Chapitre 10
Ecrit par St Daniel
Les chroniques de Saint Daniel
Titre : L’amour des temps.
Auteur : Saint Daniel
Chapitre 10
On était là et j’avais mes yeux dans le regard de Sylvia quand l’appel était coupé. Juste après l’appel
Sylvia : Il y a quoi ? Pourquoi ce regard ?
Ulrich : … (Silence)
Sylvia : Si tu veux y aller tu peux y aller. Mais avant tu me déposes au garage de mon père. Je préfère occuper ma pensée que de rester là à me faire des idées et être soucieuse.
Ulrich : Ok c’est d’accord. Je reviens te chercher le soir déjà à dix-sept heures.
Sylvia : Si tu veux. Mais soit à l’heure.
J’avais bien retenu ce qu’elle voulait me dire et ça se lisait clairement dans ses yeux qu’elle ne voulait pas que j’y aille mais qu’elle se disait aussi que c’est une vie qui est en danger.
On s’était levé et on se dirigeait vers ma voiture quand maman est venu et l’a convaincu de rester avec elle. Ce qu’elle a accepté vu que maman lui a proposé de l’accompagner au marché. Je faisais sortir ma voiture quand je tombe celui de papa à la devanture. On s’est salué de la main et je me suis mis en route. Plus tard à l’hôpital
Ulrich : Bonsoir !? Infirmière dite…
Ahlin : Ulrich ! Tu es là ? Je savais que tu allais venir. Je les ai vus amener Audrey au bloc. J’ignore ce qu’elle a eu mais j’ai dit à ma sœur de s’occuper de tout !
Ulrich : Ok d’accord ! Merci beaucoup !
Ahlin : La police aussi est venue. Qu’est ce qui se passe ?
Ulrich : C’est ça je veux moi aussi savoir hein… Tu as vu Cynthia ? Je l’ai appelé mais elle ne décroche pas.
Ahlin : Oui ! Elle se fait soigner.
Je lui ai demandé et il m’a conduit à la chambre où on s’occupe de Cynthia. Arriver je retrouve Cynthia qui est sous sérum et le docteur en stage qui s’occupe d’elle s’en allait. La patience n’était pas mon fort à l’heure donc j’ai été direct.
Cynthia : J’ignore qui ils sont ! Ils nous sont tombés déçu en plein marché et ont tiré sur elle ! Je devrais juste la remettre son passeport et sa carte d’identité.
Ulrich : Qui vous est tombé déçu ? Qui !!!
Cynthia : Je ne les connais ! Ulrich !!!
Ahlin : Hé frère ! Calme-toi !
Ulrich : Tu veux que je me calme pour quoi !? Elle est là au bloc ! Personne ne me dit qu’elle va s’en sortir !!! Personne !
J’avais l’accent grave à toute question. Même quand le docteur est venu m’appeler j’ai criée ‘’quoi !!!’’
Docteur : Monsieur ? Nous avons essayé, nous avions fait tout ce qu’on peut mais nous n’avons pas pu. Désolé ! Cependant nous avons réussi à sauver le bébé.
Ulrich : Le bébé !?
Ahlin : Bébé !?
Docteur : Oui ! Vous êtes papa ! Toutes mes félicitations. Après vous pouvez passer dans mon bureau ? J’ai quelque chose à vous dire.
Je ne savais pas trop quoi dire, j’avais plus la langue, alors j’ai hoché la tête. Il vient de parler de bébé ? Et il a vraiment dit que je suis papa ? Je suis un peu embrouillé, est ce que j’ai toute ma tête ? J’étais là ! Je n’avais pas toutes mes systèmes quand une infirmière est venu vers moi quelques minutes plus tard et m’a amener voir le bébé. Il est si mignon, une fille adorable, voir sa peau blanche tacheté de sang me donnait le froid de l’aube et la chaleur de mes rêves. C’était vrai, c’était réel, mais je n’en revenais pas du tout.
Ulrich : Vous permettez ? Je peux rentrer ?
Docteur : Oui ! Oui ! Entrer donc
Ulrich : Merci ! Vous avez dit que…
Docteur : Oui ! Oui ! Attendez moi je reviens dans un instant.
Deux minutes après il revient avec un sachet contenant les effets d’Audrey.
Docteur : Tenez ! Ce sont ses affaires qu’elle avait sur elle. Ses dernières paroles étaient qu’on sauve son bébé coute que coute et qu’on vous la donne. Elle disait que vous êtes le père et vous saurez prendre soin d’elle. Elle a dit qu’il y a un truc dans son téléphone que vous devriez absolument voir.
Ulrich : D’accord docteur ! Merci beaucoup !
Dans les couloirs de l’hôpital j’allais me mettre à allumer le téléphone portable d’Audrey quand je vois Keola me venir de loin.
Keola : Tu sais ce que j’ai toujours détesté en ce monde ? Le faite qu’il y a pire que de ne pas être aimé. C’est être aimé pour ce que l’on n’est pas, c’est d’être oublié par amour.
Ulrich : Elle a donnée naissance à un enfant dans ses derniers souffles. Une fille d’elle et moi !
Keola : Toi et elle ? Comment ça ? Elle ne peut pas…
Ulrich : Elle est morte ! Keola, Audrey est morte !
Keola : Quoi ? Comment ça morte !?
Ulrich : Elle a dit que je prendrai soin du bébé car c’est ma fille. Je l’aimais ! Sincèrement j’avais des sentiments pure envers en elle…
Keola : Elle j’ignore si elle t’aimait comme toi tu l’aimais, mais elle est déjà morte. Et puis c’était elle qui t’a brisé le cœur en s’en allant sans rien dire, pas un mot. Donc rend toi à l’évidence ! T’es tombé amoureux de quelqu’une qui ne t’a jamais ouvert ses bras.
On était là et je ne disais plus rien. Keola m’avait prise dans ses bras pour me consoler et Ahlin était là avec sa sœur à nous regarder. C’était là qu’on se tenait avec moi triste quand on entendit une histoire de braquage dans une maison et mon téléphone portable sonne. C’est Victorien qui m’appelle pour dire que la maison de mes parents est prise en otage.
Ulrich : Quoi ? Tu es sur de ce que tu dis là !?
Victorien : Je me rends là-bas comme ça. On a eu un appel où on nous dit qu’il y a eu des coups de feu dans la maison. Dit-moi si ton père et ta mère sont à la maison.
Ulrich : Oui ! Oui ! Ils y sont quand je partais ! Sylvia aussi !!! S’il te plait fait en sorte qu’il ne leurs arrive rien ! Je suis en route. S’il te plait ! Sylvia est enceinte !
Victorien : Quoi !?
Keola : Quoi !?
Ulrich : S’il te plait !!!
Victorien : D’accord ! Je ferai ce que je peux. Mais toi et moi on aura une belle discussion. Tu as caché et fait traversé la frontière une rechercher par la police.
Ulrich : Je sais ce que j’ai fait et j’en prends toute la responsabilité. Mais sauve Sylvia et mes parents, s’il te plait !
A suivre…
La mort ne prévient pas quand il vient frapper à une porte. Alors taché de vous en souvenirs et de ne pas faire que du bien mais de semer aussi le bonheur et le sourire dans les belles yeux.
Est-ce bien le fils d’Ulrich ? À votre avis que dois faire Ulrich.
Chapitre 10
Auteur : Saint Daniel
Titre : L’amour des temps.
Les chroniques de Saint Daniel
Hirondelle et le Saint