Chapitre 12: Prendre son du.
Ecrit par L'UNIVERS DE JOLA
CHAPITRE 12: PRENDRE SON DÛ.
Si tu n'es pas capable de lire les moments d'amour entre KLEN et sa MPM alors zappe ce chapitre et attends le prochain.
**MYRNA NZAOU**
J'étais sur la plage en train de courir et KLEN était derrière moi et me poursuivait.
Ethan : (derrière moi) Le tigre est sur le point de t'attraper.
J'avais essayé de courir plus vite mais ses deux mains m'avaient encerclées le tour de la taille et m'avaient soulevée du sol et il s'était mis à tourner avec moi pendant un moment avant que tous les deux nous ne tombions sur le sable en riant. Il s'était redressé sur son coude et s'était légèrement mis au-dessus de moi.
Ethan : ( posant sa main sur mon ventre en souriant) Je t'ai attrapé mon petit papillon, Ma Précieuse Myr, ma isha.
Après cela, il m'avait embrassé sur la bouche et j'y avais répondu. J'étais tellement heureuse. Comment étions nous arrivés là ?
QUELQUES HEURES PLUS TÔT
Le prophète venait de partir et KLEN et moi étions toujours en train de nous regarder dans les yeux complètement choqués par ces révélations.
Ethan : ( Bougeant la tête de gauche à droite après un moment) Je ne crois pas à ça.
Moi: Pourquoi ?
Ethan : Parce que je ne suis pas pasteur voyons.
Moi: Tu ne l'es peut-être pas encore mais peut-être que tu le seras dans le futur, Dieu a voulu te dire ce qu'il attendait de toi.
Ethan : Alors tu crois que c'est vrai ?
Moi: Ce monsieur ne nous connaît pas et ne nous avait jamais vu auparavant. Il savait des choses que personne d'autre que nous ne savait. Il a même parlé de ton rêve. Si ce n'est pas Dieu , comment l'a-t-il su?
Ethan : (Après un moment, me fixant dans les yeux) Alors tu y crois ?
Moi: (soutenant son regard) J'y crois.
Ethan : (me fixant intensément) Si ce que ce monsieur a dit est vrai et que je suis réellement pasteur, cela signifie que tu es véritablement ma …. Femme.
Moi: (après un moment à nous regarder dans les yeux, petite voix) Oui.
Nous étions restés silencieux pendant un moment à nous regarder dans les yeux, assimilant cette information, jusqu'à ce que ses lèvres s'étirent en un large sourire heureux me faisant également sourire.
Ethan : (posant une de ses mains sur ma taille pour me rapprocher de lui) Je suis tellement heureux, j'ai souhaité secrètement que tu puisses un jour être ma femme, je priais même pour ça.
Moi: (dans ses bras, intimidée) Je le voulais aussi. Je suis également heureuse.
Il m'avait ensuite embrassé sur la bouche pendant un moment avant de s'arrêter et me faire des petits bisous dans le cou.
Ethan : (me sussurant à mon oreille) Je suis l'homme le plus heureux de la terre ma ISHA
(Isha signifie femme en hébreu, dans le texte hébraïque du livre de la Genèse au chapitre 2, c'est le nom qu'Adam "Ish =homme" donne à Eve lorsqu'il la voit pour la première fois dans le jardin, il l'appelle Isha car il estime qu'elle est tirée de lui et donc sa femme)
Sa voix et ce qu'il avait dit m'avaient fait frissonner. Il m'avait appelé "Isha" selon la Bible, cela signifiait donc que j'étais une partie de lui, la chair de sa chair, sa femme. J'étais sa Isha et lui mon Ish. Cette information étira mes lèvres en un grand sourire. J'étais tellement heureuse, mon rêve devenait réalité. J'avais voulu être sa femme et Dieu avait fait qu'il en soit ainsi, j'étais véritablement sa femme. Mon cœur battait à se rompre dans ma poitrine tellement c'était la fête dans tout mon corps. Nous nous étions encore embrassés tous les deux en entrecroisant nos doigts de nos mains qui étaient libres jusqu'à ce que celui qui était censé nous guider nous dise à tous que c'était le moment de commencer. Nous nous étions alors séparés. Il m'avait donné ma paire de lunettes,la canne à selfie, une petite caméra et un trépied pour celle-ci. Il avait pris le sac qu'il avait mis au dos, avait refermé et verrouillé la voiture et nous étions partis à la suite des autres pour cette marche dans les arbres. L'objectif était d'arriver à la plage qui se trouvait à quelques heures de notre point de départ de l'autre côté de la forêt. Nous étions le dernier groupe et nous marchions main dans la main en train de parler, rire, se taquiner , s'embrasser et faire des photos. Nous avions marché pendant près d'une heure de temps avant de faire la première pause près d'une petite rivière. Nous avions fait plusieurs photos à cet endroit avant de reprendre la route. Au bout d'un moment j'étais fatiguée.
