C’EST NOËL - Chapitre 8

Ecrit par chrochro241

*** C’EST NOËL ! ***

Chapitre 8

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---- MARCO ----

 

La réaction de Nadia m’étonne beaucoup. Je l’encourageais de la voix pendant qu’elle commençait à me faire une fellation digne d’un film porno, elle s’est arrête pour me demande de me taire. J’ai compris qu’elle était gênée, c’est la seule explication que j’ai trouvé. Si non je ne vois pas pourquoi mes encouragements et digestives ne la plaisaient pas.

 

J’ai ferme ma bouche alors qu’elle me fixait en tenant ma bite en main. Je pense au moment où je vais pouvoir lui bouffer la chatte à mon tour. Elle m’a repris dans sa bouche, en concentrant toute son attention sur mon gland.

 

Elle me sort de sa bouche, se redresse pour prendre son verre de champagne qu’elle boit et le pose avant de revenir sur ma bite. Elle colle sa bouche fermée sur le dessus de mon gland, elle fait pression dessus en ouvrant très doucement ses lèvres en aspirant le gland, centimètre par centimètre, jusqu’à avoir ma bite dans sa bouche.

 

Je sursaute quand je sens mon sexe dans un liquide glacé se trouvant dans la bouche de Nadia. Je réalise avec stupeur qu’elle a le champagne dans sa bouche. La seconde suivante elle me pompe doucement en serrant ses lèvres autour de ma verge. La sensation de froid autour de ma bite n’est à mon gout mais j’apprécie quand même et je ronronne de bonheur. Elle me pompe doucement et le lentement.

 

Le pompage dure un instant avant de Nadia retire délicatement ma bite de sa bouche et déglutit puis me reprend en bouche pour me sucer vigoureusement et rapidement en creusant les joues. Elle alterne pompage tantôt lents, tant rapides, les succions et les léchages de gland et de même de mes boules.

Elle s’occupait de moi depuis un moment, si bien que j’étais vite dans état second, je ne tarde plus à venir. Je lui envoie la sauce dans un cri de plaisir, et de grognements. Je me vide en déversant plusieurs jets de purée blanche au fond de sa bouche. Elle presse mes boules comme si elle veut en extraire toute la semence jus qu’il restait en stock. Elle me garde en bouche pendant que je verse et chaque nouvelle giclée était une délivrance.

Quand j’ai fini d’éjaculé, elle me sort entre ses lèvres et lèche le sommet du gland pour recueillir les dernières gouttes qui perlent du trou au-dessus de mon méat. Tout de suite après, elle se lève d’un bond hors du canapé pour aller dans la cuisine. Comme elle était à poil en partant, j’en ai profité pour contempler son gros cul qui bougeait admirablement. Ses fesses pleines sous son dos cambré dansaient à chaque pas. C’était un plaisir de voir ce spectacle inédit !


Elle revient en essuyant sa bouche du revers de la main. Je devine qu’elle vient de cracher mon sperme dans le lavabo de la cuisine. J’en profite pour la regarde nue de face. Ses seins sont splendides, son joli triangle est couvert d’un léger duvet. Sa silhouette générale est semblable à une guitare espagnole.

 

Elle vient place debout à côté de moi, et récupère au sol son string qu’elle enfile tranquillement ; l’air de rien. Elle prend son verre de champagne et le vide buvant son contenu.

 

- Merci ! Dis-je en souriant.

- De quoi ?

- Pour la pipe ! Tu le fais très bien ! C’était un plaisir ! Dis-je en souriant.

- Oh, je t’en prie ! Je peux m’allonger sur l’autre canapé ? S’il te plait ! J’aimerais me couché un peu.

- Vas-y ! Fait comme chez toi ! Dis-je en souriant.

- Merci ! T’es un ange !

- Et toi une déesse du sexe ! Dis-je en souriant.

- Hihihihi !

