Chapitre 14 : Signe 3 !
Ecrit par Les Histoires de Laya
***Marianne***
Je me lève et je regarde mon téléphone, il est 18h.
Une odeur de nourriture chatouille mes narines, ça sent bon.
Quand mes esprits redescendent, je me rappelle de tout ce
qui s’est passé et de la raison pour laquelle je suis actuellement allongée sur
le canapé de Kylian.
Moi : Je suis exténuée (soufflant).
Je l’entends chanter, encore et toujours du Damso (rire)
faut croire que c’est vraiment sa star.
Je plie le drap, j’arrête le ventilateur et je reste assise
sagement.
Au bout de 5 minutes, il sort de la cuisine.
Kylian (étonné) : Tu t’es réveillée depuis ?
Moi : Ça va faire cinq minutes.
Lui : Ok, je suis en train de faire à manger.
Moi : Ok, je vais rentrer Kylian.
Lui : Tu ne veux pas manger avant ?
Moi : Je ne vais pas te déranger plus longtemps.
Lui : Prends place à table, j’ai presque fini.
Je m’exécute et je reste assise sur la chaise à l’attendre.
Il pose une assiette devant moi et ça sent super bon.
Lui : Bon appétit !
Moi : Merci.
Je mange sans bruit et lui, il manipule son téléphone.
Moi : C’est très bon !
Lui : Je suis un chef cuisto.
Moi : Ça se voit ! Parce que c’est vraiment bon.
Quand je termine, je vais laver mon assiette et je laisse
tout propre.
Je m’assois pour digérer et on se met à parler du boulot, de
ce qui s’y passe, bref de tout et de rien.
Parfois, j’en oublie que Kylian est mon supérieur, à cause
de la relation que nous sommes en train de tisser.
Il me parle et je le regarde.
C’est bête mais c’est aujourd’hui que je prends la peine de
le regarder détail par détail, regarder ses mimiques, ses expressions, tout.
Et vous savez quoi ? Il est beau.
Et ses fossettes ? Ouh là.
Bref, je m’égare.
Lui (me sortant de mes pensées) : Tu comptes faire quoi
quand tu rentres ?
Moi (attrapant ma tête) : Je ne sais pas, je suis
toujours choquée par ce qui s’est passé. Je verrai bien !
Lui : Il ne faudra surtout pas te laisser distraire par
les gens du boulot qui parleront de ce qui s’est passé. Tu viens, tu fais ton
travail et tu pars. Aussi simple que ça.
Moi (le fixant) : Tu as raison. Bon je vais y aller.
Lui (me fixant) : Tu étais excellente dans ta
présentation d’hier et je suis fier de toi.
Moi (souriante) : Merci Chef.
Lui : Je te raccompagne.
On sort de chez lui et il me met dans le taxi en payant ce
dernier et en lui disant de me laisser devant mon portail.
Quand je franchis l’entrée à 21h, je reconnais les voitures
du procureur et de son fils.
Je suis fatiguée et je n’ai pas besoin de ça aujourd’hui,
NON.
Je rentre dans la
maison et ils lancent tous un Ouuuf de soulagement.
Moi : Bonsoir.
Je veux tracer ma route quand je vois ma valise noire en
plein milieu du salon.
Je ne cherche pas à comprendre, je soulève ma valise dans le
but de la ramener dans ma chambre.
Maman : Marianne !
Papa : Viens t’asseoir.
Moi : Non papa, tu vas m’excuser mais là, vous êtes
allés trop loin (la voix tremblante) J’ai toujours été respectueuse et j’ai
toujours suivi vos ordres, mais cette fois-ci, c’est non. Bonne soirée.
Je ne prends même plus la valise, ça va me retarder.
Je fonce tout droit dans ma chambre et je la verrouille à
double tour.
Je me déshabille, me démaquille et pars prendre une longue
douche.
J’entends cogner à la porte de la chambre mais je ne réagis
pas.
Cette fois-ci, c’est non.
Je veux bien être gentille, respectueuse, mais je ne vais
pas honorer mes parents dans la bêtise.
