C’EST NOËL - Chapitre 5
Ecrit par chrochro241
*** C’EST
NOËL ! ***
Chapitre 5
--- MARCO
---
De retour
chez moi après mes course au supermarché, j’étais content de moi, de mon
aplomb, ainsi que du trouble que je semblais avoir semé dans la tête de cette
pauvre mais jolie femme en tenue de mère noël. D’autant qu’elle n’avait pas un
physique de sex symbol ou bimbo. J’ai toujours eu une préférence certaine pour
les femmes de forte corpulence, surtout avec un gros bodje (gros fessier)
avenant, une taille fine et des hanches élargies. Cette femme correspondait à
ça en plus d’avoir une forte poitrine. Je la trouvais particulièrement
attirante. En bref, c’est une femme au physique intéressant comme je les aime. Et
je pense qu’avec ma pseudo-blague elle s’en était bien rendu compte que je la
draguais parce qu’elle me plaisait.
Bien que la
pensée de la voir répondre à mon invitation assez incongrue m’émoustillât
fortement. Cependant, je ne me faisais aucune illusion. J’imaginais assez peu
cette belle nana se pointer à mon domicile le jour de Noël en tenue de mère
Noël, tout ça pour moi, un inconnu qu’elle voyait souvent faire les course à
son lieu de travail. Je ne pus m’empêcher de fantasmer sur elle avant d’occuper
mon esprit avec d’autres pensées plus saines et ma calmer mon érection.
--- NADIA
---
Nous sommes aujourd’hui
le 25 décembre. En plus c’est un vendredi. C’est cool car je ne travaille
au supermarché que de 9h à 13h. La matinée se déroule normalement. Etonnamment,
aujourd’hui j’ai vu beaucoup de gens venus faire leurs courses. Sourire, je ne
fais que ça en permanence en regardant les clients qui défilent et posent un
regard sur moi.
A 13h, il y
a encore des clients retardataires. Je quitte mon comptoir de Consignes quand
on a bloqué l’ouverture automatique de la porte d’entrée du supermarché et
baissé le grillage de sécurité.
Je vais vers
la sortie du supermarché et me tient debout à coté d’une des caisses encore en
service où une amie de travail. Je la regarde enregistrer le prix des produits
achetés, faire le calcul sur la machine puis prendre l’argent et rendre la
monnaie. Je me fais un draguer par l’un des deux vigiles qui me complimente sur
ma tenue et me parle un peu en me faisant rire. Je souris simplement en évitant
son regard que je sens ensuite sur moi quand je me tiens debout en lui tournant
le dos pour regarder ma collègue qui travaille à sa caisse. Je sais que je sais
particulièrement attirante aujourd’hui avec jupe noire moulante qui dessine la
forme de ma croupe et moule à merveille mes rondeurs que j’exhibe l’air de rien
pour faire plaisir à la gente masculine, juste pour leurs yeux et les faire
baver. Quand on a des formes généreuses, notamment le bodje ou le popotin, il faut les mettre en valeur
plutôt que les cacher.
Peu après je
vais aux vestiaires du personnel en compagnie de ma collègue caissière. Nous prenons
nos affaires. Je suis bien ravie d’ôter le survêtement rouge de mère noël que
je portais depuis le matin et qui me faisait un coup de chaud. Je n’aime pas
avoir trop de vêtement sur moi, c’est synonyme de chaleur et de transpiration,
deux choses que je n’aime pas franchement. D’ailleurs chez moi je reste à
moitié nue, mais enfermée à l’abri des regards car les voisins sont trop
curieux.
En ôtant le
survêtement de mère noël, je me sens tout de suite plus à l’aise vêtue de mon
haut gris foncé démembré et près du corps, mettant en relief ma poitrine
opulente dont les seins énormes sont bien mis en évidence par un décolleté
plongeon orné de lacets. J’aime mettre des décollette pour exhiber mes seins
que j’adore monter discrètement pour le plaisir de sentir les nombreux regards
que j’attire sur moi. Ça me fait me sentir belle et c’est important pour mon
moral.
Je fourre le
survêtement rouge de mère noël dans mon gros sac fourre-tout que j’accroche à
mon épaule. Ma collègue et moi sortons ensemble en papotant de tout et de rien.
On se sépare bien vite au portail car nous prenons le même chemin pour rentrer.
C’est bien dommage car j’aime beaucoup papoter avec elle. D’ailleurs lui
racontait un peu comme je me suis fait sauter l’autre jour dans les toilettes
publiques par un certain Arnaud. J’ai omis quelques détails et lui raconter la
meilleure partie. Je lui raconte ça pour kongosser sur les choses du pipi et
elle aime ça, je veux dire le kongossa et le gout du pipi ou plutôt du
« zorbam » comme elle aime le dire.
