Chapitre 1

Ecrit par Wir

Eprise de mon patron

Chapitre 1

Auteur : 

Alexender SMITH

Cela fait déjà une année que me femme Eleanor souffre de ce mal qui est entrain de la dévorée tous les jours qui passe, elle me prend de jour en jour ma femme, cette femme sans qui je ne suis rien, cette femme sans qui je ne peux arriver a rien, cette femme sans qui je suis désarmé

Cette maladie est d’une atrocité sans nom, et la voir allongé la sans pouvoir rien faire pour elle me tue aussi à petit feu, 

Moi sur un ton de douceur : eh mon cœur tu es réveillée ?

Eleanor d’une voie à peine audible : oui mon amour 

Moi un peu existé : j’ai une bonne nouvelle à t’annoncer

Eleanor ramenant la couverture vers sa poitrine : oui j’écoute, j’espère que ce n’est pas ce que je crois

Moi souriant : je viens de tomber sur un spécialiste sur le cancer du col de l’utérus, il est sur un traitement expérimental qui est très prometteur, j’ai lu toutes ses recherches et résultat et j’ai confiance en lui il pourra trouver une solution pour nous et sous peu tu iras mieux

Eleanor sur un ton calme : mon cœur je sais que tu as envie que cette maladie n’ait jamais exister, que cette saloperie ne se développe pas dans mon corps mais c’est le cas, il est la et je suis déjà a la phase terminale, malgré tous les traitement agressif que j’ai subit il s’est progresser a une vitesse, et maintenant il se propage partout dans mon corp, j’aurais tellement aimé qu’il ait un remède miracle pour moi, pourque je puisse encore avoir quelque année avec vous, pour profiter encore un peu de ma famille mais je me suis rendue à l’évidence c’est pas possible, il n’il a pas de remède miracle, je suis entrain de partir, et j’ai surtout pas envie de de finir mes jours dans un hôpital, j’ai plus envie de ressentir cette souffrance qui me traverse le corps à chaque injection , laisse-moi passer mes dernier jour auprès de vous ma famille et dans notre foyer s’il te plait

Moi impuissant : mon cœur arrête de dire ça, tu vas encore vivre longtemps avec nous, je refuse de te laisser mourir sans rien faire, je refuse

Eleanor me prenant la main : promet moi que tu ne feras rien, promet moi de me laisser partir en paix

Moi en colère : je ne peux pas te faire cette promesse, c’est au-dessus de mes forces

Eleanor toujours sur un ton calme : si tu m’aimes laisse moi partir, promet moi de trouver une bonne mère pour Julia

Moi les larmes aux yeux : ne me demande pas ça s’il te plait

Eleanor : si tu m’aime vraiment comme tu le prétends il est temps que tu me le montre

Moi m’agenouillant à côté d’elle : bien sûr que je t’aime, je t’aime plus que ma propre vie je serai prêt à prendre cette maladie pour moi si c’était possible, si seulement

Eleanor essuyant les larmes qui perlent mon visage : je sais mon cœur et je sais que c’est pourquoi tu respecteras ma volonté, essuie ces larmes qui perlent ton visage, et aide moi a brosser mes cheveux s’il te plait, Julia doit être prête pour l’école elle débarquera ici d’une minute a une autre, je veux être belle pour vous

Moi m’asseyant a coté d’elle sur le lit une brosse à la main : tu sais très bien que tu es la femme la plus belle du monde, et que personne ne t’arrive à la cheville

Eleanor souriant avec une voie très faible : c’est parce que tu m’aimes que tu dis sa

Nous étions la a causer a parler à nous remémorer les bons instant que nous avons passé ensemble lorsque Julia ouvre la porte, je suis tellement triste au fond de moi, je ne sais pas où elle tire cette force en elle malgré cette lourde épreuve qu’elle traverse, moi je n’arrive plus à cacher cette tristesse qui  se trouve à l’intérieur de moi, cette épreuve est en train de me transformer et je commence par le sentir, je n’ai pas du tout envie de perdre ma femme, elle ne mérite pas ce qui est entrain de lui arriver en ce moment, c’est tellement une bonne personne, c’est un ange elle aurait du avoir une longue et heureuse ce que j’ai pas réussi à faire, je suis incapable de la sauver contre ce mal

Julia illuminant la chambre avec son sourire : maman

Eleanor : ma fille tu es déjà prête pour l’école ?

