Chapitre 10
Ecrit par La Vie d'Ielle
Chapitre 10
>>> Julie
Dimitri : Tu ne rallume pas ton téléphone ?
Moi : Je suis fatiguée bébé, je vais rallumer ca après parce que là j'ai juste envie de dormir.
Dimitri ( s'habillant ) : Et si tu as une urgence ?
C'est en boudant que je suis allé le retirer de mon sac pour le retirer et l'allumer.
A peine allumé qu'il affiche toutes les notifications, je regarderai ca plus tard.
Je m'allonge et ferme à peine les yeux que mon téléphone se met à sonner.
Je tente vraiment de l'ignorer mais Dimitri le pose devant moi.
Moi : Un appel facebook Dimitri, ce n'est pas import…
La photo de la personne attire mon attention donc je réponds.
Moi : Allô ?
… : Kim, elle a répondu.
Moi : Kim ?
… : Allô ? Julie ?
Moi : Kim ?
Quelle Kim ?
Je reconnais la voix mais je crains d'aller en besogne parce que la Kim que je connais il y'a longtemps qu'on s'est parlé.
… : Oui… C'est Julie ?
Moi : Kim ? KIM ?!!!!!!!!!!!!!!!
Kim ?
Quelle surprise de l'avoir au téléphone.
La dernière fois qu'on s'est parlé c'était à son retour de la lune de miel puis, plus rien.
J'avais beau lui écrire, tenter de la joindre par tous les moyens mais aucune réponse de sa part. Elle avait complètement disparue sans laisser des nouvelles et sans en donner surtout.
Ca fait quoi, deux ans déjà ? Pas de nouvelles, rien concernant Kimberley où ses soeurs.
Je suis surprise de l'entendre et à vrai dire, j'ai envie de sauter tellement ca me fait plaisir.
Kim : Bonjour Julie.
Moi : Tu étais où ? Pourquoi ce silence ? Toutes ses années ? Kimberley c'est comment ? Comment vas-tu ? Reine ? Léa ? Ton mari ? vous allez bien ? Tu avais disparu pourquoi ?
Kim : Je suis aussi contente de t'entendre Julie, ca fait plaisir.
Moi : J'ai même envie de pleurer tellement je m'étais inquiétée, j'ai eu peur parce que je pensais déjà au pire.
Kim : Je suis vivante Julie, je vais bien. Toi donc ?
Moi : Je vais bien mais ne parlons pas de ca, parlons de toi… Qu'estc-ce qui s'est passé pour que tu disparaisse pendant tout ce temps ?
Kim : Je suis prête à te raconter mais on peut remettre ca à plus tard s'il te plaît ? J'ai vraiment besoin de ton aide.
Moi : Pourquoi ? Qu'est-ce qui ne va pas ?
Kim : Je préfère t'écrire ca, on continue de discuter par messagerie.
Moi ( ne comprenant ) : Euh …
Kim : Tu m'enverras ton numéro via la messagerie de ce téléphone et je te contacterais plus ….
[ Appel coupé ]
Je regarde l'écran de mon téléphone.
C'était bien elle, j'ai bien parlé avec Kimberley non ?
Je tente de rappeler mai s personne ne répond.
Je prends quand même la peine d'envoyer mon numéro, je vais attendre qu'elle me rappelle mais je vais aussi réessayer plus tard.
Dimitri : C'est qui Kim ?
Moi ( le regardant ) : Ma soeur… Je t'avais dit une fois que j'ai une soeur qui avait disparu des réseaux du jour au lendemaiin sans crier gare non ?
Dimitri : Oui.
Moi : C'est elle.
Dimitri : Qu'a-t-elle dit ?
Moi : Pratiquement rien, elle a dit qu'on discute par messagerie et l'apel a coupé avant qu'on ne termine notre discussion.
Dimitri : Le réseau certainement, elle te rappellera.
Moi : Oui.
J'ai hâte qu'elle me rappelle parce que j'ai plusieurs questions à lui poser, je veux tout savoir.