- Bon, à
demain ! Rentre bien ! Lui dis-je en souriant !
-
Merci ! Rentre bien aussi ! J’espère que en chemin tu vas encore croiser
quelqu’un qui va te « kèn (baisé) » comme un bonobo et te faire crier
comme une petite chienne.
-
Tchuiiips ! Ton bodje (cul) ! Dis-je sèchement en la toisant.
-
Tchuiiips toi-même ! Tu insulte qui ?
- Ah
mouf ! Dis-je en la dévisageant.
- Mouf
toi-même et au carré dans tes fesses on dirait le cul du chien.
- Loool !
Les fesses on dirait le cul du chien… tu connais cette vielle injure d’avant. dis-je
en souriant !
- Oui !
Et bien d’autres ! Exemple : le Boeing 747 d’Air Gabon est rentré
dans ton cul sant oucher les deux bords.
- Kiakiakiakia
(fou rires) ! T’es folle dans ton petit cul là ! dis-je en
souriant !
- Petit cul
là qui fait fantasmer tous les hommes.
- N’importe
quoi ! dis-je en souriant !
- Tu doutes
hein ! Présente-moi ton Arnaud là, je vais tourner porno avec lui devant
toi. Tu sauras que moi Lily Rose j’assure.
-
Krkrkrkrkrkr (rires) ! Pardon laisse le !
- Sérieux
hein j’ai envie de gouter à son zorbam façon il fait bien les choses sauvages des
grands. Comme tu dis que tu ne veux plus de ça, moi je veux oooh j’ai besoin d’un
bon pipi pour bien me cogner dans ma cabessa.
- Va là-bas,
espèce de bordelle ! dis-je en souriant !
- Bordelle
que tu kiffes grave comme la star de tes rêves !
-
Krkrkrkrkrkr (rires) ! A demain !
- Ok ma cop’ !
Rente bien hein ! Surtout bonne baise à l’avenue du plaisir oh!
-
Krkrkrkrkrkr (rires) !
Je la laisse
et tourne les talons. Je marche jusque devant l’hôpital générale où j’attends
l’arrivé d’un taxi. J’attends et ne trouve pas un taxi pourtant j’en stoppe un, puis deux. Tous
refusent ! Apparemment il va falloir que je mise pour être prise. A cette
heure-là il n’a pas beaucoup de circulation.
Plusieurs
taxis passent devant moi et tous sont remplis. Je trépigne d’impatience. Je
regarde devant et vois un bâtiment d’habitation de deux niveaux, c’est très
calme et je me demande qui peut bien habiter là surtout combien ça coute le
loyer. Je me souviens vaguement de quelqu’un qui m’a dit habité là-bas. Soudain
je me rappelle du client qui m’avait proposé de venir chez lui le 25 pour lui
apporter son cadeau en tenue de mère Noël. Je me regarde automatiquement et me
vois vêtue. Quelle coïncidence ! Oui, c’est qu’une simple
coïncidence ! Je me demande si il était sérieux avant de me remémorer
comment il plaisantait mais j’ai senti qu’il avait un peu du sérieux dans sa
plaisanterie. Cela m’avait d’ailleurs beaucoup troublée.
--- MARCO
----
Cette
matinée du 25 décembre se passe tranquillement. Il est 14h quand je m’occupais
l’esprit, vaguant à mes occupations fastidieuses en attendant que la journée
passe tranquillement. J’avais une pensée pour cette femme du supermarché que
j’vais draguer sur un ton de plaisanterie. Je n’avais nourri aucun espoir, mais
je gardais tout au fond de moi, le rêve secret de la voir arriver en tenue de
mère Noël. Les chances de la voir étaient bien maigres et je n’espérais rien du
tout. Elle avait certainement déjà oublié ce dragueur fou et drôle que j’ai été,
me dis-je. D’autant qu’elle n’avait aucunement besoin ni l’obligation de passer
venir me voir en ce jour de Noël.
J’étais installé
devant la TV, regardant la chaine Discovery sur le bouquet Canalsat, quand la
sonnerie de mon téléphone retentit. Je vois que c’était un appel venant d’un
numéro non répertorié dans mes contacts. Qui cela pouvait bien être ?
Surement quelqu’un qui va me dire en fin de compte qu’il s’est trompé de
numéro, chose qu’il arrive parfois. J’hésitais à décrocher et l’appel se coupa.
Quelques
secondes passent avant que la personne rappelle.
- Allo !
Bonjour !! » Dis-je après avoir décroché.
- Bonjour !
C’est monsieur Marco à l’appareil ? Dis une voix féminine, tout faible,
mal assurée.
