Chapitre 12

Ecrit par Sandy's Aby's

Quelques heures après

 Steve.

Les filles nous rejoignent à la sortie du marché, elles sont magnifiques.


Alban arrête un taxi pour le palmier doré car on a décidé d'aller d'abord manger. 

On s'embarquent.

 Alban monte à la cabine ensuite Barbara entre en premier suivie de Medelva puis moi.


Dans le taxi.

Alban : Bonjour Mr !

Le Chauffeur : Bonjour !

Barbara fait dexendre la vitre à la demande de Mède.

Alban (regardant par le rétroviseur) : Les filles donc vous vous êtes battues ?

Medelva : On ne s'est pas battues, on les a frappées nuance !!

Je me mets à rire cette fille est extraordinaire.

On arrive enfin au palmier doré, on prend une table à la terrasse et on commande nos plats.


Alban (s'adressant à Medelva et Barbara ) : Comments étaient les épreuves ?


Barbara : C'était cool comme disait Mède, on attend les resultats pour nous situer.


Medelva : Bah oui on peut tout dire, la finale ce sont les résultats, mais quand même j'ajouterai qu'on est confiantes.


Alban (à moi) : Et toi c'est cette semaine non !


Steve : Celle qui va commencer.


Medelva (posant sa main sur mon épaule ) : Je te souhaite déjà une bonne chance ou bonne grâce à tes examens.

Moi : Merci bae !

Alban : Ah ça ! Les choses évoluent hein !


Barbara : Voila pourquoi des jalouses veulent s'immiscer.


Medelva : vraiment !


On nous sert ce qu'on a demandé et on se met a manger.


Une voix feminine : Bonjour !


On se retourne et je tombe sur ma cousine Roanne.


Moi : Eh ! Roanne ! Bonsoir.

Les autres : Bonsoir !

Moi ( présentant Barbara et Alban) Ce sont mes amis [ touchant Medelva] et voila ta belle sœur, Medelva.

[ m'adressant à Medelva et les deux autres] Elle c'est Roanne.


Alban et Barbara en chœur : Enchanté !


Medelva : enchanté !


Roanne : Enchanté ! Ah ça, ma cherie, bienvenue dans la famille ! 


Medelva : Merci.


Roanne ( (revenant à moi) Cava et les autres ?

Moi : Ca va bien . Les parents sont en déplacement.

Roanne : Oui oui ! maman m'a appelé en semaine en tout cas,  je passerai.

Mais dit moi Daysie t'a finalement appelé ?

Moi (surpris) : Pourquoi ?

Roanne : On s'est vu chez Paul (salon de thé  patisserie) la dernière fois et elle m'a expliqué que sa mère avait des soucis et qu'elle avait besoin d'aide financière. 

Elle demandait même ton numéro, je le lui ai même aussi remis le mien mais jusque là elle n'appelle pas.

Moi : Tu es pressé ?

Roanne : Non non, j'attends quelqu'un qui est coincé dans les embouteillages.

Moi : prend place et commande quelque chose.

Roanne (tirant une chaise sur la table à côté) : c'est bon jai déjà manger merci.

Moi : Ok, c'est avec toi qu'elle a pris mon numéro.

Roanne (prenant place) : Oui, Elle t'a appelé non ?

Medelva : Excusez moi pour l'ingérence, mais elle a fait plus qu'appeler !

Moi : Elle ma appelé en fait, en gros c'était de la manipulation.

Roanne : Nonnn ! 

Moi : Je te dis !

Roanne : Et moi qui pensais qu'elle avait changé, minal !

Moi : Elle est allé  jusqu'au lycée de ta belle sœur chercher des noises !

Roanne : Ekié ! Elle est folle !

Barbara et Medelva se mettent à rire.


Pendant ce temps du côté de Louis.

La Daronne : Bonjour !

Daysie : Bonjour Darone !

Daronne : Qu'est ce qui se passe ? Jai ouie dire qu’un des clients t'avait battu !

Daysie (surprise) : Bien sûr que non ! 

La Daronne : Mais Qu'est ce qui s'est passé alors ? Un truc personnel ?

Daysie : Oui madame .

