C’EST NOËL - Chapitre 7

Ecrit par chrochro241

*** C’EST NOËL ! ***

Chapitre 7

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---- MARCO ----

 

Je tire la chasse d’eau du WC où j’ai uriné et jeté le papier Q que j’ai utilisé un instant plus tôt pour essuyer les belles fesses de Nadia. Je l’avais prise sur le canapé, couché de profil puis en cuillère et enfin à plat ventre en la pilonnant bien fort, avant de jouir sur son derrière. Un pur délire !

 

J’espère encore me la faire pour la prendre à cheval, et lui donner des claques aux fesses. J’aimerais bien la voir toute nue. Elle a un corps super, il est fait pour l’amour, pour baiser et faire bander plus d’un, voire tout une armée. Bref est bonne et bandante. J’ai de la chance de l’avoir pour moi en ce moment. J’ai intérêt à bien la tirer (baiser) comme je veux et en profiter au maximum pour abuser d’elle tant que je peux, avant qu’elle s’en aille. Tiens, en parlant de ça, je l’ai vraiment tiré dessus à balles réelles. Mince ! C’était imprudent avec toutes ses maladies qu’on peut attraper par voie sexuelle. Mais dès que j’ai eu dans ma ligne de mire, je n’ai pas réfléchie pour penser à la capote. J’ai pointé sur elle mon gros pistolet chargé et j’ai tiré un coup rapide dans son petit pangolet. BANG ! Et le coup était parti seul !

 

J’étais heureux et ému par la chaleur et la moiteur que je ressentais en la baisant sans capote. Je pouvais ressentir autour de ma bite toute cette moiteur en elle. C’était doux ! Ya pas à dire, le minou  de cette femme est bon ! Une fois entré là-bas, je n’avais plus envie d’en ressortir. Le gout de son minou est juste divin ! Je pouvais ressentir comment son corps tressaillit et les moindres contractions de sa chatte tremblante de plaisir chaque fois qu’elle jouissait. C’était jouissif ! J’ai manqué plusieurs de jouir dans son ventre si chaud et accueillant. Heureusement que j’ai pu me retenir pour faire durer son plaisir et le mien.

 

Je sors des toilettes pour revenir dans ma chambre ou je prends deux préservatifs CAREX que je fourre dans la poche de short, puis  je reviens au salon retrouvé mon invité.

 

Je reviens au salon et trouve Nadia sagement assise à sa place sur le canapé. Elle avait remis en ordre sa tenue. On ne dirait pas qu’elle venait de s’envoyer en l’air à moitié nue sur ce même canapé.

 

- Désolé de t’avoir laissé seule. Dis-je en m’asseyant près d’elle.

- Oh, c’est pas grave ! Dit-elle en me regardant.

- Vraiment ?

- Bein oui… Tu n’as pas duré là-bas ! Je n’ai pas trop senti ton absence ici.

- Ok !

- Il fait chaud ici, dis donc ! dit-elle en se faisant du vent avec les mains.

- C’est normal, à cette heure de l’après-midi ! Ça donne envie de foutre à poil.

- …

- Tu ne trouves pas ?

- Euh… Et bien, si tu le dis ! dit-elle sans me regarder !

 

Je ne dis plus rien et la regarde simplement. Elle est vraiment jolie. Je me laisserais de la regarder.

 

- Arrête de me regarder comme ça ! dit-elle en me regardant avec un petit sourire.

- C’est interdit !

- Je sais ! Mais arrête un peu de me regarder.

- Parce que ça te fait rougir comme une tomate !

- Lol ! Même pas ! C’est trop gênant !

- Pourquoi c’est si gênant ?

- …

 

Elle ne répond pas et me regarde devant elle. Assis à sa gauche je passe la main droite sur ses cheveux que je touche doucement.

 

- Nadia ?

- Oui ? dit-elle en me regardant.

- Pourquoi tu dis que c’est si gênant quand je te regarde ? Dis-je en lui caressant la joue.

