Chapitre 10

Ecrit par St Daniel

- Les chroniques de Saint Daniel -


Titre : *Le monde s’écroule*


Auteur : *Saint Daniel*


_Chapitre 10__


Au cours de l’histoire il faudra avoir du cœur pour surmonter quelque effet de la vie. Tout ou rien, la vie est faite de tout ou rien, il suffit que l’on ne rate une chose considéré comme rien ou qu’on ne sous estime un rien pour que l’on découvre le karma à une époque la plus inattendu. L’histoire parlera de nous ? Qui se souviendra de nous ? La vie n’est pas un paradis, ni une rose. Le ciel sera notre témoin, la terre connaitra notre histoire, mais, ni la terre ni les cieux ne parleront de nous. Si après la vie c’est la mort, est-ce pour l’unique raison que l’on ne vie que pour mourir qu’il faudra vivre parce que l’on va mourir ? Priscilla est perdue dans l’histoire de la vie, un peu comme se retrouver dans une forêt qui est jonchée de moins de bonheur que de malheur. Il y a des histoires, il y a une seul vie, il y a des amours, et il y en a qu’on ne peut oublier. Dans l’histoire de la vie aux yeux de Priscilla il y a qu’une seul histoire d’amour pour elle dans son unique vie.


LA discussion continuait entre Priscilla et Joachin…


Joachin : Priscilla je veux te parler.


Priscilla : Ok. Qu’est-ce que je peux pour toi ?


Joachin : C’est vrai toute cette histoire qui circule à ton sujet ?


Priscilla : Tu m’as appris à t’aimer et tu m’as aussi appris à ne pas t’aimer. Dit moi qu’est-ce qui est meilleur que le rouge de noël ? Si tu me parles de ma vie, je pense que c’est noël avant l’heure.


Joachin : Ce n’est pas parce qu’on est plus ensemble que tu te dois de te laisser à la vie comme un vulgaire déchet…


Priscilla : Si je ne suis pas à toi alors je ne serai à personne d’autre, et ni à ce monde.


Joachin : Pour tout ce qu’on s’était promis, c’est toi qui as tout gâché. Pourquoi tu m’as fait si tu savais bien que tu ne peux pas vivre sans moi ? Pour quoi tu as laissé mon cœur s’abimé !


Priscilla : … Ne me demande pas ça. C’était juste une plaisir que je n’arrive pas à … Je … (Des larmes commencent à couler). Personne ne peut juger nos vies, rien n’est là même. Ne vient pas ici pour me juger. S’il te plait !


Joachin : Je ne veux plus que tu ailles à proxénète. Tu risque d’attraper les IST ou le SIDA si tu continues ça. Ce n’est pas parce que l’on n’est plus ensemble que je ne tiens pas à toi …


Priscilla : Ça voudrait dire quoi ? Depuis quand tu t’intéresse à ma vie ?


Joachin : Tu l’as oublié !


Priscilla : Quoi !?


Joachin : Ses quelques mots de ce jour, le jour où … Le jour de tes dix ans … Quoi qu’il advienne n’oublie jamais que je t’aimerai. (dit-il à voix basse)


Priscilla : Ça voudrait dire que tu m’as pardonné ?


Joachin : Tu le mérites ? Tu mérites mon pardon ? Est-ce que tu mérites mon pardon !! (Joachin qui ne voulait pas hausser la voix venait de le faire sur l’être aimé)


Priscilla : Dit moi pourquoi toi aussi tu t’es mis à jouer à la bosse ? Pourquoi tu es sous le pond chaque soir à vingt deux heures ?


Joachin : Ce n’est pas tes affaires. C’est ma vie et j’en fais ce que je veux.