Moi: Mon Dieu, c'est quand qu'on arrive à cette fameuse plage, je suis déjà fatiguée.
Ethan : (me faisant un bisou dans le cou) Allez bébé, un petit effort encore.
Moi: (souriant) Je suis fatiguée.
Ethan : (s'arrêtant) Alors viens je vais te soulever.
Moi: (m'arrêtant à mon tour surprise) Tu es sérieux ?
Ethan : (ôtant le sac de son dos pour le poser à terre) Bien sûr. Si ma femme est fatiguée de marcher alors je la soulève.
Moi: (incrédule) Mais je vais te ralentir et te fatiguer. En plus, je pèse.
Ethan : (souriant) je suis un sportif Myr, marcher avec toi sur mon dos ne peut ni me fatiguer, ni me ralentir. J'ai déjà soulevé des choses qui sont plus lourdes que toi.
Moi: Mais.
Ethan : (se mettant en position) Mme NDZAMBA cessez de perdre du temps inutilement et montez , nous allons partir.
Moi: (surprise) Tu m'as appelé Mme NDZAMBA ?
Ethan : (me regardant avec un sourire sur les lèvres) Oui, puisque tu es ma femme, donc tu es Madame NDZAMBA. C'est joli n'est-ce pas ? Myrna Précieuse NDZAMBA, et ça sonne très bien.
Je m'étais jetée sur lui pour l'embrasser au point où nous étions même tombés tous les deux en riant. Nous nous étions embrassés allongés par terre pendant un moment avant qu'il ne nous arrête.
Ethan : (souriant) Si on ne se dépêche pas, les autres vont nous abandonner ici.
Moi: (répondant à son sourire) Tu as raison.
Nous nous étions rapidement levés, j'avais mis le sac sur mon dos avant de monter sur le sien. Il avait ensuite marché le reste du chemin jusqu'à la plage avec moi sur son dos sans se plaindre une seule fois. Tous les groupes étaient heureux d'être enfin arrivés. Le guide nous avait dit qu'on pouvait se balader comme on le voulait et faire ce qu'on voulait avant de revenir à un point de rencontre trois heures plus tard. Nous avions tous acquiescé avant de nous disperser. KLEN et moi étions partis dans un coin totalement isolé des autres avant de nous installer. Il avait sorti deux petits tatamis de gym que nous avions installés par terre avant de les recouvrir avec une grosse couverture. Il avait aussi sorti une grande bouteille d'eau minérale, un carton de jus de pomme, des croissants, des fruits et deux petits verres jetables. Nous nous étions installés histoire de nous sustenter un peu et reprendre quelques forces avant de nous amuser sur la plage.
Il avait entrepris de me nourrir et j'en faisais autant entre rire, petit bisou et bonne humeur. Après avoir mangé, il s'était assis et avait écarté ses jambes et m'avait demandé de venir m'asseoir entre ses jambes. Je lui faisais dos et il avait passé ses mains autour de ma taille. Il me faisait des petits bisous sur les joues et dans le cou, libérant des sensations très agréables dans mon corps. Je me sentais tellement heureuse dans ses bras. Je m'étais ensuite mise à penser qu'à la fin de cette année, après l'obtention de son bac , il irait en France, cela m'avait un peu attristé et il l'avait remarqué.
Ethan : Qu'est ce qui se passe chérie ?
Moi: Rien.
Ethan : Myr je t'ai déjà dit que le mensonge est un péché, en plus tu ne sais pas mentir alors dis moi ce qui se passe.
Moi: Je suis triste.
Ethan : Je le vois bien, je veux connaître la raison. Qu'est ce qui attriste ma petite femme ?
Moi: C'est toi.
Ethan : (surpris) Moi?
Moi: Oui.
Ethan : Comment ça ? Qu'est ce que j'ai fait ?
Moi : Je suis triste parce qu'à la fin tu vas me quitter et me laisser toute seule.
J'avais senti son corps se raidir derrière moi et son cœur battre très fortement dans sa poitrine.
Ethan : (bégayant)Com, com, comment ça ?
Moi: Oui. Quand tu gagneras ton bac à la fin de cette année, tu me laisseras toute seule ici et tu partiras en France.
Ethan : Que Dieu me punisse si jamais je te quitte Myr. Je partirai oui mais je ne te quitterai pas, tu es ma femme, la future mère de mes enfants et ma partenaire de destinée. Tu me rejoindras après ton bac l'année prochaine et nous nous marierons aux yeux des hommes quand tu auras tes 18 ans.
Moi: (me retournant pour le regarder dans les yeux)Tu me le promets ?
Ethan : (soutenant mon regard) Je t'en fais le serment.