- …
Une
intuition et une vive émotion m’assaillissent. « Est-ce elle ? »
me dis-je, avec le cœur qui battait la chamade. Je pris une profonde
aspiration.
- Allo ?
Vous êtes là ? Dit la voix féminine.
- Oui !
Je suis monsieur Marco ! A qui ai-je l’honneur ? Je vous prie !
Dis-je !
Je croisais
les doigts avant d’entendre la réponse.
- C’est la
mère Noël du SUPER CKDO, disons le comme ça, si vous vous souvenez de moi. Dit la
voix féminine, mal assurée.
Sur ce, j’ai
eu profond soulagement. Une joie immense m’envahit.
- Ah
oui ! Je ne souviens de vous ! Vous m’appeler pour mon invitation ?
dis-je tout enthousiaste.
- Euh… Je
suis en train de rentrer chez moi. Je sors à peine du boulot.
- Ah
ok ! Dis-je déçu.
- J’appelle
pour… pour vous souhaiter un joyeux Noël ! Dit-elle, la voix toujours mal
assurée.
-
Merci ! Idem ! C‘est gentil !
-
Excusez-moi si je vous ai déranger en vous appelant.
- Non !
Vous ne dérangez rien ! Je suis seul chez en train de m’ennuyer un peu.
Votre appel tombe bien. C’est un plaisir de vous entendre.
- Ah
d’accord !… Boule noire !
- Heu…
pardon ? Vous dites quoi ?
- J’ai dit
- Oh ! Désolé !
J’étais en train d’arrêter un taxi qui passait juste là. Je lui ai donné ma
destination alors que je vous parlais. Je n’ai pas bien masqué mon tél avec la
main avant de parler au taximan.
- Ah je
vois. J’avais un peu deviné car vous dit Boule noire. Vous habitez à boule
noire, je suppose.
- Oui !
- Et là,
vous êtes à quel niveau pour prendre le taxi ? Dis-je machinalement.
- Face
l’hôpital général !
Je me lève
d’un bon pour aller regarder à la fenêtre du côté de l’hôpital général. Je vois
au loin la silhouette d’une femme en costume de noël. Tout de suite mon sang ne
fit qu’un tour lorsque je parviens à la reconnaitre.
- Ah ! C’est
vous la femme en jupe noire devant l’entrée de l’hopital.
- Oui !
Vous… vous me voyez ? Dit-elle, d’une voix peu rassurée.
- Oui !
Très bien !
- Comment ?
Je ne vois personne autour de moi ! Vous me voyez depuis où ?
- Depuis
chez !
- Où ?
- Depuis ma
fenêtre !
Je la vois
regarder directement vers le bâtiment de mon domicile. J’ouvre bien les vitre
de ma fenêtre et la salue de loin d’un geste. Elle lève la main doucement et me
salue avec.
- C’est vous
à la fenêtre en train de me saluer ? Dit-elle, la voix peu rassurée.
- Oui !
- Ah donc
vous habitiez vraiment là !
- Bien
sur ! Je vous l’avais dit.
- …
- Vous ne
m’avez pas cru !
- Oui !
Désolé !
- Pas
grave !
- …
- …
- Bon bein…
je vais vous laissez.
- Vous êtes
attendue on dirait.
- Pas du
tout ! Je dois raccrocher sinon mon crédit va finir et ça va couper.
- Ah
d’accord ! Vous avez une jolie voix.
- Ah ! Merci !
- J’aimerais
vous entendre encore parler.
-
Dommage ! Je n’ai plus assez de crédit.
- Ça vous
dirait qu’on se parle en face et de vive voix ? Ça ne coute rien à part de
la salive.
- Lol !
Je ne sais pas !
- Que
direz-vous de venir chez moi prendre un verre ?
- Hum…
- S’il vous
plait ! Ça me ferait plai...
CLIC !
Je regarde
l’écran de mon téléphone. L’appel vient de se couper ! Mince ! Juste
au bon moment. Elle m’a raccroché au nez ! Je souviens qu’elle me parlait
de son crédit sur le point de finir. Je suppose que c’est son crédit qui vient
de finir et du coup l’appel s’est coupé. Je la regarde par la fenêtre, elle
regarde son téléphone avant de me faire un signe de mains que son crédit est
fini et qu’elle est désolé. J’aimerais la rappeler tout suite mais je sais que je
n’ai pas de crédit depuis hier soir. Je devais sortir ce matin pour recharger
et appeler un peu la famille mais à mon réveil j’ai eu la flemme de sortir chez
moi pour marcher plus de 20 mètres jusqu’au revendeur pour recharger mon
crédit. Je ne suis même pas encore doucher depuis là.
