C’EST NOËL - Chapitre 3
Ecrit par chrochro241
*** C’EST
NOËL ! ***
Chapitre 3
--- NADIA
---
Je finis
d’uriner et use du papier toilette pour m’essuyer la quequette où perle des
gouttes de ma pisse. Je jette dans le WC tous le papier toilette que je t’ai
posé sur la cuvette du WC avant de tirer la chasse-d’eau. Je remets mon
pantalon et sors pour aller me rincer rapidement les mains au lavabo. Je finis
par mouiller un peu mon T-shirt au niveau de la poitrine. Zut ! Tout ça à
force de faire les choses à la va vite. Tchuips ! J’étais même pressé pour
quoi ?
J’aurais dû faire
plus attention pour ne pas me mouiller. Bon, c’est rien de bien grave !
Juste une petite tache d’humidité un peu trop visible sur mon T-shirt. Je ne
peux pas sortir comme ça. Je suis contrainte de rester ici un peu plus de temps
en attendant que la tache sèche et devienne moins visible sur mon T-shirt.
Je secoue
mes mains et tire le la bas d mon T-shirt pour le secouer, histoire de faire de
l’air qui puisse faire sécher la tâche d’eau. A force de tirer chaque fois un
peu plus le bas de mon T-shirt pour le secouer, la forme bien apparente de ma
grosse poitrine se dessine sur le tissu du T-shirt. Je sens mes mamelons être
pressé dans le mouvement de mon T-shirt et l’un d’eux déborde un peu de son
bonnet du petit soutien remonte sein que j’ai enfilé. Ce n’est pas facile d’avoir
une grosse poitrine et la gérer. Car il y a des moments comme en ce moment-là
où il faut rajuster les seins dans le petit soutien quand celui-ci a des
bonnets qui ne peuvent contenir pleinement les gros lolos. Il va vraiment
falloir que je rajuste mon petit soutien là sinon ce ne sera pas confortable de
porter ce petit soutien avec mes gros seins pas bien logés dedans.
Comme j’ai
un T-shirt fermé sur la poitrine jusqu’au cou, je ne peux rajuster mon seins
sans soulever le T-shirt. Et puis je
suis incapable de faire ça correctement sans voir mes seins et donc ce que je
fais pour être précise.
J’hésite un instant
à soulever mon T-shirt car franchement l’endroit n’est pas trop approprié. Quelqu’un
peu entré ici comme dans sa chambre. Mais je dois profiter d’être seule ne ce
moment pour le faire. Je regarde deux secondes vers la porte d’entrée du
toilette avant de retrousser vite faite mon T-shirt d’une part sous mes
aisselles et d’autre part je remonte le bas du T-shirt pour exposer mes seins
dans le petit soutien qui les soupèsent et les remontent afin qu’ils ne soient
affaissés par leur poids.
J’essaye de
les reloger dans les bonnets mais sans succès à cause de la pression des
bonnets sur les seins. Je ne vois qu’une seule solution, je glisse donc les
mains dans mon dos et dégrafe le soutien qui libère sa pression sur mes
nibards. A partir de là j’arrive à reloger chacun de mes gros lolos dans les
bonnets « C » du soutien-gorge que je ferme dans mon dos. Je baisse mon
T-shirt et met de l’ordre dessus.
Je regarde
dans la glace au-dessus du lavado pour voir comment est ma poitrine à travers
le T-shirt. Je tourne le buste pour voir la poitrine sur les côtés. Je ressens
le besoin d’ajuster un peu le soutien, je remonte donc le T-shirt et dévoile à
nouveau mes charmes. Je regarde mes gros attributs mammaires dans la glace.
J’insère mon pouce gauche entre les bonnets, juste au milieu du creux des mamelons, et tire un coup
vers le bas, vers mon ventre. Ainsi, je diminue sensiblement la pression des
bonnets qui pressent un peu trop mes nibards. Je pose ma main libre sur le sein
gauche que je pétris légèrement avant de le malaxer doucement à travers le
bonnet du soutien-gorge qui l’enveloppe au trois-quarts. Je me surprends à
apprécier cette situation d’exhibition involontaire. Cela m’émoustille quelque
peu.
Je regarde
dans la glace mon reflet. Hum, je trouve que j’ai vraiment des gros nibards
bien emprisonnés dans le soutien-gorge. On dirait des « gros
airbags » façon mes seins sont volumineux. Ils sont graisseux aussi en
plus d’être moelleux. Je les adore !