Dimitri : Pourquoi ai-je l'impression que cet appel t'intrigue ?
Moi : Ce n'est même pas que je suis intriguée, juste que je suis contente de l'entendre et de savoir qu'elle va bien. Ca fait pratiquement deux ans que je n'ai pas eu de ses nouvelles donc tu peux bien comprendre dans quel état je suis.
Dimitri : Elle vit où déjà ?
Moi : En Afrique du Sud avec son mari et ses soeurs.
Dimitri : Elle a toujours vécu là-bas?
Moi : Non, c'est après le décès de ses parents qu'elle y est allé avec ses soeurs parce que aucun membre de la famille ne voulait d'elles. Côté paternel c'était pire parce qu'ils disaient que c'était sa mère qui était responsable du décès de leur fils.
Dimitri : Mais elle n'est plus aussi.
Moi : Ce n'était que le résultat de son crime d'après eux, elle aurait simplement payé pour avoir tuer leur fils.
Dimitri : Elle est morte après lui ?
Moi : Oui, chagrin. Sa belle famille avait tout arracher et sa famille ne voulait pas d'elle, tu imagine ?
Dimitri : C'est dur… La famille africaine.
Moi : Tu ne crois pas si bien dire! Personne n'a jamais cherché à avoir de leurs nouvelles, j'ai toujours été la seule à discuter avec elle. Je n'ai jamais compris pourquoi notre famille agissait comme ca et ca ne m'a revolté d'où mon éloignement. Tu as bien remarqué que je ,e fréquente pas ma famille, trop d'égoîstes.
Dimitri : C'est normal.
Moi : Quand je leur avais montré ses photos de mariage je pouvais voir qu'ils n'étaient pas contents.
Dimitri : Mais pourquoi ?
Moi : Je ne saurai te répondre. La jalousie qui existe dans la famille africaine est tenace et sans fondement parce que je ncomprends pas comment on peut détester les enfants de sa propre soeur.
Dimitri : Le mari de la defunte n'était pas aisé?
Moi : Si.
Dimitri : Bha c'est la raison de leur jalousie.
Moi : C'est absurde !
On est restés à discuter mais il a dû partir puisqu'il travail et moi, j'ai profité à dormir avant de me lever faire ce qu'il faut. Travailler de nuit n'a rien de plaisant.
J'ai longtemps attendu que Kimberley me rappelle et j'ai même essayé mais en vain, c'est très tard dans la nuit qu'elle me rappelle mais plus sur messenger.
>>> Jeanne
> Le lendemain
Les choses n'ont pas été comme je l'espérais.
Je savais que ca ne devait pas être facile, je savais qu'il ne devait pas aussi facilement accepté que je sois là mais je ne pensais vraiment pas que ca devait se passer de la sorte.
Je ne savais pas que c'était à ce point qu'il était, j'aurais dû écouter maman parce que maintenant j'ai juste l'impression d'avoir tout gâcher finalement.
C'est dur de voir et entendre son propre fils parler ainsi, de voir tout ce dégoût dans ses yeux mais puis-je lui en vouloir ? Non, je Ne peux pas parce que tout ca ets de ma faute. Je récolte simplement ce que j'ai semé quoique la récolte est trop lourde.
J'ai très mal agi, sa réaction est normal.
Je l'ai abandonné quand il était petit, je suis parti sans me retourner et sans aucun remords. J'étais tupide, jeune et je voulais toujous plus que ce que j'avais et j'ai mis du temps à retrouver mes esprits… J'ai mis du temps à me rappeler que j'avais laissé mon fils, j'ai mis du temps à me rendre compte que j'avais fait la plus grosse erreur de ma vie, j'ai surtout mis du temps à revenir… Je l'ai compris peut-être trop tard mais j'ai compris et c'est pour cela que je suis venu ici. C'est mon fils et j'ai toujours eu ce vide que seul lui pouvait combler mais trop de cupidité en moins, trop de matérialisme et trop de trop.