Joachin n’était pas prête à parler de lui mais il était prêt à parler de Priscilla. En partant il se disait en lui : « Même si tu devais mourir, ou, si je devrais mourir, tu peux être sur que je tiendrai ma promesse. Si tu pars, si tu quitte mon histoire, une partie de moi gardera nos rêves quelque part dans mon cœur à jamais. » Il mourrait d’envie de le dire à haute voix, que Priscilla l’entende mais il avait encore ses milles mots qui l’obsèdent encore et encore. Ce serait encore de l’amour ? Du sentiment ? Ou de la haine ? Il se demandait surtout à savoir s’il est prêt et s’il sera à la hauteur pour dire vraiment ce qu’il ressent. Il le savait en lui, il ne pouvait pas se mentir, il admettait bien en lui la vérité mais aux yeux du monde il dissimule la vérité.


De l’autre coté Christophe venait de rentrer. Il venait d’arriver chez Kevin. Là il retrouve Anaïs  et ils prennent place dehors dans la cours.


Anaïs : Christophe …


Christophe : Ça fait longtemps hein ma chérie.


Anaïs : Wep …  Bizarrement à part la peur que tu ailles mal, très mal ou que tu es un souci je n’ai pas senti ton absence. Pour la première.


Christophe : Je travaillais, j’étais pris de chaque coté, j’avais plein de truc à faire, mais je pensais à toi. Quand je lève mon regard vers le ciel, ou quand je souffle une minute, je ne pense qu’à toi. Je me demandais à chaque minute où t’es et ce que tu fais.


Anaïs : Vraiment ? Moi aussi je pensais à toi de tout cœur. 


Christophe : Bref ce soir je voudrais qu’on sorte voir la ville. Marc m’a dit qu’il y a un nouveau coin dans la ville, quelque part que je dois t’y amener.


Anaïs : Tu n’es pas sérieux, Christophe. Ce n’est pas ça notre souci, tu oublies ? J’ai voulu aller chercher quelque chose à faire pour qu’on se trouve une pièce, tu as refusé. Maintenant que tu as un peu de sous tu veux le dépenser pour me faire sortir ? Tu crois que j’aime le faite de dormir seul près d’un couple ? Même s’ils sont mes amis, tu penses que j’arrive à m’endormir sachant que tu te retrouve quelque part à bossé pour que je ne souffre point ?


Christophe : Anaïs écoute…


Anaïs : Je n’arrive pas à croire que tu peux penser que c’est ça qui m’importe maintenant là.


Christophe : Ah je vois. Joachin ne te l’a pas dit. Pourtant je lui ai bien dit hier de te le dire. Bref le directeur m’a dit hier qu’en vu que l’année n’est pas encore fini il est de son devoir de m’habiter, donc il m’a trouvé une chambre dans l’internat.


Anaïs : Il t’a trouvé une chambre ? A toi ? 


Christophe : Est-ce que tu sais pourquoi je t’ai choisi ? Mon amour pour toi est un sentiment auquel je ne vois aucune encyclopédie exprimer, un sentiment si fort que je n’ai point de mot pour l’expliquer.


Anaïs : Ne dévie pas le sujet ! Tu veux me dire quoi exactement ? Que je dois m’endormir là près Kevin et Lydia chaque nuit jusqu’à la fin de l’année ? Les voir s’embrasser, se prendre, se dorloter, se cajoler, se … Chaque nuit jusqu’à …


Christophe : (rire)


Anaïs : Ça te fait rire ? Continue de rire. Je te laisse.


Christophe : Tu disais y a un instant que tu n’as pas senti mon absence mais tu sais bien que moi que c’est faux. Bien ma tante à interdit au directeur de nous loger, toi et moi. Elle accepte qu’il me loge mais pas toi. Mais j’ai passé un marché avec le directeur et il a accepté à condition qu’on fasse mollo.


Anaïs : Vraiment ? Donc tu n’as plus besoin d’aller bosser la nuit ? Christophe !? Quel marché ? Tu vas pas me dire ??


