Chapitre 13 : L’initiation de Grace aux plaisirs de la chair (2)

Ecrit par casanova

J’enfonçai tout doucement le bout de ma langue à l’entrée de sa grotte, je prenais plaisir à pratiquer de longues lèches depuis l’entrée jusqu’à son bouton rose.

Elle gémissait tirait les draps fermait ses cuisses pour ensuite les ré ouvrir, j’étais juste passionné par cette folie que j éveillais en elle.

J’aimais revenir vers son nombril dans mon exploration en n’oubliant pas de lui tirer quelques poils du pubis au passage histoire de lui arracher quelques râles de douleurs en plus .

J’introduisis ensuite mon majeur en elle, tout doucement, d’un coup rapide et adroit je l’enfonçai à l’intérieur. Elle poussa un cri plaintif en essayant de refermer ses jambes. Je le gardai toujours à l’intérieur d’elle en le faisant tourner.

Elle se mit à saigner légèrement, le plus dure était fait certes, mais tout était prévu ce jour là, j’avais du miel dans une petite bouteille sous mon lit et des glaçons dans le freezer que j’avais préparé depuis la veille.

Je la laissai, juste le temps d’aller chercher les glaçons mais quand je revins elle se rhabillait déjà avec la tête baissée comme si elle avait honte d’elle-même.

Je comprenais très bien ce qu’elle ressentait alors je ne dis rien, je mis juste ma main droite sur la sienne, saisi délicatement son menton et le tournai légèrement vers moi pour l’embrasser.

Cette fois je la fis s’allonger moi-même et me mis à recouvrir ses têtons , son bas ventre et le creux de son nombril de miel , elle me regardait un peu surprise avec un petit sourire se disant surement qu’elle avait affaire à un petit pervers ou un passionné je ne sais pas , cette expression sur son visage était unique et non décodable.

Quand je mis le premier glaçon dans sa grotte elle eut un frémissement, la réaction de ses têtons face à cette sensation de froid à l’intérieur d’elle fut immédiate. Ils se mirent à durcir, prêts à passer sous ma langue.

Je fis d’abord le contour de la racine de ses seins avec ma langue, ensuite je me mis à lécher le miel sur ses têtons en faisant des vas et vient avec le glaçon à l’intérieur d’elle.

C’était juste magnifique, elle tremblait, elle suffoquait, elle pleurait. Je ne me concentrais pas sur ses têtons mais juste sur le miel que je lapais comme un chat affamé.

Elle eut 5 orgasmes ce jour là, et le sixième vint quand je me décidai enfin à la pénétrer. Je pris soin d’enfiler un Durex avant d’approcher mon sexe du sien.

A peine avais-je entrepris de m’introduire en elle que je la sentis se figer un peu comme si elle avait une crampe pour ensuite se mettre à grelotter , c’est vrai que j’étais un peu flatté de produire autant d’effet sur elle la première fois mais franchement son sixième orgasme me fit peur dans la mesure où il dura plus de 20 secondes pendant lesquelles je ne voyais que le blanc de ses yeux .

Je crus d’abord à une crise d’épilepsie mais il n’en était rien.
Grace était étroite, peut être un peu trop mais je finis quand même par prendre place à bord de sa navette pour l’ultime voyage à deux.

Chaque coup de hanche était comme une avancée inéluctable vers la jouissance, je m’efforçais de résister mais en à peine 2 minutes j’avais jouis c’était inexplicable, j’étais juste aspiré par sa grotte.
Le second round fut plus long mais surtout plus tendre et plus câlin.

J’aimais l’embrasser sensuellement quand j’étais en elle, la fixer aussi droit dans les yeux à chaque coup de hanche.
Je ne pouvais aller en profondeur car elle avait mal quand le bout de mon membre touchait le fond.

Cette expérience était unique, contrairement à celle que j’avais vécu avec Nadia ma première, ici j’étais le chorégraphe et c’est moi qui menait la danse.

Nos ébats prirent fin vers 18 h 30 min. Grace s’était endormie dans mon lit tandis que moi assi dans le canapé en face, je la fixais.
Elle était allongée là toute nue devant moi.

Je cherchais à comprendre la nature de cette passion que j’avais pour le corps de la femme en contemplant ses courbes.

Elles sont si belles, si étranges et si uniques ces femelles. La femme en elle-même était une offrande du créateur. Il l’avait créé pour l’homme ça ne faisait aucun doute.

Il sonnait 19 h quand je me décidai à la réveiller, elle était heureuse et amoureuse, ça pouvait se lire dans son regard et ses gestes. Ce soir là pas de SMS, je l’appelai juste avant qu’elle ne s’endorme.

A peine avais-je fini de discuter avec elle que je reçu un SMS de Nadia.

Nadia – Je meurs d’envie Harl

Elle avait cette façon si spéciale à elle de me faire qu’elle me désirait. Elle n’avait aucunement honte de me dire quand et comment elle voulait que je la prenne et ça m’excitait vraiment à chaque fois mais ce soir là faut dire que j’étais épuisé.