- …

- Répond moi, s’il te plait ! J’aimerais comprendre ton point de vue.

- En fait…

- …

- Je ne sais pas !

- Comment ça tu ne sais pas ? Dis-je en lui caressant la joue.

- …

 

Elle ne répond pas et semble être à court de mots. Je la regarde baissa les yeux, gênée, en proie à ce qui semblait être de la confusion et un combat dans sa tête.

 

- Tu ressens quoi quand je te regarde trop ? Dis-je en lui caressant la joue.

- Je… j’ai l’impression que… tu me déshabilles du regard… Je sens soudain nue ! C’est bizarre !

- Ah bon ? Dis-je, surpris, en souriant.

 

Elle se pince les lèvres en hochant la tête pour répondre par l’affirmatif. Je ris sur un ton moqueur. En me voyant rire, elle sourit et se penche vers moi en avant pour cacher son visage sur mon torse. Je le serre contre moi en l’entourant de mes bras.

 

- C’est un peu vrai ce que tu dis. Dis-je en lui caressant le dos.

- Ah oui ? dit-elle en me regardant.

- Oui ! Quand je te regarde… j’ai envie de te déshabiller… voir ce beau corps que tu as et te regarder pendant des heures.

- Ah ok ! Je prends ça pour un compliment !

- C’en ai un ! Mais en réalité c’est une partie d’un fantasme !

- Wow ! Un fantasme ? Sérieux ?

- Oui !

- …

 

Elle ne dit et se pince les lèvres puis détourne son regard du mien.

 

- Désolé de te mettre mal à mal à l’aise avec cette histoire. Dis-je pour la rassurer.

- Non ! Ça va ! Je suis juste surpris que tu m’avoues ça. dit-elle en souriant.

- J’étais sincère et honnête avec toi. Dis-je en souriant.

- C’est bien ! J’apprécie ! dit-elle en souriant.

- J’avoue que tu je fantasmais sur toi depuis le jour où je t’ai vu et parlé au supermarché. Ce n’est pas étonnant ! C’est normal car je suis un homme et toi une belle femme.

- …

- Ce jour-là au supermarché quand je t’ai vue en tenue de mère noël, ça m’a fait rêver… imaginer des choses…

- Quelles choses ? demande Nadia en me regardant.

 

Je vois qu’elle est visiblement intéressée par ce que je raconte.

 

- J’imaginais pleins de trucs avec toi… te voir simplement vêtue en mère noël avec ce costume de noël que tu portais… Je rêvais de toi comme ça dans mon imaginaire. Durant un instant, je te voyais venir chez moi aujourd’hui, le 25 décembre, en tenue de mère noël pour m’apporter un cadeau.

- Loool ! Tu es rêveur à ce point-là ! dit-elle en souriant.

- Oui ! J’ai une imagination débordante et très fertile. Dis-je en souriant.

- Je vois ça ! Je comprends mieux pourquoi tu étais venu me parler en me prenant pour la mère noël.

- Exactement !

- Et tu voulais que je t’apporte quel cadeau ? dit-elle en souriant.

-Toi ! Dis-je en souriant.

- Moi ? Je ne comprends pas ! Explique-moi un peu ! dit-elle en souriant.

- En fait… Comme tu me plaisais beaucoup ce jour-là, donc je voulais ou plutôt j’espérais que tu viennes chez moi pour…

- …

 

Je marque une pause. Nadia me regarde en souriant, et semble vouloir entendre le reste de ma phrase. Je prends une aspiration et la regardant dans les yeux.

 

- Pour qu’on fasse l’amour ! Qu’on vive le gout de l’amour, un peu, beaucoup, passionnément, et la folie ! Et qu’on s’aime aussi après tout ça. Dis-je sur un ton sérieux.

- Ah ça alors ! Dit-elle agréablement surprise.

- Le fait que tu serais venue pour moi en tenue de mère noël m’apporter m’aurais beaucoup plu. C’était juste un fantasme.

