Chap 6

Ecrit par Wir

QUAND L’AMOUR DECIDE SY MELE


CHAP 6


JADE

Sa fait déjà deux jour que le délai que Gianni m’a donné est passé mais j’ai toujours pas trouvé du travail, je pense que maintenant même si je trouve un travail de ménagère je le ferai, je suis prête même à astiquer le sol pour ne pas laisser Angel a ces personnes, mais en ce moment je n’ai vraiment pas le cœur tranquille a tout moment il peut débarquer récupérer le petit et je ne peux même pas l’arrêter 

Je viens de rentrer après une longue journée qui n’a pas été productif, je passe prendre un bain et je m’installe dans le salon de ma tante avec Angel, je venais de le nourrir, je le berçais pour le mettre au lit lorsque j’entends quelqu’un sonné a la porte, mon cœur rate un battement, même si je voulais pas l’admettre mon corps me signalais que le moment que je redoutais le plus allais arriver, même si j’essayais de me convaincre du contraire, devrais-je sortir par la porte arrière et fuir avec le bébé, et si c étais pas lui ?


Ma tante : on sonne a la porte depuis un moment pourquoi tu n ouvres pas ?


Moi chuchotant : et si c’était ce fou furieux ?


Ma tante : mais toi aussi il ne va quand même pas arriver à cette heure pour faire partir l’enfant


Moi : t’as surement raison


Elle par ouvrir la porte, moi je continuais par bercé le bébé je lui chantais une chanson pour le faire dormir, mais a un moment je sens qu’on m’observait, et je ressens une présence dans le salon, lorsque je lève ma tête il était là, présent devant moi avec deux personnes, et ma tante qui me regardait avec désolation


Gianni : bonsoir !


Moi avec une voie cassante : tu trouves que c’est un bon soir ?


Gianni : bref tu sais très bien pourquoi je suis là, ces deux monsieur sont des représentants de la loi, on vient chercher le petit avec un ordre signé par le juge

L’un des messieurs s’avance vers moi pour me le montrer, je comprenais rien de tout ce qui était écrit sur ce bout de papier, mais même si ce con est l incarnations du diable il n’irait pas fabriquer un faux papier pour me l’envoyer, je sens que mon cœur se brise, je n’arrivais même pas à me lever du fauteuil, j’étais abasourdie


Moi : qu’es ce que t’as donné au juge pour qu’il te signe ça ?


Gianni : je n’ai pas eu besoin de donner quoi que ce soit, t’es pas la mère du bébé, son père est vivant et peux lui offrir un meilleur avenir alors que toi tu auras du mal à lui donné trois repas par jour puisque tu n’as même pas un travail


Moi essayant de ne pas pleurer : si je n’ai pas un travail c’est grâce à toi, et tu penses que l argent est plus important dans la vie d’un bébé que l’amour qu’on va lui donner ici ? Puisque visiblement vous êtes incapable de ressentir ni d’offrir de l’amour à qui que ce soit, ce que tu veux c’est qu’il devienne comme vous ? Un enfant bourrer d’argent qui ne connaitra pas la valeur de choses, qui ne saura faire la différence entre le bien et le mal, qui mépriseras les gens qui ne seront pas de sa classes sociale, un enfant pourrie gâter, qui deviendra narcissique, qui ne ressentira rien dans son cœur c’est ce que tu veux pour lui ?


Gianni : tout ce que je sais c’est qu’il sera mieux avec nous, c’est l’un des nôtres, je te demanderai de me remettre le bébé


Moi éclatant en sanglot : non mais tu ne vas pas faire ça, tu ne vas pas me prendre Angel, vous m’avez déjà pris ma sœur


L’un de monsieur : madame remettez lui le bébé sans faire de problème, on a reçu comme ordre de vous embarquer si vous vous opposer…


Gianni le coupant : on ne va pas arriver jusqu’ a ce point, mademoiselle jade va coopérer n es-ce pas ?


Je me retourne vers lui en pleur le suppliant du regard pour qu’il ne me retire pas le bébé, mais ça ne lui dit rien, il reste impassible, le bébé se met aussi à pleurer lorsqu’ il me le retire des bras, je m’effondre au sol, j’ai promis à ma sœur de prendre soin de ce enfant et j’ai encore faillit, si j’ai plus cet enfant je n’ai plus aucune raison de vivre


Gianni : arrête de dramatiser, je n’amène pas cet enfant à l’abattoir donc arrête puisque tes larmes ne me feront pas changer d’avis


Moi m essuyant le visage : laisse-moi au moins le temps de ranger ses affaires


Gianni : il n’aura pas besoin de ça, on a tout préparé pour lui donc tu peux garder tout sa


Je me dirige vers le canapé et prend une chemise de ma sœur et le lui tend 


Gianni : mais je vais faire quoi avec ça ?


Moi : c’est une chemise de sa mère, je l’enveloppe toujours dedans le soir, vu qu’il change d’environnement au moins avec sa il se sentira chez lui là où il va


Gianni me prenant la chemise des mains : tu vois non, pour que tu saches que tout ce qu’on veut c’est son bien


Sur ce il part sans me laisser dire au revoir a Angel, lorsqu’ il sort et ferme la porte je sens mon cœur se déchirer, je cours dans la chambre en pleure, mon Dieu vais-je pouvoir supporter une épreuve de plus ????....



 Gianni


Lorsque j’arrive à la maison, le bébé a fini par se calmer et s’est endormie dans mes bras, je me dirige vers la garderie que j’ai fait installer essentiellement pour lui, j’y trouve laba la nounou que j’ai engagé, en vérifiant personnellement son cv et elle m’a été chaudement recommandé par plusieurs couple, lorsqu’ elle me voit elle s’avance vers moi


Rose : bonsoir monsieur !


Gianni : bonsoir !


Rose : je vous prends le bébé


Gianni : non non je préfère le coucher moi-même les soirs


Rose : d accord monsieur 


Elle me laisse la avec Angel, je le borde, le met dans son berceau et le recouvre de la chemise de sa mère, en partant le prend soin d’allumer le baby phone, j éteint la lumière et allume la veilleuse, sa a été une longue journée aujourd’hui

En voulant rejoindre mes appartements je rencontre cette vieille pie de Damienne, la femme de mon père, cette femme je la supporte de moins en moins


Moi : bonsoir !


Damienne : je viens d’apprendre que t’as ramené ce sale mioche ici, qui va s en occupé ?


Moi essayant de garder mon calme : déjà ce sale mioche comme tu l appelles c’est l’enfant de ton mari et t’inquiète pas je ne te laisserai pas t en approcher


Damienne : donc tu veux nous imposer sa présence ici puisque je suis sûr que ton père non plus ne veut pas de lui ici


Moi piquant une colère : t’es pas obligé de rester, si sa présente vous indispose tant ton mari et toi vous pouvez quitter cette maison des aujourd’hui, et pour ta gouverne je ne veux pas que tu t’approches de lui t’as bien saisie ?


Damienne : ne t’inquiète même pas je ne compte même pas m’approcher de cette chose


Je préfère la laisser la avant de dire quelque chose que je risque certainement de regretter, j’ai eu une assez longue journée je dois aller me reposer, je suis sûr que cette petite sauvageonne, ne va pas me laisser m entirrer aussi facilement, je sens que demain sera une journée explosive…



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ENTRE AMOUR ET VENGE...