Je prends
une pose en m’adossant de coté sur le mur à ma droite, et sors ma langue de ma
bouche pour m’afficher un air provoquant, tout en tirant fort entre mes bonnets
avec mon pouce gauche. Dans le même temps je passe ma main libre sur ma fesse
gauche que je caresse au passage et la remonte sous mes seins pour insérer mon
pouce droit à côté du pouce gauche sous le creux de mes gros nichons. Je me
sers de mes pouces pour tirer davantage le soutien vers mon ventre et me penche
en avant pour comment le relâcher de la pression des bonnets sur mes seins
permet d’exposer un peu mes gros mamelles qui s’affaissent un peu et pendent
lourdement. J’ondule les hanches en me penchant un peu plus tout en exposant
mes charmes. Je redresse et avale ma langue pour faire une bouche en cœur.
Puis
satisfaite de mon petit show sexy, je cesse de tirer entre les bonnets et
rabaisse mon T-shirt pour cacher la marchandise. Je mets de l’ordre sur mon
T-shirt et me tourne vers la porte pour sortir. Je fais deux pas vers la sortie
et la porte s’ouvre soudain sur Arnaud qui entre. Je me retrouvais face à lui, soudain
coincée dans cet espace exigu. Pas étonnant qu’il entre ici car les
toilettes est mixte.
Je lui lance
un regard interrogateur. Il sort soudain de sa torpeur et passe la main sur sa
nuque.
- Euh… Ça faisait
un bon moment que vous êtes ici ! Dit-il, en grattant sa nuque.
- …
- Donc je
suis voir si vous n’avez pas eu un problème.
- C’est
gentil ! Dis-je, e m’efforçant de le regarder malgré mon trouble
- Tout va
bien ?
- Oui, tout
à fait ! Dis-je, e m’efforçant de le regarder malgré mon trouble
- Ok !
On se
regarde en face et personne par là pendant deux secondes. Je le regarde dans
les yeux et m’égare dans leur beau hors du commun. Je ressaisis et détourne mon
regard du sien.
- Y a quoi ?
dis-je un peu intimidée.
-
Rien ! dit-il en soutenant son regard.
Vu comment
il me regardait, je décidais de soutenir aussi mon regard et le narguer un peu
pour ne lui donner l’impression qu’il ne m’intimide pas et que je suis timide
ou une fille coincée. Il me regarde avec un large sourire.
- Tu me fais
craquer Nadia...
- Ah
oui ?
- Je
t’assure ! dit-il en se pinçant les lèvres.
- T'es trop
bonne !! dit-il en souriant !
En me disant cela, il avait posé sa main sous la ceinture de son pantalon,
entre le pouce dans la poche avant et laisse les autres doigts dehors sur sa sa
cuisse. J’ai suivis son geste du regard avant de remarquer un détail sur son
entrejambe : il y avait une bosse volumineuse.
- Hum !
M’exclamais-je surprise par cette bosse.
Je devinais
que c’est son sexe… mais je ne savais pas s’il bande ou pas. Mais il n’est pas
la question sinon ce serait déplacé. La situation était un brin stressant mais
en même temps, moi qui aime les imprévus, je la trouvais plutôt excitant. Mais
c’est franchement troublant. Je ne sais pas trop comment gérer là.
- Bon bein… C'est
très gentil si d’être venu voir si tout allait bien pour moi. Maintenant tu me
laisses passer... s’il te plait !
- …
Il ne bouge
pas et reste sur mon passage, le dos face à la porte de sortie.
- Pardon, il faut que je sorte. Finis-je par dire en détournant mes yeux des
siens
Pas de
réaction de sa part. Il ne regarde seulement. Je commence à perdre patience et
mon sang froid.
- Bon ok... qu'est ce que tu veux ? Dis-je machinalement.
- ...
- Ah je
vois… tu veux qu'on fasse un coup rapide ? Dis-je machinalement.
-
Hein ? S’exclame-t-il, sans comprendre.
- Tu veux
qu’on baise ici dans les toilettes, Dis-je en le regardant en face.
-
Euh… ! S’exclame le gars, ahuri.
- N’est-ce pas ? Ou je me trompe ? Dis-je en le regardant en face.
- …
Il devient d'un coup très surpris et moins sûr de lui. Apparemment je l’ai
vraiment prise de court. Il semble qu’il ne s’y attendait à cette réaction très
directe de ma part. Il croyait peut-être être maitre de la situation. C’est mal
me connaitre ! J’ai vécu pas de situations insolites ou imprévues et
incongrues avec des mecs. Donas tous les cas, les mecs voulait me piner ou
juste jouer avec moi aux jeux du pipi. Donc là, face à Arnaud, je pense avoir compris
ses intentions, ou du moins je déduis pourquoi il veut me retenir ici. Je ne
suis pas dupe ! Je connais les hommes ! Tous les mêmes, tous
pareils !