- Je vois ! dit-elle en souriant.

- Et puis cette tenue de mère noël sur toi, mon cadeau de noël, aurait été comme du papier cadeau que j’aurais bien aimé déchirer pour te déballer et te prendre pour jouer aussitôt avec toi, comme un jouet.

- Hummmmm ! Dit-elle en regardant d’un œil, avec un sourire en coin.

- Et oui ! Dis-je en souriant.

- Ok ! Parle-moi un peu de toi ! Dit-elle en prenant sa flute de champagne.

 

Elle porte son verre à ses lèvres alors que je commence à lui parler de moi, de ma famille, mon boulot. Elle m’écoute attentivement et pose des questions pour en savoir plus sur ce que je dis.  Pendant qu’on discute, mon regard descendait parfois sur sa poitrine. Je me rince l’œil en jetant un coup d’œil furtif sur ses gros seins. Sa poitrine se soulève lentement au rythme de sa respiration. J’ai une chouette vue sur ses gros mamelons qui ont l´air durcis vu la manière dont ils pointent arrogamment sous le tissu du haut près du corps qu’elle porte.

 

Ainsi, j’admirerais, en toute impunité, le décolleté de son haut exhibant le sillon profond formé par le creux de ses gros seins comprimés. C’est la première fois que je vois sa poitrine d’aussi près, il y a du monde au balcon tant sa chair est abondante au niveau de ses seins. Je regardais ces derniers de temps en autre, en éprouvant le désir de les toucher. A force d’y penser, je commence à bander dans mon short et je réalise aussitôt qu’elle va s’en apercevoir. J’étais en T-shirt avec un juste un short mi long en bas. Mon érection prend de l’ampleur et deviens visible. Nadia ne tarde pas à la découvrir quand elle pose son regard souriant sur moi en me parlant. Elle se retrouve en face de ma bite dressée qui forme une tente sur mon short.

 

Elle est restée figée, les yeux rivés sur mon érection, et puis elle a une réaction à laquelle je ne m’attendais pas du tout puisqu’elle a éclaté de rire, me mettant dans l’embarrant bien que je ris aussi, juste pour masquer mon trouble.

Elle m’a demandé, sur un ton moqueur et amusée, si c’était elle qui me faisait cet effet. Quelle ironie ! Je voulais lui palper mais je me retiens pour ne pas passer pour un pervers, je tiens à garder une bonne image à ses yeux pour pouvoir marquer des point afin qu’elle m’aime bien. Je ne sais pas quoi faire dans l’immédiat. J’ai baissé mes yeux sur mon short et franchement je bande comme un taureau.


Quand je lève les yeux vers elle, je suis surpris de découvrir de la tendresse dans son regard, et même du désir dans ses yeux. Le regard qu’elle pose ensuite sur moi est bien particulier vu la situation incongrue qui semble beaucoup lui plaire. Elle sourit et me regarde la mine amusée. Elle semble même émue par ce qu’elle voit et avait provoqué, malgré elle.

 

- Je voudrais te voir toute nue ! Dis-je subitement avec un petit sourire.

- Pardon ? dit-elle en souriant sans visiblement comprendre.

- Je voudrais que tu enlèves ton haut… que tu te déshabilles devant moi !

 

Elle me regarde, pétrifiée, les yeux écarquillés. Elle ne s’attendait visiblement pas à ce que je lui demande une chose pareille. Elle se reprend et me sourit.

 

- Marco, tu te rends compte de ce que tu me demandes ? dit-elle en souriant.

- Allez quoi, sois gentille ! Je n’ai jamais vu une vraie femme comme toi toute nue !

- Je ne te crois pas… et ta go (petite amie), alors ?

- J’ai pas de go !

- Pourquoi ?

- Je suis célibataire endurci ! Mais lç n’est pas la question ! C’est toi que je veux voir nuepour admirer ce que Dieu t’a donné de beau

- …

- Allez, ma belle !

