CHAPITRE 146: JE NE VIENDRA PAS.

Ecrit par L'UNIVERS DE JOLA

CHAPITRE 146 : JE NE VIENDRA PAS.

**LAURIA MBAZOGHO ÉPOUSE NZE**

Nous sommes dans notre maison Princy et moi en train de faire quelques aménagements. Avec ce qui s’était ici avec ses parents, nous avons décidé de tout changer. D’abord on avait prié pour la maison avec les hommes de Dieu. Puis je lui avais dit que je ne voulais pas revenir ici et utiliser les mêmes choses car j’avais l’impression que c’étaient souillées. Il avait dit qu’il allait faire tout pour que je me sente à nouveau chez moi dans cette maison. Alors on avait décidé de changer les meubles. On a vendu presque tout ce qu’on avait à maison et elle avait fini presque vide. On a refait la peinture et racheter des nouvelles choses. Ce week-end on nous a livré certains articles et nous avons décidé de passer le week-end ici lui et moi pour ranger ça, comme les enfants sont en vacances, ils sont chez ya Leslie pour le week-end. La façon dont Princesse était contente d’ aller chez ses vrais parents pour s’occuper elle-même de ses petites sœurs comme elle l’a dit. C’était vraiment limite si elle ne nous a pas chassé une fois sur place quand on les y a déposé ce matin. Nous sommes partis de là-bas pour ici où nous nous sommes mis directement au travail. Nous allons dormir ici ce soir pour travailler et avancer dans le rangement. Notre retour se fera après les fêtes en janvier, nous reviendrons nous installer avec les enfants, nos deux et les trois de mes frères en attendant que leurs situations s’arrangent. Pour l’instant, les garçons dormiront dans la quatrième chambre et la fille dans celle de princesse.

Nous avons travaillé jusqu’à 15h avant que je ne décide d’aller nous prendre à manger, nous optons tous les deux pour des pizzas. Notre maison est à Lalala (quartier) et les pizzas que nous aimons à Glass. C’est avec la voiture de Princy que je m’y rends. Et oui, j’ai le permis et je sais également conduire. Princy avait veillé que j’apprenne toutes ces choses au début de notre mariage car il me voulait indépendante pour tout. Nous étions en passe de m’acheter une voiture quand les problèmes avaient commencé de tous les côtés, du coup cela avait été mis de côté puis tout simplement oublié. Aujourd’hui, j’ai repris les séances de conduites avec lui pour avoir à nouveau la main. Nous verrons dans quelle mesure me prendre une voiture dans un ou deux mois. Pour l’instant , j’utilise celle de Princy quand il n’en fait pas usage. 

Bref, j’arrive au restaurant où je m’assois après avoir passé ma commande. Je prends une boisson en attendant tout en manipulant mon téléphone. Au bout de quelques minutes, je me sens observer. Je relève lentement la tête pour voir qui c’est mais je ne vois personne. Je zappe en me disant que c’est peut-être une erreur mais la même sensation se fait ressentir alors je relève à nouveau la tête et mon visage va s’arrêter sur une table sur laquelle se trouvent trois femmes et un homme. Les femmes me regardent avec colère et je ne sais pas trop ce qu’elles disent mais le monsieur tourne la tête dans ma direction pour me regarder. Ce sont les cousines de Princy, elles étaient là quand il m’avait mise à la porte la première fois avec les enfants. Je détourne à nouveau mon regard pour le poser sur le serveur qui vient avec mes trois cartons de pizzas, j’ai pris une en plus pour plus tard. Je règle ma facture et je m’en vais sans plus prêter attention à ces gens. Le temps où quand on se voyait dans la rue et je courrais pour les saluer tout en sachant que je me ferais traiter comme une serpillière est révolu. De toute les façons je suis une sorcière pour cette famille donc d’ici là qu’on m’accuse d’avoir ensorcelé quelqu’un, je reste dans mon coin.

Je m’arrête en chemin pour nous prendre des boissons et je pars trouver mon homme.