Je ne lui
laissais pas en placer une, et continuais sur ma lancée de ma déduction selon
mon brin d’intuition féminine.
- Tu t'es dit… Elle me plait, je vais la draguer et je la sauter dans la
foulée.
- …
- Hein non ?
- …
Il avait baissé les yeux, réaction typique d’un mec peu sûr de lui et
embarrassé quand il voit que la fille à vite deviner qu’il veut la sauter. Il
n'a plus du tout la même assurance qu’au départ. Je sens que c’est un
amateur parce que sinon il m’aurait regardé dans les yeux pour m’avouer qu’il
veut me sauter. Et j’aurais pris peur ! Mais finalement j’ai affaire un
petit joueur. Là je suis sereine et sur de moi.
- Bon… c'est d'accord ! Mais on fait vite ! Dis-je comme ça.
Il relève d'un coup la tête, les yeux grands ouverts, surpris par ce que je
venais de dire.
- Hein… Faire quoi ?
- Ce que tu
veux ! Me sauter, quoi !
- Hein ? C’est
vrai...?? Tu veux qu’on baise là !!
- bah t'es venu me suivre jusque-là pour ça non ?
- Euh…
- Je ne te
plais plus ?
- si, si mais...
- Mais quoi encore ? Le coupai-je !
- …
Il devient tout timide et ne sait plus trop faire. Il a la chance que je trouve
plutôt mignon avec ses beaux yeux, sinon j’allais le laisser là. J’ai toujours
eu un faible pour les mecs mignon, c’est un plaisir de taper ce genre mec, ou
de flirter avec eux. C’est truc cool qui ne s’oublie pas d’aussitôt. Ça reste
un excellent souvenir et la preuve qu’on a eu affaire un prince charmant.
Devant l’air
timide de cher Arnaud, Il décide de prendre les devants… Je viens devant lui et
pose ma main sur sa poitrine avant de l’embrasser doucement. Je mets fin à
notre baiser et le regarde dans les yeux. Il me fixe et ne semble pas croire à
ses yeux. Je descends ma main de sa poitrine, en la glissant sur lui, jusqu’à
son entrejambe. Je suis curieuse de voir son bijou de famille. Je m'agenouillais devant lui et commence à
ouvrir la ceinture de son pantalon. Il a un léger mouvement de recul.
Je le
regarde d’en bas dans les yeux et lui sourit. Je le tire doucement vers moi par
la ceinture. Il se laisse faire et avance vers moi. Je me retrouve avec son
entrejambe à hauteur de mon visage. Je m’attaque immédiatement à la fermeture
éclair de son pantalon que je fais glisser ensuite sur ses cuisses. Il ne
bougeait pas ! Lui qui croyait avoir la situation en main, il est comme tétanisé
par ce qu'il se passait. Je glissais ma main à l'intérieur de son boxer et
touche le point d’origine une bosse prometteuse. J’extirpais tant bien que mal
du boxer un sexe imposant et d'une grosseur étonnante !!
Je sors son pipi mou et le regarde dans les yeux puis le branle doucement. Je ne
tarde pas le sentir durcir dans ma main. Ma foi ! Malgré sa passivité, il
bande bien.
Je l'enfourne dans ma bouche, d’abord le gland puis progressivement toute la
tige que je peine un peu à contenir vu sa grosseur qui me faire décrocher la
mâchoire pour ne pas qu’il sente mes dents. Je me mets à le sucer avec
précaution, application et délectation, palpant au passage des bourses velues.