 

Elle pose son verre vide sur la table basse avant d’aller s’allonger à moitié nue sur l’autre canapé. Je la regarde se mettre à l’aise. Elle s’allonge de profil sur le côté gauche puis relève les jambes en le pliant en gardant les cuisses fermées. Elle surélève sa jambe droite se trouvant sur celle de droite. Je la vois couchée depuis ma place, je vois directement sur ses belle fesses nues ornées par le string qui les embelli ne plus de rentrer entre elles pour apparaitre en dessous de ces globes arrière sur la fente que j’aperçois par derrière entre les cuisses.

 

Elle a posé sa tête sur l’accoudoir du canapé en s’y allongeant. Elle pose la main droite nonchalamment sur sa jambe droite, entre la cuisse et la fesse. Elle me regarde longuement tandis que je suis assis du coté de ses pieds, sur l’autre canapé, en train de la regarder.

 

- Quoi ? Dit-elle en me souriant.

- Rien ! Dis-je, en souriant.

 

Je suis assis, les fesses nues et la bite endormi à l’air. Mon short est descendu à mes pieds, et ce depuis que Nadia m’a fait une pipe d’enfer. Nadia me sourit et me fait un bisou dans le vent. Je souris, amusé et enchanté par cette situation. Sa main droite que je voyais sur sa jambe droite, entre la cuisse et la fesse, se déplace lentement vers le genou de sa jambe droite, l’air de rien. Son geste est très lent. Il me vient une idée.

 

- Ça t’arrive te toucher le corps ? Genre te caresser.

- Je ne le fais pas !

- Pourquoi ? Si ce n’est pas indiscret.

- Ça ne sert à rien !

- c’est bon moyen pour tu découvres ton corps pour le connaitre.

- …

-

Je préfère qu’on me touche, si je le veux.

- Et tu ne te masturbes pas ?

- C’est quelle question, ça ? dit-elle surprise et visiblement dépassée par la question.

 

Je ris devant sa réaction.

 

 

---- NADIA ----

 

Marco rit. Et puis il prend un air sérieux.

 

- Alors ? dit-il en me regardant.

- Alors quoi ? Dis-je !

- Tu te masturbes…

- C’est une question ou une affirmation ?

- Une question ! Réponse ?

- …

- Ok ! Je prends ça pour un oui.

- Qu’est-ce que tu prends pour un oui ?

- Ton silence ! Après tout, qui ne dit mot, consent !

- N’importe quoi ! Je n’ai pas répondu parce que tu poses une question très intime. C’est indiscret !

- Je vois !

- …

Bon… masturbe toi un peu sur le fauteuil.

- Hein ? Tu plaisantes ?

- Non !

- …

- …

 

On se mesure du regard. Il me regarde avec intérêt. Je sens qu’il veut que je le fasse. Je n’ai pas trop envie mais bon je vais le faire pour lui faire plaisir. Toutefois c’est gênant ! J’ai honte de ce que je vais faire devant lui. Qui sait ce qu’il en pensera ? Je sens que je vais passer pour une actrice porno en plein masturbation devant la caméra, sauf que la caméra c’est les yeux de Marco.

 

Etant couchée de profil sur le côté gauche, je retourne sur la droite pour m’allonger de dos, les jambes tendues. Un peu anxieuse, je relève lentement les cuisses et les ouvres un peu, juste assez pour avoir de l’espace libre sur mon entrejambe où je glisse timidement ma main droite dans mon string, sous le regard de Marco.

 

Je commence à me caresser les grandes lèvres de la fente sous le string alors que de multiples pensées contradictoires et un sentiment de honte assaillent mon esprit. Je ne ressens rien d'excitant et n’éprouve aucun plaisir à ce que je suis en train de faire, si bien que mon minou reste désespérément sec...

 

Quelques secondes plus tard, n'y trouvant aucun gout ni un intérêt à continuer, je n'insiste pas et je ressors main de mon string.

