Chapitre 16
Ecrit par St Daniel
Les
chroniques de Saint Daniel
Titre :
L’amour des temps.
Auteur :
Saint Daniel
Chapitre 16
Sylvia : Je te pardonne !
Je ne peux oublier la passée, comment oublier quelques
choses qui nous a construit ? Pour moi c’est du n’importe quoi. Si on peut
pardonner sans oublier, alors comment oublier ce passée qui m’est un
souvenir ? Je me souviens du passée, je n’ai pas oublié, alors je fais
avec et j’essaie de faire mieux sans faire semblant.
Le lendemain je me suis réveillé déjà à six heure
trente. Je me suis rendu dans la cuisine où j’ai fait du jus de fruit, omelette, avec croissant à
côté d’un thé au chocolat avec une autre au lait. J’y ai aussi ajouté une pomme
rouge et quelques fraises dans un petit verre. Quelques roses rouge sont aussi
laisser au tour du plateau. J’avais tout regardé sur internet, mais j’ai essayé
de perfectionner ça un peu. Je les ai
amenées dans la chambre et je l’ai déposé sur la petite table au pied du lit.
Ensuite je suis venu la réveiller.
Sylvia : Hé c’est quoi tu me fais là ?
Regarde, je ne me suis même pas brosser les dents.
Ulrich : Et alors ? Ça change quoi !
Sylvia : Le fou !
Ulrich : Je t’aime !
Sylvia : Embrasse !
Il ne suffit que ça, pour que chaque vœu soit exaucé
il ne suffit que d’oser ouvrir la bouche et demandé. Je ne savais pas trop quoi
faire, je l’embrasse, je la caresse, elle me serre et m’entourent de ses
petites bras. Mais j’avais cette impression dans mon être qui me disait que
tout ce que je fais je ne la fais pas bien et tout ce qu’on fait n’est pas
suffisant. Ça ne cessait de se répéter
dans ma tête, jusqu’à me dire que je dois en faire mieux.
Sylvia : Qu’est ce qu’il y a ?
Ulrich : Rien. Pourquoi ?
Sylvia : Tu es…. Non laisse ! Fais-moi t’aimer
plus et plus. Je veux etre gamine dans tes bras, je veux que tu me promettes
les étoiles et la lune ici et là ! Promets-moi ! Fait moi me sentir
femme admirer.
Ulrich : Du thé au lait ? Où du thé au
chocolat.
Sylvia : Quoi ?
Ulrich : Le petit déjeuner va se refroidir.
Sylvia : Sérieux ? Tu as…
Elle s’est jeter à mon coup et on s’est retrouvé avec
elle sur moi allongé alors qu’on était assis sur le lit. Là Sylvia me fait
mille bisous de partout au visage, une vraie folle. Ainsi on s’est régalé.
Après ça je l’ai demandé de s’allongé et
j’ai pris le chocolat que j’ai déposé dans son abdomen. Je l’ai prise avec ma
langue comme la manger, ma langue qui essuie les traces de chocolat sur elle,
et elle qui se sentait déjà excité. J’ignore ce qui m’a pris, mais d’un coup
j’ai eu des idées folles et je suis parti chercher de la glace dans le
congélateur. De retour
Sylvia : Tu vas faire quoi avec tout ça ?
Ulrich : Ferme les yeux et laisse l’instant
présent te percer comme un coup de cœur. Laisse mon amour te sublimer et que la
sienne rayonne la chambre.
Sylvia : Ulrich !
Ulrich : Quoi !
Sylvia : Ça …
Je l’ai dit de se taire et de ma laisser faire, ce
qu’elle a fait et j’ai continué par mettre la glace en ses endroits
sensuelles.
Quelques heures
plus tard on s’est réveillée, bref c’était notre fille qui pleurait. Vite j’ai
couru aller chercher son biberon et Sylvia a sauté la prendre dans ses bras à
la calmer.
Plus tard dans la soirée…
Ulrich : Allo !? Papa ?
Papa : Oui ! Ulrich mon fils comment tu te
portes ?
Ulrich : Bien papa. Et vous ?
Papa : Bien ici aussi ! Dit je sais que je
t’ai permis de prendre toute la semaine mais s’il te plait tu peux rentrer
demain ? Au plus tard midi.
Ulrich : Il y a un souci ? Papa !
Papa : Je te raconte tout à ton arriver.
Ulrich : Ok d’accord. (J’éteins l’appel) Euh
c’est quoi ce regard ?
Sylvia : On va rentrer, c’est ça non ?
Ulrich : C’est le boulot. Mais je te promets de
vite faire et on revient.
Sylvia : Tu dis ça juste pour… Tu sais très bien que l’entreprise
aura toujours de quoi t’occuper.
Ulrich : Bon aller ! Vient là !
Ainsi je la prends, elle et le bébé, dans mes bras.
Alors que la nuit commence à tomber on s’est mis en
route et déjà à vingt-deux heures nous sommes rentré chez moi.
Ulrich : Tu penses à quoi ?
Sylvia : Euh rien. Pourquoi ?
Ulrich : Juste comme ça. Tu es toutes bizarre.
Sylvia : Dit ! Est-ce que tu me promets
d’agir chaque jour comme aujourd’hui ?
Ulrich : Non ! … Mais je promets de toujours essayer. (Là je
m’approche et l’embrasse)
Sylvia : Tu vas jamais me laisser tranquille, pas
vrai ?
Ulrich : Je vais essayer, mais je ne peux faire
ma vie sans voir ses belles lèvres et ne pas la prendre !
On était là à regarder la télévision quand je reçois
l’appel de Daniel qui me dit qu’il est avec Emilio et me dis de les retrouver.
Sylvia ne voulait pas que je sorte mais j’ai réussi à la convaincre et elle m’a
accordé une heure de temps. Dès que je suis arrivé à la dite endroit je tombe
sur Emilio à l’entré et on s’est juste salué. Il était pressé.
Daniel : Hé Ulrich ! Par ici !
Ulrich : Salut frérot ! Dit Emilio a
quoi ? Je l’ai vu dehors toute pressé de partir.
Daniel : Ah c’est sa femme qui vient de l’appeler
hein. C’est comme s’il y a un petit
souci chez lui.
Ulrich : Ah ok d’accord ! Ça tombe bien. Je voulais justement te demander
quelques choses.
Daniel : Quoi ? Je suis à l’écoute.
Ulrich : Que penses-tu de son retour ? Je
parle de Sylvia. Tu crois qu’elle m’aime encore ?
Daniel : Pourquoi cette question ? Ce n’est
pas toi qui viens de rentrer de voyage en amoureux ?
Ulrich : Je donnerai ma vie car je meurs d’amour
pour elle. Mais elle…
Daniel : Mais tu as l’impression de te voir dans
une relation par plaisir ou qui est coït.
A
suivre…
Que
pensez-vous ? Ulrich est dans quel type de relation à votre avis ?
Chapitre
17
Auteur :
Saint Daniel
Titre :
L’amour des temps.
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Hirondelle et le Saint