Chap 8 Gabriel, mon écart
Ecrit par kony ariane
Gabriel Abidjo
C’est vrai j'ai un peu menti à Tomato, car je voulais la voir
dans un cadre neutre pour essayer de comprendre ce qui se passe.
J'ai appelé le major d’homme de ma maison qui s’y trouve et je
l'ai prévenu de ce que je viendrai avec une amie. Tout doit être prêt. J’ai
demandé à mon chauffeur de rentrer avec la voiture voir sa famille sur grand
popo et dès que je serai prêt je lui ferai signe pour nous récupérer ceci pas
avant 5jours si tout va bien.
-Tomato, ça te dirait de faire un tour chez moi, on va y manger
le meilleur poisson braisé. J'ai une toute petite villa en bordure de mer.
-j'ai faim alors j'accepte avec plaisir. Mais dis moi on va
prendre la route à quelle heure ?
-si tout va bien on restera ici
-comment ça ?
-t'as dit à ton mari que tu partais combien de temps ?
-10jours pourquoi ?
-on vient d'en faire cinq là, c’est l‘occasion de profiter pour se
détendre tu ne penses pas ?
-comment ca ?
-je t’ai demandé de laisser ta mauvaise humeur chez toi, mais il
n'en a rien été. Je prends les choses en main.
-c’est-à-dire ?
-je ne sais pas ce qui se passe dans ton foyer mais tu es
complètement à l'ouest.
-c’est ma vie privée
-certes mais je suis ton ami et un grand frère. Donc on ne
bougera d'ici que quand tu te seras confié. A moins que tu veuilles que je
n’alerte Pasta ? J'ai cru comprendre qu'il ne peut pas voir ton mari en
peinture.
-non, on va rester là de toute façon je n'ai pas envie de
rentrer, mais mes enfants me manquent.
-mais tu les appelles en vidéo tous les jours et de ce que j'ai
remarqué ils sont souvent très occupés.
-ça c'est vrai.
C’est ainsi que nous sommes resté chez moi. Les deux premiers jours,
rien à signaler. Madame faisait ses balades matinales au bord de la mer,
lecture, puis ordinateur bref on ne se parlait pas vraiment. Le troisième jour j’ai
toqué à sa porte très tôt.
-oui entre Gabriel,
- oh merde, excuse-moi
-quoi ?
-t’es pas habillée
-tu es sérieux toi ? Villageois, je suis en mayo là, je
vais faire un tour à la plage.
-hein tu vas nager dans la mer ici ? Tu te crois à Miami
là ?
-bon tu viens ou pas je veux profiter de la brise matinale moi.
Venait-elle de dire en me dépassant.
- avais-je le choix ? Je l'ai suivi.
Une fois sur la plage.
-dis moi tu veux que je fasse quelque chose pour toi ?
-oui asseyons nous sur le sable. Parle-moi de ton mariage
-il n'y a rien à savoir. Je suis mariée depuis bientôt 9ans,
j'ai deux enfants de 5 ans et je suis
très heureuse. Je ne croyais pas en l’engagement du mariage mais Renaud a
réussi à me réconcilier avec.
Elle avait une petite voix en disant sa phrase. Un peu comme une
leçon répétée encore et encore.
-Nous allons jouer à un jeu, lève toi !
-jouer dis tu ?
-met toi face contre la mer et essaie de crier plus fort que moi.
Arghhhhh ! Venais-je de crier.
-c'est ridicule voyons !
-vas y c'est ton tour
-argh
-t'es nulle, écoute moi et prend en de la graine. Agrhhhhhh
-Arghhhhhhh ! Arghhhhhh !Arghhhhhhh.
C’était incroyable. Elle avait de la peine, de la rage. Elle
continuait de crier. Je l'ai laissé faire jusqu’à ce qu'elle ne fonde en larme.
Je l'ai serré contre moi et elle a pleuré tout son chagrin.
Tomato Zossou
Ça m'a fait un bien fou de crier ainsi. J'aurais voulu crier
après Renaud, le frapper, le griffer, déchirer ses chemises, brûler tous ses
bouquins.
Je suis dans les bras de Gabriel
et Dieu sait comment ça fait du bien. Il m'a prise par la main et nous sommes retournés
nous asseoir. Je me suis jetée sur lui et je l'ai embrassé. Il ne m’a pas
repoussé mais n'a pas approfondi notre baiser.
- excuse-moi Gabriel, je ne voulais pas te mettre mal à l'aise.
Il s'est approché de moi et m’a fait un bisou sur la joue, un
autre sur le nez, un autre sur le front et quand il est venu sur mes lèvres, il
y a déposé un chaste baiser, puis un autre et là j'ai entrouvert ma bouche et
nos langues se sont trouvés. On s’est embrassé pendant il m'a semblé une
éternité et mes larmes se sont remises à couler. Il les a bu une à une. Nous
sommes restées là cinq minutes ? Quinze minutes, une heure ? Je n'en
sais rien. J’étais dans ses bras et je m’y sentais bien.
Le déjeuner s'est fait en silence. Je me suis retiré pour m’enfermer
dans ma chambre jusqu’à ce que le major d’homme, Alfred vienne me chercher pour
le dîner.
Il m'a fait savoir que Monsieur était sorti et avait dit de ne
pas l’attendre pour dîner.