Voici le résultat, c'ets là où je suis… Seule avec un fils qui ne veut rien savoir de moi et qui m'a brutalisé, c'est violent. Je ne sais pas comment je vais faire pour essayer de trouver un sens à ses yeux, je ne vois vraiment pas.
Kimberley m'a aidé donc je vais la voir peut-être qu'elle va aussi m'aider à parler calement à Dehan parce qu'il faut braiment que je lui parle.
Ses soeurs ne sont pas là, elle est assise au salon en train de manger devant la télévision.
Moi : Kimberley ?
Kimberley : Oui ?
Moi : Je peux te parler ?
Kimberley : Si c'est pour me remercier d'avoir parler pour que Dehan essaie d'être clément, ce n'est pas la peine.
Moi : Il y'a ca et il y'a autre chose aussi ?
Elle repond après m'avoir regardé pendant quelques minutes.
Kimberley : Qu'y a-t-il?
Moi ( m'asseyant ) : J'ai besoin de ton aide
Kimberley : Je n'interviendrai plus dans ce qui ne me regarde pas.
Moi : Je veux juste que tu m'aide à parler avec lui, il fautvraiment qu'il m'écoute.
Kimberley : Qu'il vous écoute lui dire quoi ? Qu'il vous écoute sortir des excuses par ci et là ? Je ne le ferai pas.
Moi : Pour commencer, tu peux me tutoyer. Puis, je comprends que tu prennes sa part, c'est ton mari et sa réaction est légitime mais j'ai vraiment besoin de parler avec lui. Crois moi, je suis vraiment venu ici pour essayer de …
Kimberley : Je lui ai dit de ne pas vous mettre à la porte parce que j'estime que vous êtes une mère et qu'il ne devait pas vous mettre à la porte mais saches que ce que je lui ai dit est vrai. Je lui ai dit que je vais moi-même me charger de vous mettre dans un avion, je vais le faire. Je répète, je ne vais pas me êmêler de ce qui ne me regarde pas.
Moi : Pourquoi ai-je l'impression que tu ne m'aime pas ? Es-tu fâchée parce qu'il t'a brutalisé en sachant que tu m'as laissé entrer dans votre maison ?
Ele se lève sans me répondre et ricane.
Elle va en cuisine, je la suis. Son ricanement me paraît cacher quelque chose.
Moi : Il a l'habitude de le faire c'est ca ?
Kimberley : ….
Moi : Kimberley ?
Kimberley : Pourquoi ne pas me laisser tranquille ?
Moi : Il te frappe ?
Kimberley : Vous savez quoi ? Oui, je ne vous aime pas. Vous savez pourquoi ? Parce qe vous avez fait en sorte que j'épouse un homme qui considère les femme scomme un objet, comme un jouet qu'il peut utiliser quand il veut… Un homme qui trouve que la femme n'a aucune valeur, que nous ne sommes que des choses… Tout ca pourquoi ? Parce que sa mère l'a abandonné son père et lui. Vous savez quoi ? Oui,il me frappe. Vous savez pourquoi ? Parce que il aime ca, parce que veut s'exprimer cette douleur que vous lui avez infligé. Vous savez quoi d'autre ( la voix tremblante ) ? Il ne se limite pas uniquement à me frapper. Oui, il fait plus que ca et croyez moi que je ressens tout ca dans ma chaire et intérieurement. Alors dites moi comment je peux me sentir sachant que c'est de votre faute ? En sachant que vous faites partie des choses qui l'ont poussé à devenir un bourreau ? Comment ( en larmes ) ?
Moi : …
Kimberley : Je me disais bien donc s'il vous plaît, ne me forcez pas à faire une chose que je ne veux pas faire. Vous m'avez fièrement dit que vous êtrs sa mère alors je pense que vous saurez vous débrouiller toute seule.
C'est sur cette phrase qu'elle me laisse debout à la cuisine.
