Chapitre 1 : Le stratagème

Ecrit par Asaph

CHAPITRE 1 : Le stratagème

******TABI BLESSING******

Je me lève aujourd’hui avec une boule de fatigue gonflée. C’est même aujourd’hui que se termine la session ordinaire. Les vacances s’annoncent bien chaudes car j’aurai beaucoup à entreprendre pendant ces deux mois. Mon amie Irène n’apprécie pas mon paradigme de l’enfant de sa mère jusqu’à mon âge, selon la demoiselle « je dois m’assumer sur certaines choses de la vie » chose qui ne m’intéresse pas trop.

J’entends ma mère crier à voix haute mon nom, Tabi !!! C’est l’heure, tu devais déjà t’apprêter car le chauffeur est prêt.

Moi (faiblement) : j’arrive maman j’arrange un truc !

Naomi  (insistant) : c’est le dernier jour de tes examens, tu auras après tout ça tout le temps avec ta chambre.

Moi : j’arrive maman, 10 minutes  s’il te plait !

Quelques minutes plus tard !

Je suis dans la voiture en route pour l’école. Je demande au chauffeur de s’arrêter pour que je puisse prendre ma meilleure amie de tout le temps, oui comme vous l’entendez Irène est ma meilleure amie, on s’est connu il y a de cela 5 ans. Elle est comme une sœur pour moi. Ma mère n’apprécie pas notre amitié en disant qu’elle a un mauvais pressentiment pour mon amie. Chose que je débats chaque jour, ma mère est trop exigeante comme Irène me le chante toutes les fois qu’elle vient à la maison. Bah, là c’est leur affaire !

Irène (me touchant les mains) : tu es où ma chérie ?

Moi : juste là ma grande, dépêchons-nous car nous serons en retard à l’école !

Irène : on attendait que tu reviennes de tes  rêveries ma copine !

Moi (souriant) : bon, assez  discuté, allons-y !

Nous montons dans la voiture, direction l’école ! Nous arrivons après vingt minutes à cause des embouteillages !

***********IRENE  SEVOLO*************

------Quelques heures plus tard-----------

On a fini avec les examens. Vive la fiesta ! Je suis avec ma coco Tabi qui me colle  dans la peau. Cette fille qui me sert d’amie est une sainte marie qui me reproche tant de fois sur mon comportement face aux hommes. Ce qu’elle ne sait pas, je suis jalouse. Je ressens de  la haine pour elle. Pourquoi seulement elle qui doit être matée  par les hommes que je cours jour et nuit pour avoir ? Pourquoi seulement elle qui doit me dépasser en intelligence ? Pourquoi seulement sa famille est nantie pas la mienne ?  Tabi est généreuse, aimante, affectueuse, de fois naïve. Madame la sainte marie n’a pas encore gouté au fruit d’Adam et Eve. Elle n’a jamais remarqué ma  ruse envers elle. Je n’aime pas la voir sourire. C’est même la raison pour laquelle je ne pars plus à l’église, la vie est injuste pour moi.  Je manque le nécessaire mais mon amie a tout ! J’ai même oublié de me présenter. Je suis  IRENE SEVOLO, la cadette d’une famille composée de six filles. Quatre de mes grandes sœurs ont disparu comme une vapeur. Ma mère est restée muette face  à cette situation [triste], d’ailleurs nous ne sommes pas issues d’un même père. Ma mère est une garce d’une haute dimension [sourire narquois].  J’ai un père que je n’ai jamais connu [saperlipopette !]. Nous habitons dans un quartier reculé de la commune de Kasa-vubu, dans la ville de Kinshasa (la capitale de la république démocratique du Congo)! Au moins, nous sommes dans la capitale mais nous sommes mal élevées [air inquiet].  Notre mère ne se préoccupe pas de notre éducation !  Je peux vous révéler que c’est le père de Tabi qui me prend en charge pour mes frais scolaires. Pour m’habiller en bonne et en due forme je dois amadouer ma coco. Chaque fin du mois, elle change des valises et me cède ses habits ! C’est un peu ça ma misérable vie sur cette terre. Mais je suis déterminée de tout arrêter, je veux changer de vie, dépasser même cette naïve de fille qui me sert d’amie. Je passerai bientôt à la vitesse supérieure ! Elle s’approche de moi et je fais l’effort de faire bonne impression.