Anaïs saute et s’accroche à Christophe. Elle l’embrasse, elle lui fait plein de bisou jusqu’à ce que Christophe ne crie qu’il n’arrive pas à respirer avant qu’elle ne le lâche. Christophe l’a ensuite dit de faire vite car déjà à vingt et une heure il doit repartir pour le boulot. Anaïs  a opté pour un petit short dine très courte qui dessine son derrière et porte un tricot sauté blanc en haut. Elle a mis une des chaussures de Lydia et a rejoins Christophe qui l’attendait dehors en une chemise blanc avec un pull déçu et un pantalon palazone en bas, à ses pieds y avait un Jordan 4. La soirée était bien partie pour ne pas être importune. Ainsi ils se sont mis en route pour la dite endroit. Cinq minutes après leurs départs Kevin venait de rentrer à la maison.


Kevin : Lydia ? Lydia ma chérie tu es où ? Et Anaïs. J’ai payé du burger et j’en ai payé pour vous aussi.


Lydia : Euh les tourtereaux sont sortis hein… Donc les deux sont à moi.


Kevin : Comment ça ? Et si elle rentrait ? Faut laisser au cas elle aura faim quand elle va rentrer.


Lydia : Non, donne elle n’aura pas faim. C’est moi qui te parle hein, pourquoi tu ne me crois pas.


Kevin : Je te crois toujours et tu le sais. Mais là je crois que tu me caches quelque chose. Crache la chose…


Lydia : Bon Anaïs  m’a dit dans la chambre que 


Christophe l’amène dans le nouveau coin. L’endroit chic qu’on a rencontré la fois dernière avec Jeanne et Marc. Oui, c’est là qu’ils y sont rendus. Et aussi le directeur a trouvé une autre chambre pour Christophe à l’internat en attendant qu’ils remettent celle là en forme.


Kevin : Attend tu essaies de me dire que la nuit est bien partie pour qu’on fasse un bébé ? Viens dans mes bras que je te contemple, te vénère, et te fait de jolie truc avant que tu ne me donne un jolie beau gosse ou une jolie petite demoiselle.


Lydia : Hé pas si vite. On s’est dit que pas de grossesse avant le baccalauréat, donc tu y vas chercher préservatif pendant que moi je me régale pour avoir de la force. Et aussi tu ne traine pas ok ? On a jusqu’à vingt et une heure.


Kevin : Ok d’accord ! Je fais vite.


Pendant ce temps chez Priscilla qui s’était endormie venait de se réveiller et a porté une robe un proche du noire. Alors qu’elle partait elle est rencontre sa mère dans la terrasse entrain de lire la bible.


Priscilla : Maman ? Tu n’es pas dans la chambre ?


Maman : Non ma fille. Et toi ? Tu vas où comme ça.


Priscilla : Euh maman je vais chez Jeanne. Avec les filles on s’est décidé de faire quelque révision toute la nuit.


Maman : Toute la nui tu dis ?


Priscilla : Oui maman. Sinon ne t’inquiète pas. Rien ne va m’arriver, je serai sage et je lirais Psaumes vingt trois sur la route comme tu me l’as appris.


Maman : Ok d’accord ma fille. Soit prudente ok ? Et demain je veux te voir avant de partir, donc tu rentre tôt.


Priscilla : Ok maman. Bonne nuit maman.


Maman : Bonne nuit à toi aussi ma fille chérie.


En même temps chez Marc. Il est avec Jeanne son amour. Les deux avaient prévu de réviser, mais arriver à un moment ils ont oublié la révision et parlaient de leurs groupes. Mais surtout de Priscilla et Joachin.

Jeanne : Tout ce que je te demande, c’est de voir avec Christophe. Tu sais très bien que moi que lui il a une autre vision et un don à lui de raisonner chaque cœur.


Marc : Ce que j’essaie de te faire comprendre est qu’au point où sont les choses on y peut rien. Si Christophe a gardé le silence ça voudrait dire qu’il ne sait quoi dire.