Julia : oui maman mais j’aimerais rester avec toi aujourd’hui

Eleanor ; non ma fille tu dois aller à l’école, mais le soir lorsque tu rentreras je t’attendrai la et on pourra discuter et passer la soirée entre fille

Julia : c’est compris maman, je t’aime passe une bonne journée

Elle vient faire une bise à sa mère avant de se diriger vers la porte

Eleanor : passe aussi une bonne journée mon cœur, je t’aime encore plus

Julia se retournant vers moi au pas de la porte : occupe-toi bien de maman, je t’aime

Moi lui donnant un sourire : je t’aime aussi ma fille

Sur ce elle ferme la porte et nous laisse la, elle a tellement d’Energie cette petite, lorsque nos regards se croisent nous nous mettions à rire Eleanor et moi, cette petite c’est un vrai cas

Eleanor d’une voie à peine audible : j’ai soif

Moi courant vers la carre d’eau pour la servir mais elle dit non

Eleanor : je veux un verre de lait chaud s’il te plait, tu veux bien me le faire s’il te plait

Moi me levant : a vos ordre chef, avec un peu de cannelle n’est-ce pas ?

Elle me fait oui de la tête et me fait un de ses sourire qui a le dons de me mettre en joie, je descends moi-même lui faire son verre comme elle me l’a demander, arriver a la cuisine la gouvernante propose de le faire mais je décline son offre je préfère le faire moi-même, lorsque je finis je le dispose dans un plateau avec un mouchoir a côté, et prend les escalier je montre 4 par 4, lorsque j’arrive au pas de la porte je l’ouvre doucement pour ne pas faire de bruit, je vois qu’elle s’est endormie le sourire au lèvre

Je pose le plateau sur la table de chevet et je m’assois a coté d’elle, je passe la main dans les cheveux pour qu’elle puisse se réveiller et boire son lait avant de reprendre sa sieste mais non elle ne bouge pas, mon premier reflex est avant tout de descendre la main sous son menton et vérifier si tout va bien mais non aucun signe, je prends son poignet mais rien, j’ai l’impression que mon cœur se déchire au fond de moi, Dieu fait en sorte que sa ne soit pas ce que je pense je t’en supplie

Moi criant ma peine : NON !!!!!!!!!

La gouvernante entrant dans la chambre en courant : qu’es ce qui ne va pas monsieur

Moi : appelle une ambulance 

Je prends ma femme dans mes bras je sens son corps devenir froids entre mes mains mais je continue de lui parler en gardant espoir qu’elle se réveille, je ne veux pas qu’elle parte je ne peux pas la laisser partir, elle ne peut pas partir, je refuse 

Quelque minute plus tard les ambulanciers entrent dans la chambre, et me demande le la laisser pour examen mais je suis incapable de la laisser, ils s’approchent de nous et prennent son pou, ils se voient et déclare : heure du décès 08h27

Moi criant : non c’est impossible est n’est pas morte, elle dort elle ne peut pas mourir, dégager bande d’incompétent

Un ambulancier s’approchant de nous : monsieur on doit l’amener

Moi hurlant : vous n’avez pas le droit, sortez d’ici, sortez je vous dis

Ma mère rentrant dans la chambre : mon fils calme toi s’il te plait, laisse-les faire leur travail je t’en supplie

Moi : pourquoi es ce qu’ils veulent l’amener elle n’a rien elle dort, regarde-je lui ait fait son lait qu’elle m’a demandé de le faire, elle va se réveiller et le prendre 

Ma mère sur un ton de douceur : laisse là s’il te plait

Moi : je ne peux pas mère, j’en suis incapable

Elle s’approche de moi et me prends dans ses bras, j’ai l’impression que mon cœur est en train de se déchirer en Lambot, comment c’est possible comment, elle n’était pas censée partir, je viens de lui parler, on vient de rire ensemble, comment a-t-elle pu partir comme sa sans me dire aurevoir, comment ? pourquoi m’a-t-elle éloigné d’elle ? pourquoi ?????

Que pensez vous du début de l’histoire j’attends vos avis en commentaire


 
ÉPRISE DE MON PATRON