- Hummm c'est trop bon... hummm tu suces bien... hummm continues... hummm elle
est trop bonne ta bouche... hummm
Je l'entends marmonner des mots qui finissent de m'exciter. Je sens qu’il le
goût, ce veinard ! Et moi, aussi, d’ailleurs ! Je fais aller et venir
ce gros sexe entre mes lèvres bien ouvertes, faisant tournoyer ma langue autour
du gland volumineux. En quelques secondes de pompage à volonté et bien
appliqué, je le sens sa bite tressaillir dans ma bouche, je devine qu’il est au
bord de l'explosion. Je me retire et me relevais alors. Il me prend par les
hanches et m’embrasse. Il embrasse bien mais je mets fin à notre baiser. Je ne
suis pas très emballée par l’idée de flirter ou d’échanger un baiser langoureux
avec un parfait inconnu. Ses yeux descendent sur ma poitrine et fixent sur mes
seins. Il glisse ses mains sous mon T-shirt et le soulève de bas en haut pour
le remonter le plus haut possible pour dévoiler mes attributs mammaires… Il fait
jaillir ma poitrine opulente compressée dans un petit soutien-gorge et me la
malaxe sans ménagement, à travers les bonnets du soutien. Il colle son visage
dessus et plonge son nez dans le creux de mes nibards puis renifle profondément
à l’intérieur. Ses mains sont descendent, caressant mon dos nu et mes reins
avant d’arriver sur mes fesses qu'il empoigne fermement. Se servant de ses
mains sur mon bodje, Il appuie fermement sur ma croupe et et me force à me
coller étroitement contre lui, me faisant sentir sa virilité et son sexe chaud sur
mon ventre dénudé. La sensation de sa vigueur et la chaleur qui émane de
son gros pipi est merveilleuse.
Sentir son pipi bien raide contre mon ventre, me donne une folle envie de le
sentir dans mon ventre. Je me dégage de lui et baisse mon pantalon à mi
cuisses, en lui souriant. Je prends sa main droite et la pose sur mon bas
ventre puis la glisse doucement vers mon entrejambe habillé par le peu de tissu
de mon minuscule string. Je me sers de sa main pour me caresser la moule
par-dessus mon string. Il ne tarde pas à me masser lui-même ma fente avec
vigueur, douceur et lenteur.
Le contact
de sa main sur mon entrejambe est assez plaisant. Je le regarde bouger la main
entre mes cuisses. Ce geste de main adoucit mon âme et embrase mon bas ventre. Mon
corps tremblote et est comme parcouru de chocs électriques et je me tords sur
place en résistant à cette douce torture pour mes nerfs et qui éveille mes sens
et réveille aussi mes désirs, même les plus fous. Je ferme les yeux et les
serre très fort, sous l’émotion et la montée de mon excitation. Je m’abandonne et
me laisse aller, j’oublie tout. Je laisse échapper un soupir d’aise alors
qu’une douce chaleur nait dans mon ventre. J’ondule doucement le bassin suivant
les mouvements de la main massant mon sexe avec avidité.
Le massage de mon entrejambe continue mais un peu trop longtemps à mon gout. Pourtant
une partie de moi jubile parce qu’il le fait très bien à travers à cette fine barrière
de tissu cachant mal mon sexe. Une autre partie de moi jubile à la perspective
qu’il me mette bien profond ses doigts ou son gros pipi. Je sens que je mouille
mon string. Je désire passer aux choses sérieuses et ne veut rien d’autre que
ça.
Je serre fort
les cuisses pour bloquer sa main. J’ouvre grandement les yeux que j’avais
refermés sous la pression du plaisir. Sourire aux lèvres, et les yeux dans les
yeux, je lui demande d’une voix doucereuse s'il a un préservatif. Je vois son
visage blêmir, je compris très vite qu’il n'en avait pas. Et moi non
plus ! Oh non ! C’est pas vrai ! Non, il blague mal là !
Je suis
profondément déçue quand je réalise qu’il est sérieux. Toute mon excitation
s’envole d’un coup de vent. Mon cœur commence à chauffer comme chaque fois que
je me m’énerve sérieusement. Je le repousse gentiment malgré mon envie de le repousser
violemment, tellement j’ai une de ces rages. Je remonte mon pantalon jogging et
pose une main sur la hanche en regardant bien ce mec. Non, mais c’est un
connard ! Je fusille du regard et lui dit sur un ton calme mais très
ferme...
- Je n’arrive pas à croire que t’as pas de capote sur toi. Dis-je, la mine
renfrognée.
- …
- En fait ce
n’est pas croyable pour un mec qui court derrière une femme qu’il veut aussitôt
sauter. Dis-je déçue !
- Désolé…
- Non, mais
tu ne pouvais me prévenir depuis le début en me disant que tu n’as de
capote ?
- …
- Tchuiiiips !
Fis-je en le toisant bien.
Je suis
vraiment fâchée contre lui et l’en veux pour son manque de professionnalisme
sexuel. Franchement il n’est pas sérieux ce mec ! Quand je pense combien
j’étais excitée, dégoulinante et chaude pour baiser tout de suite comme pas
possible. Mais le gars n’a même pas de capote sur lui et il ne dit rien sur ça
alors que je lui ai bien fait comprendre que j’acceptais qu’on s’envoie en
l’air ici. Tchuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiips ! Badecon de son bangala !
A SUIVRE !