La Daronne : Et je peux savoir ce que c'est ?

Daysie : Histoire de fesses madame.

La Daronne : Une rivale ? 

Daysie : Oui !

La Daronne : Jai eu un cas similaire dans ma jeunesse et tu sais ce que j'ai fait ?

Jai acheter une bombe lacrymogènes  au marché noir en miniature, je suis allé  chez elle, dès qu'elle est sortie de chez elle je le lui ai pulvérisé au visage.

 Je me suis cassée ensuite, je nai plus cherché à  revoir ni le gars ni elle. 

Daysie (indignée)  : Ouh !

La Daronne  : Eh oui !

Beuh c'est comme ça la vie ! Ok ...euh tu es libre la semaine prochaine sauf urgence !

Daysie (tout sourir) : Merci madame.

La Daronne : Bon, tu peux disposer maintenant, j'en ai assez de discuter.

Daysie : Ok Daronne.


Daysie

Je sors du bureau de la Daronne, humm ! Qui a bien pu lui raconter ces conneries tchiup, je préfère penser à quelque chose pour faire payer à cette Medelva.

Je vais trouver ma seule copine que j'ai dans le bordel, celle qui ma accompagné au LPEE. 

Elle s'appelle Délia.

C’est moi qui lui ai brancher à la Daronne car c'était une fille qui souffrait beaucoup, certes il n'y a pas une grande différence maintenant puisqu' elle commence à peine avec nous, mais cest mieux que quand je l'ai connu. 

Je l'ai prise sous mon aile et elle m'accompagne dans mes mouvements parfois..


Moi (me dirigeant vers elle.) : Délia !


Delia : Oui Daysie !

Daysie : Jai un grand service a te demander.

Délia : je t'écoute…

                                            ***

Quelques heures plus tard

 jonathan 


Bonie et moi suivons la télévision,  le bruit du portail se fait entendre.

Bonie et moi nous  redressons.

Quelques secondes plus tard,Ya Steve entre suivie d’Alban, Medelva et sa copine.

Je me lève et Bonie aussi. Je sers la main a Alban.

Moi : Bonsoir le grand.

Alban : Bonsoir mon petit.

Je laisse Alban pour saluer les demoiselles pendant qu'Alban salut Bonie. 

Et Bonie les saluent ensuite et on prend place.

Ya Steve reviens au salon avec deux bouteilles d'eau andza. 

Et des verres en plastiques qu'il dépose sur la table.

Ya Steve : Bienvenu chez moi.

Barbara : Merci.

Medelva : C'est beau chez vous !

Moi : Merci Mède !

Barbie : Ah ça ! Même toi tu connais Mède.

Alban : Normale son grand frère doit en parler très souvent.


Steve (amusé) : On peut se déplacer pour la terrasse on sera mieux labas.


Alban ( se levant) : Ok c'est mieux.


                                   ***


Le lendemain au Lycee Paul Emane Eyeghé 

 Medelva

Je sors de ma salle et vais rejoindre Barbara,

Qui sort aussi de sa salle.

 On se fait des bises et on se dirige vers la sortie. 

Après quelques minutes, on décide de marcher jusqu’à à Sogatol car les taxis boudent un peu, on a augmenté le carburant, Tchuip ! Comme si c'érait de notre faute.

Barbie : Je suis rentré chez moi tard hier.

maman boudait même. !

Moi : Mais pourquoi ? Nous sommes quittés  de chez Steve à vingt heure, on est arrivés au marché banane vers ving et une heure moins !

Elle : Bien-sûr ce n'est pas à cause de vous, c’est que je ne voulais plus laisser partir Alban.

Moi ( amusée) : Que vous ooo ! Ça coule !

Pendant qu' on marche le bruit d'une voiture qui freine brusquement se fait entendre derrière  nous  j'ai juste le temps de tourner la tête et réaliser que la voiture en question est maintenant  près de moi, la portière s'ouvre brusquement sur un homme cagoulé et je me sent soulevé et  projeté dans la voiture, mon sac tombe sur le sol, tout se passe si vite que je ne réalise même  pas ce qui est entrain de m'arriver.