Alors je lui
fais un signe de main pour lui dire de venir chez moi. Je n’ai pas réfléchir
avant de faire ça. Elle me regarde et ne réagit pas. Je quitte vite la fenêtre
pour aller me changer dans ma chambre. J’envisage ensuite de descendre pour
aller la rejoindre. Là je ne sais pas trop quoi mettre, mon lingue propre n’est
pas repassé mais froissé, façon c’est rangé dans un coin en désordre en un tas
de linge en vente à Moutouki, le marché de la friperie. Zut ! Je suis si paresseux
que je ne range et ne repasse jamais mon linge à l’avance mais seulement en cas
besoin pour m’habiller. Je reviens vite devant la fenêtre du salon pour
regarder la fille là, en espérant voir om elle était et lui faire signe de m’attendre.
Comme ça, cela me laisserait un peu de temps pour me débarbouiller et repasser
un haut. J’ai déjà un short mi long sur moi, ça peut aller. Mais arrivé à la
fenêtre j’ai la surprise désagréable de contester qu’elle n’est plus là. Je
regarde bien partout dans le coin. Je la Merde ! Elle est partie !
Je suis sur
le point de quitter la fenêtre que je la vois faire son entrée dans la cour en
bas de l’immeuble. Elle se dirige droit vers le rez de chaussé sans un regard
vers ma fenêtre. Je réalise qu’elle vient chez moi. Mince !
--- NADIA
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Je n’arrive
pas à croire ce que je suis en train de faire. Je me dis que je suis folle. Mon
cœur bat fort et je suis anxieuse. Malgré cela je marche avec détermination
allé chez cet homme. Après mon appel qui s’est coupé brusquement, je l’avais
regardé et signaler par un geste de mains que mon crédit était fini. J’espérais
que cela s’arrêtait là mais il m’avait fait aussitôt signe de venir. Cela m’a
beaucoup surprise au point que je n’ai pas bougé. Puis je ne l’ai vu quitté sa fenêtre.
Des secondes se sont écoulées sans je le revois à la fenêtre.
Tout d’un
coup, j’ai regretté mon manque de réaction. Il a dû prendre ça pour un refus de
ma part et croire que je ne voulais pas qu’on se parle en face comme il me
l’avait suggéré. J’aurais dû réagir plus tôt. Je regrette et me sens trop bête,
trop nulle. Je ne sais pas trop quoi faire.
J’aimerais beaucoup qu’on se parle en face. Je sais qu’il est drôle,
donc ça promettrait un bon moment de rire pour moi.
Sur une
impulsion, j’ai commencé à marcher vite en direction de chez lui. J’arrive dans
la cour déserte puis au rez de chaussé tout aussi désert. Vu l’heure les
habitant sont tranquillement calés chez eux Je monte les escaliers sans croisé personne.
L’endroit est calme et seul le bruit de mes pas résonne à mes oreilles. Je
comte juste lui dire qu’on se revoir pour discuter de vive voix. Puis je m’en
vais aussitôt.
--- MARCO
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Dès que j’ai
compris qu’elle venait chez moi, j’ai filé repasser vite fait un haut avant
d’aller rapidement me débarbouiller et me brosser les dents. Je me parfume les
aisselles et le torse avec mon déodorant AXE. J’enfile mon haut et sort de ma
chambre. Un silence m’accueille au salon.
Je n’arrivai
pas à y croire qu’elle vient chez moi. Je me demande si elle vient simplement
par curiosité car les femmes sont pointue (très curieuse), de nature. Ou bien elle
vient par le gout du risque car elle vient quand même chez un homme dont elle
ignore tout. Décidément je suis récompensé une fois de plus par mon audace. Je
me promets d’être plus audacieux à l’avenir.
Je suis
quand même perdu en sachant pas ce qui l’avait motivé à venir. C’est quand même
étrange ! Il n’y avait que deux
étages, sans ascenseur, mais le temps qui suivit me parut interminable. Qu’attends-t-elle
pour cogner à ma porte ? Elle est monté puis réalisant qu’elle commettait
une grosse erreur puis elle s’est dégonflée et est parti, prenant ses jambes à
son cou pour rebrousser le chemin le plus vite possible. C’est sûr ! Je
vais à la fenêtre et regarde si elle est en train de parti. Je ne la vois pas.
Je vais à la porte et finis par coller
l’oreille à la porte. Pas un bruit. Puis soudain, on toque !
Panique chez
moi et vive émotion marquées par des violents battements de mon cœur qui
démarrent en trompe. Prise de panique je deviens nerveux. J’avale ma salive,
respire un bon coup pour me calmer. Je retrouve une certaine contenance et mon
assurance. J’hésite à ouvrir mais il faut que j’ouvre, sinon elle ne va pas
attendre, elle va partir. C’est elle qui va penser que je suis là et ne veux
pas l’ouvrir.