- …

- S’il te plait, Nadia, rien qu’une fois ! Offre-moi ce plaisir pour mes yeux !

- …

 

Elle détourne son regard du mien et se pince les lèvres. Elle reste silencieuse et j’ai l’impression qu’elle réfléchit, je le vois. C’est plutôt bon signe. Elle me regarde en face et en se mordant la lèvre inférieure.

 

- Si j’accepte… Ne te fait pas trop d’illusion ! dit-elle en souriant.

- Bien sûr ! dit-je en souriant.

- Je te montre ce que tu veux voir, mais après ça je rentre chez moi. dit-elle en souriant.

- Ok, Nadia ! dit-je en souriant.

 

Alors elle saisit son haut par le bas et le soulève avec un geste très lent. J’aperçois son ventre dénudé et son nombril qui est tout mignon. Et puis elle s’arrête soudain dans son élan. J’affiche un regard déçu.

 

- Marco, ne me regarde avec cet air-là. Ce n’est pas facile pour de faire ce que tu me demandes.

- Vas-y Nadia, s’il te plait…

 

Elle se mord la lèvre avant de reprendre et continuer pour le faire passer lentement au-dessus de sa tête, dévoilant sa grosse poitrine sans soutien-gorge. J’écarquille les yeux et ouvre la bouche en voyant ses seins nus.

 

- Oh la vache ! Dis-je stupéfait.

 

Découvrir la poitrine dénudée de Nadia me trouble particulièrement, parce qu’il s’agit d’une fille bien foutue avec surtout des gros mamelons au teint clair. Leurs bouts et les aréoles ont un teint plus foncé. Elle me laisse les regarder de près. Le spectacle est bluffant. J’ai la gorge sèche et suis incapable de bouger. Je suis comme tétanisé.

 

Torse nu, Nadia se lève et place debout devant moi. Elle me sourit et pose ses mains sur ses hanches, en montrant ses charmes ostensiblement. Elle, qui au départ paraissait hésité par pudeur, la voilà avec une impudeur totale. Elle début quelques secondes pour me laisser le temps de me rincer l’œil, semble-t-il. Et Pui elle se penche avant, la tête droit vers la mienne.

 

- Voilà ! C’est ça que tu voulais n’est-ce pas ? Tu es content j’espère ? dit-elle en souriant.

- …

 

Elle prend ses sains en main et me les tend, en restant penché vers moi. Je ne réponds pas car je suis trop préoccupé a regardé ses  gros lolos qui pendent mollement mais lourdement vers le sol. Elle me regarde et vois que je suis vraiment troublé par ses seins.

 

- Ressaisis-toi ! Ce ne sont que des seins, tu sais. Dit-elle une moue désabusée.

- Ouais ! Ils sont magnifique et unique ! dit-je en souriant.

- Bof… Toutes les femmes sont pareilles. Nous sommes toutes identiques !

- Oh non, Nadia tu n’es pas comme toutes les autres… Tu es parfaite ! dit-je en souriant.

- Si tu le dis ! Mais Il n’y a aucune raison de te mettre dans un tel état en voyant mes seins !

- Met toi un peu à ma place devant tes gros airbags ! On dirait des gants de boxe prêts à me cogner.

- Lool !

- Je t’assure ! Je serais K.O. dès le premier Round ! dit-je en souriant.

- Krkrkrkrkr !

 

Tout en lui parlant, je ne cessais de la dévorer des yeux, je réfléchissais de plus en plus vite. Elle me sourit et soupèse puis secoue ses seins face mon visage. Elle m’allumait, cette coquine ! Elle exhibait ses gros nichons sous mon nez. Qu’est-ce que j’étais supposé faire de toutes ces idées salaces qui me traversent l’esprit ? Je ne dois agit sur un coup de tête en écoutant mes pulsion. Sinon je ferais un truc qu’elle risque de ne pas aimer.

