Chap. 12 : L’initiation de Grace aux plaisirs de la chair

Ecrit par casanova

La femme fait parti de l'un de ces rares aliments à consommer sans modération car elle vous en voudra pour votre infidélité mais vous détestera pour votre manque d'expérience et de savoir faire.

le sexe de la femme pour moi est le résumé de la complexité de l’univers .

Rien n’y est mis au hasard et chaque élément y joue un rôle spécifique depuis les grandes lèvres en passant par le clitoris excité qui se met en érection jusqu’au petites lèvres qui enflent lorsqu’un orgasme est imminent .

Une femme qui désire que vous l’initiez aux plaisirs de la chair choisit par cet acte de vous faire une offrande.

Initier une femme est une grande responsabilité. Cette première expérience déterminera pendant longtemps sa façon de voir l’autre sexe et d’assumer sa sexualité.

Je ne suis pas le genre d’homme pour qui déflorer une femme est un trophée remporté.
S’il y a une chose que je n’ai jamais comprise c’était le fait qu’un homme court raconter à ses amis le travail bâclé qu’il vient d’accomplir (oui dans la plupart des cas c’est ça malheureusement).

Combien de femmes n’ont pas été traumatisées par leur première expérience sexuelle ?

On ne peut pas vouloir déflorer une femme sans prendre le temps de connaitre son corps et d’écouter ses vibrations.

Connaitre le corps de Grace passait forcément par de nombreuses sorties (oui oui ce n’est pas dans la chambre on fait cette étude loll), de longues promenades à la plage et de bons en sensuelles moment sur les bancs publiques.

J’aimais l’embrasser, j’aimais cette chaleur intense qui naissait dans le bas ma nuque à chaque fois que ma langue enlaçait la sienne.

Ses lèvres étaient douces et diaboliquement sensuelles.
Le corps de Grace avait un taux de sensibilité incroyable.

J’avais des sensations étranges à chaque fois que j’y posais ma main. Ce dont je raffolais le plus c’était la prendre sur mes jambes et la dorloter comme un bébé.

C’était un petit modèle cette créature. Un bijou, un cadeau du ciel.
Ce qui me plait le plus dans la sexualité ce sont les détails.

Le parfum de ma partenaire, ses cheveux, je les aimais naturels car je ne voyais pas l’utilité de passer des heures chez une coiffeuse si je n’avais pas le droit d’y foutre ma main après, les gestes, le regard, la peur aussi.

J’adore lire la peur dans le visage de ma partenaire un peu comme si elle est déboussolée, prise au piège et ne sachant plus à quel saint se vouer.

J’eus besoin de 2 mois pour mieux connaitre le corps de Grace et mieux la faire se découvrir en tant que femme .

Nous étions dans la dernière semaine du mois de Mai et mes parents devaient se rendre à Porto novo passer le weekend dans la nouvelle maison que mon père venait d’y construire.

Je devais y aller avec eux mais quand je prétendis avoir un TD ce samedi là qui finissait à 15 h ils ne virent aucun inconvénient à ce que je reste.

J’avais surtout l’impression qu’ils avaient eux aussi envie de se retrouver seuls (je dérangeais les deux tourtereaux visiblement).

C’était l’occasion rêvé pour me retrouver seul toute la soirée du samedi avec Grace.
Le soir comme à l’accoutumé avant de dormir nous échangeâmes quelques SMS aux cours desquels je lui annonçai que samedi était le jour propice pour notre rendez-vous.

Pour la recevoir je dû procéder à quelques aménagements dans ma chambre. Je devais la transformer en un sanctuaire de défloration et pour se faire je ne devais rien laisser au hasard.

J’achetai une veilleuse qui donnait une lumière rouge tamisée car c’était sa couleur préférée. J’avais rangé correctement ma chambre, mis de nouveaux draps que j’avais légèrement parfumé.

Le rendez vous était pour 16 h.

Ce jour là j’avais fait une playlist spéciale, j’avais prévu de jouer African Queens de 2 face, unpredictable de Jamie Fox, Lady de Kenny Rogers, All out love de jagged Edje sans oublier Mouvance pour le Zouk car elle adorait.

C’est à 16 h 05 que la princesse sonna à la porte. Elle était vêtue d’une robe toute noire qui s’arrêtait juste au niveau de ses genoux. Elle avait son bracelet fait de manière artisanale sur lequel il y avait les initiales de son nom.

Grace était simple et élégante avec ses cheveux naturels et bien coiffés. Elle était magnifique et sentait vraiment bon.

Je l’invitai à prendre un coca ( jamais d’alcool une première fois ) histoire de détendre l’atmosphère. J’étais seul à la maison ce jour là car la domestique avait eut quartier libre pour le week end.

Me retrouver seul dans notre appartement avec toute une soirée devant moi pour savourer ce moment à deux avait toujours été un fantasme pour moi.

J’avais allumé la télé et nous regardions question pour un champion sur France 2. On parlait de tout et de rien histoire de détendre un peu l’atmosphère.

Quand Grace rentrait dans l’appart elle était décontractée mais il a juste fallu qu’on soit face à face tous les deux assis dans le salon pour que je la sente crispée.

Moi je portais juste un Djean noir et un polo ce soir là. J’étais vraiment à l’aise et décontracté et j’essayais tant bien que mal de lui transférer cet air décontracté qui était naturel chez moi.

Ce n’était pas la première fois que nous retrouvions seuls elle et moi, je conclus donc que si elle était un peu crispée c’était à cause de la raison de notre rencontre.

Elle avait le regard fixé sur la télé et moi mon regard fixé sur elle. J’observais sa gestuelle, ses yeux, ses jambes.
Grace – Pourquoi tu me fixes comme ça ?