Dieu me pardonnera car là, je suis désobéissante pour une
bonne cause.
Quand je sors de la douche, je constate que le tiroir où je
range mes documents importants est ouvert.
Je pars le fouiller et je ne retrouve plus mon passeport.
Le schéma se dessine assez vite dans ma tête.
Mon passeport disparu, ma valise noire au salon, le
procureur et son fils dans la maison, y’a rien de plus clair.
Ils voulaient m’envoyer en voyage avec lui ! Donc ce
qui s’est passé l’après-midi ne suffit pas ? Il faut me donner un coup
supplémentaire ?
Je respire un bon coup et je m’allonge.
Les yeux fixés sur le plafond, je réfléchis à comment me
sortir de là.
Peut-être que je dois quitter leur maison ? C’est
surement ça la solution.
Je prends mon téléphone et je consulte mon compte en ligne
pour voir si j’ai de quoi financer mon départ de cette maison.
J’en ai suffisamment en tout cas.
De base, je ne voulais pas défier leur autorité snif, je ne
voulais pas en arriver là, mais je crois que c’est la solution.
J’ai l’impression qu’ils sont même capables de me faire
kidnapper et me foutre dans un avion avec Evan en faisant passer ça pour une
surprise de « mon homme ».
Je commence à avoir peur, car tout porte à croire que leurs
intérets sont plus importants que leurs propres enfants.
***Maurine***
À 12h, l’homme de main de Laurent est passé me chercher,
pour cause : Laurent était très sérieux dans cette histoire. Je dois
assister à la sortie du corps et à la veillée de son ex-femme. (Soufflant) Quel
imbécile.
Je me suis bien sapée, comme si je partais à une soirée à
thème « Noir ».
Lunettes sur le nez, hauts talons aux pieds, je monte dans
la voiture.
Je n’échange aucun mot avec son homme de main et lui de
même. Il se contente de me conduire jusqu’au domicile de Laurent où se passe l’évènement
(rire).
Quand on arrive, je descends telle une star très attendue.
Tous les regards se posent sur moi mais je n’en ai rien à faire.
Je suis conduite à une place qui m’était réservée, à l’avant
de la tente.
J’entends des femmes piaffer dans mon dos, est-ce mon
problème ? Non. Je ne gère pas les états d’âmes des gens de Laurent.
Au bout de 10 minutes, je vois Laurent sortir de la maison,
accompagné par des hommes qui le réconfortent apparemment.
Quel beau jeu d’acteur !
Quand il me voit, son visage vire du tout au tout, je crois
que ma tenue le dérange, oups.
Il vient s’asseoir à côté de moi
Moi : Je suis là chéri, si tu es trop triste.
Laurent (à voix basse) : Tu oses te pointer habillée de
la sorte ?
Moi (l’air de rien) : Et ?
Lui : Tu me cherches Maurine ? Je t’ai dit de venir
dire au revoir à ton prédécesseur et tu viens vêtue de la sorte ?
Moi : Oui, et ?
Lui : Ok.
Il ne dit plus rien, on reste là, et des hommes viennent
vers lui.
Sans aucun état d’âme ni remords, il me présente à eux comme
étant sa future femme.
Tu n’as même pas fini d’enterrer ton ex, que tu présentes déjà
une autre femme comme étant ta future.
Ce qui m’étonne, c’est que ça ne semble pas choquer ces
hommes et encore moins les femmes derrière qui semblent être de la famille de Laurent.
Laurent me demande de me lever et de le suivre à l’intérieur.
Je m’exécute et j’arrive en face du cercueil de son ex-femme.
Nous ne sommes qu’à deux dans cette pièce, il a demandé à tout le monde de
sortir. Et j’entends des cris à l’extérieur provenant de la famille de son ex-femme
qui semble désapprouver ce qui se passe.
Lui (ferme) : Présente-toi à elle.
Moi (choquée) : Pardon ? Tu es taré ?
Lui : Maurine, j’ai dit que tu te présentes à elle, ne
me cherche pas.
