Chapitre 15
Ecrit par St Daniel
Les
chroniques de Saint Daniel
Titre :
L’amour des temps.
Auteur :
Saint Daniel
Chapitre 15
Le
silence, c’est paisible. Aussi paisible qu’il peut l’être il confère un
sentiment et sensation démesurer à l’homme. Ainsi ce que le silence n’a pas su
dire, les yeux savent mieux l’exprimer.
Quelques
minutes après leurs actes Sylvia allongé à côté d’Ulrich posa sa tête sur son
torse et le regard sourire.
Sylvia :
Euh c’est quoi ce sourire radieux !?
Ulrich :
Rien.
Sylvia : Non.
Ce n’est pas vrai. Dit moi pour quoi ce sourire ?
Ulrich :
Tu es si belle dans mes bras que je me demande comment tu le seras dans le
monde, mais je ne l’accorde pas
d’importance. Car tu es à moi ! T’es ma femme.
Sylvia :
Pourquoi tu parles d’amour si toi-même tu n’y crois pas.
Ulrich :
Qui a dit que je ne crois pas en l’amour ?
Sylvia :
Tu crois en quoi ?
Ulrich :
Je crois en toi !
Sylvia :
Non ! Tu n’es pas sérieux.
Ulrich :
Que je le sois ou pas, je m’en fou. L’important pour moi est de te le dire et avec
cœur, et non par les mots seulement. Je n’arrive pas à le croire.
Sylvia :
Croire quoi !
Ulrich :
Que tu es à moi !
Sylvia :
Et tu remets ça.
Ulrich :
Tu es top belle pour moi, je ne peux croire…
Sylvia :
Il n’y a rien au monde qui puisse changer ce que je ressens pour toi !
Le
lendemain, très tôt le matin on s’est réveillé et avec Sylvia on s’est mis à
faire du sport presque une heure de temps. Une de temps après lequel on s’est
retrouvé au lit au lit d’aller se doucher. Après on s’est douché et on a pris
le petit déjeuner. Vers neuf heures on s’est rendu dans un zoo où on a
découvert des animaux et faire de belle rencontre. On avait même pris de plus
belle photo tous ensembles, Moi et Sylvia et ma fille Ahlimba. A la fin de la
visite il sonnait déjà treize heures ou presque quatorze heures, alors on s’est
trouvé un petit restaurant vite fait. Sylvia a commandé frite et un jus, moi
j’ai demandé du spaghetti avec coca. Après la dégustation on s’est rendu au
bord de la rivière du coin. Là-bas nous avions étalé le pagne que Sylvia avait
noué à la hanche à terre et on s’y est installé. Quelques minutes et ma fille
s’est endormie.
Sylvia :
Tu fais quoi ? Pourquoi tu enlèves ton t short ?
Ulrich :
Tu ne vois pas ? Je vais me baigner. L’eau doit être bonne à
l’heure-là !
Sylvia :
Non. Attend ! Ne te lance pas.
Avant
qu’elle ne finisse j’étais déjà dans l’eau. Je suis dans l’eau douce et je l’ai
invité à me rejoindre. Elle a hésité mais elle a mis mon t short et m’a rejoint
en fin de compte. On s’est baigné ensemble, on a fait du plongeon, on s’est
embrassé au tant qu’on veut.
Sylvia :
Ulrich !?
Ulrich :
Oui ! Ma chérie qu’est ce qu’il y a ?
Sylvia :
Euh je… Je sens… Je me sens tous excités d’un coup.
Ulrich :
Non ! Tu n’es pas sérieuse.
Sylvia :
Si ! Je le suis ! On peut le faire ici ? Fait moi l’amour !
Ulrich.
Elle
est sortie de l’eau tout en me tirant la main, je l’ai suivi sans rien dire. Au
bord de la rive, elle s’est allongée sur le pagne à côté d’Ahlimba, et
moi ? Je me suis mis sur elle. Je la caresse les cheveux puis le long du
corps. Je la faisais me sentir quand le ciel change brusquement de couleur et
il commence à pleuvoir d’un coup. Vite et vite on s’est empressé de ramasser
les effets et les mettre dans le capot.
Sylvia :
Chéri !? Dépêche toi de déposer notre princesse à l’arrière et vient me
faire l’amour.
Ulrich :
TU es sérieuse ?
Sylvia :
Plus que sérieuse même. Vient voir ma petite chatte toute mouiller malgré la
pluie. Tu vas être toutes excité. Je te jure !
A
l’écouter j’ai eu du dégout car j’aurai cru entendre une pute dire si je ne
savais pas que c’était elle. Du coup je me suis vite approché afin de tiré de
là le plus vite possible avant que quelqu’un ne vienne nous découvrir. Mais
hélas ! Elle était en bikini quand j’ai sorti ma tête de la voiture et
avant que je ne vienne elle avait déjà jeté son soutien sur la voiture.
Ulrich :
Tu t’es vu ?
Sylvia :
Ça te fait quoi !?
Ulrich :
Quoi !
Sylvia :
Me baiser sous la pluie. Tu trouves ça
excitant ?
Ulrich :
Tu veux que je le dise ? Ou tu viens lire par toi-même !
Fallait
que je le dise pour qu’elle vienne me prendre les lèvres avec violence on
dirait une pétasse qui ne pense qu’au baise.
Plus
tard le ciel commence à s’éclaircir donc on a vite fait de se rhabiller et de se
mettre en route.
La
nuit, vers vingt et une heure j’ai fait venir une nounou pour s’occuper
d’Ahlimba en notre absence. Ainsi on s’est lancé pour une soirée en amoureux
sans enfant malgré une mignonne qu’on a.
Je
l’ai amené au cinéma, là où nous avions regardé tous deux ensembles le film
titré « Nos étoiles contraire ». Après la projection on est parti
faire quelques pas dans le jardin tout près en attendant que la pose passe. A
notre retour ils ont mis un film érotique. Le film s’en allait et on n’arrêtait
pas de s’embrasser jusqu’à ce qu’on soit tous deux bien exciter. On était excité
quand le film est arrivé à la partie de baise entre les tourtereaux que tout le
monde attendait. C’est là j’ai commencé à doigter Sylvia et elle commence à
gémir. A voir qu’on va se faire remarquer, on s’est mis à courir et on est
parti.
Sylvia :
Chez qui on est !?
Ulrich :
Ça n’a pas d’importance. Profitons de la
soirée seulement.
Sylvia :
Ah oui ?
Ulrich :
Je t’ai déjà dit que tu as un derrière époustouflante ?
Sylvia :
Non ! Pourquoi ?
Ulrich :
Je viens de te le dire.
Sylvia :
Tu es fou, tu sais ?
Ulrich :
Il n’y a que toi qui me rends fou.
Sylvia :
Vraiment ?
Ulrich :
Que le ciel me pardonne pour ses fois où j’ai pas été la hauteur, mais qu’il
écoute ma prière et accorde une longue vie à notre histoire.
A
suivre…
Pensez-vous
que l’amour existe ?
Chapitre
16
Auteur :
Saint Daniel
Titre :
L’amour des temps.
Les
chroniques de Saint Daniel
Hirondelle et le Saint