Chap 18
Ecrit par Mona Lys
Chap 18 : Alex la pute
***Alexandra***
Coucou moi c’est Alexandra Touali et je suis la future Madame Levry parce que je vais bientôt épouser Nick. Depuis la nuit qu’on a passé ensemble je suis tombé littéralement amoureuse de lui. Mama il s’est faire la chose et puis il a un de ces corps à faire damner un saint. C’est Brice mon plan cul qui m’a mis sur lui pour que je le détende un peu puisqu’il venait d’arriver au pays et depuis ce jour je cherchais un moyen de me rapprocher de lui puisqu’il est le beau-frère de Brice mais je ne lui en ai pas dit mot sinon il m'aurait tué parce que selon lui il était inconcevable qu’il me partage avec quelqu’un qu’il connait. J’ai donc dit à ma mère de parler de moi à la mère de Nick comme ça elle verrait en moi une bonne belle-fille et c’est ce qui a été fait donc me voici sur la voix de devenir…
BOUM BOUM BOUM
Moi (hurlant) : Oh mais c’est quoi ces conneries, vous voulez casser ma porte ou quoi ?
Je me lève et vais ouvrir la porte avec l’intention de m’être le taré à sa place.
Moi (ouvrant) : Brice ? Mais que fais-tu ici à cette heure tardive ?
Brice (me saisissant par le cou) : C’est quoi cette connerie que tu es entrain de faire ?
Moi (me libérant) : Oh lâche-moi là ! Je cherche à assurer mon avenir. Quoi il y a un problème ?
Brice (furieux) : Oui il y a un problème. Comment peux-tu vouloir te caser avec Nick alors qu’on baise ensemble toi et moi ? Je t’ai dit que je ne partage jamais ou bien t’as pas compris ?
Moi (me collant à lui) : Horr arrête de t’énerver pour rien ! Si je fais ça c’est pour nous ; Tu sais que si le vieux Levry meurt ce sera Nick qui prendra les rênes des biens de la famille alors si je suis sa femme toi et moi on pourra se faire pleins de tunes.
Brice : Nous faisons déjà partie de famille aisée…
Moi : Mais pas plus aisée que les Levry et tu le sais. Donc ça ne nous ferai pas de mal de nous allier à eux.
Brice (méfiant) : Tu es sûr que c’est pour la seule raison que tu veux être avec Nick ?
Moi (souriant) : Bon il y a aussi le fait qu’il soit vraiment beau gosse mais surtout, surtout et c’est ça le plus important il défonce super bien, je dirai même mieux que toi.
Brice (furieux) : Quoi ? Comment oses-tu me dire une telle sottise ? (Me plaquant violemment contre le mur) Eh bien je vais te montrer moi ce que c’est réellement que défoncer.
Il me retourne contre le mur puis d’un geste brusque coupe la fine corde de mon string et soulève ma robe. Il me fait cambrer en me donnant une tape sur les hanches puis d’un coup sec s’enfonce en moi et là il me pilonne comme jamais il ne la fait. Je ressens et de la douleur et du plaisir tellement il le fait avec colère.
***Une semaine plus tard***
***Dame Levry***
Depuis une semaine que j’ai présenté Alex à Nick mais toujours aucune réaction de sa part, il ne cherche même pas à la rencontrer pour discuter et ça je suis sûr que c’est à cause de Floriane manchinchose. J’ai décidé d’agir et là je me rends chez lui, il est en voyage et rentre demain soir donc j’ai le temps de faire ce que j’ai à faire. Je sonne et bien entendu c’est cette fille qui m’ouvre.
Moi (rentrant) : Je sais que Nick n’est pas là raison pour laquelle je suis venue te parler et je ne vais pas passer par 4 chemins pour te dire ce que j’ai à te dire. (Me tournant vers elle) Je veux que tu dégage immédiatement de cette maison.
Floriane (sereine) : Sauf votre respect Madame, c’est Nick qui m’y a accueillir donc c’est à lui de me mettre dehors.
Paaffff
Moi (furieuse) : Comment oses-tu me parler de la sorte ? Tu n’es qu’une pauvre mendiante et ta place est dehors dans la rue. Si tu ne dégage pas de cette maison je vais te frapper tellement fort que tu vas me supplier en pleurant toutes les larmes de ton corps.
Floriane (se tenant la joue) : Oui vous allez me frapper et certes je vais vous supplier de me laisser mais jamais, au grand jamais je ne verserai une larme encore moins à cause de vous. Les larmes c’est pour les faibles. Je vais quitter cette maison mais ce n’est pas parce que vous me le demandez mais parce que je veux être en paix.
Elle tourne les talons puis monte à l’étage et je m’assois pour attendre qu’elle descende avec ses bagages pour être bien sûr qu’elle s’en ira.
Floriane (apparaissant) : Voilà je m’en vais.
Moi (me levant) : Et où est la petite ?
Floriane : Chez Sara, je passerai la chercher et ne vous inquiétez pas je ferai en sorte qu’elle ne sache rien.
Moi : Bien ! Maintenant à Dieu !
Elle me regarde un instant puis s’en va avec ses valises.