J’avais à peine mangé. Regrettais t’il ? M'en voulait-il ?
Je me sentais honteuse. Apres le dîner je suis retournée dans ma chambre. Vers
une heure du marin, j’avais entendu une porte. Je me suis précipité hors de la
chambre.
-Tomato, désolé je ne voulais pas te réveiller
-je t'attendais…on peut parler ?
-hum !! Ok
-Gabriel…
-je suis désolé je n’aurais jamais du profiter de la situation.
Tu es mariée et tu as du chagrin. J’ai été con et Salop sur ce coup
C’était plus fort que moi. Je me suis jetée sur lui et l’ai
embrassé à pleine bouche. il a essayé de me repousser mais sans succès. Je lui
caressais le torse et je sentis très vite sa virilité contre moi.
- fais-moi l'amour s’il te plait. Fais moi oublier rien que
cette nuit ma peine
-arrête je ne peux pas
-s'il te plait.
J’ôtai devant lui ma nuisette. J’étais sein à l'air avec que pour vêtement ma petite culotte. Il me regarda longuement et m'embrasa avec fougue. Il me souleva et instinctivement, j'enroulai mes jambes autour de lui et, de mes mains je fis de même autour de son cou. Ses lèvres étaient douces, chaudes et si tendres. Il me déposa sur la table à l’entrée du séjour et prit mes seins en bouche. Je ne saurais dire si c’est le fait de me donner à un autre homme ou mon désir pour lui à cet instant qui m'excitait de la sorte. Il introduisit en moi un doigt, puis deux. Je n’étais que gémissement. Il descendit et prit ma moule en bouche. C’était exquis. Je mouillais tellement. Le supplice était délicieux. j'avais hate et besoin qu'il me prenne. Je voulais qu'il me fasse sienne.
-prend moi maintenant Gabriel…
-non c’est trop tôt tu ne sais pas ce que tu fais. Je ne veux
pas que demain tu regrettes et m'en veuilles. Je me sens déjà assez coupable.
Je ne l’entendais pas de cette oreille. Je glissai ma main dans son
bermuda puis dans son caleçon et entrepris de le branler
-Tomato, arrête s'il te plait murmura t’il.
Moi j’étais déjà trop loin pour l’écouter.
Je me retournai et plaquai
mes fesses contre sa bite dressée. Il me cambra et rechercha ma chatte de sa
queue dure et luisante. Quand il introduisit le bout, j'émis un cri de surprise
mais aussi de douleur.Sa bite était énorme. Celle de Renaud était petite et pas
très longue. C’est la seule que j'ai toujours eu en moi. Il s’enfonçait en moi
tout doucement. Quand il fut à la garde, il s’immobilisa histoire de me laisser
souffler et, se mit à me donner des coups de butoir. C’était énorme. Je criais,
pleurais, je ne savais plus ce qui m’animait. C’était trop bon. Quand enfin il
eu envie de venir, il se retira de moi, me souleva et m'emmena dans sa chambre. Il m'a donné énormément de plaisir. En a t'il aussi pris? J'étais trop soucieuse du mien pour m'en préoccuper.
Il me déposa sur le lit et se rendit dans la salle de bain. Il revint me chercher et me plongea dans la baignoire. Il me rejoignit et me nettoya. Ça picotait. Il était tellement doux et me fixant du regard, que l'envie me monta. Avec la pommette de douche qu'il avait réglée sur froid, il me mit le jet contre ma féminité , l'eau chaude du bain et le froid du jet me firent jouir comme jamais. Ma fontaine coulait encore et encore. Après le nirvana que je venais de connaitre, il me nettoya et m’essuya le corps tel un bébé. Il me souleva et me glissa sous ses draps. Je ne tardai pas à dormir. Je suis certaine de l’avoir entendu me dire.
-j’aurais dû t’avouer mes
sentiments il y 20ans de cela. J’espère que tu ne regretteras rien de cette
nuit.
Le matin quand j'ouvris
les yeux, il n’était pas dans le lit. J'avais mal partout. Je me levai et constatai
qu'il y avait des vêtements à moi. Je pris ma douche et m’habillai. Quand j'eu
terminé je sortis de la chambre et me rendis à la cuisine. Alfred y était
-bonjour Alfred
-bonjour madame. Avez-vous
passé une bonne nuit ?
-euh oui merci
- quand j’ai pris service
ce matin à 7h monsieur faisait le petit déjeuner, mais il m'a interdit de vous
réveiller.
-ah d’accord, où est
t'il ?
-il vous attend sur la
terrasse du jardin.
-merci Alfred
-je vous en prie madame.
Mon cœur battait la
chamade. Quand je le vis. Je perdis tous mes moyens il était vêtu d’un pantalon
et d'une chemise en lin beige et avait laissé les boutons de la chemise
ouverte.
-bonjour Gabriel
Il se figea, alors de
façon naturelle je m'avançai vers lui et lui fis un smack
Il voulu m’installer en
face de lui à des kilomètres mais je pris place juste à ses côtés.
-j'ai passé l’une des plus
belles nuits de ma vie
-euh...
-la plus belle c’est quand
j’ai dormi auprès de mes bébé la première fois. Et la deuxième c'est dans tes
bras que je l'ai passé. C’était magique. Tu m’as donné l’impression d’être
unique.