Chapitre 2

Ecrit par Wir

EPRISE DE MON PATRON

Chapitre 2

Auteur :

Alexender SMITH

Sa fait quelques jours que j’ai enterrer ma femme, la femme de ma vie, et j’ai dû expliquer à ma fille qu’elle ne verra plus sa maman, une petite a qui j’ai promis m’occuper de sa mère lorsqu’elle partait à l’école le matin , lui annoncer que j’ai failli et j’ai pas pu  tenir ma promesse ni à elle ni à sa mère, c’est vraiment dur très dur pour moi et les mots sont trop faible pour exprimer ce que très peut ressentir en ce moment, je suis tellement prit de honte que je n’ose pas regarder ma fille en fasse ou passer du temps avec elle, je suis décidément l’homme le plus inutile de la terre 

Ma mère ouvrant la porte en vrac : Alex tu vas me faire le plaisir de sortir de lit, trop c’est trop 

Moi me couvrant le visage : c’est quoi ces manières de rentrer dans la chambre des gens sans cogner ?

Ma mère hurlante : tu penses être la seule personne à avoir perdu quelqu’un dans cette histoire ? tu penses à ta fille autre qui a perdu sa mère et qui est aussi en train de perdre son père ? je ne t’ai pas élevé pourque tu sois aussi égoïste que ce que tu es en train de devenir, tu oublies déjà la promesse que tu as fait à ta pauvre femme avant sans mort ? si tu t’en fou et de ta promesse assumes au moins ton rôle de père envers cette petite devenue orpheline de mère du jour au lendemain

Je descends et je veux te voir dans les 5 mins qui suivent si non je ne répondrai plus de moi

Sur ces paroles elle sort et me laisse la, elle n’attend même pas que je lui donne une réponse, j’avoue qu’elle a totalement raison, j’ai été très égoïste et je faillis encore une fois, il est temps que j’arrête de penser à moi de m’occuper de ma fille, elle n’a que moi a présent et il faut que je sois à la hauteur de ses attentes en tant que père

Je rentre dans la salle de bain me rafraichir et je sors les rejoindre dans le jardin, je vais passer cette journée avec ma fille et demain je reprends le travail, si je m’occupe l’esprit je penserai moins à elle

QUELQUES MOIS PLUSTARDS

Moi sortant la tête de mes dossiers : qu’est ce qui ne va ?

William : en 8 mois sa fait la 5 -ème assistante qui démissionne, tu ne peux pas te permettre de traiter ces femmes comme sa

Moi continuant mon travail : ce n’est pas ma faute si ce sont des fainéantes et des incapables, ce n’est pas à moi de leur apprendre à faire leur travail

William : mais soit un peu sérieux la, tu terrorise ces filles, tu leur crie dessus, tu les traites mal normal qu’elles veulent partir, tu ne vas pas rejeter la faute sur elles

Moi : on en trouvera bien une autre qui voudras faire le travail

William : je pense que tu devrais te trouver un psy, tu es tout le temps de mauvaise humeur, tu parles mal à tout le monde, tu es le sujet de discussions dans les couloirs, je pense que c’est la douleur par rapport à ton deuil qui te fait réagir comme sa

Moi m’énervant : je ne te permets pas d’insinuer que j’ai un problème, s’ils sont incapables de faire leur travail ils peuvent partir, ils ne sont pas ici pour devenir ami avec moi, ils sont ici pour le travail qu’ils s’en occupent

William ne répond plus et se dirige vers la porte mais je le rattrape avant qu’il ne parte

Moi le rattrapant : je sais que tu le dis pour le bien de la boite, je vais essayer de faire un travail sur moi-même

William avec un sourire crisper : tu as intérêt

Sur ses paroles il sort et me laisse la, William en plus d’être in ami de longue date c’est aussi un cadre dans l’entreprise, je sais qu’il se donne corps et âme pour cette entreprise, tout ce qu’il veut c’est que les choses revienne a la normale je sais ; en plus à chaque fois que ces incompétentes se barrent c’est sur lui que sa retombe, il n’est pas des ressources humaine mais c’est la seule personne apte a trouver la bonne personne pour faire ce travail, tellement il me connait que j’ai pas besoin de lui expliquer mes attentes