J'entends les cries de Barbie et paf la portière se referme en même temps que les pneus du véhicule grincent pour repartir. 

Je me débat de toute mes forces en poussant un des gars, car ils étaient quatre.

Au passage, il se cogne contre la vitre mais revient à  la charge.


Le chauffeur de la voiture (sans se retourner)  : Calmer là, vous aussi, c'est une petite fille qui va vous dépasser ?

L'un des gars cagoulé (s'adressant a un autre) : Man où est le liquide ?

Ils m'assènent de coups, puis l'un d'entre eux me met une pochette sur la bouche et le nez.

 J'éssaie tant bien que mal de ne pas inhaler le produit imbibé sur la pochette mais il le presse si fort qu'a un moment donné je reprends le soufle et hop troue noir.

 Barbara.

On marchait Medelva et moi, quand on a entendu le bruit d'une voiture vitre fumées, freinant brusquement, la portière s'est ouvert et un homme cagoulé en est sorti. Je n'ai pas compris à quelle moment il est arrivé jusqu'à nous, il a pris Mède et l'a directement ballancé dans la voiture il est remonté dans la voiture et avant même de refermer la portière la personne au volant à démarré en trombe.

 Je me retrouve là debout et incrédule, la voiture n'a pas de plaque d’immatriculation.

Je regarde au sol et je constate que le sac de Medelva est là, je m'empresse de m'accroupir pour le fouiller, je trouve son téléphone, certains élèves se rapprochent de moi au fure et à mesure, j’ai eu du mal à me concentrer tellement je tremblais.

Un élève : Ma chérie, qu'est ce qui s'est passé ?

Lorsqu' il m'a posé cette question, je l'ai juste regardé les yeux humide.

Ensuite, je prend le téléphone et je vais dans les appels émis, je vois le numéro de Steve, je lance l'appel.

Steve : Allô bébé !

Je fond litéralement en larmes à l'écoute de sa voix.

Steve (alerté) : Que se passe-t-il ?  Barbie ? C'est toi ?

Moi ( pleurant de plus belle) : Ouiiiiii Steeeeve.

Steve : Calme toi, tu es où ?

Moi (Me reprenant un peu) Au lycée snif.

Steve : Ok ne bouge pas j'arrive.

Il raccroche et du coup je ne sens plus mon corps.

 troue noir.

                                              ***

Lorsque j’ouvre les yeux, je regarde et je réalise quelques secondes plus tard que je suis dans un taxi, je suis allongé sur la banquette arrière. Je regarde à l'avant et je vois Steve à  côté, un chauffeur. 

Steve se retourne.

Steve : Barbie cava ? 

Moi ( bredouillante) : je … ne… , je ..vais mieux. Que c'est il passé ?

Steve : Tu t'es évanouie !

Moi ( me souvenant de ce qui s'était passé) Oh Mède… On la enlevé snif.

Steve : Je sais, calme toi, jai déjà appelé la police judiciaire, je vais te déposer chez moi, Alban viendra s'occuper de toi. 

Lorsque je suis arrivé au lycée, jai vu une foule d'élèves, ils m'ont dit que  le proviseur était en déplacement, qu'il devait te transporter jusqu'à l'infirmerie je leur ai dit que j'étais ton frère qu' il fallait qu'on  rentre et ils m'ont expliqué  ce qui est arrivé à Mède.

Steve : Je ne sais quoi penser, je prie et je croix juste par la foi que rien ne va lui arriver. 

Il faut que j'avertisse ses parents au plus vite. Ce qui est sûr c'est que je ne sais pas ou commencé à chercher.

Quelques minutes plus tard on arrive chez Steve.


On descend, son frère se charge de me récupérer avec l'aide de Bonie qui, elle, prend les sacs (celui de Mède et le mien) ils ont l'air compatissants.

Moi : Steve, je ne veux pas rester là à ne rien faire alors que ma copine est dans les mains  de bandits.


Steve : Ne t'inquiète pas Alban et toi commencerez à appeler tout votre entourage, condixiples et autres peut être ils ont vu quelque chose.

Moi (rassuré ) : Ok.

Il remonte dans le taxi et s'en va pour le marché banane...

Medelva