Moi : Parce que tu vas me faire quoi si je refuse ?
Lui (serein) : Tu vas finir comme elle dans les
prochaines 24h.
J’ai eu le souffle coupé sur place, il l’a dit avec tant de
sérénité, mon sang s’est glacé.
Son homme de main est rentré dans la pièce et il m’a montré
un flingue bien brillant, suivi d’un sourire en coin.
Moi (avec la peur) : Je suis Maurine MBADINGA
Laurent : Et je serai ta remplaçante.
Moi : Et je serai ta remplaçante.
Lui : Et si je refuse d’exécuter tout ce que Laurent
veut
Moi (répétant) : Et si je refuse d’exécuter tout ce que
Laurent veut
Lui : Que ton esprit me hante et me torture jusqu’à ce
que mort s’en suive.
J’ai ouvert ma bouche sans en sortir un mot. Je suis
totalement dépassée par ce qui se passe, ce n’était pas censé arriver.
Je sens son homme de main derrière moi et je sens qu’il
dépose son arme sur ma tête.
Moi (au bord des larmes) : Que ton esprit me hante et
me torture jusqu’à ce que mort s’en suive.
Laurent (souriant) : Tu vois que quand tu veux. Fais un
bisou sur son nouveau domicile (cercueil) et on sort.
Je m’exécute et tout mon corps tremble.
Laurent : Tu arrêtes ça tout de suite
Moi : Tu me fais peur Laurent.
Lui : Fallait y penser avant. Tu redeviens normale TOUT
DE SUITE !
Il sort et je le suis, j’essaie au maximum de ne rien
laisser paraitre.
Quand je sors, je vois au loin un visage qui m’est familier.
Le grand frère de maman !
Il me reconnait aussi et il fronce ses sourcils.
Je vais m’asseoir à ma place et il vient me trouver.
Lui : Tu fous quoi ici Maurine ?
Moi : Bonjour tonton, je vais bien merci et toi ?
Lui : Je ne suis pas entrain de blaguer avec toi !
Le sarcasme, c’est avec Barbara.
Moi : Je suis venue accompagner mon chéri dans son
deuil.
Lui : Ton qui ?
Moi (agacée) : Tu as bien entendu tonton.
Lui : Et c’est Laurent ?
Moi : Oui !
Lui (écarquillant les yeux) : Tu es folle Maurine ?
Tu connais ce type où ? Tu sais dans quoi tu t’embarques ?
Moi : Je sais juste que ça ne regarde personne de cette
famille.
Actuellement, je n’ai rien à cirer qu’il soit le grand frère
de Barbara, ce que je sais, c’est qu’il n’osera pas me faire de scandales ici.
Il la convoquera surement dans son château pour lui parler
de ça.
Lui : Les jeunes filles d’aujourd’hui. Maurice est au
courant de ce que tu fais ?
Moi : Bof, il m’a renié donc je ne vois pas trop pourquoi
tu m’en parles.
Lui (durement) : Tu changes ta facon de parler avec
moi, je ne suis pas ton copain.
Moi : Tonton, tu me faisais peur quand j’étais petite,
mais actuellement, ton regard de menace et ta grosse voix me laissent à
37. Occupe-toi de la vie de tes enfants et surtout, balaie devant ta porte avant
de parler des gens.
Laurent vient vers nous et mon oncle le fixe sévèrement en
demandant à lui parler.
Laurent : On se verra plus tard frangin.
Tonton : Ok.
Il me lance un regard plein de colère avant de se lever et
partir rejoindre les autres hommes.
La veillée se poursuit, plusieurs problèmes surviennent parce
que Laurent impose TOUT à la famille de la défunte.
Les insultes fusent de partout, des mini bagarres éclatent,
et moi, je suis assise sur ma chaise à manipuler le téléphone.
Je reçois un message de ma copine qui me dit qu’elle a vu
Marianne dans son quartier aujourd’hui avec le Beau Kylian, c’est son prénom.
J’espère que ce n’est pas son gars hein, parce que c’est le
genre même que je veux.