- J’ai fini ! Dis-je timidement.
- Déjà ! me dit-il surpris 
- Euh oui...

- Je n‘ai pas senti excitée.

- En fait… je n'arrive pas à être excitée en faisant ça.
- Ah bon ?

 

J’hoche simplement la tête pour répondre par l’affirmatif.

 

- Dis-moi... Habituellement qu'est ce qui t'excite ?

- Je ne sais pas ! Dis-je machinalement.
- Quand on te touche, cela t'excite?
- Oui un peu... en fait dépend de où on me touche et qui me touche !
- Y'a-t-il des parties de ton corps plus sensibles que d'autres ?
- Je ne sais pas ! Dis-je machinalement.

- Tu te masturbes parfois ?
- Non !

- Est ce que tu as déjà fantasmé sur le fait de faire avec plusieurs hommes ?
- Euh... non !
- Tu es sûre?

 

Il aime poser de ces questions dis donc ! J’ai l’impression passé un interrogatoire de police. C’est troublant ! Gênée, j'accepte toutefois cet interrogatoire, histoire de faire discuter avec lui.

- Oui... enfin... ça m'est arrivé d'être excitée en visionnant un film X où deux hommes font avec une femme... mais de là à en avoir envie de faire ça... non !
- Ok... bien, très bien.

- …
- Etonnamment tu n’es pas facile comme femme... mais ce n’est pas grave !

- …

- Je te propose alors de recommencer à te caresser. Mais cette fois les yeux fermés, tu te concentres sur ce que tu fais et sur les sensations physiques que tu ressens en te touchant.

- …

- Vas-y ! Suit mes conseils ! Tu vas aimer. 

Je suis terrifiée par son l'idée, mais comme la situation commence doucement à m'exciter, je prends mon courage à une main. Je me pince les lèvres et glisse à nouveau la main dans mon string. Je recommence à me caresser le minou, en me concentrant sur mes sensations. Je caressais frénétiquement mon clitoris qui gonflait sous mes doigts, quand je sens immédiatement mon sexe se lubrifier et une douce chaleur envahir mon bas ventre. Je caresse ma fente humide pendant un instant, en lâchant des soupirs d’aise.

 

Je ne suis plus que soupirs et frissons de plaisir. J’halète et ma respiration devient rapide et saccadée. J’ondule le bassin, sentant cette douceur chaud s’intensifiée dans le creux de mes reins. Je me retiens de gémir mais soudain, dans mon état second, je sens venir un orgasme monté au creux de mes reins. Je joui d'une façon délicieuse, en serrant les cuisses. Je me tortille sur le canapé et laissant échapper un profond soupir. 


Je reprends mon souffle peu à peu, les battements de son cœur affolé par l’émotion redeviennent plus disciplinés. Je retrouve mon calme et ma paix intérieure. J’ouvre les yeux. Je vois Marco assis sur l’autre canapé, il me regarde et sourit.

- Alors c’était bon ? Tu as aimé ? dit-il en souriant.

Honteuse mais heureuse, je souris simplement pour répondre. Je me redresse pour m’adosser entre l’accoudoir et le dossier du canapé. Mon corps frissonne encore un peu de plaisir suite à l’orgasme révélateur que je viens d’avoir. Je replie les jambes et tends les bras à Marco en lui faisant un large sourire.

 

---- MARCO ---

 

Voir Nadia se masturber fut un spectacle érotique excitant. Regardant une femme se caresser le sexe, et l’entendre pousser des soupirs et émettre des sons évocateurs de plaisir, il y a rien de plus extra. Je n’ai pas tardé à bander mais sans cependant retrouver toute ma vigueur.

 

Nadia se redresse après sa jouissance fabuleuse. Elle tend les bras en souriant. Je comprends que c’est une invitation tacite à la rejoindre pour continuer notre petit. Je n’avais plus que mon T-shirt et elle n’avait plus que son string en dentelé. J’enlevé mon haut en me levant de ma place et le jette sur canapé où j’étais avant d’aller m’allonger littéralement sur elle, me plaçant entre ces cuisses ouvertes. Elle me serré fort contre son corps et m’embrasse avec la langue.