Je suis sans mots, que puis-je dire ?
Je ne pouvais imaginer qu'il était aussi violent. Colérique, oui mais pas violent… Pas à ce point.
>>> Kimberley
> Une semaine
Ca fait une semaine que Dehan ne met pas les pieds à la maison parce que sa mère était là.
Elle est rentrée au Gabon mais il n'est pas encore rentré parce qu'il est en déplacement et je ne sais âs quand il rentre.
De mon côté, j'ai fait ce qu'il faut. J'ai parlé avec Julie et je lui ai tout dit, tout ce qu'il fallait que je lui dise pour qu'elle m'aide avec les filles et j'ai même fait plus que ca parce que en une semaine j'ai touché aux affaires de Dehan pour me faire de l'argent et terminer avec toutes les choses que j'avais à faire aujourd'hui.
C'est le grand jour et j'ai tellement peur parce que je ne sais pas comment les choses vont se passer pour les filles et pour moi. Je ne sais pas comment je vais gérer, je ne sais même pas si j'ai la bonne décision… Je ne sais pas si je me tompre, je n'en sais rien… Je sais juste que j'agis instinctivement.
Reine : Tu es sûre que c'est la chose à faire ? On peut encore tout annuler tu sais ?
Moi : Non, surtout pas maintenant que tout est lancé. Tu sais combien on a peiné pour arriver là donc non, on va aller jusqu'au bout.
Reine : Et si ca ne marche pas ? Et s'il nous retrouvre ?
Moi : Tout va bien se passer Reine, ne me fait pas culpabiliser plus que je ne le fais déjà.
Reine : Je ne vais pas y arriver sans toi Kim ( éclatant en saglots ).
Moi : Eh Eh, regarde mo ( ce qu'elle fait ). Tu vas y arriver pour Léa et pour moi. Tu vas y arriver et dis toi bien que ce n'est que pour un temps car viendra le moment où on sera tranquille je te le jure.
Reine : C'est trop dur.
Moi ( en larmes ) : Je sais bébé, je sais mais je n'ai pas le choix. Je ne veux pas que tu aille en prison, je ne veux pas qu'il m'enlève Léa… Je ne veux pa qu'il fasse quelque chose contre vosu dp=onc on va le faire et de mon côté je vais tout faire pour l'envoyer en prison. Crois moi, c'est tout aussi dur pour moi mais je ne peux faire autrement Reine, crois mo que c'est la meilleure solution.
Reine : Tu me promets que tu vas parler à la police ?
Moi ( essuyant mes larmes ) : Promis… Tu connais toutes les règles que je vous ai donné à Julie et toi, faite sce que je vous ai dit et ne vous montrez pas tant que je ne vous ai pas donné de nouvelles positives.
Reine : Jadan ?
Moi : Crois moi, mieux il en sait et mieux il se porte. Tu sais que je fais ca pour votre bien n'est-ce-pas ?
Reine : Tu le lui diras quand tout sera fini ?
Moi : Je le ferai… Maintenant, essuies tes larmes et essaies de cacher tout ce qui peut ressembler à de la tristesse sur ton visage… Vous devez partir.
Je sors de sa chambre et vais dans celle de Léa que j'embrasse très fort en laissant couler secrètement quelques larmes qu je fais vite d'essuyer pour qu'elle ne constate rien. Bien sûr qu'elle ne sait rien. Pour elle, elle est juste en train d'aller faire une ballade avec sa grande soeur. Je ne les accompagne pas, si je sors de la maison ca peut éveiller la curiosité des gorilles de Dehan.
Une fois Reine prête, elle vient prendre Léa et me jette un regard triste avant de sortir de la maison avec un faux sourire sur le visage. J'ai fait en sorte qu'un des gorilles de Dehan aille quelque part et Kafu, il est là mais très loin pour voir que les filles sont en train de sortir en douce.
J'ai attendu une heure avant de me précipiter à l'extérieur, il est temps que j'aille parler à la police.
