CHAPITRE 12

Ecrit par Lady bv2g

 Néanmoins j’avais décidé de contribuer à certaines charges pour alléger sa tâche et mettre l’argent de côté afin lui faire plaisir à l’avenir du coup j’avais décidé de chercher des jobs, par ci et là.

tante ilda me soutenait dans chaque décision que je prenais pour mon avenir, je savais que financièrement c’était difficile pour elle, mais elle insista à ce que je poursuive mes rêves ; Dans le temps elle fût victime d’un mari errant qui occasionna un divorce la mettant à découvert ce qui entraîna une perte colossale d’argent.

Ce pendant elle occupait un stand au marché de la place de bonanjo qui lui rapportait un gain quotidien et nous permettait de survivre de jour en jour.



Durant mes années universitaires, je n’avais plus jamais cherché à reprendre contacte avec ma famille adoptive elle n’ont plus ne m’avait jamais cherché, j’évitais quasiment d’imaginer la suite tragique de leur déplorable vie que j’avais laissé derrière moi.

Durant mon cursus universitaire, je jonglais entre le job de technicienne de surface dans un restaurant à rayonniste dans un super marché. j’étais épuisé après chaque cour, je n’avais presque pas le temps d’aller m’amuser comme les autres étudiantes de mon bahut ; « ne dit – on pas que les années universitaires sont vos plus belles années ? »

Pour moi ce n’était pas le cas, car j’étais en perpétuel mouvement, je me reposais à peine, voir la persévérance de ma tante ilda me motiva nuit et jour à me battre pour mon futur qui par ailleurs m’inspira à m’intéresser à la vente.

J’avais déjà commencé à le faire plus jeune en allant dans la boutique de tante eldive en accompagnant les clientes dans leur choix de vêtement, et à bonanjo je dégotais des clientes pour tante ilda afin de promouvoir son commerce de cosmétique ; Soudain naquit une envie de faire dans la vente de pièces uniques qui consistera de proposer des articles uniques à mes clientes qu’elles ne verront nulle pas ailleurs que dans ma boutique et qu’aucune contre façon ne pourra détourner l’attention.

J’avais exposé l’idée à ma tante ilda qui accepta de m’aider dans cette lancée et chaque soir à son retour du commerce elle m’aida à trouver des idées à ce sujet, en outre elle m’avait conseillé de ne pas laisser ce projet me distraire de mes études, du coup me voici jonglant entre job, école et entrepreneuse.

Durant ces huit longues années j’étais devenu une responsable de vente et une étudiante en médecine comme cette page de magazine que j’avais lu plus jeune chez tante eldive. Mais pour réussir je savais que j’avais encore du chemin à faire donc je ne me laissais pas abattre par le moindre échec qui se présentait à moi.



J’étais si heureuse d’être arrivé à ce stade de la vie, j’avais perdu tout espoir de voir mon visage s’illuminer de gaieté, de me dire qu’un jour sur cette terre je comprendrai le thème « bonheur » ; peut être c’était le chemin que Dieu a dessiné pour moi afin que je puisse arriver à ce stade, je commence à croire que cette périlleuse vie m’a permis de constituer ce mémoire d’histoire sinon je n’aurai pas pu vous compter cette histoire en ce jour.



Mes années universitaires ont été parsemées d’embûches mais heureusement je pouvais compter sur ma tante ilda et oncle Alberto pour leur incessant soutien et me redonner la force pour ne pas abandonner. Dieu seul sait mes longues nuit blanches dédiées à la préparation de mes examens, surtout que ça tombait toujours lorsque tante ilda et moi arrivions au terme du mois et elle ne possédait plus assez d’argents.



N’empêche que c’était durant des moments comme ceux là que tante ilda et moi devenions encore plus soudé, elle ne laissait pas les moments de crise l’envahir l’esprit et la conduire à la colère, elle ne me faisait ressentir être responsable du manque d’argent, au contraire on en discutait le plus souvent.

J’étais épanouie, pas simplement parce que je parvenais à braver mes études au fils des années mais aussi parce que habitait désormais en moi un sentiment apaisant, de joie qui m’accompagnait dans chaque étape de ma vie



je vais vous épargner toutes ces épopées autour de ma vie estudiantine et entrer direct dans ma vie actuelle, mais pour que vous puissiez comprendre ma condition actuelle va falloir revenir quelque mois en arrière.



Après avoir obtenue mon diplôme de doctorat en médecine, j’avais abandonné les deux jobs que je possédais pour me concentrer en temps plein à la médecine et à mon projet d’entrepreneuse, Alors j’enchaînais des gardes payantes à la clinique du vallet de Bce qui m’avait permis de terminer de payer mon crédit universitaire et de démarrer concrètement mon projet de vente de pièces uniques.