Tabi : Irène je t’ai cherchée depuis un bon temps, tu étais où ?

Moi (souriant) : chérie, j’étais allée voir le professeur de philosophie  pour faire changer mes notes. Tu sais bien que j’ai raté la moitié de cours à cause…

Tabi (me coupant) : bah, je sais ! Tu fuyais les cours  pour tes hommes que tu ne cesses toujours pas de suivre ?

Moi (cogitant) : ma copine je dois m’assumer, me construire un nid ! On n’a pas une vie aisée comme  ta famille et toi ! Et si aujourd’hui ton père ne veut plus prendre en mes études, comment m’en sortirais-je ?

Tabi (me réconfortant) : dis pas ça Irène ! Dieu est au  contrôle de toutes choses. Ma mère me dit toujours de faire confiance à l’éternel,  tu dois aussi le faire Irène. Arrête de jouer à la fille facile, cesse de t’apitoyer sur ton sort. Mon père te soutiendra toujours tant que tu seras avec moi ! Et tu sais ?

Moi (excitée) : Oui, quoi oh ?

Tabi : ma mère organise un dîner en famille ce soir, tu as ta place ma chérie !

Moi (gênée) : bon, je vais….. Venir

Tabi (me serrant dans les bras) : à ce soir mon amie !

Moi : à ce soir !

On se quitte et je pars me préparer pour le diner. En parlant de son père l’idée me vient de le séduire ce soir. Oui ce n’est pas la première fois. J’ai déjà séduit plus de dix hommes mariés. Et son père sera le onzième dans ma liste. Avec lui, ça sera le grand coup que je donnerai à cette famille plus précisément à mon amie. Je veux leur rendre la vie difficile, pénible voir même cauchemardeuse. Son père me regarde souvent au bout de l’œil et moi je lui lance de fois un sourire séduisant. Je sais qu’il s’intéresse aux filles comme moi ! Sans froid, sexy, travailleuse au lit ! Je souris en pensant à quoi ressemblera   la vie de mon amie quand j’aurais conquis son père ! C’est avec sourire aux lèvres que je prends mon bain.

******DEUS TABI******

Je rejoins ma femme au salon pour le diner. Ma fille Blessing et avec son amie devant la télé en regardant une série sur Novelas ! C’est la routine  avec les filles à Kinshasa, devant la télé  elles ne regardent que des séries ! On n’attendait que moi pour le diner en famille. Je suis rédacteur en chef à la chaine nationale de mon pays. Je me suis battu pour construire mon empire. J’ai fait mes études universitaires à l’institut facultaire des sciences de l’information et de la communication (IFASIC) et c’est  là où j’ai rencontré ma femme que j’aime plus que tout en dépit de mes histoires avec les femmes moins âgées. Ah oui, c’est la vie d’un journaliste. 

------Quelques heures plus tard------

Je suis  à table avec ma famille et cette amie de Tabi qui est venue compléter le nombre. Cette Irène est comme une sœur à ma fille du fait qu’elle est seule ici au Congo. Avec ma femme Naomi nous avons trois adorables enfants. Tabi est la cadette. Ses deux sœurs sont en France pour murir leurs connaissances. Tabi fait la philosophie, elle est à sa dernière année pour décrocher son bac. Elle va continuer ses études en Europe comme ses sœurs ! Je me bats pour mes filles, je viens de loin pour arriver là où je suis aujourd’hui ! Nous mangeons avec gaieté en discutant sur l’avenir car mon enfant a fini ses examens, je pense l’envoyer en vacances chez ma grande sœur à Lubumbashi pour un mois, j’espère que ça lui fera du bien…

Ouf, je matte depuis un certain temps Irène, elle est  habillée d’une façon très sexy. Ma femme lui a même reproché de plus s’habiller de la sorte chez nous ! Elle porte une robe blanche qui se limite à ses cuisses ! Elle a des seins bien pointus, une robe qui dessine son corps ! Elle me sourit pendant que ma femme enlève  les assiettes sur la table. Je ressens quelque chose pour cette fille, elle est encore bien chaude j’imagine. avec un fessier garni, elle a la classe. Elle est plus âgée que ma fille mais elles sont quand même des amies. Je crois que je devais passer à l’attaque car mon oncle est bien débout, près à attaquer. Ma femme appelle ma fille à la cuisine.  Face à face avec Irène, elle me sourit en me remerciant pour tout ce que je fais pour elle.