Je souffle
et ouvris la porte avec un grand sourire. Elle se tient, debout. Maintenant que
je la vois de plus près je constate que sa tenue est près, voire très près du
corps. Elle porte un haut gris et une
courte jupe droite noire, taille haute. Le tout avec une paire d’escarpins rehaussant
un peu sa taille générale. De plus elle a un sac fourre-tout accroché à
l’épaule droite. Je la trouve infiniment jolie, ses formes bien moulées. Son
haut est une invitation à plonger le regard dans son seins tant il y a un impressionnant
décolleté, exhibant le creux d’une belle paires de gros seins. Je n’en crois
pas mes yeux. Pour être franc elle est bandante ! La vache !
- Re-bonjour !
dit-elle avec un sourire gêné devant ma porte ouverte.
- Bonjour est
mieux !
- Je ne vous
dérange pas ? ajouta-t-elle aussitôt, d’une voix hésitante.
- Pas du
tout. Entrez !
- Euh… Je…
-
Entrez ! Je vous prie ! Insistai-je en souriant.
Je m’efface
devant elle et l’invite à bien vouloir entrer chez moi. Elle entre lentement en
regardant autour d’elle.
-
Venez ! Prenez place, ici ! Dis-je en lui désignant mes fauteuils
devant la TV !
Je parle en
posant ma main sur son épaule pour la guider vers le séjour où trônait mes
fauteuils, de deux canapés en cuir marron et un fauteuil cuir marron aussi,
devant ma télé plasma LG de grand format. Elle s’arrête brusquement et me
regarde.
- Ecoutez !
Je ne compte pas m’asseoir ou rester! Dit-elle.
- Ah
bon ?
- Oui !
Je voulais vous dire un truc en passant puis je pars. Dit-elle !
- Je vous
écoute !
- En fait,
je suis venu juste vous dire que j’accepte votre idée de se parler en face et
de vive voix.
-
D’accord ! Et sachez que nous nous parlons justement en face et de vive
voix. C’est déjà un bon début.
- Euh !
Si vous le dites ! Bon, J’y vais !
- Restez un
peu !
- Je ne peux
pas !
- Juste un
peu, voyons !
- Je…
- Vous
m’avez dit au tél que vous n’êtes pas attendu en rentrant chez vous, non ?
- En
effet !
- Alors il
n’y a pas de raison pour que vous partiez déjà. Donc restez un peu !
- Vous savez…
je n’ai pas pour habitude de venir comme ça chez un homme comme ça et y restez.
- Je vous
comprends !
- Vous ne
semblez pas comprendre !
- Si !
Si ! Je comprends parfaitement ! Mais laissez-moi vous offrir un
verre. Vous avez dû marcher pour venir jusqu’ici surtout monter les escaliers
pour monter deux étages. Ne me dites pas que n’aimerez pas vous asseoir un peu et
boire un peu avant de partir.
- Hum… Je…
- Prenez
juste un verre quelques minutes et c’est tout !
Elle me
regarde et se pince les lèvres avant de mordre sa lèvre inférieure. Elle est
tellement mignonne quand elle fait ça.
--- NADIA
---
Je suis
entre le marteau et l’enclume, là. Je ne pensais pas qu’en montant chez lui il
m’inviterait à rester pour prendre un verre. J’ai beau décliner poliment mais
il insiste gentiment. Je ne peux plus refuser.
- Bon d’accord !
Je reste un peu ! Fini-je par dire.
- Ah
super ! Dit-il, ravi !
- Je
prendrais juste de l’eau glacée, s’il vous plait !
- J’ai du
champagne au frais !
- Du
champagne….
- Oui !
Aye !
Là il touche un peint sensible chez moi. J’aime boire le champagne surtout pour
m’amuser. Le champagne me fait planer, me donne des ailes puis des envies de
bouger et de défouler sans limite ; quoi.
- Je préfère
ne pas en boire ! Dis-je pour refuser poliment !
-
Pourquoi ?
- C’est trop
pour un verre ! Dis-je !
- Mais
non !
- Si !
- Non !
- ….
- Alors
prenez un verre de champagne avec moi ! S’il vous plait ! Je vous
l’offre en cadeau pour noël.
- …
Franchement
il me met dans l’embarras. Je suis partagé entre accepter poliment ou refuser
actiniquement.
---- MARCO
----
Elle me
regarde et parait réticente pour boire du champagne. Je la regarde alors qu’elle reste muette et
semble réfléchir. Elle se pince les lèvres puis mord sa lèvre inférieure.