Princy : (Se lavant les mains) Pourquoi tu as mis du temps comme ça, je meurs de faim.

Moi : C’est le restaurant, j’attendais les pizzas.

Princy : Hum. 


J’installe tout sur la table à manger déjà placée mais toujours emballée et il me rejoint pour manger.


Moi : J’ai vu tes sœurs.

Princy : Qui ?

Moi : La bande à Annick.

Princy : Tu les as vu où ?

Moi : Dans le restaurant, elles y étaient avec un homme. Quand je me suis assise pour attendre les pizzas, je me suis sentie observer et en cherchant dans la pièce je suis tombée sur elles.

Princy : Et qu’est-ce qui s’est passé ?

Moi : Rien. On s’est regardé, j’ai réglé ma facture et je suis partie.

Princy : Hum. J’espère que cela ne nous emmènera pas des problèmes.


Je n’ai rien dit et nous avons continué à manger. Au début, quand Princy était venu vivre avec nous au beau séjour, il était harcelé jour et nuit par sa famille qui le traitait de tous les noms, entre ses parents et sa sœur directe qui exigeaient qu’il revienne pour retourner voir le fameux guérisseur sur la route et les autres qui le traitaient de maudis, sorcier et j’en passe, on ne savait pas où donner de la tête. Nous ne savons pas exactement ce qui se passe dans sa famille, ce qui se dit ou a été dit à notre sujet vu qu’il avait coupé les ponts et bloqué tout le monde avant de finalement changer de numéros de téléphone. Le gardien nous avait dit qu’ils avaient fait également plusieurs tours à la maison pour le chercher mais en vain. Ils ont fait trois tours à son boulot mais Princy avait donné des instructions fermes aux agents de sécurité et à l’accueil, il n’était là pour personne. Ne sachant ni où le trouver ni comment le joindre, ils avaient laissé tomber, nous n’avions concrètement plus rien su d’eux jusqu’à maintenant. Le seul membre de sa famille avec qui il parle toujours c’est son frère qui est en Europe, c’est à lui qu’il avait expliqué toute l’histoire et celui-ci lui avait dit de rester dans son coin car leurs parents avaient exagéré. Il avait trouvé inconcevable d’abord qu’on nous mette à la rue, les enfants et moi, puis que Princy s’en lave les mains et maintenant l’affaire de tuer les enfants était la goutte de trop. Il avait dit à Princy qu’il le soutenait totalement, que s’il y avait des retombées, chacun assumerait ses actes. Depuis, c’est le statut quo. 

Nous avons mangé et j’ai rangé les restes à la cuisine. En revenant m’asseoir au salon, il m’a tiré pour que je m’asseye sur lui.


Moi : (Riant) Nze pardon, on vient de manger.

Princy : Tu m’as vu faire quoi ?

Moi : Je te connais, tu as une idée derrière la tête.

Princy : (Souriant) Et j’ai quoi comme idée madame ? 

Moi : Toi-même tu sais.

Princy : (Passant sa main sous mon haut) Je ne sais rien (la faisant glisser dans mon pantalon) Je ne sais vraiment pas ce que j’ai comme idée.

Moi : (Essayant de me défiler en riant) Laisse moi, si tu commences là, on aura plus la force de finir le travail.

Princy : (Me retenant fermement) Au contraire, ce sera un booste de haut niveau (Mettant une claque sur mes fesses) Allez bébé, un coup rapide, j’ai grave envie d’être en toi.

Moi : (Capitulant) D’accord. Tu as la chance parce que j’en ai aussi envie et


Il m’a fermé la bouche avec un baisé avant de me soulever pour m’entraîner dans la chambre puis dans la salle de bain. Après avoir retiré nos vêtements, il a allumé de l’eau sur nous avant de me coincer contre le mur, me cambrer et s’insérer en moi pour notre plus grand plaisir. Nous avons passé un bon moment à se mettre bien à l’intérieur avant de sortir pour nous essuyer et venir faire d’autres câlins sur le lit. On était en train de se caresser au calme quand il s’est mis à rire.