J'avais continué à regarder dans ses yeux pendant un moment et j'avais pu lire toute la sincérité qu'ils renvoyaient. Je m'étais alors mise à sourire avant de l'embrasser. Définitivement, j'aimais ses lèvres, elles étaient douces. Nous nous étions embrassés un moment avant de nous séparer et je m'étais replacée dans ma position initiale.
Moi: J'aurais voulu me laver mais je n'ai pas de tenue.
Ethan : Ah j'avais oublié.
Moi: Quoi?
Ethan : Dans le sac, je nous ai pris des maillots de bains.
Moi: Comment ça ?
Ethan : Oui. Quand j'étais au magasin, j'ai pensé qu'on allait se baigner alors j'en ai pris. Seulement pour toi, je ne savais pas alors…. Enfin tu verras toi-même .
Il avait pris le sac et avait sorti un short de plage et un ensemble de tissus emmêlés.
Moi: Qu'est ce que c'est ?
Ethan : La vendeuse m'a dit que ce sont des maillots de bain pour femmes, ne m'y connaissant pas, je me suis fié à son jugement.
J'avais regardé ça et il y avait un maillot d'une pièce qui était visiblement trop petit pour moi, un autre de ma taille mais qui ne cachait quasiment rien de mon corps et même de mes parties intimes et un ensemble de deux pièces slip-soutien. Le slip était légèrement rase fesses mais il m'allait. Je l'avais regardé avec les yeux incrédules .
Moi: (écarquillant les yeux) je ne peux pas porter ces choses KLEN, ça va exposer tout mon corps, je serai quasiment nue là dedans.
Ethan : (triste) Ce n'est pas faux. La vendeuse a dû mal interprété mes propos. Ça c'est le genre de choses qu'on porte pour le montrer à son homme et lui faire plaisir, pas pour venir se balader à la plage. Pff. (Me prenant les affaires des mains) Donnes je vais aller lui rendre ça et lui dire mon mécontentement. À cause d'elle, on n'aura marché tout ça pour rien et on ne pourra même pas profiter de la plage, c'est trop nul.
Moi: (l'arrêtant dans son geste) Attends.
Ethan : (me regardant) Qu'est ce qu'il y a?
Moi: Donne, je vais porter.
Ethan : Hein? Non Myr, tu ne peux pas exposer ton corps de la sorte et
Moi: C'est vrai que ça dévoile presque tous mais regarde il n'y a personne de ce côté pour me voir et je suis ta femme donc tu as le droit de me voir.
Ethan : (me regardant) Myr ce n'est pas
Moi: (lui caressant le visage) bébé ce n'est pas grave, je vais le porter.
Ethan : D'accord.
Je l'avais ainsi convaincu de me laisser porter ça. J'étais allée derrière un buisson et j'avais échangé ma tenue avec ce maillot deux pièces. J'étais toute gênée de sortir ainsi devant lui mais j'avais fini par me résoudre à le faire et lorsque qu'il m'avait vu, il m'avait regardé avec des yeux brillants avant de me dire.
Ethan : Tu es magnifique bébé.
Moi: (baissant les yeux intimidée) Merci.
Ethan : (Me saisissant par les hanches pour me rapprocher de lui) Tu es la plus belle femme qu'il m'a été donné de voir et je suis très chanceux de t'avoir pour femme.
J'avais élargi mon sourire. Lui aussi était très beau dans son short. Nous nous étions embrassés avant qu'il ne me demande de courir car il devait m'attraper. Il disait qu'il était le tigre et moi un petit papillon. C'était ainsi que je m'étais mise à courir jusqu'à ce qu'il me rattrape.
Il m'embrassait toujours en baladant sa main sur mon corps avant de me répéter que j'étais parfaite et magnifique en tout point. Après cela nous nous étions lavés, avions fait plusieurs photos et vidéos avec sa caméra et nos téléphones. Nous nous étions bien amusés avant de partir au point de rencontre et de revenir jusqu'à nos voitures avec le guide. Nous nous étions changés avant qu'il ne vienne me déposer à la maison….
Maman : Ton père est bien arrivé. Il dit qu'il a cherché à te joindre mais tu n'as pas pris l'appel.
Moi: Ah bon? Je n'ai pas vu. Je vais le rappeler après le dîner.
Maman : D'accord. L'évangélisation s'est bien passé aujourd'hui ?
Moi: Hein? (Me rappelant que je lui avais dit que je partais aujourd'hui pour faire de l'évangélisation avec des amis) Oui. Ça s'est bien passé.
J'avais baissé les yeux. Je me sentais mal de mentir ainsi à mes parents mais bon, je me disais juste que c'était des petits mensonges. Elle m'avait félicité pour ma dévotion et mon zèle pour les âmes du Seigneur et me disait qu'elle était fière de moi, que je devais continuer comme ça car le Seigneur était très content de mes œuvres. J'avais eu une sorte de culpabilité qui m'avait saisi le cœur mais elle avait disparu lorsque j'avais eu mon père au téléphone. Nous avions parlé ensemble pendant un moment avant de raccrocher. J'étais alors allée dans ma chambre où j'avais vaguement discuté avec Sara avant de discuter avec KLEN qui m'annonçait que le lendemain serait son anniversaire.