- Bon
d’accord ! Va pour du champagne !
- Ok !
- Mais…
- Pas de
« mais », s’il vous plait ! Dis-je en joignant les mains pour la
supplier.
- Je veux juste
une flute… un verre, je veux dire !
- Hum !
Vous ne semblez être quelqu’un qui ne boit pas.
- C’est
vrai ! Mais je ne bois qu’en occasion !
- Ceci est justement
une occasion !
- Si vous le
dites !
- Je vous le
dit en vérité !
- Ok !
- Alors
buvez !
- D’accord
mais modération !
- Lol !
Le champagne ce n’est pas de l’alcool, madame !
- Mais ça
saoul !
- même
pas !
- Lol !
Vous blaguez !
- Oui, un
peu ! Bon, donc… va pour du champipi ?
- Lol !
Le champipi c’est quoi ?
- Bein, du
champagne, madame !
- Lol !
Ok ! Va pour le champipi alors ! Dit-elle en rigolant.
- Bien,
madame ! Le champipi vous sera servi dans un instant. Prenez place et
faites comme chez vous.
- Krkrkrkrkr
--- NADIA
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Il me laisse
et va nous chercher du champipi. « Champipi », ce mot zarbi m’amuse
bêtement. Je prends place sur l’un des deux grands fauteuils, hum très
confortable. Il revient avec une bouteille de champipi dans un seau en verre
avec des glaçons. Hum, il sort le grand jeu, hein ! Apparemment il connait
les bonnes manières et sait recevoir quelqu’un chez lui. Je le regarde déposé le
seau de champagne avec la bouteille sur la table basse en verre. Je constate
que le bouchon de la bouteille de champagne est un peu enfoncé au sommet.
- Vous avez
déjà ouvert la bouteille. Vous êtes rapide ! Dis-je surprise!
- C’était
hier que j’ai ouvert la bouteille pour me servir un verre à l’occasion du
réveillon de noël.
- Ah
ok ! Je vois ! Dis-je en comprenant tout.
- Je
reviens !
Il repart
vite dans la pièce où il était et revient avec deux flutes (verre de champagne)
qu’il pose sur la table basse. Je suis vraiment intimidée par cette situation,
voir du boire du champagne avec lui. Je ne sais trop pas comment me comporter
avec lui et ça me rend nerveuse. Je fuis son regard lorsqu’il me regarde en
prenant la bouteille dans le seau.
---- MARCO
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Je m’assis à
côté d’elle et nous servit du champagne. Je lui proposer ça à boire car je sais
que les femmes d’aujourd’hui aiment beaucoup le champagne. Parait que ça les
met à l’aise. Elle baisse les yeux quand je la regarde en passant. Je vois
qu’elle est gênée et un trouble l’habite. Je comprends que c’est le fait qu’elle
soit chez moi. Je nous sers et lui tends sa flute. Elle la prend et je reproche
mon verre du sien.
- Je lève
mon verre en votre honneur. Dis-je en souriant.
- Oh
non ! Ce n’est pas nécessaire ! Trinquons simplement, je vous prie.
Dit-elle, gênée et souriante.
-
D’accord ! Ça me rappelle un truc amusant. Dis-je en faisant mine de
réfléchir.
- Quoi donc
? Si ce n’est pas indiscret.
- Juste un
cas de situation insolite ! Dis-je !
- Ah
oui ?
- Ecoutez
ça… ! Dis-je en souriant!
- ….
- Deux
hommes d’affaires, un chinois et un malien, décident de boire un champagne pour
célébrer leur partenariat commercial suite à la signature d’un contrat
d’affaire. Au moment de trinquer entre eux, le chinois dit « tchin
tchin » en tendant son verre vers celui du malien. Le malien l’écouta et
pensa qu’il disait « chine chine ! ». Alors il tend aussi son
verre vers le chinois et dit : « mali mali ! ». Dis-je en
souriant !
- Ahahahah !
Elle rit
avec une mine amusée. Je souris simplement. Puis je tends mon verre et nous
trinquons en nous regardant dans les yeux en souriant. Nous buvons chacun une
gorgée de nos verres en se regardant en face. Elle pose son verre en premier.
Je pose ma flute sur la table basse en verre et levais ma main vers son visage.
J’effleurais sa joue, une joue pleine et bien ronde, et la caressai tendrement.
Je le sens tressaillir alors que je l’effleure du revers de la main. Elle me
regarde d’abord surprise par mon geste puis elle me regarde faire sans rien
dire ni me repousser.
- Ne croyez
pas que je suis une fille facile hein. Dit-elle, en souriant.
- Oh ! Non !