On s’embrasse longuement et goulument. J’entends le bruit de succions de nos lèvres pendant que nous bouches se dévorent mutuellement. Je la sens frissonner quand je passe ma langue sur son cou avant d’y déposer des bisous puis l’embrasser très franchement. Elle se tortille sous moi pendant que mes lèvres et ma langue tour à tour, goûtent à son cou, son oreille, sa joue, lui arrachant des frissons et des gloussements aigus, des sursauts et des rires étouffés. Elle soupire profondément et m’offre régulièrement sa bouche que je dévore comme un affamé jusqu’à en perdre le souffle.

 

Puis je m’égare sur le reste de son corps avec mes mains descendant sur sa hanche molle, puis l’extérieur de sa fesse gauche accessible que je palpe et pétrit, cela donne à mes doigts un avant-gout exquis de la chaire moelleuse et généreuse de sa croupe rebondie.

Je sens sur mon torse nu sa poitrine nue qui se soulève alors qu’elle respire fort et profondément en m’embrassant. Ses gros lolos aux bouts pointus contre mon torse nu me procurent un bien fou. Je suis bien là avec elle. Excité, je bande dur de chez dur contre son ventre.

 

Vautré sur elle, ivre de désir, j’enfoui mon visage entre ses gros seins et les presse contre mes joues. Comme elle se laisser faire, je suis devenu plus entreprenant que jamais. J’agace du bout de la langue ses mamelons, passant alternativement de l’un à l’autre. Je lèche les aréoles, aspire les tétons qui s’allongeaient déjà et durcissaient entre mes lèvres.

 

Tout en lui suçant les bouts durcis, j’empaume ses gros mamelons par en dessous, je les triture, les  malaxe avidement. Je suis incapable de me rassasier de leur gros volume sous mes doigts. En fin de compte, j’ai longtemps tété Nadia comme un bébé affamé. Je n’ai jamais été aussi heureux de toute ma vie, jamais je ne m’étais senti aussi bien contre le corps d’une femme presque à poil.

 

Dans le feu de l’amour, nous avons basculé sur le côté et nous retrouvant élancé, couchées sur les coté. J’ai le visage enfoui dans son cou. Je respirais son odeur, ses cheveux. C’est délicieux. Il émanait d’elle une douce et délicieuse chaleur, un parfum de sexe qui me fait perdre la tête.

 

Elle était brûlante de désir, elle haletait constamment. J’approche mon visage du sien et je capture sa bouche avec la mienne pour souder très fort nos lèvres. Elle geint et répond mon baiser. Elle léché mes lèvres et les suce doucement. J’en profite pour enfoncer ma langue dans sa bouche, et lui roulette une pelle. Puis j’ai glissé mes mains dans son string que je sens immédiatement mouillé et chaud. Elle soulève sa jambes en sentant mes doigts dans sa petite culotte, cela me permet de lui caresse le minou avant de passer la main par derrière pour lui peloter le cul, la paume à même la peau. Je touche à nouveau la chatte aussi mais par derrière.

 

Nous sommes restés enlacés un long moment, sans bouger, pour reprends nos souffles. Elle me caresse la nuque de bas en haut, me grattant ses ongles sur mes cheveux court et peu crépu. De son autre main elle faisait glisser ses doigts et ses ongles sur ma peau, me donnant des délicieux frissons.

 

Je bande grave. Mais alors que je suis sur le point de vouloir la sauter maintenant nous avons entendu des coups frappés à la porte d’entrée.

 

- Tu attendais quelqu’un ? Me demande Nadia.

- Non !