-Moi: (surprise) Pourquoi ce n'est que maintenant que tu me le dis?
-Ethan : J'avais oublié chérie, je suis désolé.
-Moi: Comment peut-on oublier son anniversaire ?
-Ethan : Lorsque tu es toujours tout seul pour le fêter, à un moment donné, tu évites même d'y penser pour ne pas être triste.
J'étais triste de l'entendre dire ça. L'absence et le désintérêt de ses parents à leur endroit l'affectait énormément.
-Moi: Que veux-tu comme cadeau ?
-Ethan : Peu importe bébé, je prendrai.
- Moi: (insistant) Je veux savoir ce que tu veux, qu'est ce que tu voudrais sérieusement ? Qu'est-ce qui te ferait plaisir ?
-Ethan : Ce que je veux est hors de ta portée mon amour, laisse tomber.
-Moi: Dis le moi KLEN, je veux savoir.
- Ethan : Je veux passer la nuit avec ma femme…
Lorsque j'avais lu ce message, je n'avais pas pu répondre. Je ne savais pas quoi répondre à un tel message. Il voulait passer la nuit avec moi pour son anniversaire ??....
**ETHAN NDZAMBA**
Aujourd'hui, c'était mon anniversaire, je prenais officiellement mes 18 ans et comme toutes les années à cette date, j'étais triste car je me sentais seul et j'étais seul. Mes parents étaient toujours en Allemagne au chevet de mon frère. Ils m'avaient appelé ce matin pour me le souhaiter. Je savais que c'était Alex qui le leur avait rappelé puisqu'il était avec eux, ils ne se rappelaient jamais mon anniversaire. Les tigres m'avaient écrit dans le groupe pour me le souhaiter , ils voulaient m'organiser un truc comme les années précédentes mais j'avais décliné, je n'étais pas dans le mood. En plus, je ne voulais pas prendre le risque que Myr me voit en train de fêter avec eux alors que j'étais si proche du but. J'étais resté toute la journée à la maison et maman Patience m'avait gâté avec de la bonne bouffe et un gâteau d'anniversaire. Elle m'avait également acheté un t-shirt blanc. Je l'avais remercié avant de le prendre. Mes parents m'avaient fait un virement de 5 millions dans mon compte bancaire pour que je puisse m'amuser avec, quant à Myrna elle m'avait écrit le matin pour me le souhaiter et m'avait appris qu'elle ne pouvait pas être avec moi cette journée car elle allait être avec sa mère et après elle avait un truc à faire. C'était vraiment nul car j'avais espéré passer cette journée avec elle. Nous avions passé une excellente journée la veille et je pensais que cela aurait continué aujourd'hui. Je croyais que je l'avais effrayé avec ma demande la nuit dernière. Je pensais que maintenant qu'elle avait Cru à ma petite mise en scène avec ce faux prophète, elle n'aurait pas vu d'inconvénient, mais il fallait croire que j'avais parlé trop tôt.
Moi: (assis devant l'écran de la salle de cinéma à me faire chier) pff, il n'y a même rien ici.
J'avais tout éteint et j'étais sorti avec mon téléphone à la main. J'étais en train de prendre les marches d'escalier pour aller dans ma chambre quand le gardien m'avait appelé.
Moi: Pourquoi il m'appelle lui?
<<Moi: (Décrochant) Allô ?>>
<<Le gardien : Excuse moi de te déranger mais il y a une jeune fille au portail qui dit qu'elle veut te voir.>>
<<Moi: (Fronçant les sourcils) Une jeune fille ?>>
<<Le gardien : Oui. C'est la jeune fille qui était venue te voir ici la dernière fois.>>
<<Moi: (écarquillant les yeux) Myrna ?>>
<<Le gardien : Oui. C'est ainsi qu'elle dit qu'elle s'appelle.>>
J'étais complètement choqué. J'avais levé les yeux vers la grande montre murale qui était accrochée et elle affichait 20h45. Comment avait-elle fait pour sortir de chez elle à cette heure pour arriver jusqu'ici ? Je n'y croyais pas.
<<Le gardien : Je la laisse entrer.>>
<<Moi: Oui. >>
<<Le gardien : D'accord.>>
Il avait ensuite raccroché. J'avais rebroussé chemin et j'étais allé me placer devant la porte d'entrée pour bien voir si c'était elle car je n'arrivais pas à y croire. Lorsque je l'avais vu apparaître devant moi un gâteau en main, un petit sachet d'une boutique et son sac à main je n'en revenais pas.
Moi: (la bouche ouverte)
Myrna : (souriant) Bonsoir KLEN.
Moi: (les yeux écarquillés) Tu as pu venir ?