Je ne pense pas cela de vous ! Dis-je en souriant!
- J’ai
accepté de boire c’est par courtoisie ! Et surtout parce que vous avez su
me convaincre.
- Ok !
Je suis heureux de vous avoir convaincu. J’avoue que vous êtes très dur en
affaire.
- Quelle
affaire ?
- Vous
invitez et vous convaincre. Dis-je en souriant!
- Aussi, je
vous préviens que je ne pourrai pas rester longtemps.
- Ca n’est
pas grave ! L’important est que vous soyez là et buvez avec moi. Dis-je en
souriant!
- On sent
tout de suite qu’un homme vit seul ici. C’est beau chez vous ! dit-elle en
regardant aurour.
- Le plus
beau dans tout ça c’est vous ! Dis-je en souriant!
- …
- Vous êtes ravissante ! Comme le plus beau
cadeau de noël que jamais eu !
-
Merci ! Si tu vous le dites !
- Je suis
sincère ! Dis-je en me mettant la main droite au cœur.
- C’est
bien ! dit-elle en baissant les yeux.
Je prends sa
flute et la lui donne. Je prends la mienne et la porte à mes lèvres. Elle fait
de même en me regardant. Je bois une nouvelle gorgée de ma flute juste après
qu’elle en avait bu aussi mais beaucoup plus au point de vider la moitié du
fond de sa flute presque d’un trait. Je pose ma flute et nous ressert du
champagne.
Je ne
cessais de la regarder, ou plutôt de la dévorer des yeux. Elle devait lire dans
mes yeux mon désir pour elle. Elle était infiniment jolie, ses formes bien
moulées et bien en chaire notamment ses gros seins que je vois nettement mieux
d’en haut avec une vue imprenable sur le décolleté qui en montre beaucoup plus
au lieu de faire tout le contraire. Les gros deux bonnets sur sa poitrine
généreuse sont bien remplit. J’avais l’impression qu’elle ne porte pas de
soutien et que ses seins sont libre. Quand je l’avais trouvée sagement assise,
attendant que j’apporte à boire, j’avais remarqué que sa courte jupe courte
noire s’était retroussée à mi-hauteur de ses cuisses, assez haut pour dévoiler une
vue intéressante sur ses genoux ronds et sur une partie de ses cuisses dénudées
qui exposent leurs formes, un avant-gout d’autres choses bien plus excitant
cachés sous le jupe.
- Pourquoi
vous me regardez comme ça ? Dit-elle en me souriant.
-
Pardon ? Dis-je surpris de n’entendre parler soudainement.
- Je sens
bien votre regard sur moi. Je vous demande pourquoi vous me regarder autant.
- Parce que
je ne peux faire autrement. Dis-je très sérieusement.
- Vous
pouvez faire autrement ! Il suffit de vouloir car vouloir c’est pouvoir.
Dit-elle en souriant!
- Ah
bon ! Et comment ? Dis-je en souriant!
- En
regardant ailleurs ! Par exemple, votre magnifique TV.
Je baisse
les yeux en rigolant. Elle ne manque pas d’humour cette nana. Mine de
rien ! Elle me plait de plus en plus.
- Vous êtes
vraiment drôle ! Dis-je en souriant.
- Vous aussi d’ailleurs
! Au fait, ça sort d’où le mot « Champipi » ? Dit-elle en
souriant!
- De ma
bouche ! Pourquoi ? dis-je, en levant les sourcils.
- Krkrkrkrkr
(ires) ! Pour rien !
- En plus
d’être très belle vous ne manquez pas d’humour. Dis-je caressant sa joue.
- Oh vous
exagérez avec les compliments ! Dit-elle avec un rire bête et gêné.
- Normal !
Je ne suis pas avare en compliments quand je suis face à une belle femme si
jolie et sexy.
- Jolie,
oui ! Je sais ! Mais sexy, nan ! Je ne me trouve pas sexy dans
cette tenue. Dit-elle.
- En tout
cas vous me plaisez ! Dis-je très sérieusement.
- Bof… ù
Dit-elle en levant les épaules nonchalamment.
- Je vous
assure ! Vous ne pouvez pas savoir le plaisir que vous me faites en
égayant sa journée par votre présence et votre sourire. Dis-je très
sérieusement.
- …
Voyant
qu’elle ne dit rien et baisse simplement les yeux vers ses mains qui tiennent
sa flute à moitié vide, je lui caresse doucement la joue en attendant qu’elle
parle ou me repousse ma main. Je prenais davantage son silence et sa passivité
pour un encouragement pour lui parler et la flatter. Mais elle ne semble plus
trop d’humeur à bavarder vu son mutisme qui persiste au fil des secondes qui
suivent.