Elle avait dit ça avec un peu de nervosité ce qui me fit juste sourire. C’était quand même surprenant je dois avouer car c’était elle qui me demandait il y a quelques temps si j’avais peur des femmes mais là on n’avait pas besoin d’être un géni pour savoir que la peur en question à ce moment là , c’était elle qui la ressentait.

Quand je sentis qu’elle était un peu plus décontractée que tout à l’heure je l’invitai à me rejoindre dans ma chambre. Elle hésita un moment puis se leva .j’avais tiré les rideaux de ma chambre afin que la veilleuse fasse mieux son effet. Quand elle entra enfin dans la chambre je fermai la porte derrière nous et là elle se décida enfin à parler.

Grace – Harlem j’ai peur

Moi – je sais

Grace - …..

Moi – Mais je sais aussi que tu as confiance en moi
Ces derniers mots la rassura je crois car elle se décida enfin à s’asseoir sur le bord de mon lit.

Je lançai la playlist que j’avais précédemment enregistré et ce fut Jamie Fox qui lança le bal.

L’hésitation de Grace était logique et naturelle car la plupart des femmes à ces moments là ont toujours en elle cette envie de rebrousser chemin un peu comme si elle ne voulait perdre cette preuve de leur innocence.

Il fallait qu’elle croie qu’elle avait le contrôle pour être rassuré. Elle devait se dire que même au moment T elle avait encore les dés en main et pouvait dire stop.

C’était juste une impression que je devais lui donner pour la rassurer car en réalité c’était moi qui contrôlais cet instant. Son corps était à moi et ce depuis qu’elle avait franchit le seuil de ma porte.

2 face chantait son African Queens et la seule chose qui me vint à l’esprit à ce moment c’était de m’asseoir dans le canapé de ma chambre et de la prendre sur mes cuisses comme j’aimais souvent le faire.

En ce moment je comprenais juste quelques mots de la chanson de 2 face mais je savais que ces paroles qu’il prononçait étaient en parfaite adéquation avec ce que je ressentais à cet instant là.

C’était ma princesse africaine, ne l’avais je pas vu dans ces rêves que je faisais ? Je la caressais avec douceur.

Je l’embrassais avec hargne, je lui disais des paroles douces dans ces oreilles que je léchais tout doucement au passage.

Elle gémissait déjà alors même qu’on n’eut pas encore attaqué l’introduction.

Je bénissais le ciel pour ces sensations que je ressentais à chaque fois que je posais ma main sur ses cuisses en remontant tout doucement sa robe.

J’aimais ce que je voyais. Plus j’avançais mes mains et plus ses cuisses s’éclaircissaient un peu comme pour me pousser à continuer, mais je ralentissais.

Grace était de plus en confiance et se faisait plus câline. Elle voulait que je continue mes excursions un peu plus en profondeurs mais ce soir je n’étais pas pressé non pas du tout.

C’était une nouvelle expérience et je devais vivre intensément chaque instant. Je ne me préoccupais plus de mon désir ardent d’être dans sa cave à boire tout son vin non I’m just taking my time.

Je la remis debout en douceur, me rassit et lui demandai d’ôter ses vêtements.

Ce n’était absolument pas du strip tease non, se déshabiller devant moi était en fait une façon pour elle de me donner son accord pour ce qui allait suivre.

Elle enleva tout doucement sa robe à partir du bas. Elle était superbe, avec un bas – ventre légèrement bombée (c’est cette partie de l’anatomie féminine que j’adore le plus).

Ses courbes étaient plus appuyées que celle de Nadia. Ses seins étaient magnifiques, gros et en parfaite harmonie avec le reste de son corps. Elle n’avait pour vêtement qu’un slip blanc.

Je restai là un moment à l’observer, elle avait la tête baissée, un peu mal à l’aise je suppose.

Je la tirai légèrement vers moi. Assis j’avais ma tête juste en face de son bas ventre.

Je déposai délicatement mes mains sur ses fesses et me mis à embrasser sensuellement son bas ventre que j’aurais bien croqué si c’était une pomme.

En ce moment je laissai mes mains descendre tout doucement vers l’arrière de ses cuisses. J’utilisais mes ongles pour caresser le bas de ses fesses jusqu’ ‘au creux de ses genoux. Elle n’arrêtait pas de se tortiller.

Moi – allonge toi sur le lit mon cœur.

Ce qu’elle fit sans broncher. C’est ce que je voulais. J’étais son guide, et la façon dont elle s’exécutait montrait juste qu’elle avait confiance en moi.

J’enlevai juste mon polo et la rejoignit. Je mis mes mains sur son visage un peu comme pour vérifier si elle était bien réelle. *

Je m’approchai ensuite et pris ses lèvres entre les miennes, c’était unique et fantastique. Je pouvais sentir tout son corps émettent des vibrations.

Je commençai l’exploration de ce terrain vierge par de petits baisers dans son cou, sur ces seins (pas les têtons), ensuite avec ma langue je prolongeai l’exploration vers son nombril.

Il était tout petit et creux, je pouvais donc y entrer le bout de ma langue ce qui lui soutira un petit gémissement.

Sa cave était déjà inondée alors j’entrepris subtilement de la débarrasser de son slip déjà imbibé de mouille.

Elle avait un sexe qui me souriait et qui ne demandait juste qu’à m’embrasser (mdrr yep le sexe sourit faites attention la prochaine fois et vous verrez). Avec mon pouce gauche je retirai tout doucement le capuchon qui servait de protection à son bouton rose.

Cette sensibilité et ses gémissements qu’elle avait à chaque coup de langue sur cet organe qui gorgé de sang devenait de plus en plus rouge me rendait fou de désir.

Cette fois la mouille dégoulinait de sa cave, à sa vue le seul réflexe que j’eus fut de lécher son nectar …..

La vie de Harlem