Myrna : Oui.
Moi: Mais comment ? Comment as-tu fait pour convaincre ta mère de te laisser venir jusqu'ici.
Myrna : Je lui ai demandé la permission de passer la nuit chez Sara et elle a accepté. Je sais que tu n'aimes pas quand je mens mais c'était pour me permettre d'arriver jusqu'ici et passer cette nuit avec toi.
Je l'avais regardé pendant un long moment sans aucun mouvement de ma part.
Myrna : (inquiète) Tu es fâché ?
Moi: (silence)
Myrna : Bébé stp, dis quelque chose.
Au lieu de dire quoique ce soit, je l'avais prise dans mes bras et l'avais serré très fort dans mes bras. Seigneur ! Elle avait fait cela pour moi ? J'avais été submergé par une vague d'émotions et une larme avait coulé de mes yeux.
Moi: Merci… Ma Précieuse Myr.
Nous étions restés comme ça pendant un moment et je l'avais ensuite fait rentrer avant de refermer la porte derrière elle. Je l'avais conduit au salon et l'y avais installée. Avant de m'asseoir à côté d'elle, ne croyant toujours pas qu'elle soit là. Je le lui avais d'ailleurs dit.
Moi: (prenant sa main) Je n'arrive pas à croire que tu sois là. Je crois qu'il faut que quelqu'un me pince.
Myrna : (me pinçant)
Moi: (retirant mon bras) Aïe.
Myrna : (riant) Maintenant tu es convaincu ?
Moi: (souriant) Je le suis.
Myrna :(souriant) Tant mieux. Tu as des allumettes, un briquet ou un allume gaz ?
Moi: Que veux-tu faire avec ?
Myrna : C'est pour ton gâteau. Je n'ai pas pu prendre des boissons, j'avais déjà les mains très chargées.
Moi: J'ai des boissons ici.
Myrna : Ok. Apporte les alors.
J'étais allé à la cuisine prendre un allume gaz, des flûtes à champagne et un champagne non alcoolisé. Lorsque j'étais revenu j'avais vu qu'elle avait ouvert le carton du gâteau et y avait disposé des bougies. Il y avait écrit sur le gâteau "Joyeux anniversaire KLEN mon Ish " avec 18 petites bougies multicolores disposées dessus et le nombre 18 au milieu. Elle m'avait pris les verres des mains et les avait posés sur la table. Elle avait ensuite ouvert la bouteille et nous avait servi avant d'allumer les bougies. Elle s'était mise à chanter "joyeux anniversaire" en français et en anglais de sa voix d'ange avant de me demander de faire un vœu et souffler sur le gâteau. J'avais déjà eu ce que je voulais, j'avais alors souhaité que cette nuit soit inoubliable. Puis javais soufflé sur le gâteau pour éteindre toutes les flammes. Elle avait retiré les bougies et m'avait donné le petit couteau en plastique qui était venu avec le gâteau. J'avais coupé deux tranches avant de le poser. C'était gâteau chocolat/vanille et crème. C'était mon préféré. Nous nous étions fait manger les tranches entre deux baisés avant d'attraper les deux verres qu'elle avait servi pour répéter le geste.
Myrna : (retirant sa bouche de la mienne) Attends.
Moi: Qu'est ce qu'il y a ?
Myrna : J'ai un cadeau pour toi.
Elle avait pris son paquet et me l'avait tendu. Le sac était assez moyen.
Moi: Qu'est-ce que c'est ?
Myrna : (souriante) Bah regarde.
J'avais déballé le paquet et à l'intérieur il y avait une petite boîte et en dessous des feuilles d'emballage. J'avais ouvert la petite boîte dans laquelle se trouvait une très jolie montre connectée gris/blanc.
Moi: (souriant) Merci. Elle est magnifique, je l'adore.
Myrna : (souriante) J'en suis ravie. Mais il y a encore autre chose en bas.
Moi: Ah bon?
Myrna : Oui.
J'avais déballé les papiers d'emballage et j'y avais vu un polo blanc avec des lignes noires aux extrémités du col et des manches, ainsi qu'une casquette de la même couleur et détails dessus. Au centre de la casquette et sur le côté gauche du polo il était écrit "KLEN" avec la broderie noire. J'aimais énormément mes cadeaux et je le lui avais dit.
Moi: (Souriant) tu es la meilleure. Je les adore.
Myrna : (ravie) Je suis contente.
Moi: C'est donc ça que tu faisais toute cette journée ?
Myrna : (souriante) Oui.