Irène : vous êtes libéral papa Deus, je vous suis reconnaissante !

Moi (la fixant sur ses seins) : ah ce n’est rien ma fille !

Irène  (gênée) : merci papa !

Elle fait tomber sa montre à cause de la panique que j’ai  semée en elle.  Je ramasse pour elle la montre en contemplant son dessous. Cette fille est une garce, elle ne porte rien comme sous-vêtement. Je suis perdu et mon seul envie est de gouter à sa sauce ! 

Tabi (me coupant la contemplation) : papa ? Maman vous appelle !

Moi : ok ma fille j’arrive dans un instant.

******TABI BLESING******

Je suis avec mon amie après une dizaine de minutes passée  à la cuisine avec ma mère.

Irène : tu as trop trainé ma copine.

Moi : navrée, je devais aider maman pour la vaisselle, demain elle doit partir en ville le matin !

Irène : bon, d’accord ! Je dois rentrer à la maison maintenant.

Moi : j’avais même oublié, maman  a demandé si tu pouvais passer la nuit avec nous car demain elle va sortir très tôt le matin ?

Irène (contente) : oui, je suis d’accord de dormir avec toi ma copine.

Moi (rigolant) : c’est très chouette mon amie !

*****IRENE SEVOLO******

Je suis en train de réussir le début de ma mission. Je suis là pour un but précis  aujourd’hui et la chance est de mon côté [rire]!  J’ai réussi à attirer l’attention du père de tabi et maintenant on m’a demandé de passer la nuit ici [à moi la victoire) ! 

Naomi (me faisant sortir de mon imagination) : ma fille, tu dois te changer car tu as des habits blancs.              Dis-moi, tu avais un rendez-vous avant de venir ici ?

Moi (serpentant) : ben, oui et non maman. Je devais passer à la fête de mon cousin mais comme je devais arriver ici à temps. Je me suis dépêchée alors !

Naomi : pas de quoi ma fille. Tu dois faire attention à toi ! Une femme doit convenablement  s’habiller ma fille. Tu t’habilles comme une star de Hollywood !

Moi : j’ai écouté maman.

Naomi : demain je sors le matin, j’ai demandé que tu passes la nuit avec nous pour ne pas  isoler Tabi !

Moi : ne vous inquiétez pas maman je suis là !

Elle repart après avoir parloté comme elle aime. Cette dame est trop exigeante. Je n’aime pas la côtoyer !

Tabi (me faisant revenir à la réalité) : Irène, tu viens dans ma chambre !

Moi : oui ma coco j’arrive, je parlais avec maman.

Tabi : elle ne t’a pas grondée comme tu aimes le  dire ?

Moi (souriant) : bon, pas trop hein.

Nous discutons de tout et de rien avec Tabi jusqu’à ce qu’elle demande qu’on dorme. Moi je n’ai pas sommeil car je n’ai pas encore accompli ma mission. Je suis en train de contempler  la chambre de mon amie, qui est bien gâtée avec tout dedans. Une grande carte de photo de tabi et sa famille sur le mur. Un ordinateur d’une grande marque rare sur sa table en vitre. La chambre est décorée avec la couleur rose, c’est sa couleur préférée. J’entends le son de la télé au salon, je sors pour vérifier qui ne dort pas à cette heure. Je pense que c’est le père de mon amie. Il est journaliste, il aime bien regarder des émissions sportives. Sa fille  veut toujours des séries donc il est de fois obligé  de regarder ses programmes la nuit quand sa fille dort. C’est elle-même Tabi qui m’a fourni ces informations sur son père. Je porte une robe que Tabi m’a donnée pour dormir. Je n’ai rien mis comme soutien-gorge ou sous-vêtement [rire malicieux]. J’ai envie de faire l’amour, oui je suis accro à la  sexualité. Je n’ai pas peur du Sida car je me protège souvent avec mes partenaires.