Jeanne : Vaut mieux pour donner raison à vos suppositions que d’être là à ne rien faire. Etre ami ce ne serait pas le faite de s’entraider ? De se soutenir ? Nous nous essayons de raisonner Priscilla mais elle s’entête. Ça vous plait ?! Que chaque nuit elle quitte la maison pour ce club inhumaine ? Pour cet immeuble ? Vous aimez que Joachin se rend chaque soir sous le pond pour faire de la bosse avec des gens de la mafia ? Si vous avez ne serait-ce qu’un bout de sentiment d’amitié dans vos cœur vous aurez tenté quelque chose au moins.


 Marc : Jeanne on parle de Joachin et Priscilla, de deux personnes qui se sont vu toute nu. Bon sang ! Tu sais aussi bien qu’on ne peut pas se mêler de leurs histoires, tu les connais aussi non ?


Jeanne : C’est votre ami aussi, Joachin est votre ami tout comme Priscilla. Si ça vous va comme ça de voir votre ami d’enfance se faire défiguré chaque soir juste parce qu’il ne peut pas hausser la voix ou battre la femme qu’il aime ? Si ça ne vous fait rien de voir votre amie de jeunesse se rendre à proxénète chaque soir juste pour oublier cette nuit de cinq minutes à croire que ça n’enlèverait cette odeur d’infidélité de son corps ? Si vous ne pouvez rien pour ceux que vous appelez ami, je me demande si vous vous aurez un cœur pour écouter les être que vous appelez amour et chérie.


Marc : Jeanne …


Jeanne : Je rentre chez moi. Je n’aimerai pas me disputer avec toi. Tu sais bien que je déteste ça, donc à demain. On se voit au lycée.


Ainsi Jeanne s’est levé du canapé et a pris son sac puis s’est mis en route. Marc est partie chercher ses scandales afin de la ramener chez elle mais elle a refusé et a catégoriquement refusé qu’il vienne la déposer en cours de route.


Dans la nuit là Joachin venait d’arriver sur sous le pond. Il retrouve son manageur qui part se chargé des formalités afin de l’envoyé dans le ring juste après leurs petite discussions.


La soirée était belle chez les amoureux. Anaïs  profite bien de cette belle nuit et Christophe ne cesse de l’admirer tout en laissant de beau sourire qui exprime sa joie de la voir, de voir sa bien aimée tout aux anges. Un temps après leurs sorties d’un stand Anaïs  s’est arrêté et a fixé Christophe pendant un laps de temps puis lui dit :


Anaïs : Tu veux savoir une chose ? Je ne veux pas, et je ne peux pas, vivre sans toi. Parce que tu es toute ma vie, tu es mon amour. J’ai besoin de toi pour respirer, tu es dans ma peau, (Christophe la regarde tout ému et perdu dans les mots) tu ne comprends pas ? J’ai besoin de toi pour vivre, Christophe ! Je t’aime trop.


Christophe : Euh tu sais aussi que je t’aime. Ecoute ! Je ne connais pas demain, je ne veux pas prédire l’avenir. Si la chance m’est offerte de voir l’avenir je chercherais qu’à connaitre la date de la fin de mes jours afin de passer mes derniers vingt quatre dans tes petits bras.  Mes yeux brillent pour toi, mon cœur bat pour toi, mon corps et mon être… Je ne vie pas que pour toi, même si je l’aurai aimé. Mais toutefois je vie aujourd’hui parce que tu vie, et j’aimerai que cela ne change point. 


Anaïs : Si demain nous ne sommes plus ensemble, s’il arrive que l’on perd nos sentiment ou que je perds mes sentiments et que tu n’arrives point à enflammé l’étincelle dans mon cœur, promet moi que tu vivras le jour et la nuit pour moi, que tu ne te laisseras point consumé par le regret ni quoi que ce soit. Promet le moi ! Je veux que tu me le promettes.


Christophe : Quoi ? Qu’est-ce qui te fait dire ses trucs ? 


Anaïs : Promet le moi ! Christophe.


Christophe : Ok ! Je te le promets. Maintenant dit moi pourquoi tu penses que l’on va finir un jour ?