Moi : Qu’est-ce qui t’amuse ?

Princy : (Riant) Non je pensais comme ça à Arsène, Alvine et Loyd, à comment ils doivent être frustrés de ne pas pouvoir avoir des rapports sexuels.


Malgré moi j’ai éclaté de rire. Ce n’est pas bien de se moquer des autres mais il n’a pas tort.


Moi : (Riant) Tu n’es pas gentil.

Princy : (Riant) C’est trop drôle. Les gars sont en couple, vivant maritalement et tout mais ne peuvent rien faire. Quelque part je comprends pourquoi Loyd avait craqué. C’est ça le karma, comme quoi c’est bien de se marier pour pouvoir profiter de certains avantages.

Moi : Je pense qu’après cette expérience, ils ne tarderont pas à le faire.

Princy : C’est sûr. À moins qu’ils veuillent retomber dans les mêmes travers. 

Moi : Ouais.

Princy : J’ai un truc qui me chiffonne l’esprit.

Moi : Ah bon ?

Princy : Oui.

Moi : Et c’est quoi ?

Princy : C’est Lucrèce.

Moi : (Arquant un sourcil) Comment ça ?

Princy : Je me demande à quel moment ta sœur l’a eu. Je n’ai pas le souvenir d’avoir su qu’elle ait un enfant. C’est vrai que je ne savais rien de la vie de Leslie mais pour avoir été intime avec elle, je peux dire qu’elle n’avait pas le corps d’une femme qui avait porté une grossesse. Toi par exemple, je t’ai connu avant et après les deux grossesses et j’ai vu les marques que chacune d’elle t’a laissé. Alors je me demande comment est-ce possible ?

Moi : Lucrèce n’est pas la fille biologique de Ya Leslie.

Princy : Ah bon ?

Moi : Oui. C’est la fille d’Arsène.

Princy : Ah d’accord. Mais c’est fou parce qu’à la voir, elle tient beaucoup plus de Leslie que d’Arsène.

Moi : Je sais. Elles ont toutes les deux plein de points en commun.

Princy : Oui. Si on ne te dit pas tu ne le sauras pas. C’est vraiment étrange.

Moi : Oui. Et les petites lui ressemblent beaucoup.

Princy : Oui. (Après un moment)En parlant de fille, tu ne veux pas en avoir d’autres.

Moi : Je ne sais pas, la Princesse Princia est encore petite. 

Princy : Oui mais ça serait bien car ils pourraient tous les deux grandir ensemble.

Moi : Je ne sais pas. Toi tu veux d’autres enfants ?

Princy : Je voudrais bien un dernier. Peu importe le sexe.

Moi : Hum. Je vais y réfléchir mais finissons d’abord avec toutes les choses que nous avons sur les mains avant de mettre un autre enfant en route.

Princy : D’accord. (Caressant mon visage) Je t’aime.

Moi : (Souriante) Moi aussi je t’aime Nze. 


Il m’a embrassé avant de se mettre au dessus de moi puis nous sommes repartis pour une petite séance de galipettes. Nous sommes passés sous la douche pour nous rincer et nous avons repris le travail jusqu’à 21h. Bain, dîné et nous nous sommes posés pour parler de nos projets. Nous étions en train de le faire quand le gardien est venu cogner à la porte.


Princy : (Ouvrant) Oui.

Le gardien : Monsieur, il y a votre famille qui est au portail.

Princy : Ma famille ?

Le gardien : Oui. Ils sont nombreux et ils ont dit qu’ils veulent rentrer dans la maison.

Princy : Tu leur as dit que je n’étais pas présent ?

Le gardien : Je l’ai dit monsieur mais ils ont dit que c’était le mensonge parce qu’ils ont vu madame rentrer ici dans l’après midi.


Princy et moi on s’est regardé. Ses sœurs m’ont donc suivi cette journée après le restaurant, sans doute pour savoir où j’habitais et si Princy était avec moi.