 

Les coups reprennent à la porte. Nadia me repousse doucement avant de se redresser. Elle se lève pour quitter le canapé où je reste allongé. Je grogne d’exaspération. Elle ramasse vite ses vêtements et me demande d’aller voir qui cogne. Elle me demande aussi où est ma chambre car elle veut se rhabiller car elle ne peut rester là toute nue.

 

A contre cœur, je lui indique le chemin vers ma chambre et elle s’y rend rapidement, me laissant seul. Je grogne de colère et suis très agacé par cette interruption. J’espère que la personne à une bonne raison de venir cogner chez moi parce sinon je vais l’insulter et lui claquer ma porte au nez.

 

J’enfile mon short et mon T-shirt vite fait pour aller voir qui cogne à ma porte. J’ouvre un peu et regarde dans l’entrebâillement, je vois mon bailleur. On se salue et il me dit qu’il tient juste à me rappeler le paiement du loyer pour la semaine prochaine, vu qu’on est le 25 décembre. Il me fait comprendre que je ne dois pas payer le loyer en retard. J’acquiesce ! Il s’en va et me laisse après m’avoir souhaité un joyeux noël.

 

Je ferme la porte et pousse un soupir. Je bande encore peu et j’ai envie de baiser tout de suite. Je sors une des capotes que j’ai dans ma poche et l’enfile sur ma bite. J’espère que Nadia ne va pas partir mais il est évident qu’elle partir vu qu’elle est allée se rhabiller.

 

Une fois la capote mise, je veux aller retrouver Nadia. Mais je vois je l’air ridicule avec ma bite dehors. Je la range dans mon short sans ôter le préso. J’avance et vois Nadia arriver aussitôt au salon. Elle est entièrement vêtue, comme si rien n’était, avec son haut gris foncé sui s’arrête sous ses gros seins et le dessus de son ventre. Ce dernier est presque recouvert par le haut de sa jupe noire taille haute qu’elle porte en bas et qui lui arrive sous les genoux. Sa jupe est moulante et fait d’un tissu extensible. Elle est charmante dans cette tenue. On ne  dirait pas qu’elle était à poil un instant plus tôt. Un sourire illumine son visage en me voyant. Je lui tends les bras et elle vient se coller conte moi puis je l’embrasse avec fougue. J’aime ses lèvres, elles sont d’une douceur exquise. Nadia répond à mon baiser avant de me repousser doucement.

 

- C’était qui ? demande Nadia un peu anxieuse.

- Mon bailleur !

- Ah ! Bon, je vais rentrer !

- Oh, déjà…

- Oui ! Je suis resté trop longtemps ici.

- Reste quelques minutes encore !

- Non ! Mais si tu veux reviendrai ici autre jour.

- Demain soir !

- Oui !

 

Je prends son visage entre mes mains et je l’embrasse de nouveau. Elle gémit contre mes lèvres en se frottant à moi. Tout en l’embrassant, je la fait reculer et la dirige vers ma table conte laquelle je la colle par les fesses. Je balade mes mains sur son dos et ses fesses puis les remontent sur ses hanches pour glisser sous son haut que je remonte pour attraper ses seins en dessous du tissu. Je remonte bien son haut pour avoir ses seins libre à l’air. La vision de ses seins me réjouit et ne me donne qu’une seule idée : les goutter !!!

 

J’attrape un des deux mamelons et le suce avec ardeur avant de passer à l’autre. Bien positionné contre Nadia, je bloque son dos et la force à prendre une position légèrement assise sur le bord de la table pendant que je me régale de sa poitrine si goûteuse et savoureuse. D’une main Nadia palpe mon entrejambe déjà bien gonflé. Je crois qu’il est temps de passer aux choses sérieuses.