Je m’approche
d’elle un peu plus encore, je passe la main derrière sa tête et caresse a
nuque. Toujours pas de réaction de rejet de sa part. L’air de rien, je pose mon
autre main sur le bas de sa cuisse ronde, la fait glisser très doucement au-dessus
du genou jusqu’à l’ourlet de la jupe. Je fais de allé et retour avec lenteur et douceur pour
effleurer simplement sa cuisses. Cela ne semble pas l’offusquée ni la gênée.
Je décide de
tenter le tout pour tout. J’attrape son menton et m’en servit pour la faire
tourner la tête vers moi. Là, j’attrapais son visage en coupe et attirai sa
tête vers moi. Elle a eu un geste de recul mais ma bouche réussit à se posé sur
la tienne. Je l’embrasse doucement, elle résiste un peu avant de se laisser
embrasser lorsque ma langue s’insinue entre ses lèvres et se mêle à sa langue.
Elle ne répond tout de suite à mon baiser.
J’approfondie
en l’embrassant avec plein de fougue et de désir. Je les sens se frissonner tandis
que d’une main je serre contre moi. Elle se tortille Mon main droite se balade
sur des parcelles de son corps, puis partout où elle peut le faire, me faisant apprécier
tout ce que je touche au passage à travers ses vêtements près du corps. Par
bonheur, ma main s’insinue entre ses genoux et s’immisce lentement entre ses
cuisses par des petites caresses, puis remonte en se glissant sous la jupe qui
se retrousse dans le même temps. Elle se laisse faire, laissant mes doigts
vagabonder à l’intérieur de ses cuisses où règne une douce chaleur intense qui
m’émoustille.
Avec ma main
sous sa jupe je lui force à ouvrir un peu les jambes. Sur mes doigts je sens de
plus en plus la chaleur qui se dégage de l’intérieur de ses cuisses très douces
au touché. Je me demande si je dois aller plus loin ou pas. Sous une impulsion,
j´avance doucement mes doigts par de petites caresses. Mes doigts se faufilent entre
ses cuisses qui s’ouvrent légèrement à ma guise. J’arrive à aller plus possible
vers son entrejambe qui semble si chaud comme un volcan. Puis j’effleure par
des petits attouchements le tissu chaud de son string où j’ose faire des
petites pressions dessus. Elle se tortille et sursaute, lâchant un petit soupir.
Elle serre
et desserre les jambes puis les resserre plus fort alors que je sens son bassin
trembler brusquement. Je ne lui savais pas si sensible. Je la sens déjà dans un
état second vu comment sa poitrine se soulève plus rapidement alors qu’elle
respirant bruyamment. J’empoigne un sein doucement en continuant de l’embrasser
avec fougue. Sa respiration devient plus rapide et saccadée alors qu’elle
échange avec moi un baiser passionné.
Je n’ai qu’une envie ! Je touche son sous
vêtement par une nouvelle pression, mais plus franche, elle a un nouveau sursaut
et un tremblement du bassin avant de recule brusquement ce dernier. J’avance la
main suivant son corps et plaque mes doigts son entrejambe puis je lui masse le
sexe d’un coup vigoureux. Elle repousse vite ma main en fermant les jambes
brusquement et serre fort les cuisses, emprisonnant ma main sous sa jupe avec
mes doigts à moins d’un centimètre de son sexe baigné dans une agréable chaleur
humide qui m’émoustille au plus haut point. Je repousse d’un coup le tissu de
mon string et envoie un doigt toucher tout doucement par petites pressions ses
parties intimes.
- Oh !!
Dit-elle en bloquant ma main dans ses cuisses resserrées brusquement.
Je n’insiste
pas et arrête tout mouvement, je reste immobile sans retirer ma main et la
regard en face pour voir si tout va bien. Elle me fixe dans les yeux en se
mordant doucement les lèvres et respire. Sa respiration est bruyante, profonde
et lente. Ceci fait soulever sa grosse poitrine où j’ai une vision alléchante
sur ses gros mamelons qui ont l´air de me narguer alors qu’ils semblent durcir vu
la manière dont les bouts pointent et s’aperçoivent un tout petit peu sous le
fin tissu qui les enveloppent.
Elle repousse
lentement ma main pour la déloger entre ses cuisses et la met hors de ses
jambes. J’ai le temps d’admirer ses cuisses
au teint très clair avant qu’elle tire lentement sur sa jupe pour les
recouvrir. Elle place ses deux mains en bas sous ses genoux et reprend sa
position assise comme rien n’était. Je la regarde mais elle fuit mon regard. Je
peux sentir un profond malaise chez elle. La tension devient palpable entre
nous.
A SUIVRE !