Princy : Ok, j’arrive.

Le gardien : Je les laisse rentrer ?

Princy : Non, c’est moi qui vais sortir par l’arrière, n’ouvre pas.

Le gardien : D’accord monsieur.


Il est parti et j’ai regardé Princy.


Moi : Tu sors ?

Princy : Oui mais je vais faire le tour. Je n’ai pas envie qu’ils forcent le passage pour rentrer ici, je ne sais pas ce avec quoi ils sont venus.

Moi : Je viens avec toi.

Princy : Non, tu restes ici. Je ne veux pas que quelqu’un s’en prenne à toi.

Moi : Et s’ils veulent te faire du mal ?

Princy : Ils ne me feront rien. J’y vais. 

Moi : Fais attention 

Princy : T’inquiètes.


Il m’a fait un câlin avant d’enfiler un haut confortable et sa chaussure. Il est sorti par le portillon arrière. Je suis restée en train de faire une prière pour demander à Dieu de protéger mon homme contre toutes les attaques mystiques que l’on pourrait lancer contre lui. J’ai mis une tenue plus appropriée et je me suis approchée du portail pour essayer d’écouter ce qu’ils étaient en train de dire à l’extérieur.


Princy : Qu’est-ce qui se passe ici ?

Voix : Toi tu es passé par où ?

Princy : Ça ne répond pas à ma question. Qu’est-ce que vous faites tous à mon portail à pareille heure ?

Voix : Il y a maintenant une heure pour venir chez toi Nze ? 

Voix : Tu sors d’ailleurs d’où ? Ça fait combien de mois que l’on te cherche partout Princy ? Avec tout ce que nous avons fait pour toi ici c’est comme ça que tu nous remercies ?

Voix : Nous n’allons pas parler dehors, ouvre ton portail qu’on rentre dans la maison.

Princy : Personne n’entrera chez moi.

Voix : Pardon ?

Princy : J’ai dit que personne n’entrera dans ma maison.

Voix : Eh qu’est ce que je disais ? Cette femme est à l’intérieur et elle lui a fait un nouveau lavage de cerveau.

Voix : Elle y est. Nous même nous l’avons bien vu de nos propres yeux au volant de sa voiture et elle est rentrée dans le portail, ils se sont remis ensemble.

Voix : Seigneur Princy, c’est quoi que cette sorcière t’a fait manger pour te rendre maboule comme ça ? Tu ne vois pas ce qui se passe ? Tu ne vois pas qu’elle est en train de te tuer à petit feu ? 

Voix : Est-ce qu’il est même au courant que ses parents sont malades ?

Voix : Qui devait le lui dire ? N’est-ce pas il a fuit la famille et fermer tous ses numéros depuis des mois ?

Voix : Tu vois ce que tu es en train de devenir Nze ? C’est le genre d’homme que tes parents ont élevé ? Le genre qui rejette sa propre famille pour aller se cacher on ne sait où avec une femme ? Et c’est quelle femme même ? Une sorcière qui a décidé de s’en prendre à tes parents pour les tuer parce qu’ils se sont battus pour te sortir de ses griffes ? Tu sais ce que cette femme a fait à tes parents ? Ils sont littéralement en train de pourrir vivant parce qu’elle leur a jeté un sort. Nous sommes allés vérifier et le nganga a été ferme. C’est cette femme qui est derrière la maladie de tes parents. Il a dit qu’il n’y a que toi qui peut faire quelque chose pour eux mais depuis que l’on te cherche, on ne sait pas où tu te trouves. 

Princy : C’est pour ça que vous êtes venus ?

Voix : Oui, nous sommes venus te chercher pour t’emmener voir tes parents.

Princy : Ok. Vous pouvez vous en aller.

Voix : C’est-à-dire ?

Princy : Je ne viendrai nulle part avec vous. 

Voix : Princy ? On te dit de venir voir papa et maman tu dis quoi ?