 

Elle danse lentement devant mon moi en ondulant les hanches doucement et sensuellement. Et puis elle pose les mains sur la ceinture de sa jupe moulant et la descend le long de ses jambes jusqu’à ses pieds, avec un geste très lent. Elle se retrouve presque toute nue. Il le lui reste que son string en dentelle noir sur le corps. Je regarde son dessous sexy et déglutis difficilement car j’ai une de ses soifs. Elle me sourit et prend une pose de mannequin sexy en restant debout devant moi dans presque le plus simple appareil, et je ne sais plus quoi regarder de préférence. Tout me plait sur son corps sorti tout droit d’un rêve érotique.

 

- T’es superbe ! Tourne-toi Nadia ! S’il te plait ! dis-je avec excitation.

 

Elle s’exécute comme une automate en tournant sur ses talons pour me tourner le dos et me présenter ainsi son cul rebondi franchement parfait pour la levrette.

 

- Tu as de belle dis donc ! dit-je en souriant.

- Merci ! C’est gentil !

- Ton bodje est parfait. Nicky Minaj en serait jalouse. dit-je en souriant.

- Ah oui ! Tu crois ça ?

- Evidemment ! Le bodje de Nicky Minak est faux. Le tien est vrai et naturel ! dit-je en souriant.

- Merci ! C’est vraiment gentil !

- Reste de  dos ! Penche toi en avant et descend ton string jusqu’aux pieds. Minaudai-je !

- Hummm ! Dit-slle en me regardant avec un petit sourire.

- Vas-y ! S’il te plait… ! dit-je avec une voix suave.

- …

 

Elle reste debout et me tourne le dos sans bouger. Des secondes passent avant que je l’entends soupirer puis s’exécuter. Je reste la bouche grande ouverte au fur à mesure qu’elle fait se penche en faisant glissé son string vers pieds. J’ai cette vision phénoménale de son cul tendu vers moi comme une invitation à la prendre débout à cheval. Toute de suite mon sexe déjà bien dur se dresse brusquement, en bougeant et se durcissant davantage dans mon short. Ma verge me fait mal ! J’ai envie de la sortir et tirer tout suite avec.

 

Nadia se tourne vers moi et viens s’asseoir toute nue sur mon canapé où elle était. Elle prend sa flute de champagne et la vide sous me regard qui se balade sur son corps nu. Elle se sert du champagne, l’air de rien. Puis elle me regarde dans les yeux avec un large sourire.

 

- Tu penses à quoi là ? dit-elle en souriant.

- A rien !

- Hum ! dit-elle en souriant.

- …

- Qu’est-ce que tu as lourdement dans le short ? dit-elle en pointant mon short du doigt.

- Mon mini moi !

- Krkrkrkrkr !

 

Elle prend sa flute de champagne et la porte à ses lèvres. Elle boit une petite gorge et vient coller sa bouche à la mienne. Sa langue l’entrée entre mes lèvres, j’ouvre la bouche pour la recevoir et au même instant un liquide envahit soudain ma bouche. j’ai un petit mouveemtn de recul mais je ne décolle pas ma bouche de la sienne car elle commence à m’embrasser. Vu le gout de ce liquide venu dans ma bouche je réalise que c’est du champagne que Nadia a bu mais n’a pas avalé et vient me le donné à boire. J’avale et embrasse Nadia avec fougue. Elle met fin ç notre baiser en me mordant soudain la lèvre inférieure qu’elle tire un peu avant de la lâcher et me sourire en regardant dans les yeux. Je suis épaté par cette fille, vraiment coquine.

 

- Tu as aimé ma surprise ? dit-elle en souriant.

- Oui, beaucoup ! dis-je en souriant.

 

Elle me sourit avec un regard plein de désir, m’indiquant qu’elle est en mesure de me donner plus que ça. On se mesure du regard. Je n’ai pas envie de discuter avec elle, alors je baisse la ceinture de mon short sur mes genoux pour qu’elle constate par elle-même l’effet qu’elle me faisait. Elle a regardé mon geste et vu ma bite jaillit et se dressé comme un méat dès que la ceinture de mon short fut descendue à mi cuisses.