Et même si c’est son gars, j’en ai quoi à foutre en fait ?
Autant le libérer d’une fille ennuyante comme elle et lui donner une bonne
baise.
(Me tapant le front) Je dois chercher comment doubler
Laurent, pfffff, dans quoi je m’embarque ?
Aux environs de 3h du matin, Laurent vient me chercher en me
conduisant à l’arrière de la maison, on rentre par la porte de la cuisine et on
arrive à l’étage.
Lui : Déshabille-toi.
Moi : Pour ? Ne me dis pas que tu veux baiser dans
cette situation ?
Lui : Non, juste te laver (sourire).
Moi : Tchiup.
Lui (fermant son visage) : Dépêche-toi Maurine.
Je m’exécute pour éviter de me retrouver avec une arme sur
la tempe.
Il m’entraine à la douche et y’a une bassine posée avec de l’eau
à l’intérieur.
Il ressort et quand il revient, il est vêtu d’une tenue
chelou et il a un fouet en raphia.
Il arrête la lumière et il allume des bougies dans la pièce.
Mon battement de cœur s’accélère et je vois derrière lui son
homme de main toujours avec son arme.
Il referme la porte comme pour me dire « tu tentes
seulement et je suis derrière la porte ».
Laurent commence à me laver avec cette eau, au plutôt m’envoyer
des gouttes d’eau avec son fouet tout en prononçant des paroles qui me sont
inconnues.
Au fur et à mesure que ça avance, je me sens passée par plusieurs
états mais je ne semble plus maitre de mon corps car je ne contrôle rien.
Quand il finit, tout redevient normal et il a un large sourire.
Laurent : Vivement notre mariage.
Je n’y réponds rien, je suis encore dans les vapes.
Il me sort de la douche, je me rhabille et quand je retourne
dehors, les mêmes hommes qui sont là depuis le matin me regardent avec un gros
sourire.
Sauf mon oncle qui semble rouge de colère en me regardant.
C’est à 11h qu’on enterre le corps de sa femme dans le cimetière
familial de Laurent et je peux enfin rentrer me reposer.
Dès que je ferme l’œil, je rêve de l’ex-femme de Laurent
dans son cercueil d’hier, sauf que c’est mon visage à la place du sien.
Je me réveille en sursaut et Laurent est endormi à côté de
moi.
Je n’ai jamais assisté à un décès de la sorte, ça doit être
pour ça.
Je me rendors encore et cette fois ci, je vois Marianne qui
hurle mon nom mais je n’arrive pas à aller vers elle, comme si un mur
transparent nous divisait.
***Barbara***
Depuis hier soir que Marianne est rentrée dans sa chambre,
elle n’en est pas ressortie.
En tout cas, elle finira par ressortir et elle ira en
voyage, qu’elle le veuille ou non.
Pendant que moi je veux lui offrir le meilleur avec un bon
mari comme Evan, madame veut me ramener un va-nu-pieds.
Koh elle est en couple, conneries.
Pas dans ma maison en tout cas.
Sonnerie de téléphone : Edgar.
Moi (décrochant) : Oui Yaya, bonjour.
Lui (sans détour) : Je t’attends chez moi dans une
heure et tu as intérêt à être là.
Moi : Ok.
Il coupe l’appel et je souffle.
C’est parce que c’est mon grand frère que je le laisse agir
ainsi.
Moi (répétant) : Je t’attends chez moi dans une heure (piaffant)
comme si je n’ai que ça à faire.
Je termine avec mes marmites et j’envoie un message à
Maurice pour lui dire qu’il ne me trouvera pas quand il rentrera.
Il me répond positivement, bien sûr après m’avoir demandé où
je partais. Un vrai jaloux !
Quel mari !
Je vais cogner à la porte de Marianne, toujours rien.
Quand elle aura chié son caca nerveux, je serai toujours là,
en vie, prête à lui offrir un foyer plein d’argent et de bien-être.
Vous voulez me juger ? Donc c’est mal de vouloir le
meilleur pour son enfant chéri ?
D’abord je demande même l’avis des gens pourquoi ? C’est
mon enfant, faites pour vous.
