regarder derrière moi, je vis l'un des trois gaillards du Bar qui me suivais avec son téléphone portable à la main entrain, semble-t-il, de me filmer dans mon dos. Je traverse la chaussée déserte pour aller sur l’autre trottoir où je marche. Je remarque que le gars me suit toujours. Il ne s'arrêtait pas pour autant et continuait de me filmer, pointant son téléphone vers mon derrière Je m'arrêtais, outrée, et lui fais face en le regardant directement.

- Et vous dis donc… ! Dis-je en l’interpellant.

- Euh moi ? dit-il, prit de court.

- Oui, vous ! Vous osez me filme à mon insu.

.- Je voulais pas vous déranger.

- Vous le faites et troubler ma tranquillité. Vous m’embêtez, de surcroit. Dis-je en le toisant.

- Oh ! Désolé ! dit-il l’air désolé.

- Pff ! Dis-je en le toisant.

- Excusez-moi Madame... je ne sais même pas ce qui m’a pris.
Il avait cette façon de parler, celle d'un malpoli qui tente d'être poli. Ce que je déteste !

- C’est ça ! Dis-je ne le dévisageant.

- Vraiment je vous jure ! C'est pas souvent que je vois une femme aussi belle.

- Hum ! Fis-je en le regardant avec un œil ouvert.

 

Je le regarde avec un air sceptique. Je fixe et le regarde bien en face, c’est cet instant que nos regards bien. Je ne peux m’empêcher de le regarder dans les yeux, je suis surprise par leur couleur marron clair assez inhabituelle mais fort belle, à ce que je vois à la lumière.

 

- J’ai pas pu résister en vous voyant passer... Z’êtes tellement jolie. Dit-il avec émotion.
- Et c'est pas en vous comportant comme un pervers que vous allez en attirer d'autres ! Tchuips !

Je tournais les talons et partais direct pour le laisser planter là.

- Eh Madame, le prenez pas mal ! dit-il en parlant fort dans mon dos.

- Tchuips !

- Laissez-moi-vous offrir un petit verre pour m'excuser !
- Ah ça ! Dis-je en m’arrêtant pour bien le regarder, genre « il est sérieux ? ».

- S’il vous plait !

- Non merci ! Bonne journée ! Dis-je avec désinvolture

Mais le gars ne renonce pas et arrive vite à ma hauteur.

- Je m'excuse Madame !

- Hum !

- Pardon mais vous êtes trop belle et j'ai un peu disjoncté en vous voyant...

 

Je n’ai pas pu m’empêcher de sourire un peu quand je l’ai entendu dire qu’il avait un peu disjoncté en me voyant. Quel humour !


- Lol ! C'est gentil ! Mais il faut être moins louche et plus respectueux avec les dames.
- Ok ! D’ailleurs je vais effacer toute la vidéo...

- Hum ! Quelle vidéo ? Dis-je en levant un sourcil.

- Regardez !

Il me tendait son téléphone où je voyais les quelques images qu'il avait filmé et où on voyait très nettement mes hanches se balancer doucement ainsi que mes fesses moulées se rouler et bouger doucement quand je marchais. On aurait dit que j’allumais avec mon bodje et je ne faisais que marcher seulement. Il est terrible ce mec ! Il clique sur l’icône poubelle pour supprimer la vidéo et me montre bien que les photos qu’il avait prises de moi et de mon bodje étaient effacées.

- Vous voyez... il y a plus rien de vous !

 

Je ne peux qu’hocher la tête pour affirmer.

 

- Allez, faites-moi plaisir ! Acceptez que je vous offre un verre pour m’excuser et on oublie tout ça !

En même temps, je crevais de soif et avais chaud en marchant après avoir marché jusqu’ici. C’est un peu du sport, et ce n’est pas mon fort ! Une boisson fraîche ne me ferait pas de mal. 

- Bon puisque vous insistez… Ok ! Lui dis-je !

- Super !

- Mais pas dans le bar où vous étiez avec vos amis.
- Pas de problème Madame ! Je connais un coin un peu loin mais à côté.

- Où ça ?

- La place du Cinquantenaire.

- Ah je vois !

- ça vous va ?

- Oui, très bien !

On fait une centaine de mètres en marchant en silence et on arrive au lieu, alors qu’il commençait a faire un peu nuit. C’est un parc public avec un Bar-pizza. C’était quasi désert, si ce n'est la présence d’un homme qui tient le bar. Le cadre est bien mais la conso coute chère ici. On y pénètre et vient devant le bar.


- Qu'est-ce que je vous sers ? demanda le mec derrière son comptoir.
- Un Coca servit dans un verre avec des glaçons. S'il vous plait ! Dis-je !
- Moi aussi ! répond le jeune homme à côté de moi qui m’invita à boire.

On s'assit dans un coin de la salle et je suis bien ravie de m’asseoir car je sens que j’ai trop marché avec mes 82 kg. Le barman nous servit juste après. Je bois mon coca avec beaucoup de joie. Ça fait vraiment du bien !

- Je me suis pas présenté, je m'appelle Arnaud...
- Enchanté, moi c'est Nadia. Dis-je serrant sa main.
- C'est la première fois que je vous croise dans le coin, vous n'êtes pas d'ici. Dit-il !
- Oui ! En effet... j ne faisais une passer !

Je le voyais me dévorer des yeux tandis que je portais mon verre à ma bouche et trempais les lèvres dans ma boisson gazeuse bien glacée que je bois en une longue gorgée pour me rafraichir. J’ai trop soif pour faire la white – fille blanche - en sirotant seulement par une petite gorgée.