Princy : J’ai dit que je ne viens pas.

Voix : Attend est-ce que tu as bien compris qu’il s’agit de tes parents ? Ton père et ta mère qui sont malades ?

Princy : J’ai compris et j’ai dit que je ne viens pas. S’ils sont malades aujourd’hui , ils savent très bien ce qu’ils ont fait et s’ils pensent que je vais tomber dans leur piège, ils se trompent lourdement. Même en sachant ce qu’il en est, vous n’êtes pas fatigués de tout mettre sur le dos de Lauria ? Toute la vie, elle sera votre bouc-émissaire ? Sandrine (sa grande sœur) même toi tu veux venir faire le semblant ici en sachant ce qui se passe ? Lauria m’a envoûté ? C’est bien. Laissez moi dans mon envoûtement, ça ne concerne que moi. Quant à papa et maman, ils savent très bien ce qui se passe c’est pourquoi je ne bougerai pas mes pieds. Maintenant quittez la devanture de ma maison et n’oubliez surtout pas de ramener avec vous les choses que vous avez emmené sinon ce ne sera pas seulement eux qui seront malades. J’espère avoir été clair.

Voix : Où vas-tu ?

Silence

Voix : Princy C’est avec toi que l’on parle non ?

Silence

Voix : Vous voyez ce que je disais en venant ici non ? Je ne sais pas où cette fille l’a emmené mais il a complètement changé.

Voix : Maintenant on va faire comment ?

Voix : Je ne sais pas.

Voix : Et les poudres que l’homme là a dit de verser devant la porte de la maison ? 

Voix : Vous avez bien vu que qu’il a refusé d’ouvrir le portail et on dirait qu’il est même au courant.

Voix : Mais comment est-ce possible ?

Voix : Je l’ignore.

Voix : (Enrouée) Donc mes parents vont mourir ?

Voix : L’esprit de ton frère sur lequel on comptait pour gagner en temps et trouver une solution est inaccessible, on ne peut rien faire. Le nganga a essayé de l’appeler mais il n'a pas pu, la seule chose qui nous restait était qu’il nous suive de son plein gré mais vous avez tous entendu ce qu’il a dit, qu’il ne viendra pas.

Voix : (Enrouée) Quand je pense qu’ils ont fait tout ça pour le sauver lui et c’est comme ça qu’il les remercie. (Élevant la voix) Je t’assure Princy que si papa et maman meurent, tu auras leur mort sur la conscience.  


Ils sont restés encore en train de parler de tout et de rien quand j’ai senti une main me toucher l’épaule . En me retournant, j’ai vu que c’était Princy.


Princy : Rentrons.


Nous sommes rentrés dans la maison et il s’est aussitôt mis à prier pour nous, pour les enfants et la maison afin que tous les plans contre nos vies n’aient aucun effet. Au bout d’une heure, il s’est arrêté.


Moi : Ça va ?

Princy : Non. Ça me fait mal de savoir que mes parents vont mourir parce qu’après tout ce sont des gens qui m’ont mis au monde et qui ont fait de moi l’homme que je suis aujourd’hui. Mais je n’y peux rien car je ne suis pas responsable de ce qui leur arrive. La raison pour laquelle ils sont venus me chercher ce soir c’est pour un transfert, si j’y vais je deviendrai fou et ils sont venus ce soir avec des choses pour endormir mon esprit. En sortant tout à l’heure , le Seigneur me l’a dit. Quand on fait du mal aux autres, on doit le reconnaître pour espérer une guérison mais eux ils veulent continuer à faire porter le chapeau à autrui. Et tant qu’ils ne comprendront pas ça, je ne pourrais rien faire pour eux.

Moi : Je suis désolée. 

Princy : Je sais.


J’ai pris sa tête que j’ai posée sur ma poitrine pour le caresser pour essayer de l’apaiser car je sais qu’il en souffre mais comme il l’a dit, on ne peut rien faire pour eux…


SECONDE CHANCE