Chapitre 1

Ecrit par Momat

Prologue 

Octobre 2020 dans la ville de Kinshasa 

Je viens d'arriver à kinshasa et je suis posé dans mon canapé avec mon verre de cognac en main et un contrat que je suis entrain de relire quand mon téléphone sonne. Je le prends et je vois que c'est mon ami Jason qui m'appelle 

Jay : père ? GPS ? 

Moi : à l'appart je viens de recevoir le contrat de raxio je suis entrain de le relire

Jay : yo kk boulot ( toujours entrain de travailler ) il y a un nouveau lounge qui vient d'ouvrir du côté de Mandela koma wana tss ( viens là )

Moi : Tu es avec qui ?

Jay : yo yakaa ( toi viens ) 

Moi : OK chaud je m'apprête je viens.

Jay : OK. On t'attends. 

Je raccroche et je me lève pour commencer à me préparer je n'ai pas vraiment envie d'y aller mais comme c'est mon ami et qu'on s'est vu y a longtemps je me fais violence.


45 minutes plus tard j'arrive dans ce lounge très chic, nouvellement construit vers Mandela. Kinshasa est une ville très versatile dès qu'il y a n nouveau lieu qui ouvre tout le monde veut y être.

L'endroit s'appelle K-lounge une sorte de roof top interne très moderne, pour y accéder il faut prendre un ascenseur dès que l'ascenseur s'ouvre il y a le bar juste en face 

J'entre et c'est la première personne que je vois elle est assise et manipule son téléphone dans une mini robe jaune, la première chose que je remarque ce sont ses cuisses d'une couleur ébène ça se voit qu'elle a de belles longues jambes et que ces cuisses sont bien charnues comme je les aime.

Damn je ne sais pas pourquoi je n'arrive pas à détourner mon regard d'elle, il faut que j'arrête de la regarder comme ça 

Une heure plus tard, je suis entrain de parler avec Jason et deux autres amis mais je ne peux m'empêcher de jeter des regards vers elle, je demande même au serveurs s'il la connaît mais il me dit que non que c'est la première fois qu'il la voit 

Elle manipule toujours son téléphone mais cette fois ci elle a l'air saoulé 

Jay remarquant que je ne cesse de la regarder : mon cher vas lui parler 

C'est les mots que j'attendais et que je voulais entendre sans aucune hésitation je me lève et je m'approche d'elle 

Moi : bonsoir mademoiselle 

Elle lève son regard vers moi et ce que je vois me plaît encore plus, elle est très belle, des lèvres pulpeuses, des yeux en amande damn je crois que j'ai trouvé une nouvelle distraction pour quand je serai à kinshasa 

Elle : bonsoir 

Moi : je peux m'asseoir ?

Elle : il n'y a pas de problème à ça 

Moi ( m'asseyant) : Alvin Minga 

Elle : Deborah Nawej 

Elle ne semble pas savoir qui je suis pourtant tout le monde sait qui je suis, il suffit des fois que je donne mon nom pour qu'elles sourient de toutes leurs dents.

Moi : Tu vas bien ? On se tutoie ? 

Elle : Oui ça va, OK y a pas de problème 

Moi : Tu es seule Ou tu attends quelqu'un ? 

Elle : j'attends du monde 

Moi ( souriant ) : Tu peux venir à notre table sinon ? 

Elle : je t'ai dit que j'attends des gens 

Moi : OK puisque c'est ainsi on peut garder contact ? Parce que je veux qu'on entretienne de bonne relation. 

Elle ( regardant ma main ) : malheureusement je n'entretien pas de relation avec les hommes mariés. Désolée pour toi.

Moi: Tu as peur de quoi ? Les hommes mariés ne mangent pas les femmes hein...

Elle : Non,  mais ils devraient respecter leurs femmes et leurs foyers.

Derrière moi 

... : bonsoir 

Je me retourne et je vois une autre belle fille qui nous regardent en souriant 

Moi : bonsoir 

Deborah : l'une des personnes que j'attendais est là, merci de m'avoir tenue compagnie 

Moi ( souriant ) : je te laisse quand même ma carte si tu m'appelle je te prouverai que je ne suis pas l'homme que tu penses que je suis. Bonne soirée. 

Je dépose la carte et je repars rejoindre mes potes en souriant j'aime ça, j'aime quand elles sont difficiles à avoir 


Plus c'est difficile,  plus elles sont bonnes.

C'est ainsi que tout commença entre elle et moi.


Je m'appelle Alvin Emmanuel Minga et je vais vous raconter comment je suis tombé amoureux de Deborah Zaïna Nawej alors que je suis marié et père de famille
L'impensable