Ensuite plus tard j’ai déposé ma candidature afin que la clique du vallet m’embauche comme leur Médecin Généraliste à temps plein, chose qui été suivi d’une réponse positive.



« oh Merci Seigneur pour cette nouvelle vie que tu m’accordes, merci pour ce nouveau souffle de vie que tu mets à ma portée, moi qui croyait que ma cause était peine perdu !!je suis tellement heureusement de pouvoir aujourd’hui être celle que je suis »



Les mois qui ont suivis mon embauche à la clinique du vallet, ont nécessité un grand changement dans ma vie et celle de ma tante, qui était motif de déménagement, agrandissement de la boutique de tante ilda et lancement de ma propre boutique de pièces uniques de fashion ; je percevais un salaire d’un demi million par mois et ceci sans compter les revenus de consultations qui m’était reverser journalièrement,

du coup à l’espace de quelques mois que j’étais diplômé docteur, je suis devenu une personne sortant d’une vie que je ne traiterai pas de misérable Mais de l’orpheline qu’on traitait de bonne à rien à celle là qui peut s’offre une vie féerique paisible .



Quelques mois en arrière, Ma promotion avait organisé une petite fête à l’honneur de notre réussite, je m’y étais rendu pour profiter de ces derniers moments avec eux car nombreux sont ceux qui devaient aller à l’étranger pour se spécialiser.

Tandis que je festoyais ma réussite de doctorat en compagnie de mes camarades classe, je profitais pour poster sur mon instagram quelques photos en leur compagnie c’est alors que je reçois une demande d’ami sur mon compte d’intagram, j’ouvre le profil et je m’aperçois que c’est le visage de anis, bien qu’il avait changé en apparence,

il était devenu un accro à la weed car si je me souviens bien il s’était détourner du droit chemin par des fréquentations illicite les unes des autres, sur ses posts instagram, il montrait comment il fumait du chanvre, prenait de la weed etc et promouvait le commerce de ses substances.

j’avais accepté sa demande d’ami en souvenir du passé sans laisser le sentiment d’effroi influencer ma décision, par contre j’avais refusé de répondre aux nombreux messages qu’il m’envoyait par la suite.

Vint un jour après avoir posté une photo dédicacée à ma tante ilda sur instgram, il n’a pas tardé de liker, commenter en disant « tu fais comme ci tu ne me connaissais pas hein !! » et m’envoyer un long message en inbox que j’avais ignoré complètement



Les semaines après je faisais mes débuts à mon poste officiel de médecin généraliste avec un badge accroché sur ma blouse portant mon nom « Dr Divine bellinguè », mes premières semaines furent la routine médicale.

Ensuite lors d’un jour de consultation ordinaire, je reçu une patiente du nom de rose bessengue, ce prénom m’était familier mais je me suis dit qu’il doit avoir de nombreuses personnes sur terre portant ce même prénom, du coup je m’étais contenté de la recevoir et lui faire une prescription car elle se plaignait d’irritations vaginales, vu que l’affection pouvait être d’origine virale j’avais demandé à ce qu’elle appelle son accompagnant afin les instruire sur le sujet.

C’est alors qu’elle l’appelle au téléphone afin qu’il puisse nous rejoindre dans mon bureau, il toque à la porte, je lui demande d’entrer, et là je vois un homme ressemblant comme deux gouttes d’eau à Tonton sylvain, outré par cette ressemblance, je ne dis mot, je tachais de garder mon calme et de demeurer professionnelle.

Je lui ai demandé sa carte d’identité lui faisant croire que je voulais l’enregistrer sur le registre de la clinique mais pourtant je voulais m’assurer de ne pas faire fausse route sur celui qui je crois qu’il est, il était coopérant et en même temps gêné car son regard était perché sur mon badge voulant se convaincre qu’il se trompe.

il était figé, restant muet, ne posant aucunes questions sur les explications que j’avais donné sur l’affection de rose, puis de voix tremblante il dit « est ce bien toi ? DI » il n’arriva même pas à prononcer mon nom que j’avais déjà répondu à sa question et lui dire qu’effectivement c’est bien moi, qu’il ne se trompe pas de personnes.



Eprise de chagrin il se mit à pleurer à chaude larme, Rose se disant qu’il pleurait pour son état de santé tentait de le consoler, par contre moi je comprenant l’avalanche de résipiscence qui accaparait sa conscience, puis j’ai demandé posément à rose bessenguè d’aller patienter à l’extérieur afin que je puisse m’entretenir avec tonton sylvain.

DIVINE L'ORPHELINE A...