Je me mêle de vos vies ? Non, donc ne me fatiguez pas.
Mon beau-fils s’appelle Evan, et c’est tout.
J’arrive au château d’Edgar et je suis bien reçue par sa
femme.
Enfin, sa nouvelle femme, une jeune de 27ans.
Qui va parler ? Personne.
C’est déjà la 4ème femme qu’il épouse, les 3 précédentes
ne sont plus de ce monde.
On l’accuse d’avoir vendu ses défuntes femmes dans les
choses mystiques afin d’être riche.
(Levant les yeux au ciel) Les gabonais ramènent toujours
TOUT au mystique, même quand tu bosses dur, on t’accuse de sorcellerie.
Donc mon mari et moi sommes sorciers aussi ? Vu qu’on a
de l’argent.
Bref, les discussions des chômeurs.
Parce que quand tu as une vie pleine, tu ne perds pas ton
temps à parler des autres négativement comme ça.
Sa femme : Il arrive.
Moi : Ok.
Je m’installe confortablement et elle fait la discussion avec
moi le temps qu’il vienne nous trouver.
Lui : Bonjour Barbara.
Moi : Bonjour Edgar.
Lui : Suis-moi dans mon bureau.
On part dans son bureau et il me demande de prendre place, ce
que je fais.
Lui (durcissant son visage) : TU FOUS QUOI PENDANT QUE
TA FILLE FAIT DES CHOIX BIZARRES DANS SA VIE ?
Moi : Quelle fille ?
Lui : Maurine.
Moi : Ah ! Elle ne vit pas dans ma maison, donc je
ne vois pas de quoi tu parles.
Lui (pétant le câble) : Tu es folle Barbara ? Tu
es folle ? Ta fille vit où ? Tu connais dans quoi elle met ses pieds ?
Moi : Elle vit dans son appartement ou avec son copain,
je n’en sais pas grand-chose. Quand on veut défier ses parents, on assume les
conséquences.
Il a commencé à me hurler dessus comme quand on était
petits, me dire que Maurine fréquente un homme dangereux et que c’est de ma
faute car j’ai toujours mis dans la tête de mes filles qu’il fallait épouser un
homme riche. Las de l’entendre crier dans mes oreilles et remettre mon
éducation en cause, je me suis levée
Moi : Nous ne sommes plus enfants Edgar, je suis adulte
et mariée, si tu veux crier, crie sur ta femme. Et surtout, ne remets plus
jamais ma façon de faire en cause, je ne suis pas ton enfant pour que tu me
recadres et me grondes. Et si tu tiens tant à Maurine, fais alors ton boulot d’oncle,
éloigne-la de cet homme que tu trouves si dangereux au lieu de me chauffer les
oreilles, conneries.
Edgar : Si tu penses que je ne peux pas te frapper
comme quand on était petits justes parce que tu es mariée et mère, tente de
franchir cette porte.
Il me connait ?
J’ai bien ouvert la porte, il a foncé sur moi en m’administrant
une claque qui m’a fait tomber.
Lui (me menaçant) : Tu as intérêt à sortir Maurine de
là, sinon, tu vas me connaitre Barbara.
Moi (la rage au ventre) : Tu vas aussi me
connaitre Edgar, comme tu penses que nous sommes toujours en 1980.
J’étais dans un état d’énervement incroyable.
Je suis arrivée chez moi en claquant toutes les portes.
Et ma main est directement allée atterrir sur la joue de
Marianne qui mangeait paisiblement dans ma maison alors qu’elle a fini de me
manquer de respect et m’humilier.
Moi : Tu as intérêt à prendre une semaine de congés pour
faire ce voyage, sinon tu vas me connaitre Marianne.
Note de Laya : Les hommes dangereux adorent utiliser
les filles d’autrui, mais tente d’utiliser leur fille et ils sortiront les
griffes. Tonton Edgar, tu n’as encore rien vu !
Barbara a dit de faire vos enfants oooh, laissez pour
elle !
AFFAIRE À SUIVRE !