Anaïs : Parce qu’elle pense que Joachin la déteste et ne la veux plus elle se retrouve à faire la prostitution chaque nuit. Parce qu’il ne peut pas arroser sa dulcinée de sa rage il se retrouve chaque soir sous le pond à se battre contre les muscles de la mafia. J’ai peur que cela nous arrive à nous aussi. J’ai très peur.


Christophe : Quoi ? Tu dois arrêter de lire tout ses romans absurde et pleine d’imagination. Je te l’ai dit si je ne suis pas ton Jacques je serai ton Roméo.


Anaïs : Je n’ai lu aucun roman. Je te parle de Joachin et Priscilla


Christophe : Tu veux dire que Priscilla … Et Joachin … ?


Christophe avait perdu sa langue, il ne savait plus quoi dire. C’était pour lui comme une vision des évènements de l’enfer. Pendant qu’il reformule l’histoire qui vient de lui être raconter monsieur Peter PAKER venait d’entrer dans le lieu et remarquant Anaïs  il l’appelle.


Mr Peter : Anaïs !? Quel grâce de te rencontre ici ? Qu’ai-je fait pour que le ciel m’accorde une si belle nuit au ciel bien étoilé pour te voir si époustouflante, resplendies ? Tu es si belle, pose ta main sur ma poitrine et écoute mon cœur qui bat. J’ouvrirai ma poitrine pour te le faire voir si je le pouvais mais je suis sur que tu sais lire sur mes yeux.


Christophe : Essaie seulement de me la voler et je te coupe la main. Si tu ose encore la regarder encore de ses yeux je t’arrache les yeux. Si tu l’as fait encore du compliment je te coupe la langue. Et si jamais à l’avenir tu as encore l’audace de la faire des mots douce sache que le monde est trop petit pour moi et la prison est trop grande pour moi. Va loin !


Christophe parlait fermement. Dans sa voix se sentait une rage et une colère, c’était la première fois que Anaïs  le voyait ainsi avec ses yeux et se regard terrifiant. A croire que la mort se voit dans les regards de celui qui est prête à tout pour l’amour. Monsieur Peter n’avait rien dit de plus, il ne cherchait pas ennuie donc il a repris chemin comme si rien ne s’était passé.


Ami : Peter ? Qu’est-ce qui vient de se passer là ? Tu laisse cet insecte te manquer de respect comme ça ? Je n’y crois pas !


Peter : Ne parle pas comme ça.


Ami : Qu’est-ce qui t’arrive ? Je ne te retrouve plus là !


Peter : Oublie cette histoire.  Et si on se concentrait sur ce pour quoi on est là ?


Christophe respire un bon coup après et s’excuse de son comportement de tout à l’heure au près d’Anaïs. Après ça il l’a demande de l’amener sous le pond. Anaïs  lui fait savoir qu’il sera en retard au boulot et qu’il pourrait gérer cela demain après son retour du boulot.


Christophe : Et s’il perd la vie ce soir ? Et si elle attrape les IST ou qu’on la trucide cette nuit ? Ou qu’elle meurt d’une overdose ? Tout comme j’aurai des regrets si je te perdrais je m’en voudrais de n’avoir rien pu faire pour eux aussi.


Anaïs : Et ton salaire ? Tu as dit qu’ils vont te payer deux semaines après. Si tu n’y vas pas cette nuit …


Christophe : Ne t’inquiète pas ! Ça en vaut la peine. Et puis c’est d’une vie qu’on parle, l’argent peut attendre. Je préfère mes amis prêts de moi qu’avoir l’argent. A quoi sert l’argent si je n’aurai que la solitude, l’ennui et le stress si je suis riche ? On vie dans un monde où l’argent compte mais les riches sont comme les pauvres. Ils ont l’argent mais ils sont malheureux. Enfin la plus part.


Anaïs : Tu as raison. Bon dépêchons-nous sinon il sera trop tard.


Ainsi ils ont pris moto afin de s’y rendre le plus vite possible.


A suivre…


Chapitre 11


Auteur : Saint Daniel


Titre : Le monde s’écroule 


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LE MONDE S’ÉCROULE