 

 

---- NADIA ----

 

Après m’avoir longuement sucé les seins, Marco soulève ma jupe près du corps et la retrousse d’un geste vif jusqu’à mon ventre. Je me retrouve fesses nues à l’air. Je vois un petit sourire sur ses lèvres de Marco alors qu’il malaxe mes fesses à plein main. Il me fait assoir sur la table, les fesses au bord. Il s’accroupi devant mes jambes et les écarte sans vergogne. Il s’installe bien en face mes cuisses grandes ouvertes à la hauteur de son visage. Il repousse mon string sur le côté et le maintiens calé avec sa main. Il vient coller sa bouche sur ma fente et se met à mâchouiller mes lèvres

 

Je geins et pousse un long soupir en ondulant le bassin quand sa langue lèche mon intimité déjà bien humide. Je bascule la tête en arrière et je finis par me couché de dos sur la table, les jambes en l’air.

Avec de petits coups de langues bien appliqués, il me fait geindre et vibrer de plaisir, je manque plusieurs fois de m’évanouir tellement les sensations de cette cave (cunnilingus) sont très fortes. Sa main gauche libre me triture les seins, accentuant encore le gout que je ressens. J’ai envie de crier très fort mais je ne veux pas ameuter les voisins de Marco.

 

Je me relève sur mes coudes et regarde Marco faire sa besogne qui me rend folle. Je repousse lentement sa tête enfoui entre mes cuisses. Je lui dis de me prendre et me remet en position assise sur le bord de la table. Marco baisse son short. Je suis très surprise de voir qu’il est déjà protégé avec un préservatif. Je souris en réalisant qu’il s’était déjà préparer. Il attrape mes hanches et s’introduit lentement en moi.

 

La sensation de cette pénétration est agréable. Il bouge tout doucement au début, m’arrachant bien des soupirs. Ma poitrine est contre la sienne tandis que mon sexe réceptionne le sien qui fait des aller et venu dans ma caverne toute mouillée. Il me regarde avec beaucoup d’envie. Je me penche un peu vers l’arrière pour lui laisser un peu d’espace et lui facilité la tâche. Il continue de me besogner au même rythme de départ. Je vois dans son regard le plaisir qu’il éprouve en ce moment.

 

 

--- MARCO ----

 

Je prends Nadia en douceur depuis un moment et elle semble beaucoup appréciée cette douceur avec laquelle je prends. Elle soupire et geins, puis me supplie d’une voix faible de la prendre plus vite. Je veux la satisfaire mais je prends plaisir à la faire languir. Elle me fixe un long moment, mais ma seule pensée est cette sensation exquise d’étroitesse que je ressens en coulissant en elle. Elle vient m’embrasser sans me toucher, car elle se tient en appui sur ses mains posées sur la table pour avoir un bon équilibre durant notre emboitement. Mais sentant ma semence montée, je me retire pour cesser de limer pendant un instant, le temps faire tomber la pression qui menace de me faire verser alors que je veux faire durer le plaisir le plus longtemps possible.

 

J’avance les mains sur sa poitrine qui me donne envie. Je malaxe et pétrit fermement ses gros mamelons puis je pince fort les bouts qui pointent. Nadia gémit et me repousse. Elle se tourne et s’accoude sur la table, me présentant son beau postérieur rebondi. Elle remue es reins et frotte ses fesses sur mes bite tendue.

 

Je me presse de m’introduis en elle, par derrière, et la tiens par les reins quand je commence à bouger tout doucement en regardant avec fascination la croupe de ma partenaire. Je vois de haut comment ma bite entre et sort dans la chatte moelleuse en dessous des fesses par un glissement fluide. Je la prends logement en douceur, appréciant chaque allé et venu dans son ventre. Quelques allé et venus plus peu après, elle se contracte à l’intérieur plusieurs fois, chavirée par le plaisir qui semble la  submerger tandis qu’elle soupire bruyamment.

 

- Mmmmmmmm ! Plus vite, Marco ! Plus vite ! Dit-elle le souffle court entre deux soupirs.