***Le lendemain soir***
***Nick***
C’est tout épuisé que je rentre à la maison mais en même temps tout excité rien qu’à l’idée de voir ma Fleur. Elle m’a tellement manqué pendant cette semaine et je n’ai pas cessé un seul instant de penser à elle. Je lui ai acheté pleins de cadeaux qu’elle va sûrement adorer, j’ai appris à connaitre ses goûts au fil du temps. Je rentre donc mais plutôt que ce soit Fleur qui m’accueille, c’est Alex qui vient vers moi en souriant.
Moi (surpris) : Euh que fais-tu ici ? Et où est Fleur ?
Alex (s’approchant) : Je suis là pour te faire relaxer, ta mère m’a dit que tu rentrais de voyage aujourd’hui donc je suis là pour te faire oublier tout le stresse du voyage.
Moi : Je t’ai aussi demandé où était Fleur ?
Alex : Parti.
Moi : Parti ? Parti où ?
Alex : J’en sais rien, ta mère m’a juste dit qu’elle était parti avec sa sœur on ne sait où.
Quoi ? Je n’arrive pas à croire ce que j’entends. Si ma mère sait que Fleur est partie c’est que c’est sûrement elle qui l’a mise à la porte et je sens que ça va barder pour elle.
Moi (lui prenant la bras) : Bon toi tu dégages immédiatement de ma maison et je ne veux plus te revoir.
Alex : Quoi ?
Moi (la tirant) : J’ai dit tu dégages.
Je la tire dehors et la conduit jusqu’à ma voiture, je lui dis de monter et je démarre direction chez ma mère.
…………….
Maman (ouvrant la porte) : Ah vous êtes là les tourtereaux !
Moi (faisant rentrer Alex) : Je suis venu de ramener ton acolyte. Où est Fleur ?
Maman : Là où est sa place c’est-à-dire dans la rue.
Moi (furieux) : Comment oses-tu la mettre hors de MA maison ? Non mais oh ! Bon je vais être bien clair, je ne veux pas (désignant Alex) de cette fille ni aucune autre que Fleur et c’est la dernière fois que tu me joues un tour pareil.
Je me dirige précipitamment vers la sortie pour aller chercher Fleur.
Maman (derrière moi) : Mais où vas-tu ?
Moi (sortant) : Je vais chercher celle que j’aime.
Je monte et démarre en trombe vers la maison inachevée, j’espère juste qu’elle est là-bas. J’arrive donc et rentre sans faire de bruit jusqu’à l’étage et là plus j’avance plus j’entends audiblement des voix, je m’avance encore un peu et reconnait celle de Bella. Je me retourne toujours aussi discrètement et me rends dans un fast-food prendre de la pizza ensuite je reviens dans le même élan et m’arrête juste à l’entrée de la pièce. Fleur est de dos et Bella me fait face, celle-ci lève donc la tête et me voit mais je mets un doigt devant ma bouche pour lui dire de ce taire mais celle-ci éclate de rire.
Floriane : Pourquoi tu ris ?
Elle ne dit rien mais continue de rire aux éclats.
Floriane : Oh mais pourquoi tu ries comme ça ? Tu perds la tête ou quoi ?
Floriane fixe longuement Bella et se rend compte qu’elle fixe un endroit, elle suit donc son regard pour voir ce qui la fait rire et là
Floriane (surprise) : Nick… ???
Au fait si vous vous souvenez Fleur n’a jamais su que je connaissais cette maison et que même c’est la mienne.
Floriane (begueyant) : Que…que fais-tu là ?
Moi (m’avançant) : Je suis venu te chercher. On rentre à la maison.
Floriane (gêné) : Non Nick je ne vais nulle part avec toi, et puis d’ailleurs comment as-tu su où j’étais ?
Moi : Ce n’est pas important, le plus important c’est qu’on rentre chez nous.
Floriane : Non chez moi c’est ici, toi tu n’as qu’à partir chez toi et dans ton monde, je n’y ai pas ma place.
Moi : Ok comme tu veux !
Elle baisse la tête sûrement en pensant que j’allais partir mais au lieu de cela je m’avance et m’assoir par terre à côté de Bella le carton de pizza en main.
Floriane (surprise) : Mais qu’est-ce que tu fais ?
Moi : Eh bien je m’installe ! Puisque tu ne veux pas venir à la maison avec moi c’est moi qui reste ici avec toi.
Floriane : Quoi ? Mais t’es complètement fou !
Moi : Oui fou de toi Fleur.
Bon là je pense que j’ai pensé un peu trop haut, je ne sais pas pourquoi j’ai fait sortir cette phrase et maintenant la voici figé me regardant les yeux grands ouvert.
Moi (me rattrapant) : Bon tu viens qu’on mange cette pizza avant qu’elle ne devienne froide.
Floriane : Ok mais pas ici ! Ça me fait tout bizarre de te voir assis comme ça par terre dans cet endroit qui n’est pas digne de ta classe. On rentre !
Je souris et me lève. Je suis heureux qu’elle ait accepté de rentrer avec moi. Je pense que oui je suis amoureux d’elle et ce depuis le jour où on a déjeuné ensemble après l’accident.