Je l'avais embrassée avant d'ôter le t-shirt que j'avais et enfilé le polo et la casquette qui étaient parfaitement à ma taille. Elle m'avait fait quelque photos avant de déposer son téléphone. Après quoi elle avait proposé que nous dansions tous les deux à mon honneur. Elle avait connecté son téléphone au baffle et avait mis des louanges que nous avions dansées tous les deux jusqu'à près de 23h , heure à laquelle je l'avais prise par la main et conduite dans ma chambre à l'étage. Je lui avais proposé de prendre notre douche ensemble comme nous avions tous les deux transpiré et elle avait accepté. Je l'avais déshabillée et m'étais mis à la contempler un moment . J'avais reculé de quelques pas pour bien la regarder maintenant qu'elle se tenait toute nue devant moi. J'avais mis ma main sur la bouche pour ne pas crier. Elle avait voulu se cacher les parties intimes mais je lui avais dit de ne pas le faire. L'objet de tous mes fantasmes se tenait toute nue devant moi,elle était vraiment belle. C'était une femme de taille moyenne avec une peau noire ,des cheveux afro qui partaient du sommet de sa tête retombaient jusqu'au niveau de ses épaules encadrant ainsi son petit visage. Tout sur cette partie semblait avoir été dessiné à la main avec délicatesse et mesure. Le tout lui donnait un magnifique visage d'ange. Elle avait des épaules et des hanches dans le même alignement avec une taille hyper marquée donnant à son corps une forme de sablier. Ses collines jumelles fièrement dressés sur sa poitrine étaient un très beau bonnet B (taille de seins), son ventre aussi plat qu'une planche à repasser dont la seule différence était le léger trou qui lui faisait office de nombri faisait la transition entre ces deux parties. Ses fesses n'étaient pas énormes mais suffisamment présentes pour se faire remarquer. Je le répétais, Myr était magnifique.
Je la regardais avec beaucoup d'envie et un désir sexuel non voilé qui faisait gonfler mon pénis, déformant ainsi mon pantalon à ce niveau. Je lui avais souri et elle m'avait répondu avec un léger sourire timide sur les lèvres.
Moi: Tu es magnifique Myr.
Myrna : (baissant les yeux en se frottant un bras) Merci.
J'avais alors entrepris d'ôter mes vêtements devant elle. Lorsque ses yeux avaient vu mon commandant, elle les avait écarquillés de surprises avant de les lever vers moi. J'avais pu déceler de la panique à l'intérieur et je m'étais empressé de la rassurer.
Moi: Ne t'inquiètes pas, il ne te fera aucun mal.
Myrna : (peu rassurée) D'accord.
J'étais revenu vers elle et j'avais pris sa main pour la conduire à la douche où je nous avais fait prendre un bain durant lequel je l'avais suffisamment caressé pour réveiller tous ses sens avant de nous essuyer et de ressortir de là. Une fois dans la chambre, je l'avais conduite au pied du lit et lui avais dit qu'on devait s'agenouiller afin de prier le Seigneur pour qu'il protège cet acte que nous nous apprêtions à faire. J'avais vu ses yeux d'abord surpris, brillés d'admiration pour moi. Nous nous étions agenouillés juste devant mon lit et j'avais pris sa main dans la mienne. Nous avions tous les deux inclinés nos têtes et fermés les yeux.
Moi: (élevant la voix) Notre père et notre Dieu nous bénissons ta grandeur Toi qui du haut des cieux voit et assiste à tous ce que les hommes font sur la terre. Nous voici devant toi ma femme et moi car nous voulons te présenter cet acte que nous nous apprêtons à faire. Sanctifie et purifie le afin qu'il soit marqué de ton sceau. C'est toi qui m'a donné cette femme que tu as spécialement conçu pour moi, je te promets de l'aimer et de ne jamais la tromper. Merci pour ta présence au milieu de nous et que toute la gloire te revienne à Toi et à Toi seul. J'ai ainsi prié au nom de Jésus, Amen.
Myrna : Amen.
Je nous avais fait lever et j'avais posé mes mes sur ses hanches avant de l'embrasser, d'abord doucement avant de grimper en intensité. Mes mains avaient quitté ses hanches pour ses fesses que j'avais pressé avec une légère force l'obligeant à gémir entre mes lèvres. Elle avait instinctivement noué ses bras autour de mon cou et je l'avais soulevé du sol pour la poser délicatement sur mon lit. Une de mes mains était remontée sur son corps pour venir se poser sur un de ses seins que je m'étais mis à malaxer. J'avais laissé sa bouche et m'étais mis à lui faire des bisous sur les joues, le cou avant de m'arrêter sur son sein libre que j'avais pris en bouche. Elle respirait de plus en plus fort. Je m'étais affairé pendant quelques minutes sur ses tétons durcis par le désir avant de poursuivre ma route jusqu'à son mon de venus. J'avais déposé des petits bisous sur son pubis qui était recouvert par des légers poils qui semblaient avoir été mis sous forme de flèche pour indiquer son vagin. J'avais dépassé ce lieu sans le toucher et j'avais continué à lui faire des bisous jusqu'à sur la plante des pieds. Ce tour d'horizon m'avait permis de déceler les zones érogènes de son corps. J'avais fait le chemin retour en y associant mes mains qui caressaient son corps en même temps que mes lèvres se posaient sur elle. J'étais revenu sur son vagin. J'avais ramené une de ses jambes et l'avais replié pour avoir une meilleure ouverture. J'avais alors posé ma main sur son sexe. Je l'avais senti légèrement s'agiter mais j'avais su la rassurer et lui demander de se détendre, elle l'avait fait. Je m'étais mis à caresser son sexe avec ma main avant de venir poser mes lèvres dessus. Elle avait commencé à gémir un peu plus fort qu'au début et se tordait de plaisir. J'avais titillé son clitoris pendant un moment avec ma langue avant de venir le pincer avec mes doigts et exercer une petite pression dessus.