J'ai interdi à Reine de partir avec son téléphone donc je ne peux savoir si l'avion a déjà décollé ou pas mais je suppose que si.
Je sors complètement et commence à marcher rapidement sans que Kafu et l'autre ne voient, je vois une voiture se garer devant notre portail… Dehan
J'ose quand même me mettre à courir en criant à l'aide mais personne ne sort voir et j'entends courir derrière moi. C'est une cité ici, ca ne m'étonne pas que personne ne sorte. Je ne suis pas allée très loin parce que j'ai été rattrapée par Kafu et son acolyte qui a vite fait de mettre sa main sur ma bouche de sorte que je ne puisse plus crier.
Ils me ramènent à la maison où je trouve Dehan debout dans le salon.
Ils m'attrapent chacun un bras et me maintiennent debout.
En fraction de seconde Dehan s'est retrouvé devant moi et m'a donné deux gifles qui ont fait en sorte que je me retrouve sur mes quatre membres.
Dehan : C'était quoi ca Kimberley ? C'était quoi ca ?
Moi : …
Dehan : Tu réponds quand je te parle ?
Moi : Vas au diable Dehan !
Dehan : Tu répète s'il te plaît ?
Moi : J'ai dit…. VAS AU DIABLE !!!!
Dehan : Allez me chercher ses soeurs.
Kafu : Oui monsieur.
Il va jusqu'aux marches et je tente de le suivre en criant '' ne les touche pas '' mais je suis retenue.
Kafu ( revenant ) : Elles ne sont pas là monsieur.
Dehan : Répète (le regardant).
Kafu : Les filles ne sont dans leurs chambres.
Dehan : Je suppose que tu sais où elles sont ?
Kafu ( baissant la tête ) : Non…
Dehan : Non ?
Il se tourne vers moi.
Dehan : Laissez nous ( sans me quitter du regard ).
Ils sortent tous.
Dehan : Où sont les filles ?
Moi : …
Dehan : Si tu me réponds je ne vais rien te faire et je vais même pardonner ce que tu as essayé de faire ce soir.
Moi : Tu peux mourir Dehan.
Il vient vers moi et me tient par le cou.
Dehan : Si tu ne me dis pas où elles sont par contre, je vais faire autre chose.
J'éclate de rire malgré la pression qu'il exerce sur moi, il me lâche.
Moi : Tu veux vraiment savoir où elles sont ? Elles sont loin de ta tyranie.
Dehan : Qu'est-ce que tu as fait ?
Moi : Et maintenant qu'elles ne sont plus là, je vais tout faire pour que tu ailles crever en prison.
Plus je parlais, j'allais vers les escaliers.
Dehan : Reviens ici !
Je me mets à courir vers notre chambre avec lui qui court derrière pour me rattraper.
Je récupère le téléphone que je cache depuis quelques jours, je lance l'appel vers le numéro de l'inspecteur que j'avais préalablement enregistré.
Je n'ai pas le temps de m'enfermer dans la salle de bain parce qu'il m'empêche de fermer la porte. Je n'ai qu'un réflèxe, mettre le téléphone dans la poche de la robe que j'ai sans couper l'appel.
Dehan me sort de la salle de bain, me jette au sol et m'assène de coups de pieds.
>>> Inspecteur Léo
Dehan : Je ne sais pas ce que tu as fait mais je sais que je vais te faire regretter ça dès aujourd'hui… Reviens ici Kimberley…
Kimberley ?
N'est-ce pas le prénom de l'épouse de …
Je n'ai pas le temps de réfléchir, je me lève et vais à la recherche de mon insigne.
Moi : Kimberley ? Allô ? Allo ?
Je prends rapidement mon insigne et ma clé avant de sortir de la maison en catastrophe en gardant le téléphone à l'oreille.
Je monte dans ma voiture et démarre.
Kimberley : J'ai appelé la police… Ne t'approche pas de … AAAAHHHHH !!!!!