 

Je l’entends mais je maintiens le rythme de départ pour faire durer le plaisir. Mais toute cette douceur n’est plus du goût de Nadia qui remue soudain ses reins avec ardeur, bougeant les fesses dans tous les sens. Chacun de ses mouvements de reins et de déhanchement me fait serrer les dents tellement les sensations qu’ils provoquent sont intenses. Elle recule et avance sa croupe vers moi, tapant fort ses fesses sur mon bassin. Elle prend les choses et augmente la vitesse de la cadence de va et vient en elle. Je me saisis de son postérieur pour l’immobiliser et décide de reprendre les choses en main pour lui montrer que c’est moi pilote.

 

Je mets d’abord une pause pour me pencher en avant sur son dos, j’attrape ses gros mamelons qui pendent mollement. Je mets à caresser sa poitrine afin de la stimuler un peu. J’enfonce mes doigts dans la chaire moelleuse de ses seins que j’empoigne vigoureusement et j’engage ensuite des mouvements rapides et violent de mon bassin que je cogne très fort contre ses fesses qui rebondissent à chaque coup de butoir. Cela lui qui lui coupent le souffle que je t’entendais.

 

- Aaaasssshhhh ! Aaah ouiiiii ! Mouiiii ! Oh Marco ! Dit-elle en geignant fort.

 

Elle essaie de se redresser et retourner pour me regarder derrière elle, par-dessus son épaule. Mais elle abandonne vite la manœuvre pour fermer les yeux et geindre à voix déployé sous les coups de butoir que je lui inflige en tapant fort mon bassin contre son gros cul.

 

- Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaassshh… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaasssh… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Oh ouiiiii ! C’est trop bon ! Ça vient ! Aaaaaaaaaaah… Aaaaaaaaaaaaaaah !!!!

 

Elle pousse un long cri et se contracte sous moi. Je réalise que la jouissance l’emporte, l’envoyant très loin vers d’autres cieux et un autre monde. La contraction qu’elle a me titille et provoque la montée de pression dans mes reins qui ne cessent s’activent à un rythme effréné. Je sens ma semence monter mais je ne m’arrête pas mes coups de reins et redouble d’ardeur, tout en pétrissant de plus fort encore ses gros mamelons que je tiens fermement. Tout cela fait geindre Nadia de plus belle…

 

- Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah…  Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah… Aaah…

 

Ces geignements est une belle musique à mes oreilles. Elle émet un son et un souffle bruyant quand je m’enfonce violemment en elle. Des secondes plus tard, je donne un ultime coup de butoir de toutes mes forces. Sur le coup Nadia est secoué par un tremblement incroyable.

 

- Mmmmmmmmhhhh !

 

Je me vide en elle et m’affale sur son dos alors qu’elle respire bruyamment. Je reste immobile, en foncé en elle, tandis que j’ai le souffle court et la respiration saccadée. Je me redresse et me retire doucement d’elle. Je lui donne une petite tape aux fesses et elle se redresse pour tourner vers moi avec un sourire illuminant son visage. Elle dépose un baiser sur mes lèvres.

 

- Je vais aux toilettes retirer le préso. Dis-je !

- Ok ! Tu vas me raccompagner ensuite ! Je vais rentrer !

- D’accord ! Donne-moi une minute et je suis à toi ! Dis-je en souriant.

 

Je vais aux retirer la capote recouverte un peu partout d’un liquide blanc. Je la jette dans le trou du WC et m’essuie le sexe avec le papier Q. je tire la chasse d’eau et remet mon zizi dans mon short que je porte correctement sur moi. Quand je reviens au salon je trouve Nadia en train de remettre de l’ordre dans sa tenue.

 

Une fois prête, je l’accompagne dehors et ne la laisse que quand elle s’en va dans un taxi. Elle m’a promis de revenir demain soir. J’ai hâte ! C’est en souriant que je rentre chez moi, la tête plein de bon souvenir de cette après-midi de noël pas comme les autres. J’ai comme eu un cadeau de noël plutôt imprévu et j’en suis très heureux.

 

 

A SUIVRE !

C’est NOËL !