Je venais de finir un marathon de 3 h d’exploration d’un terrain vierge tel Christophe Colomb et tout ce dont j’avais réellement besoin c’étais du repos pour le travail (grand travail hein) que je venais d’abattre.

Je décidai donc d’ignorer son message mais c’était sans tenir compte de sa ténacité quand elle voulait quelque chose.

Le bruit de la sonnerie qui retentit dans toute la maisonnette me tira de mon profond sommeil. Il sonnait 1H 45 min et j’eus peur quand une fois debout je me souvins que cette nuit là j’étais seul dans tout l’appart.

Moi – Qui … Qui est là ?

Nadia : Me dis pas que tu as peur bébé

Pfff c’était Nadia qui venait de me foutre la trouille de ma vie.

Moi – Nadia ?

Nadia – Oui, tu attendais une autre ?

J’étais juste en calcif noir, c’était ce que j’avais eut le temps d’enfiler vu que je dormais toujours nu, j’ouvris donc afin de la laisser rentrer.

Elle était en robe de chambre rouge un peu transparente avec des manches en soie fines.

L’espace entre la porte et moi lui permettait de rentrer sans problèmes, mais elle choisit de passer à proximité de moi pour mieux frotter son postérieur contre mon corps. Elle avait la provocation dans le sang cette femme et je l’aimais ainsi, classe à l’extérieur et salope à l’intérieur.

Je validai son geste avec une tape sur ces fesses.

Nadia – Ouchh tu m’as fait mal regarde

Et là elle souleva juste sa robe pour me les montrer en prenant soin de bien me faire remarquer qu’elle ne portait rien en dessous. Je venais de faire l’amour pendant des heures mais juste par ses gestes Nadia m’excitait et ça pouvait déjà se remarquer dans mon calcif.

Mais qu’est ce qu’elle venait chercher chez moi à cette heure là alors même que mes parents auraient pu être réveillés par la sonnerie s’ils se trouvaient à la maison ?

Moi- Tu sais quel risque tu prends en venant sonner à cette heure à ma porte ?

Nadia – humm quel risque ? Tes parents ne sont pas là non !!

Moi- Oui mais ça tu ne le savais pas

Nadia – Héé bien figure toi que ta mère m’a appelé

Moi- ma mère ?

Nadia – Oui elle m’a juste prévenu il y a quelques heures que tu étais seul à la maison

Moi- Mais pourquoi ?

Nadia – Bahh pour que je prenne soin de son gros bébé d’amour
Franchement je ne pus m’empêcher de rire, ça c’était maman toujours à s’inquiéter pour moi alors même qu’on avait discuté au téléphone juste avant que je ne m’endorme.

Nadia – pourquoi tu ris ?

Moi – Bahh parce qu’elle a trouvé la bonne personne en tout cas pour veiller sur moi

Nadia – je n’en suis pas capable tu trouves ?

Moi – peut être que Oui et peut être que non je ne sais pas, ça dépend de l’offre

Nadia – viens un peu par là dit elle en plongeant ses mains dans mon calcif

Nadia prit mon membre entre ses lèvres, se mit à le lécher subtilement avant de le prendre goulument dans sa bouche.

Elle me taillait une pipe d’enfer avec cette sensation que seules ses lèvres me procuraient.

Ma fatigue de tout à l’heure était de l’histoire ancienne, j’étais dopé à fond et prêt pour un autre marathon.

J’étais là adossé contre la table du salon, mes mains sur sa nuque un peu comme pour l’aider à mieux prendre mon membre jusqu’à la racine.

Elle avait une gorge profonde Nadia et je pouvais sentir la pointe de mon sexe toucher son fond de gorge. Avec je ne faisais pas d’efforts, je suivais juste mon instinct, je la tirai par les cheveux, la retournai pour une superbe levrette.

Ses deux mains posées sur la table lui servaient d’appuis pendant mes assauts répétés. Elle râlait comme une folle et moi qui tenant fermement ses hanches par derrière ne pouvais m’empêcher de la mordre dans le dos.
Je pris ensuite ses deux mains que je croisai par derrière pour mieux la faire se cambrer et continuer cette partie de plaisir nocturne. Elle criait sans même se soucier de nos voisins à l’étage supérieur au notre.

Je me dégageai juste au moment où je sentis qu’elle allait jouir, la retournai cette fois ci pour un face à face.

Elle s’assit juste sur le bord de la table, écarta ses cuisses et m’invita à y faire une autre intrusion.

J’étais juste Harlem le passionné au fond de Nadia mon initiatrice. J’étais à la source, possédée par cette passion qui me rendait fou.

Nadia me griffait les épaules, me giflait, m’embrassait, me mordait les lèvres tel un étalon à qui on faisait subir des supplices pour qu’il accélère.

Je ne su à quel moment je jouis ce jour là. Je le fis en Nadia alors même que j’étais au contact de sa chair et ceci sans protection …

La vie de Harlem