***********DEUS TABI************

Je suis les actualités sportives, comme d’habitude je le fais la nuit pour ne pas étouffer ma petite fille. J’adore la voir en joie. Tabi c’est ma plus grande réussite. Elle est la plus brillante de sa classe et la plus sage de ses sœurs. J’entends la porte de sa chambre s’ouvrir. Mais elle n’a pas sommeil ou quoi ?

Moi (surpris !) : tu ne dors  toujours pas ma fille ?

Irène : pas encore papa, je n’ai pas encore sommeil.

Moi : il  aurait fallu rester dans la chambre car c’est mon heure de suivre mes programmes.

Irène (touchant ses seins) : ne vous inquiétez pas papa, vous pouvez suivre en toute quiétude  vos programmes !

La sensation dévient plus intense que je suis prêt  de tomber à la tentation !

Moi (m’approchant de la gamine) : tu as un corps de rêve tu le sais ?

Irène (gênée) : Me…. Merci papa.

Je m’approche encore plus près pour l’attirer en moi. Elle se laisse faire. Nos lèvres se touchent silencieusement. On se mange les lèvres. Elle m’interrompt à un instant.

Irène : on pourrait nous surprendre. 

Moi : elles ont pour interdiction formelle de venir se présenter ici quand je suis mes programmes. Approche maintenant stp.

Sans savoir d’où je puise cette force qui me pousse vers elle, j’envoie ma main entre ses jambes et remarque qu’elle ne porte rien en dessous de sa robe. Elle écarte encore un peu les cuisses. J’envoie ma main plus loin, sa cave est toute inondée. Je m’attelle à lui donner du plaisir avec mes doigts pendant qu’elle se pince les lèvres en me regardant intensément. C’est la première fois que je fais une telle folie mais je me surprends à aimer la sensation que je ressens.

-Sors-le de sa cachette, dit-elle en touchant mon cinquième membre qui demandait délivrance depuis un moment déjà.

Sans me faire prier, je libère mon bon monsieur qu’elle récupère aussitôt dans sa main droite. Elle le tient en mimant un geste de vas-et vient et me donnant un plaisir fou rien que par ses doigts. Les minutes qui s’enchainèrent furent de doux moments de délivrance pour moi. 

Irène : vous avez un appétit féroce, elles peuvent nous entendre, vous criez tellement fort !

Moi (reprenant mon esprit) : tu es très douée à la matière, tu m’as fait voyager vers le septième ciel.

Irène : je dois repartir dormir, vous avez pris votre pied papa !

Moi (me rhabillant) : prends cette carte ma fille, appelle moi demain vers 15heures. Nous allons nous voir quelque part où personne  ne pourra  nous voir.

Irène (prenant ma carte avec réticence) : d’accord papa. Mais je n’ai pas d’argent pour vous appeler et même pas un téléphone.

Moi (lui donnant 100 dollars) : prends ça pour m’appeler demain, le reste je m’en occuperai. Mais tu dois garder tout ça en secret car une fois que ma femme sait on arrête tout !

Irène (prenant l’argent) : oui papa soyez sans crainte mon papa chéri, vous êtes un dieu au lit, j’ai encore envie de refaire l’acte avec vous !

Moi : je ne comprends pas ta concupiscence mais va dormir mon bébé.

Irène (partant) : bonne nuit papa chérie !

Moi : bonne nuit ma petite croquette !

  ***********IRENE SEVOLO*********

Je rentre dans la chambre avec une joie grandissime. A moi la victoire ! Ce Deus est un pervers de père. Bon, il n’a pas pu résister à mon charme. Il n’est pas le premier à me faire l’amour. Une seule nuit avec ce papa me fait 100 dollars américains. Waouh que la fête commence ! Je me plonge au lit en pensant à ma nouvelle vie d’une princesse et celle de Tabi d’une vermine ruinée ! Oui elle doit aussi pleurer ! J’aimerais la voir s’apitoyer sur son sort les jours à venir !  


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