Myrna : (serrant les draps en gémissant) KLEN
Elle avait enroulé ça sur sa langue et c'était sorti d'une façon particulière. Je m'étais mis à explorer son vagin de ma main libre en écartant ses grandes et ses petites lèvres afin d'y faire passer ma langue. Pendant que j'excitais son clitoris avec ma main gauche et que je la léchais, j'avais commencé à essayer de me frayer petit à petit le chemin de son entonnoir avec mes doigts histoire de préparer le chemin, je voulais préparer son corps à la douleur car je savais que la pénétration serait forcément douloureuse vu qu'elle était vierge et compte tenu de la taille de mon commandant. Le plaisir qu'elle ressentait présentement annihilait la petite douleur que lui procurait le passage de mon doigt . J'avais ainsi répété le geste jusqu'à ce que son corps se contracte et se mette à vibrer, signe qu'elle venait d'avoir son tout premier orgasme qu'elle avait crié en prononçant mon nom "KLEN". J'avais profité de cet instant pour écarter ses jambes me placer juste à l'entrée de son vagin et m'insérer en elle, mon gland était rentré. Elle avait poussé un petit cri, cette fois ci de douleur et s'était automatiquement mise à pleurer.
Moi: (À son oreille) Je suis désolé bébé, je te promets que cette douleur finira par passer. Tu m'entends ?
Myrna : (reniflant) Oui.
Moi: (lui faisant des bisous dans le cou) Soit forte mon amour.
J'avais poursuivi ma progression lentement dans son vagin jusqu'à ce que je touche le fond. À ce moment j'avais eu comme une sorte de décharge qui m'avait obligé à pousser un son roc sans que je ne puisse le contrôler. Une chaleur était partie du bas de mon pied et avait traversé mon corps jusqu'à la tête soumettant ainsi mon corps à une énorme pression. L'atmosphère dans la salle était la même que lorsque Myr chantait à l'église. J'avais cette même sensation qu'il y avait une présence qui n'était pas humaine dans la salle et mon corps avait été pris de frissons. C'était la première fois que cela m'arrivait de toute ma vie, jamais auparavant je n'avais ressenti ça. La chose avait duré quelques minutes avant que les choses ne redeviennent normales. J'avais encore pris quelques minutes pour me remettre de mes émotions avant de commencer un léger va-et-vient en elle. Elle gémissait de douleur pendant au moins les trois premières minutes avant que je ne perçoive un changement dans ses plaintes signe que le temps d'adaptation avait été écoulé. Je l'avais embrassé pendant un moment sur la bouche avant de commencer à lui donner des coups de reins de plus en plus vigoureux l'obligeant à gémir de plus en plus fort dans mes bras. Elle avait suivi en ondulant ses reins au rythme des miens augmentant ainsi le plaisir que je ressentais entre ses jambes. Moi qui était silencieux pendant ces moments, je m'étais surpris en train de parler.
Moi: Ô Seigneur, Myrna tu es tellement belle et bonne que j'ai l'impression que je vais exploser de plaisir. Tu m'appartiens est-ce que tu comprends.
Myrna : (Entre deux gémissements) Oui.
Moi: (répétant) Tu m'appartiens.
Nous avions continué notre danse jusqu'à la jouissance des deux côtés au même moment. Je criais son prénom dans un long râle pendant qu'elle prononçait le mien en me serrant très fort dans ses bras. Je m'étais ensuite écroulé sur elle en respirant très fortement par la bouche et elle en faisait autant. Nos cœurs battaient à l'unisson dans un rythme effréné. Je m'étais redressé un moment pour la regarder dans les yeux.
Moi: (la fixant) Je t'aime Ma Précieuse Myr.
Myrna : (souriante) Je t'aime aussi KLEN.
Nous nous étions mis à nous embrasser pendant un moment avant que je ne décide de sortir d'elle et de me mettre sur le côté. Elle était venue poser sa tête sur ma poitrine et nous avions entrecroisé les doigts de nos mains. Normalement, je ne faisais pas de câlin après le sexe mais avec Myrna je n'avais pas la force de la repousser, ce qu'on venait de faire dans cette chambre n'était pas seulement que sexuels, nous avions littéralement fait l'amour même si je savais que je derogeais à l'interdit je m'en foutais. De toutes les façons j'avais déjà dérogé aux règles en l'emmenant à la maison.