- vous êtes vraiment très jolie ! me dit-il !

Je lui souris pour simple réponse en posant mon verre à moitié plein. Le gars me ressert du coca  pour remplir mon verre.

- Merci ! Dis-je en évitant son regard qui commence à me troubler.

- j'vous jure, c'est pas du baratin, je le pense vraiment... z’ètes tellement belle !
- c'est gentil ! Dis-je en rougissant.

Je prends mon verre et bois doucement, je finis mon verre en quelques gorgée tellement ça fait du bien de boire du Coca comme c’était l’eau glacé. Je posais mon alors que le tien est à moitié plein. Je ne peux rester car la façon avec laquelle cet Arnaud me dévore des yeux est troublante et gênante. Je n’arrive pas à le regarder en face, en plus avec ses beaux yeux-là je l’appellerais « baby (bébé) » si c’était mon copain. D’habitude je ne suis pas du genre à être autant troublée par les hommes, mais ce mec aux beaux yeux me déshabille avec son regard de braise. Il faut que je parte, je ne suis mal à l’aise.

- Je vais y aller ! Dis-je en m’efforçant de le regarder.

- Oh ! Déjà ? dit-il spontanément et très surpris.

- Oui ! Merci beaucoup pour ce verre.
- Non... restez encore un peu !

- Non merci ! Je dois rentrer car je sors du boulot et suis crevée.

- Steuplait, Nad ! Reste encore un peu avec moi… juste 15 minutes

 

Hum ! Il est passé du vouvoiement au tutoiement. De surcroit, il m’appelle par un petit nom inspiré de mon prénom. Il ne dort pas, il a l’air chaud (motivé).

 

- Pourquoi tu insistes pour que je reste ? On ne se connait pas !

- Justement j’aimerais te connaitre un peu.

- Moi je ne veux pas te connaitre ! Dis-je en lui lançant un pique.

- Mais je veux connaitre !

- On ne dirait pas !

- Si ! Si ! Je t’assure, Nad !

- Si tu voulais vraiment me connaitre tu m’aurais abordé  au passage, au lieu de me suivre en douce pour filmer à mon insu.

- Désolé pour mon manque de tact ! Mais quand je t’ai vu passer je n’ai pas pu m’empêcher de laisser des potes pour te suivre… je t’ai filmé parce que tu es sublime. Ton être me fascine.

- Ah ! M’exclamais-je, quelque peu flattée.

- Je t’assure ! C’est pas des conneries à deux balles !

- Ok ! Dis-je sans conviction.

- Je crois même que… que je suis naze (tombé amoureux) de toi.

- Hééé ! C’est arrivé là-bas !? Dis-je agréablement surprise.

- Oui oh ! Cet même plus loin !

- Lol !

- Ne rit pas ! Je suis sérieux !

- Ah ça ! Dis-je en riant et secouant la tête.

- J’aime quand tu souris et ris comme ça. Ça te rend si belle ! Dit-il sur un ton trop sérieux.

Je rougis et baisse juste les yeux sans rien répondre. Je fixe mon verre que j’ai vidé. Je vois la main d’Arnaud saisir ma bouteille de coca pour servir le reste de la bouteille.

 

- Je n’ai pas dit que je voulais encore boire. En plus je dois partir. Dis-je sur la défensive.

- Finis ton verre ! Puis tu peux partir ! Je ne vais te retenir !

- Ah bon ? Donc si je ne finis pas ça tu comptes me retenir ici. Tu plaisantes, j’espère !

- Non !

- Lol ! C’est pas forcé !

- Mais c’est obligé !

- Ah oui ?

- Ah oui hein ! Quand on boit on doit finir toujours son verre. C’est la loi de la conso !

- C’est toi qui m’as resservi !

- C’était pour la bonne cause !

- Quelle cause ?

- Ton bien !

- Hum ! Fis-je, en souriant et secouant la tête doucement.

- Vas-y ! Fini ton verre… C’est difficile pour une grande fille comme ça.

- - Hum ! Fis-je, en souriant et secouant la tête doucement.

- Allez, Nad ! Finis ! Et va quitter d’ici !

 

Je n’ai pas envie de boire, je sens même déjà que je dois aller au petit coin pour uriner. Devant son regard plein de défi, je prends le verre et le bois d’un trait pour le vider puis je le dépose sur la table en poussant un soupir de satisfaction.

 

- Ah, voilà ! Ce n’était pas difficile ! dit-il en souriant.

- Je vais aux toilettes et je file. Dis-je rapidement.

 

Je me lève et me dirige vers les toilettes situés un peu à l’écart. J’entre et me trouve dans une pièce avec un espace exigu contenant un lavabo et une cabine WC. L’état des lieux assez propre pour que je puisse me permettre de me soulager. Je m’enferme dans cette dernière et prends du papier toilette rose que je trouve sur place pour en poser le long de la cuvette du WC. C’est sal mais je prends mes précautions avant de poser mes fesses nues dessus. Je baisse jusqu’aux genoux mon pantalon jogging en même que mon string puis je m’assois, cuisses grande ouvertes, pour commencer à me soulager.

 

J’ouvre les vannes et expulse mon urine en poussant long soupire d’aise tellement c’est si bon de vider ma vessie. Je ferme les yeux et me laisse aller au plaisir d’uriner.

 

 

A  SUIVRE !

C’est NOËL !