 

Nadia fixe mon bijou de famille, elle semble hypnotisée et fascinée par la vision de ma grosse tige tendue. Sans me vanter, je n’ai pas un énorme sexe à la Rocco Silfredi. C’est vrai ! Néanmoins, la nature m’a plutôt gâté de ce côté de mon corps, et la grosse érection que j’avais tantôt plus tôt dans mon short à la vue de Nadia rend cette dernière particulièrement surprise. Elle avait eu l’occasion de sentir ma bite en elle quand je l’ai tiré un coup rapide, mais ce n’est maintenant et la première fois qu’elle la voit à la lumière du jour.

 

- Eh bien mon cher, elle est tendue dis donc …

- C’est un soldat au garde à vous, en signe salutation et de respect militaire !

- Loool !

- On ne peut pas dire que tu as un petit soldat ! C’est un tireur d’élite qui a fait des victimes !

- Krkrkrkr ! Elle est vraiment belle ta bite…

 

Je suis flattée qu’elle apprécie les dimensions de mon engin, mais je cherche un peu plus que des compliments ou louanges qu’elle adresse autant à moi, soit dit en passant.


- Fait moi une petite gâterie ! dis-je doucement.

- Hein ? Non merci ! Je passe mon tour ! Hihihihi ! dit-elle en souriant.

- Tu passes ton tour à qui ? dis-je en souriant.

- A la future copine que tu auras plus tard ! dit-elle en souriant.

- C’est toi la future copine que je veux.

- Lol ! C’est ça ! Rêve toujours ! dit-elle en souriant.

- Allez, sois gentille Nadia ! Occupe-toi un peu ! Regarde comme j’en ai envie !

Elle est restée immobile, hésitant un moment en fixant ma bite tendue. Elle envoie la main pour la toucher du bout des doigts puis l’empoigner en fermant ses doigts autour de ma verge turgescente avant de la branler doucement en partant du gland pour arriver sur mes boules. La branlette dure quelques secondes. Elle penche ma bite vers mon ventre pour se saisir de mes grosses boules avec son autre main. Elle les palpe et les soupèse délicatement, en les saisissant dans sa paume ouverte. Elle continue à me branler lentement avec son autre main.

 

J’étais bien à l’aise pendant qu’elle me masturbe très doucement, presque tendrement.

- Passe aux sérieuses, Nadia !

- …

 

Elle me regarde en fronçant les sourcils.

 

 - S’il te plait...

- …

Elle me fixe, puis pousse un long soupir en fermant les yeux. Elle ouvre les yeux et se penche docilement vers mon bas ventre. Sa tête vient au-dessus de mon bassin et je sens les cheveux de Nadia sur mon ventre. Elle me tenait la bite avec ses doigts refermés autour, ne laissant dépasser que le gland au-dessus de sa main. Elle ouvre la bouche et aspire mon gland entre ses lèvres. Elle le sort tout mouillé se met à le téter. Elle tourner sa langue chaude et mouillée tout autour ouis l’agite rapidement dessus pour agacer le gland. Aspirant ma bite, en creusant les joues, elle commence à me pomper doucement en tenant la base de mon méat. J’ai l’impression que mon cœur va exploser de joie tellement je suis aux anges.

 

- Oh oui, Nadia… comme ça … non suce plus bas… oui, c’est ça… hummm ! Dis-je gémissant.

 

Je l’encourage, lui donne des directives. Soudain je ne sens plus sa bouche.


- Marco, tu veux bien te taire ! Tu me déconcentres. Dit-elle sèchement.

- Mais… ! dis-je stupéfait et perdu.

- Tait toi ! Ou j’arrête tout ! dit-elle en fronçant les sourcils.

- …

- …

- …

 


A SUIVRE !

C’est NOËL !