 Je retourne à mon travail, je n’ai pas envie de penser à ce qui se passe autour de moi

Alex JOHNSON

Aujourd’hui j’ai un entretient de travail dans une grande boite de la place au poste d’assistante, je suis très contente j’avais besoin de ce travail déjà pour les finances et pour échapper à ma maman, cette femme c’est vraiment un poison dans ma vie je sais que ce n’est vraiment pas cool de parler comme sa mais c’est un cas ma mère, au moins je vais un peu m’éloigner d’elle si j’obtiens ce travail, c’est très important pour ma santé mentale très très important

Ma mère ouvrant sans cogner : toi tu vas encore ou ce matin ?

Moi lui répondant : j’ai un entretien d’embauche dans une boite

Ma mère : toi tu es vraiment une honte pour moi, tu es comme ton père aussi inutile l’un comme l’autre

Moi me mettant en colère : je dois partir l’inutile a besoin de ce travail pour payer les factures et les courses à la fin du mois

Ma mère se mettant en colère : les filles de ton âge, moins belle que toi, avec de forme bizarre arrive facilement à trouver des hommes riches qui les entretienne eux et leurs parents mais toi tu ne sers à rien, malgré toute cette beauté et cette belle forme que tu as hérité de moi tu ne peux même pas te décrocher un bon boulot sans entretient quelle honte

Moi lui lançant avant de partir : tu as tellement trouvé un homme riche pour t’entretenir qu’a 22 ans je suis obligé de me trouver un travail pour nous entretenir bah bravo maman

Ma mère hurlante : fille maudite, impolie, voilà pourquoi tu ne trouves personne qui veut de toi, ta cousine Elvire se marie le weekend prochain son mari lui a même payer voiture et un terrain là-bas au pays seigneur j’ai fait quoi pour mériter un enfant pareil eehhhhh Dieu

Je pars sans même lui répondre, j’arrive à bout, et vraiment je suis prête à me marier au premier venu si sa peut m’éloigner d’elle, j’ai décidé de ne plus me taire et garder ma colère pour moi si non je risque de mourir avant l’heure

Je sors prendre un taxi, lorsque j’arrive, bizarrement on ne m’envoie pas chez le RH mais chez un certain William

Moi le saluant : bonjour monsieur, moi c’est Alex JOHNSON

William : asseyez-vous s’il vous plait, moi c’est William SPENCER c’est moi qui vais vous faire passer l’entretient pas les ressources humaines

Moi : d’accord

William : bon ce n’est pas un entretient en tant que telle puisque vous êtes déjà retenue, je vais juste vous parler de votre poste et du salaire

Moi essayant de cacher ma joie : d’accord monsieur

William reprenant : vous serez l’assistante du PDG, vous devez être prête à bosser dur si vous voulez travailler avec lui, vous devez répondre présente à chaque fois qu’il aura besoin de vos services, c’est un homme assez rigoureux et qui aime le travail bien fait

Moi un peu intriguer : je suis prête pour le travail monsieur

William me tendant une feuille : se sera votre salaire

Moi très étonné : tout ça pour un travail d’assistante ? j’espère que je ne serai pas obligée de faire un truc illégal

William riant : je peux vous assurez que non, le PDG est un peu spécial, disons que c’est une compensation pour tout le travail que vous devriez faire, je suppose que vous êtes d’accord pour commencer

Moi le sourire aux lèvres : je commence quand vous voulez

William : on se dit à demain alors, venez avec moi on vous montera là où vous opérerai la magie

Je le suis on finit ce qu’on à faire et je prends le chemin de la maison ? je suis très étonnée de la facilité avec laquelle j’ai pu obtenir ce travail, vraiment je ne sais même pas quoi dire tellement je suis conte a l’heure-là, ce soir quel que soit ce que ma mère dira je ne pourrai pas n’énerver suis trop contente en plus de ce salaire astronomique ils me propose un CDI c’est le must a l’heure-là je suis la fille la plus heureuse au monde, je me dépêche d’aller annoncer la nouvelle a ma mère au moins ce soir elle sera fière de sa fille

Elle verra qu’on peut s’en sortir sans l’aide d’un homme, elle pourra être fière d’elle-même car elle n’a pas élevé une paresseuse

ÉPRISE DE MON PATRON