Myrna : Bébé ?
Moi: Hun
Myrna : Tu me feras des enfants plus tard ?
Moi: Bien-sûr que je te ferai des enfants (touchant et caressant son ventre) Ce ventre portera nos nombreux petits tu m'en feras au moins cinq.
Myrna: Pourquoi cinq?
Moi: Parceque ton père avait dit l'autre fois lors de sa predication à l'église que le chiffre 5 était le chiffre de la grâce. Alors Je veux cinq enfants de toi ,des jumeaux et des triplés.
Myrna : (écarquillant les yeux) Hein? Qui va porter ça ?
Moi: (lui faisant des bisous avant de la chatouiller) C'est toi. Tu porteras mes triplés dans ce joli petit ventre qui deviendra plus énorme qu'un ballon de basket.
Elle s'était mise à rire sous mes chatouilles. Nous nous étions ensuite embrassés avant de repartir pour un autre round. Ce n'est qu'autour de 4 heures du matin que nous nous étions endormis l'un dans les bras de l'autre pour nous réveiller quelques heures plus tard. Après la douche et le petit déjeuner que nous avions pris ensemble , j'étais allé la déposer chez elle autour de 11h.
Moi: (coupant le moteur pour la regarder) J'ai passé le meilleur anniversaire de toute ma vie. Merci.
Myrna : (souriant) Je suis contente que tu aies apprécié.
Nous nous étions embrassés pendant un moment.
Moi: (me détachant légèrement de son visage) Je t'aime.
Myrna : Je t'aime aussi.
Nous étions encore embrassés avant de nous séparer définitivement.
Myrna : Fais moi un message dès que tu arrives à la maison.
Moi: Sans faute. Allez file ma belle.
Elle était descendue du véhicule et était allée rentrer dans son portail. J'avais démarré et j'étais rentré…
Moi: (debout les yeux fermés et attrapant sa tête) Oui c'est comme ça bébé, continue.
Myrna était à genoux devant moi et me taillait une pipe. Nous étions le samedi. Depuis la première fois que nous l'avions fait le mardi, nous l'avions refait le jeudi et aujourd'hui nous le refaisons. Contrairement à la première fois où nous avions passé la nuit ensemble, le jeudi et aujourd'hui, nous étions en plein jour. C'était la première fois qu'elle me suçait, elle avait dit qu'elle voulait me faire plaisir avec sa bouche comme je lui faisais plaisir avec la mienne. Elle était un peu intimidée mais je lui avais dit de ne pas se gêner, de se libérer et sortir de sa zone de confort. J'allais être là pour la guider et c'était ce que je faisais. Pour une débutante, elle s'en sortait très bien. Elle était très regardante sur la façon dont mon corps réagissait à ce qu'elle était en train de faire et réajustait au fur et à mesure. Elle était encore vêtu lorsqu'elle me suçait car elle avait dit que je serais le premier à être tout nu aujourd'hui. Je lui avais montré le pot de chocolat que j'avais apporté dans ma chambre et que je comptais utiliser sur elle. Elle l'avait pris, frotté sur mon pénis avant de l'engloutir de sa toute petite bouche. J'avais serré les dans tant la pression était forte. Elle s'était mise à me pomper pendant un moment et lorsque j'étais très excité, je l'avais mise debout et retirée ses vêtements avant de la soulever , venir m'asseoir sur le rebord du lit avec elle puis elle s'était empalée sur ma verge, me faisant grogner pendant qu'elle gémissait.
Moi: (lui faisant une marque sur son épaule avec ma bouche) vas y bébé, tourne pour moi.
Elle s'était mise à tourner ses reins avec un rythme soutenu pendant que je lui pressais les fesses.
Moi: Putain de merde bébé, tu vas me faire jouir si tu continues à tourner comme ça.
Elle avait légèrement incliné sa tête vers l'arrière en souriant. J'avais continué à lui parler pour l'encourager et cela marchait car elle se lâchait de plus en plus. Nous avions quitté le lit pour la chaise où nous nous étions attardés un moment avant de quitter là-bas pour le mur. Puis je l'avais pilonner debout avec elle me tenant par le cou avec ses jambes me ceingnant la taille. Je l'avais ensuite mise à quatre pattes sur le lit avant de finir notre course en missionnaire complètement essoufflés par ce marathon. Je ne savais plus combien d'orgasmes elle avait eu ce jour tant c'était intense. Nous nous étions câlinés pendant tout l'après-midi en nous promettant des choses pour notre futur. J'étais ensuite allé la déposer chez elle autour de 18 heures en lui disant que mes parents devait rentrer mais qu'on se reverrait le lendemain au culte. Après l'avoir embrassé, j'étais parti de là…